Il ne faut pas oublier les seuils de franchise en base de TVA, atteints bien plus vite que les seuils de CA et beaucoup plus impactants pour l'autoentreprise. L'ae reste un statut exceptionnel par sa facilité administrative et comptable (ce qui donne néanmoins de mauvaises habitudes en matière comptable) et la porosité totale entre le patrimoine personnel de l'entrepreneur et celui de la société, ce qui rend l'autoentreprise accessible à tout un chacun sans connaissances de la gestion de société. C'est un excellent statut pour débuter une activité dont on ne sait pas si elle sera économiquement viable, se faire la main et affiner les axes de développement, puis évoluer par la suite vers une création de société au régime réel.
Merci ! Ça m'a beaucoup aidé à comprendre toutes les subtilités qui font qu'un statut n'est pas forcément bon pour tout le monde ! Toutefois j'ai du mal à comprendre la distinction entre vente de marchandise et prestations de services en ce qui concerne un artisan en micro. Par exemple, je connais quelqu'un qui vend des bijoux qu'elle fabrique. Elle a donc des bijoux déjà produits qu'elle va vendre à des particuliers mais fait, séparément, des commandes personnalisées. Dans le premier cas avec les bijoux déjà produits en amont de la vente on est intégralement en vente de marchandise non ? Et dans le cas d'une commande personnalisée on est dans un mixte des deux ? Je trouve les informations un peu contradictoires sur différents sites et je trouve la distinction vraiment pas claire. Et pourtant elle est déterminante pour faire le choix de la micro-entreprise, ça peut faire une grosse différence comme vous dites !
Bonjour, Merci pour ces vidéos de qualité ! Juste une question, dans le cas de la prestation de service (BNC), le taux d'abattement est de 34%. Si j'ai bien compris dans ce cas et selon votre calcul, les charges sociales étant comprises dans ces 34%, il faudrait préférer le régime réel d'imposition dès que les charges complémentaires dépassent 3% du CA (et quelque à cause des frais de comptabilité) ? Les simulations sur le site de l'Ursaff laissent entendre que ce serait plus autour de 22% du CA. Merci
Le taux de cotisations sociales est a 21% du CA en bnc. Donc pour la partie impôt, les autres charges y compris ik ne doivent pas dépasser les 13 % du CA approximativement
@@bienvenueaucabinet Merci, Ok pour la partie impots, et le point de bascule pour les cotisations sociales devrait être le même, les 21% revenant à 31% x 66% (abatement) ? Pourtant le simulateur de l'ursaff donne le point de bascule global autour de 22%
@@bienvenueaucabinet vous voulez dire qu'il y aurait une erreur dans le simulateur ? dans le détail du calcul, ils appliquent pourtant bien 34% pour le calcul de l'impot
le meilleur prof en compta sur UA-cam bravo pour ton succès avec le nouveau format
Merci, c’est très gentil😉
Il ne faut pas oublier les seuils de franchise en base de TVA, atteints bien plus vite que les seuils de CA et beaucoup plus impactants pour l'autoentreprise.
L'ae reste un statut exceptionnel par sa facilité administrative et comptable (ce qui donne néanmoins de mauvaises habitudes en matière comptable) et la porosité totale entre le patrimoine personnel de l'entrepreneur et celui de la société, ce qui rend l'autoentreprise accessible à tout un chacun sans connaissances de la gestion de société.
C'est un excellent statut pour débuter une activité dont on ne sait pas si elle sera économiquement viable, se faire la main et affiner les axes de développement, puis évoluer par la suite vers une création de société au régime réel.
Tout à fait. Et même si on franchit le seuil de la TVA, l’auto ENTREPRISE est parfois toujours plus intéressant.😉
Les explications sont super claires, merci
De rien ☺️
Bonjour, l’eirl existe t elle toujours ?
Non maintenant il n’y a que l’ei qui est automatiquement à responsabilité limité voir ma vidéo sur le sujet 😉
Super vidéo ! Merci
Merci Alexis ☺️
Merci ! Ça m'a beaucoup aidé à comprendre toutes les subtilités qui font qu'un statut n'est pas forcément bon pour tout le monde !
Toutefois j'ai du mal à comprendre la distinction entre vente de marchandise et prestations de services en ce qui concerne un artisan en micro. Par exemple, je connais quelqu'un qui vend des bijoux qu'elle fabrique. Elle a donc des bijoux déjà produits qu'elle va vendre à des particuliers mais fait, séparément, des commandes personnalisées. Dans le premier cas avec les bijoux déjà produits en amont de la vente on est intégralement en vente de marchandise non ?
Et dans le cas d'une commande personnalisée on est dans un mixte des deux ?
Je trouve les informations un peu contradictoires sur différents sites et je trouve la distinction vraiment pas claire. Et pourtant elle est déterminante pour faire le choix de la micro-entreprise, ça peut faire une grosse différence comme vous dites !
Un bijou fabriqué est tout de même un vente de marchandises 😉 comme la vente de pain fabriqué par un boulanger …
@@bienvenueaucabinet merci de votre réponse ! Vous voulez dire que ça l'est toujours au moins un peu ? Ou bien ça l'est entièrement ?
Entièrement dans ces 2 cas.
@@bienvenueaucabinet d'accord merci ! C'est la précision : "artisanale" qui m'a jetée dans le flou...
merci beaucoup
Merci pour le commentaire, ça m’encourage à continuer 😉
Bonjour,
Merci pour ces vidéos de qualité !
Juste une question, dans le cas de la prestation de service (BNC), le taux d'abattement est de 34%.
Si j'ai bien compris dans ce cas et selon votre calcul, les charges sociales étant comprises dans ces 34%, il faudrait préférer le régime réel d'imposition dès que les charges complémentaires dépassent 3% du CA (et quelque à cause des frais de comptabilité) ?
Les simulations sur le site de l'Ursaff laissent entendre que ce serait plus autour de 22% du CA.
Merci
Le taux de cotisations sociales est a 21% du CA en bnc.
Donc pour la partie impôt, les autres charges y compris ik ne doivent pas dépasser les 13 % du CA approximativement
@@bienvenueaucabinet Merci, Ok pour la partie impots, et le point de bascule pour les cotisations sociales devrait être le même, les 21% revenant à 31% x 66% (abatement) ? Pourtant le simulateur de l'ursaff donne le point de bascule global autour de 22%
On est même un peut plus haut car l’URSSAF utilise lui un abattement de 50% et non de 34 pour les bnc
@@bienvenueaucabinet vous voulez dire qu'il y aurait une erreur dans le simulateur ? dans le détail du calcul, ils appliquent pourtant bien 34% pour le calcul de l'impot
Je ne connais pas ce simulateur…