Viktor ORBAN est un 1er ministre qui défend l'identité hongroise. Il n'est pas aimé ailleurs parce qu'il ne prend pas de migrants, à installé des frontières et ne veut faire la guerre contre la Russie. En Hongrie, les femmes peuvent sortir le soir, l'insécurité y est très faible, ce qui jalouse les autres pays européens.
J'ai cru que c'était moi qui avait écrit cela. Et oui c'est vrai. L'Europe centrale ne veut pas se suicider au nom du vivre ensemble. Étonnamment on demande pas à mes congénères maghrébins en Algérie d'accepter les migrants et ils se font pas traiter de racistes car ils sont identiraires. Les kabyles sont identitaires, et d'ailleurs les français, les aiment. Mais les français de gauche aiment toujours les autres ethnies mais jamais ils acceptent que des français soient attachés à leur identité comme ceux qui votent rn ou reconquête.Pour eux c'est du nazisme.
En français, on ne féminise pas les noms de fonctions, de grade ni de métier. Il faut donc dire «le premier ministre», «le juge», «le procureur», «le professeur», etc... même si des femmes-quotas occupent ces fonctions.
Viktor ORBAN est un 1er ministre qui défend l'identité hongroise. Il n'est pas aimé ailleurs parce qu'il ne prend pas de migrants, à installé des frontières et ne veut faire la guerre contre la Russie. En Hongrie, les femmes peuvent sortir le soir, l'insécurité y est très faible, ce qui jalouse les autres pays européens.
J'ai cru que c'était moi qui avait écrit cela.
Et oui c'est vrai. L'Europe centrale ne veut pas se suicider au nom du vivre ensemble. Étonnamment on demande pas à mes congénères maghrébins en Algérie d'accepter les migrants et ils se font pas traiter de racistes car ils sont identiraires. Les kabyles sont identitaires, et d'ailleurs les français, les aiment. Mais les français de gauche aiment toujours les autres ethnies mais jamais ils acceptent que des français soient attachés à leur identité comme ceux qui votent rn ou reconquête.Pour eux c'est du nazisme.
En français, on ne féminise pas les noms de fonctions, de grade ni de métier.
Il faut donc dire «le premier ministre», «le juge», «le procureur», «le professeur», etc... même si des femmes-quotas occupent ces fonctions.
Cent mil milliard de fois MERCI ! la fonction, le titre sont invariables .
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