La ligne de démarcation de Vierzon pendant la seconde guerre mondiale
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- Опубліковано 8 вер 2024
- De juin 1940 à mars 1943, Vierzon a été coupée en deux par la ligne de démarcation. Une partie de la ville était située en zone libre, l'autre en zone occupée. Seul point de passage autorisé, le poste-frontière surveillé par les Allemands. Rencontre avec des survivants de cette époque qui n'ont rien oublié.
Un magazine d'Aline Métais, Mekhak Movsissian et Delphine Vandal-Morin
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Qui est la a cause de son lycée/collège ?
Document très intéressant.
Très intéressant
bien des gens doivent à ces personnes , leurs libertés et à ce jour , on parle shoah , les vierzonnais ne savaient pas shoah ( mot defini par les juifs pour dire les camps après guerre ) mais à cette époque ils ont fais traverser pour rendre service ( y a des fumiers partout , car pour le fric tout est permis meme de dénoncer car il ne faut pas oublier que en 1940 la moitié des français étaient pour pétain( marechal nous voila ) et il fallait du cran , courage pour effectuer ces taches , car , arrestations torture , et mort par exécution et cela à bourges au bordiot avec l'aide de notre fumier local paoli , qui habitait aubigny / nère et qui a fait beaucoup de ménage a aubigny et ailleurs , donc john william a fait en musique la liste de shindler et il aurait pu faire la liste des personnes qui ont payés de leurs vies ,simplement d'aider quelqu'un , mais ça on en parle pas à vierzon comme dans toute la france( ça rapporte moins que la shoah , au niveau financier bien sur ) des coup a vous faire regreter , il faut savoir partager et d'aimer les autres , je crois que ce n'est pas de cas des juifs qui ont étés secourus pendant cette triste période. il faut remercier les personnes qui font que leurs souvenirs soient perpétués, bravo encore à eux
Même si en 42 le mot Shoah qui signifie extermination était inconnu, nombre de nos compatriotes avaient déjà assisté aux déportations et aux assassinats. Mais c'est vrai que d'autres compatriotes ont agi courageusement, nous l'avons reconnu., et les primes pour un juif livré n'étaient pas à dédaigner.