Allah yarham chouhada el djazair ,ou yarham les taghlit chouhada mehoum zahia Taghlit et le commandant si abdelkader Taghlit et djoudja Taghlit et mhamed Taghlit eli rahoum fi les photos,merci a vous mr bouras Allah yarham chouhada.Malika Taghlit from london
khouya Hichem Hamouda. djouezenaa les vidéos. du 8 octobre 2022. du dhikra de Ali ...Omar.. Hassiba et bouhamidi. j'étais absent svp. khouya Hichem. Hamouda. Merci. du fond du cœur. Allah yarham chouhada
ربي يرحم الشهداء وربي يوفقك في ما تقوم به من جهود لتعريفنا بتاريخنا و أبطالنا خاصة النساء و الفتيات اللواتي يحاول البعض تحجيم وتصغير تضحياتهن في سبيل هذا الوطن حبيت نقول بلي الاستقلال جابوه الرجال والنساء على حد سواء
Qui se souviens de abderrahmane Kab le symbole de la jeunesse révolutionnaire de la Casbah le valeureux moujahid abderrahmane issue d'une noble et modeste famille né le 28 mars 1933 à Alger/Casbah, habitait au 5 rue de l'Ours sidi ramdane..Parcours classique du moudjahid scoutisme sport et PPA Il a formé plusieurs groupe de choc bien avant 1954 dont plusieurs fidaii qui ont nourris la révolution les plus chanceux ont survécu jusqu'à l'indépendance d'autres tomber au champ d'honneur ou des suites de tortures subies durant leurs détention .Modeste il etait puisqu'il na jamais utilisé un ton de chef qu'il était..Disponible pour tout le monde jeune et adulte plutot pour les plus jeunes qu'il instruisez la révolution. Je n'oublierai jamais ces sermons qui consistaient d'abord aux respect des parents et au adultes et d'entretenir une bonne santé moral en pratiquant le sport lui même adeptes du cyclisme OMSE et organiser trés souvent des circuits pour des courses. Sa scolarité fût a messid Ibrahim fatah parallèlement il fréquenté l'école coranique animé a par cheikh tahar a Bir Djebbah. Il avait le don d'un grand stratège il nous a appris toutes les ficelles des combats de l'ombre avec la collaboration de Hadj Zoubir du groupe el Falah. Etant le chef d'un grand groupe fidaii dans moi meme et mon ainée allah yarahmou Sidali je citerai aussi certains éléments dans je me souviens Mouh Assaîd décédé au bagne de Lambeze suite des torture qui lui ont ètè infligés par la DST..L'intrépide et valeureux Hamid Dali ( rabi itawal fi ommro) l'un des plus jeune officier de la wiliya 4 Abdelrahmen SADOUD le Benjamin du groupe (rabi itawal fi ommro) un grand invalide de guerre l'un des plus jeunes du groupe emprisonné à la salle des mineurs a Serkadji et dès sa libération il a repris ces actions révolutionnaires..Sidali Slilli décédé au camp de concentration à Oran suite aux tortures ...Ghazzali mokhtar condamné a mort assassiné lors de la grande évasion de serkadji...HARFOUCHI et MELZI GUILLOTINÉS..Je ne puis tous les cités beaucoup d'élément de sidi ramdane, bab jdid, bir jabbah de la casbah... Il a préparé la révolution en commençant par le nèttoyage des voyous du milieu casbahdji dans la plupart on rejoint le F L N librement sans aucune contrainte, abderrahmane KAB nous a enseigné aucune contrainte dans le djihad chacun doit se montrer volontaire ...Aprés le nettoyage du milieu par la matraque c'est autour des indicateurs dans certains ont ètè abattus ...Nous avions 2 redoutables ennemis; un gendarme français qu'on appelait Marche noir et un inspecteur de police appelé GABBAS.. le premiers recherché par tout les moyens les insoumis de l'armée française, L'autre ne s'arrêta pas a nous humilier à chaque fois qu'il passait par la Casbah et nous connaissait un par un ...Un jour le gendarme marcher noir qui était s'est acharné pour arrêter Kab , Le jour où il est venue l'arrêter abderrahmane prenait son café avec Bouzid bekaî (chahid), abderrahmane KAB s'est rebellé et lui a donné une tannée qui l'a définitivement éliminé de notre quartier et à partir de ce jour la, Kab a ètè traqué parce que reconnue par les indiques qui se sont acharnés contre lui qui finalement a aboutit a son arrestation meurtrière.... Une nuit vers 2:00 du matin le 25 août 1955 nous nous sommes réveillé par des rafales de mitraillettes digne d'un grand accrochage et des grenade venant de sidi abdallah (rue du lion) qui portent aujourd'hui le nom de Kaddour AZZOUZI tomber au moment de son arrestation, Kab blessé au genoux qui n'avait plus de balle a continuer son combat à mains nu malheureusement ce fût la fin pour lui, je sais aussi qu'il a regretté d'avoir survécus à son frère de combat Azzouzi, plusieurs moujahidine on était arrêté en meme temps que lui dont moh saîd... Ce n'est que le lendemain qu'on a eu vent de cette arrestation en Allant à bab jdid je suis passer par le 2éme arrondissement j'ai vu abderrahmane Kab en tenue militaire dans la chemise porter 3 V inversés à l'intérieur d'une jeep. D'après le docteur el Hachemi Laarabi "KAB est un des exemples les plus frappants de courage et de dignité son attitude vis a vis de la police française fait honneur à l'algerie ,Il a reconnu tout ces action, en donnant des détails et en expliquant les causes et motivations il donnait ainsi a ces juges l'occasion de lui donné la mort ". Le jour de son procès il savait se qu'il l'attendait l'Homme n'avait pas froid aux yeux et a tenue tête a toutes ces têtes de fromage qui composaient ce tribunal militaire français, Il fût condamné a mort 02 fois par le tribunal militaire permanant d'Alger, guillotiné le 9 octobre 1957 a l'âge de 24 ans à 3h21 à la prison de serkadji ..Je ne peu continuer. Allah yarham shouhada ina li allahi wa inna ilayhi rajiroun.. témoignage moudjahid Laoudia Boualem.
Esque vous connaissez comment on a procédé a la fuite de sercadji Mon père me l'a raconte Au dernier moment on lui a demandez de restez et remplacer par un autre
Alilou, le héros oublié de la Bataille d'alger. il s'agit de parler du parcours de héros oublié dans la Bataille d'Alger, Amara Ali dit Alilou. Et pourtant, son itinéraire historique reste encore inconnu des Algériens qui connaissent beaucoup plus Ali la Pointe et Yacef Saâdi, qu'Alilou et la famille Amara. La raison incombe aux historiens, mais surtout aux rescapés de la guerre de Libération, qui n'ont pas osé parler ou qui n'ont pas assez dit sur les véritables héros de la Bataille d'Alger..Si Yacef Saâdi, le chef de la Zone autonome d'Alger, n'a pas évoqué ou presque le parcours d'Amara Ali dans son livre Les souvenirs de la Bataille d'Alger, Yves Courrière, en revanche, dans son ouvrage de référence La guerre d'Algérie, partie consacrée à la Bataille d'Alger, Le temps des léopards, cite à plusieurs reprises Alilou comme étant un agent de liaison important de Yacef, mais qu'il avait un très grand défaut : la drogue. Une accusation grave de sens que réfute la soeur d'Alilou, Amara Tassadit, que tout le monde appelle respectueusement khalti Zoubida. Elle affirme que son frère n'avait aucun penchant pour la drogue et qu'il faisait tout pour convaincre les habitants de ne pas s'adonner à la nefa (une sorte de drogue consommée dans la région). D'ailleurs, Tassadit se rappelle lors qu'un jour elle nettoyait le minzah où était installé Yacef Saâdi, elle découvrit un sac en plastique contenant une matière bizarre. Quand elle demande à son frère Alilou ce que c'était, il lui répond d'un ton pressé que c'était de la drogue subtilisée aux jeunes de La Casbah et qui était destinée à être brûlée. Khalti Tassadit, dite Zoubida, s'interroge sur l'origine de cette accusation, indiquant que si cela avait été le cas, on n'aurait jamais confié toutes ces missions délicates à son frère Alilou. Il est clair que le but d'Yves Carrière était de minimiser l'action d'Alilou au profit d'Ali La Pointe. Sans doute, a-t-il été trompé par les déclarations et les révélations de certains membres actifs de la Bataille d'Alger, Français ou Algériens. C'est sans doute la confusion issue de l'orthographe des deux noms apparaissant dans les différents rapports des parachutistes, qui a surtout joué contre Alilou. Entre Amara Ali et Alilou, né à La Casbah, et Amar Ali dit la Pointe, né à Miliana, il n'y avait que le A qui diffèrait. Ce qui conforte la thèse qu'Alilou était l'homme par qui tout passe et qu'il connaissait parfaitement La Casbah et son labyrinthe architectural. La preuve, nous raconte sa soeur Tassadit, la fois où il a été envoyé par Yacef afin d'accomplir une mission au maquis et qu'il était revenu le soir à minuit..Personne à l'époque ne pouvait s'aventurer la nuit dans La Casbah, surtout pas Ali La Pointe qui ne connaissait pas assez la vieille ville d'Alger..Cette nuit-là, alors que Saâdi était entouré d'Amara Saïd, de Hammar Boudjemaâ et d'Ali La Pointe, la bombe de la rue des Thèbes explose, provoquant une panique et un brouhaha inimaginables. Alilou venait juste de rentrer. Il monte aussitôt sur le toit pour avoir une vue de la situation dans La Casbah. L'explosion a surpris dans leur sommeil plusieurs familles musulmanes. Ce qui a provoqué une grande colère chez Alilou, qui voulait sortir pour se venger en arrosant de balles les quartiers européens. Le jeune homme était brave et prêt à tous les sacrifices. Mais une action suicidaire ne servait que l'intérêt de l'ennemi et Yacef a préféré retarder la riposte à plus tard..La bombe de la rue des Thèbes était l'oeuvre de la Main rouge, une organisation clandestine composée de civils et de policiers, et qui activait comme un escadron de la mort pour venger les victimes des attentats du FLN..Cette organisation visait surtout à répondre aux attentats à la bombe, commis quelques jours auparavant à Bab El-Oued par Petit Maroc, Laïchi Boualem et Maïdi Achour. Ce dernier fut tué par un motard à la rue Maison, quelques jours après. Sur lui, on avait trouvé une pièce d'identité indiquant qu'il habitait rue de Thèbes. Une preuve suffisante pour ces policiers qui travaillaient en collaboration avec la Main rouge pour accomplir leur forfait..Autre preuve de l'action héroïque d'Alilou et de sa parfaite connaissance du terrain, raconte d'un ton calme et assuré sa soeur, le jour où ils ont décidé de transférer Larbi Ben M'hidi..La Casbah était à l'époque une zone fermée, encerclée par les fils barbelés et truffée de points de contrôle..Pour échapper donc à cet encerclement, Alilou a entrepris de faire sortir Larbi Ben M'hidi par la boulangerie de Hamid Chibane. Une boulangerie qui avait une porte donnant sur la place de Bab El-Djedid et une autre qui descendait vers La Casbah..Alilou, accompagné du chef du FLN et de deux de ses compères, Hamid Dali et Dahmane Boussoura, sont donc sortis de La Casbah en empruntant une porte dérobée de cette boulangerie, échappant ainsi au contrôle vigilant des paras. Informé par des éléments algériens travaillant dans la police française, Alilou devait impérativement faire évacuer Ben M'hidi de sa planque au 3, rue Sidi Ben Ali..Alilou avait accompagné lui-même Larbi Ben M'hidi à la voiture qui venait le chercher. C'était la dernière fois que les deux hommes échangeaient une poignée de main..Ben M'hidi est passé de la responsabilité de la Zone autonome d'Alger à celle du Comité de coordination d'exécution (CCE). Quelques jours plus tard, il sera arrêté, par hasard diront certains, sur dénonciation indiqueront d'autres, et après interrogatoire, il sera exécuté par Paul Aussaresses. Le 7 janvier, les pouvoirs de police sont transmis aux parachutistes du général Jacques Massu, et les hommes de Yacef étaient de plus en plus menacés. Il devenait indispensable de changer de cache, à chaque apparition des hommes en treillis dans La Casbah. Avec la grève des huit jours, les choses devenaient de plus en plus difficiles pour les éléments de Yacef qui, malgré le verrouillage militaire, se déplaçaient à l'intérieur et à l'extérieur de La Casbah. Au mois de mai, Yacef Saâdi, Alilou et Ramel, sous le fameux haïk blanc et Djamila Bouhired en tenue occidentale, sont sortis de leur cache chez Bahamed, qui n'est autre que le mari de la tante d'Alilou, pour changer de refuge. Djamila Bouhired portait la valise que les éléments de l'ALN appellent communément «le bureau». Une version qu'on retrouve dans le film de Gillo Pontecorvo, mais avec une nuance de taille, d'après des témoignages recueillis, Ali la Pointe n'était pas avec le groupe, à ce moment-là. C'était Alilou..Au musée de l'armée (Maqam Echahid), une maquette est fidèlement reconstituée montrant Yacef, Ramel, Alilou et Bouhired. En descendant La Casbah, le groupe tombe nez à nez avec une patrouille de paras. Bouhired était la plus exposée, et sa retraite fut stoppée par des tirs de sommation. Constatant qu'elle allait être attrapée avec «le bureau», Yacef Saâdi arma son Mat 45 et tira non pas en direction des militaires, mais en direction de Djamila..C'est Alilou qui s'interposa et poussa Yacef Saâdi. Une intervention qui a coûté à Alilou d'être blessé au côté droit, et fut presque arrêté. Il entama une retraite difficile par la rue N'fissa. Cette version qui nous a été racontée par la famille d'Alilou, on la retrouve en détail près dans le livre d'Yves Courrière, dans le chapitre consacré à la Bataille d'Alger, même si elle n'a jamais été confirmée par la principale concernée, Djamila Bouhired, devenue, aujourd'hui, contrairement à d'autres, une citoyenne anonyme..C'est la deuxième fois qu'Alilou échappe à une patrouille de militaires, malgré toutes les précautions prises, la vie et la circulation dans La Casbah étaient devenues impossibles. L'étau se resserrait, de plus en plus, sur ce jeune homme de 24 ans, qui détenait tous les secrets de la Zone autonome..Après l'arrestation de son frère Saïd, de son cousin Hammar Boudjemaâ, torturés et assassinés, six jours après la grève des huit jours, et l'arrestation de son frère Mohamed et la destruction partielle de sa maison du 3, rue Sidi Ben Ali, Alilou se sentait de plus en plus seul, abandonné par ses propres camarades de la Zone autonome. Et c'est presque par hasard qu'Alilou, errant, fut capturé, un certain mois d'août 1957..Les éléments de la 10e Division du général Massu avaient mis un terme à sa cavale et achevé sa carrière militaire dans la Bataille d'Alger. Quelques jours plus tard et plus précisément le 25 septembre 1957, est arrêté Yacef Saâdi avec Zohra Drif. Ces deux chefs de la Zone autonome seront bien traités et ne subiront aucune torture. Alors que les services du colonel Godard, commandant du secteur Alger Sahel, avaient essayé toutes sortes de tortures sur le jeune Alilou qui, avec le temps, n'a pas supporté le traitement qu'on lui a réservé. Le talon enlevé, le poignet troué avec une chignole, la peau retirée, etc. Et comme si cela ne pouvait suffire, on lui enleva la chose la plus importante à ses yeux, sa dignité, en le faisant passer pour un traître à la cause. Habillé du fameux bleu de chauffe, il bifurquait dans les rues de La Casbah en montrant du doigt tout le monde et personne. Il avait donné des noms qui n'étaient pas liés à la Zone autonome, pour tromper l'ennemi. Mais cela n'a pas suffi. Alilou, sous la pression et la torture, est devenu «un fou» révolutionnaire. Après l'Indépendance, Amara Ali n'apparaît à aucune commémoration de la révolution. Les séquelles de la Bataille d'Alger sont plus morales que physiques.il décède, en avril 1986, dans l'anonymat et l'oubli.
Allah Yerahmou Allilou kount nchoufou fi djamaâ lihoud avec son ami zoubir. Il paraît que ces deux talents sont coupé par les services militaires français ! Allilou restera la boîte noire de la Zone autonome ! Rah w’da sero m3ah !
Allah yarham chouhada el djazair ,ou yarham les taghlit chouhada mehoum zahia Taghlit et le commandant si abdelkader Taghlit et djoudja Taghlit et mhamed Taghlit eli rahoum fi les photos,merci a vous mr bouras Allah yarham chouhada.Malika Taghlit from london
رحم الله الشهداء الابطال واسكنهم فسيح جناته تحيا الجزائر
ربي يرحم الشهداء
Parmis les boxeur commandant Abdelkader Taghlit de belcourt surnomé Rais Abdelkader
khouya Hichem Hamouda. djouezenaa les vidéos. du 8 octobre 2022. du dhikra de Ali ...Omar.. Hassiba et bouhamidi. j'étais absent svp. khouya Hichem. Hamouda. Merci. du fond du cœur. Allah yarham chouhada
OK dans cette semaine inchallah
@@hichmen2011 merci Rabi yahafdhak ncha Allah
ربي يرحم الشهداء وربي يوفقك في ما تقوم به من جهود لتعريفنا بتاريخنا و أبطالنا خاصة النساء و الفتيات اللواتي يحاول البعض تحجيم وتصغير تضحياتهن في سبيل هذا الوطن حبيت نقول بلي الاستقلال جابوه الرجال والنساء على حد سواء
O dok ysabou fi saliha ouatiki taa belcourt
واش راك تخرط، صليحة تع سيربي هاديك تع اذاعة قاتلهوم نحب سيربي و فرمضان نطيب الحم لحلو، ماشي صليحة اوتيكي ، واش راك تلف ، راكم تشوف فينا حمير جاهلين نسبو مجاهدين ، نتا رماوك على راسك صحاب بيلكور هما لي يقولو هاد الهدرة باش ما يتالبوهمش بصليحة تع الاذاعة تع البهجة
السلام عليكم خويا كاش ما عندك على الشهيد حمان السعيد؟
Parmi les boxeur les frère kassis
Rue des datte leur frère est toujours en vie
Qui se souviens de abderrahmane Kab le symbole de la jeunesse révolutionnaire de la Casbah le valeureux moujahid abderrahmane issue d'une noble et modeste famille né le 28 mars 1933 à Alger/Casbah, habitait au 5 rue de l'Ours sidi ramdane..Parcours classique du moudjahid scoutisme sport et PPA
Il a formé plusieurs groupe de choc bien avant 1954 dont plusieurs fidaii qui ont nourris la révolution les plus chanceux ont survécu jusqu'à l'indépendance d'autres tomber au champ d'honneur ou des suites de tortures subies durant leurs détention .Modeste il etait puisqu'il na jamais utilisé un ton de chef qu'il était..Disponible pour tout le monde jeune et adulte plutot pour les plus jeunes qu'il instruisez la révolution.
Je n'oublierai jamais ces sermons qui consistaient d'abord aux respect des parents et au adultes et d'entretenir une bonne santé moral en pratiquant le sport lui même adeptes du cyclisme OMSE et organiser trés souvent des circuits pour des courses. Sa scolarité fût a messid Ibrahim fatah parallèlement il fréquenté l'école coranique animé a par cheikh tahar a Bir Djebbah.
Il avait le don d'un grand stratège il nous a appris toutes les ficelles des combats de l'ombre avec la collaboration de Hadj Zoubir du groupe el Falah.
Etant le chef d'un grand groupe fidaii dans moi meme et mon ainée allah yarahmou Sidali je citerai aussi certains éléments dans je me souviens Mouh Assaîd décédé au bagne de Lambeze suite des torture qui lui ont ètè infligés par la DST..L'intrépide et valeureux Hamid Dali ( rabi itawal fi ommro) l'un des plus jeune officier de la wiliya 4
Abdelrahmen SADOUD le Benjamin du groupe (rabi itawal fi ommro) un grand invalide de guerre l'un des plus jeunes du groupe emprisonné à la salle des mineurs a Serkadji et dès sa libération il a repris ces actions révolutionnaires..Sidali Slilli décédé au camp de concentration à Oran suite aux tortures ...Ghazzali mokhtar condamné a mort assassiné lors de la grande évasion de serkadji...HARFOUCHI et MELZI GUILLOTINÉS..Je ne puis tous les cités beaucoup d'élément de sidi ramdane, bab jdid, bir jabbah de la casbah...
Il a préparé la révolution en commençant par le nèttoyage des voyous du milieu casbahdji dans la plupart on rejoint le F L N librement sans aucune contrainte, abderrahmane KAB nous a enseigné aucune contrainte dans le djihad chacun doit se montrer volontaire ...Aprés le nettoyage du milieu par la matraque c'est autour des indicateurs dans certains ont ètè abattus ...Nous avions 2 redoutables ennemis; un gendarme français qu'on appelait Marche noir et un inspecteur de police appelé GABBAS.. le premiers recherché par tout les moyens les insoumis de l'armée française, L'autre ne s'arrêta pas a nous humilier à chaque fois qu'il passait par la Casbah et nous connaissait un par un ...Un jour le gendarme marcher noir qui était s'est acharné pour arrêter Kab , Le jour où il est venue l'arrêter abderrahmane prenait son café avec Bouzid bekaî (chahid), abderrahmane KAB s'est rebellé et lui a donné une tannée qui l'a définitivement éliminé de notre quartier et à partir de ce jour la, Kab a ètè traqué parce que reconnue par les indiques qui se sont acharnés contre lui qui finalement a aboutit a son arrestation meurtrière....
Une nuit vers 2:00 du matin le 25 août 1955 nous nous sommes réveillé par des rafales de mitraillettes digne d'un grand accrochage et des grenade venant de sidi abdallah (rue du lion) qui portent aujourd'hui le nom de Kaddour AZZOUZI tomber au moment de son arrestation, Kab blessé au genoux qui n'avait plus de balle a continuer son combat à mains nu malheureusement ce fût la fin pour lui, je sais aussi qu'il a regretté d'avoir survécus à son frère de combat Azzouzi, plusieurs moujahidine on était arrêté en meme temps que lui dont moh saîd...
Ce n'est que le lendemain qu'on a eu vent de cette arrestation en Allant à bab jdid je suis passer par le 2éme arrondissement j'ai vu abderrahmane Kab en tenue militaire dans la chemise porter 3 V inversés à l'intérieur d'une jeep. D'après le docteur el Hachemi Laarabi "KAB est un des exemples les plus frappants de courage et de dignité son attitude vis a vis de la police française fait honneur à l'algerie ,Il a reconnu tout ces action, en donnant des détails et en expliquant les causes et motivations il donnait ainsi a ces juges l'occasion de lui donné la mort ".
Le jour de son procès il savait se qu'il l'attendait l'Homme n'avait pas froid aux yeux et a tenue tête a toutes ces têtes de fromage qui composaient ce tribunal militaire français,
Il fût condamné a mort 02 fois par le tribunal militaire permanant d'Alger, guillotiné le 9 octobre 1957 a l'âge de 24 ans à 3h21 à la prison de serkadji ..Je ne peu continuer.
Allah yarham shouhada ina li allahi wa inna ilayhi rajiroun.. témoignage moudjahid Laoudia Boualem.
من المفروض تقدير من كل ولاية تذكر مجاهد لخطر كامل ولايات فجرو هدي ثورة مشي غير في القصبة تفجرة ثورة وربي يرحم كل شهداء الوطن
كل ميتكلم يذكر 58 wilaya
Ana.oueld.chahid.70ans.aazeb.saken.fibaraka.haqna.daouh.lizaouirou.tarekh.estfadou.el.harkia.ama.chahid.rah.ethhia.aouiladou.felmizia.
المعروف ب ناصر بلكور
Win ne9der netla9a b cheikh ethman Allah yahafdek ?
Esque vous connaissez comment on a procédé a la fuite de sercadji
Mon père me l'a raconte
Au dernier moment on lui a demandez de restez et remplacer par un autre
Alilou, le héros oublié de la Bataille d'alger. il s'agit de parler du parcours de héros oublié dans la Bataille d'Alger, Amara Ali dit Alilou. Et pourtant, son itinéraire historique reste encore inconnu des Algériens qui connaissent beaucoup plus Ali la Pointe et Yacef Saâdi, qu'Alilou et la famille Amara.
La raison incombe aux historiens, mais surtout aux rescapés de la guerre de Libération, qui n'ont pas osé parler ou qui n'ont pas assez dit sur les véritables héros de la Bataille d'Alger..Si Yacef Saâdi, le chef de la Zone autonome d'Alger, n'a pas évoqué ou presque le parcours d'Amara Ali dans son livre Les souvenirs de la Bataille d'Alger, Yves Courrière, en revanche, dans son ouvrage de référence La guerre d'Algérie, partie consacrée à la Bataille d'Alger, Le temps des léopards, cite à plusieurs reprises Alilou comme étant un agent de liaison important de Yacef, mais qu'il avait un très grand défaut : la drogue. Une accusation grave de sens que réfute la soeur d'Alilou, Amara Tassadit, que tout le monde appelle respectueusement khalti Zoubida. Elle affirme que son frère n'avait aucun penchant pour la drogue et qu'il faisait tout pour convaincre les habitants de ne pas s'adonner à la nefa (une sorte de drogue consommée dans la région). D'ailleurs, Tassadit se rappelle lors qu'un jour elle nettoyait le minzah où était installé Yacef Saâdi, elle découvrit un sac en plastique contenant une matière bizarre.
Quand elle demande à son frère Alilou ce que c'était, il lui répond d'un ton pressé que c'était de la drogue subtilisée aux jeunes de La Casbah et qui était destinée à être brûlée.
Khalti Tassadit, dite Zoubida, s'interroge sur l'origine de cette accusation, indiquant que si cela avait été le cas, on n'aurait jamais confié toutes ces missions délicates à son frère Alilou.
Il est clair que le but d'Yves Carrière était de minimiser l'action d'Alilou au profit d'Ali La Pointe. Sans doute, a-t-il été trompé par les déclarations et les révélations de certains membres actifs de la Bataille d'Alger, Français ou Algériens. C'est sans doute la confusion issue de l'orthographe des deux noms apparaissant dans les différents rapports des parachutistes, qui a surtout joué contre Alilou. Entre Amara Ali et Alilou, né à La Casbah, et Amar Ali dit la Pointe, né à Miliana, il n'y avait que le A qui diffèrait.
Ce qui conforte la thèse qu'Alilou était l'homme par qui tout passe et qu'il connaissait parfaitement La Casbah et son labyrinthe architectural.
La preuve, nous raconte sa soeur Tassadit, la fois où il a été envoyé par Yacef afin d'accomplir une mission au maquis et qu'il était revenu le soir à minuit..Personne à l'époque ne pouvait s'aventurer la nuit dans La Casbah, surtout pas Ali La Pointe qui ne connaissait pas assez la vieille ville d'Alger..Cette nuit-là, alors que Saâdi était entouré d'Amara Saïd, de Hammar Boudjemaâ et d'Ali La Pointe, la bombe de la rue des Thèbes explose, provoquant une panique et un brouhaha inimaginables. Alilou venait juste de rentrer. Il monte aussitôt sur le toit pour avoir une vue de la situation dans La Casbah. L'explosion a surpris dans leur sommeil plusieurs familles musulmanes. Ce qui a provoqué une grande colère chez Alilou, qui voulait sortir pour se venger en arrosant de balles les quartiers européens.
Le jeune homme était brave et prêt à tous les sacrifices. Mais une action suicidaire ne servait que l'intérêt de l'ennemi et Yacef a préféré retarder la riposte à plus tard..La bombe de la rue des Thèbes était l'oeuvre de la Main rouge, une organisation clandestine composée de civils et de policiers, et qui activait comme un escadron de la mort pour venger les victimes des attentats du FLN..Cette organisation visait surtout à répondre aux attentats à la bombe, commis quelques jours auparavant à Bab El-Oued par Petit Maroc, Laïchi Boualem et Maïdi Achour.
Ce dernier fut tué par un motard à la rue Maison, quelques jours après. Sur lui, on avait trouvé une pièce d'identité indiquant qu'il habitait rue de Thèbes. Une preuve suffisante pour ces policiers qui travaillaient en collaboration avec la Main rouge pour accomplir leur forfait..Autre preuve de l'action héroïque d'Alilou et de sa parfaite connaissance du terrain, raconte d'un ton calme et assuré sa soeur, le jour où ils ont décidé de transférer Larbi Ben M'hidi..La Casbah était à l'époque une zone fermée, encerclée par les fils barbelés et truffée de points de contrôle..Pour échapper donc à cet encerclement, Alilou a entrepris de faire sortir Larbi Ben M'hidi par la boulangerie de Hamid Chibane. Une boulangerie qui avait une porte donnant sur la place de Bab El-Djedid et une autre qui descendait vers La Casbah..Alilou, accompagné du chef du FLN et de deux de ses compères, Hamid Dali et Dahmane Boussoura, sont donc sortis de La Casbah en empruntant une porte dérobée de cette boulangerie, échappant ainsi au contrôle vigilant des paras. Informé par des éléments algériens travaillant dans la police française, Alilou devait impérativement faire évacuer Ben M'hidi de sa planque au 3, rue Sidi Ben Ali..Alilou avait accompagné lui-même Larbi Ben M'hidi à la voiture qui venait le chercher. C'était la dernière fois que les deux hommes échangeaient une poignée de main..Ben M'hidi est passé de la responsabilité de la Zone autonome d'Alger à celle du Comité de coordination d'exécution (CCE). Quelques jours plus tard, il sera arrêté, par hasard diront certains, sur dénonciation indiqueront d'autres, et après interrogatoire, il sera exécuté par Paul Aussaresses.
Le 7 janvier, les pouvoirs de police sont transmis aux parachutistes du général Jacques Massu, et les hommes de Yacef étaient de plus en plus menacés. Il devenait indispensable de changer de cache, à chaque apparition des hommes en treillis dans La Casbah. Avec la grève des huit jours, les choses devenaient de plus en plus difficiles pour les éléments de Yacef qui, malgré le verrouillage militaire, se déplaçaient à l'intérieur et à l'extérieur de La Casbah.
Au mois de mai, Yacef Saâdi, Alilou et Ramel, sous le fameux haïk blanc et Djamila Bouhired en tenue occidentale, sont sortis de leur cache chez Bahamed, qui n'est autre que le mari de la tante d'Alilou, pour changer de refuge. Djamila Bouhired portait la valise que les éléments de l'ALN appellent communément «le bureau». Une version qu'on retrouve dans le film de Gillo Pontecorvo, mais avec une nuance de taille, d'après des témoignages recueillis, Ali la Pointe n'était pas avec le groupe, à ce moment-là. C'était Alilou..Au musée de l'armée (Maqam Echahid), une maquette est fidèlement reconstituée montrant Yacef, Ramel, Alilou et Bouhired.
En descendant La Casbah, le groupe tombe nez à nez avec une patrouille de paras. Bouhired était la plus exposée, et sa retraite fut stoppée par des tirs de sommation. Constatant qu'elle allait être attrapée avec «le bureau», Yacef Saâdi arma son Mat 45 et tira non pas en direction des militaires, mais en direction de Djamila..C'est Alilou qui s'interposa et poussa Yacef Saâdi. Une intervention qui a coûté à Alilou d'être blessé au côté droit, et fut presque arrêté. Il entama une retraite difficile par la rue N'fissa. Cette version qui nous a été racontée par la famille d'Alilou, on la retrouve en détail près dans le livre d'Yves Courrière, dans le chapitre consacré à la Bataille d'Alger, même si elle n'a jamais été confirmée par la principale concernée, Djamila Bouhired, devenue, aujourd'hui, contrairement à d'autres, une citoyenne anonyme..C'est la deuxième fois qu'Alilou échappe à une patrouille de militaires, malgré toutes les précautions prises, la vie et la circulation dans La Casbah étaient devenues impossibles. L'étau se resserrait, de plus en plus, sur ce jeune homme de 24 ans, qui détenait tous les secrets de la Zone autonome..Après l'arrestation de son frère Saïd, de son cousin Hammar Boudjemaâ, torturés et assassinés, six jours après la grève des huit jours, et l'arrestation de son frère Mohamed et la destruction partielle de sa maison du 3, rue Sidi Ben Ali, Alilou se sentait de plus en plus seul, abandonné par ses propres camarades de la Zone autonome. Et c'est presque par hasard qu'Alilou, errant, fut capturé, un certain mois d'août 1957..Les éléments de la 10e Division du général Massu avaient mis un terme à sa cavale et achevé sa carrière militaire dans la Bataille d'Alger. Quelques jours plus tard et plus précisément le 25 septembre 1957, est arrêté Yacef Saâdi avec Zohra Drif. Ces deux chefs de la Zone autonome seront bien traités et ne subiront aucune torture.
Alors que les services du colonel Godard, commandant du secteur Alger Sahel, avaient essayé toutes sortes de tortures sur le jeune Alilou qui, avec le temps, n'a pas supporté le traitement qu'on lui a réservé. Le talon enlevé, le poignet troué avec une chignole, la peau retirée, etc. Et comme si cela ne pouvait suffire, on lui enleva la chose la plus importante à ses yeux, sa dignité, en le faisant passer pour un traître à la cause. Habillé du fameux bleu de chauffe, il bifurquait dans les rues de La Casbah en montrant du doigt tout le monde et personne. Il avait donné des noms qui n'étaient pas liés à la Zone autonome, pour tromper l'ennemi. Mais cela n'a pas suffi. Alilou, sous la pression et la torture, est devenu «un fou» révolutionnaire.
Après l'Indépendance, Amara Ali n'apparaît à aucune commémoration de la révolution. Les séquelles de la Bataille d'Alger sont plus morales que physiques.il décède, en avril 1986, dans l'anonymat et l'oubli.
Allah Yerahmou Allilou kount nchoufou fi djamaâ lihoud avec son ami zoubir. Il paraît que ces deux talents sont coupé par les services militaires français ! Allilou restera la boîte noire de la Zone autonome ! Rah w’da sero m3ah !
N'oubliez Othmane dit Ramel
Autant dangereux que Ali la pointe
Vous n avez parler des frères bellili.
Où se trouve cet endroit svp.
باب جديد القصبة العليا
ولاد أمة الجزائرية في باب الجهاد كم من تضحية وضحية رجال ونسوان ربي يرحم شهداء
دوكا ربي يرحمهم راهم عند ربي سبحان يرزاقون ، دوكا واش درنا حنى هما ماتو ، واش تبقاو غير مجاهدين مجاهدين، ونتوما بلادكم ف ن…. واشبكم خليتو عقلكم فدار
Ce qui ont écrit la grande histoire de la révolutionnaire sont des grand colonels .pas des simples citoyens a si beztetou
Des colonels apres 56...
ربي يرحم الشهداء
ربي يرحم الشهداء