C'est pas que le suisse ne veux pas faire ce travail c'est qu'un suisse ne peux pas survivre avec 2900.- euro dans le pays ! Nos salaires ont chutés depuis l'ouverture des frontières et nous voulons du travail alors nous sommes pour une régulation comme avant les accord Schengen il y en a marre de ces déplacements de populations
*Arrête de mytonner et sors un peu de ton monde de privilégié...* De nombreuses personnes vivent avec bcp moins de 2900.- en Suisse, on peut donc très bien survivre avec ça ! Faut juste savoir distinguer une vie de privilégié, d'une vie simple et précaire. *Peut-être que si vous arrêtiez de jeter de l'argent par les fenêtres dans des choses superficielles* (TV, abonnement, smartphone, vêtements, fastfood, voiture et cie) dont vous pourriez très bien vous passer, vous comprendriez qu'on peut très bien vivre avec 2900.- ! J'ai déjà posté d'autres commentaires à ce sujet, en expliquant pourquoi et comment, je vais pas tout recommencer ici !
Ya énormément de suisses qui font leurs courses en France ou achètent des maisons en France. Et à cause de ça les prix ont explosés et du coup les français qui ne travaillent pas en suisse vivent dans la misère à la frontière. Les médecins ne veulent même pas s'installer tellement tout est cher, du coup désert médical, les français à la frontière ne peuvent pas se soigner... Et pourtant les français sont pas entrain de dire qu'il faut interdire aux suisses de venir faire leurs courses ou acheter des biens...
Je suis Suisse et je travaille à Genève dans le domaine de l’informatique depuis 20 ans. J’ai donc travaillé avec des Suisses et des frontaliers. De mon expérience je peux vous garantir que la très grande partie des frontaliers sont des bosseurs, et très rarement des feignants comme beaucoup le pense, La raison est fort simple, les frontaliers savent la grande différence de salaire, et c’est cette grande différence qui les motive a travailler fort et bien. Alors oui les nouveaux sont parfois surpris par notre mentalité, notre façon de faire, notre culture mais tes souvent ils sont contents de nous connaitre si on leur explique avec bienveillance. Il faut reconnaitre que sans les frontaliers Genève est en mort clinique après 2 jours ! Fini les caissières de la Coop ou de la Migros Fini les transports publics Fini l’éducation Fini les soins infirmiers Fini les restaurants… Etc… Essayons d’avoir l’intelligence de bien travailler ensemble
7:40 *La grosse mytho, j'ai dans mon entourage des amies infirmières qui cherchent du boulot dans les hôpitaux publics Suisse* et *qui n'arrivent pas à être embauché à cause des frontaliers* qui prennent leur place. Parce que c'est moins cher pour l'hôpital d'embaucher des frontaliers que d'embaucher des personnes ayant fait leur formation en Suisse. Ce n'est donc pas que les Suissesses ne veulent pas faire ce type de boulot, c'est juste que vous vous leur prenez leur boulot et que l'État est complice de ce racket social. Quand je vois qu'au CHUV (hôpital public géré par le canton de vaud) elles ont refusé un poste vacant d'infirmière à une amie, juste parce que son salaire est trop cher comparé aux centaines de CV de frontalières que reçoit l'hôpital, tu m'étonnes qu' *au CHUV maintenant +50% du personnel est composé de frontalières.* *Le pire c'est que depuis quelques années, *le CHUV a commencé à contracter des intérims* qui font n'importe quoi et qui déstabilisent totalement le bon fonctionnement de l'hôpital (il y a un roulement pas possible, ce qui complique le suivi des patientes et créer des situations de négligence et maltraitance médicale).
Votre commentaire est des plus pertinent, mais les frontaliers ne prennent aucune place de travail car on leurs offre. Cette situation est une énorme aubaine pour la Suisse. Les suisses ont selon eux le pouvoir entre leurs mains avec les votations populaires et référendums,qu'attendez vous pour faire changer ce fait.
@@rolandroland3172 Déja donner le pouvoir à des personnes incompétentes ne font pas d'un pays, un pays juste et qui fonctionne correctement. Ensuite, faire un référendum n'est pas aussi simple ça demande des moyens et des ressources, généralement ce sont des associations (dont c'est le travail) qui s'occupe d'organiser des référendums, le citoyen lambda ne peut pas faire ça car c'est trop compliqué. Vous avez une vision un peu édulcorée mais surtout ignorante sur les référendums en Suisse. Si vous pensez que c'est si simple, que tout est noir et blanc, c'est faux car c'est bien plus complexe que ça. 1. Pour commencer, avant qu'un référendum soit mise en votation il doit d'abord passer par le Conseil fédéral et le Parlement qui, eux, peuvent très bien démonter le projet de vote. 2. Pour finir (si par chance ça passe en votation, sans avoir été complètement démonté au passage) tu n'as pas idée du nombre de votations qui ont été jeté à la poubelle à cause de gens trop sots, ou qui n'ont pas les compétences et l'expertise pour avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet et/ou qui sont simplement trop manéables (par le matraquage publicitaire des lobbies) pour voter dans l'intérêts de la communauté et de l'environnement. C'est comme chez vous, je pourrais te retourner la même remarque. Vous aviez le pouvoir de changer de président et d'élire quelqu'un qui vous correspond plus. Pourquoi vous l'avez pas fait et vous allez élu 2x de suite le même président, alors que vous arrêtez pas de vous en plaindre. Bref, tu vois tout n'est pas noir ou blanc, les choses sont bien plus complexes. Et la question des frontaliers c'est pareil. Mon commentaire est un raccourci (parce que j'ai pas le temps d'écrire un livre, de nuancer et écrire une analyse plua détaillée qui ferait encore + de pavés) mais évidemment que tout n'est pas la faute des frontalières, elles ne font que profiter d'une situation qui leur apporte des avantages. *Mon commentaire c'était surtout pour dénoncer l'hypocrisie et le mensonge de cette personne, qui dit que les Suissesses ne veulent pas faire leur travail.* Et il a évidement un vrai problème au niveau de la politique suisse, qui crée cette situation problématique pour les citoyenes Suissesses.
@@rolandroland3172 ont a déja voté pour réguler les frontaliers mais les employeurs ne respecte pas les directives. Renseigner vous avant de poster ce genre de commentaire
@@rolandroland3172 Déja donner le pouvoir à des personnes incompétentes ne font pas d'un pays, un pays juste et qui fonctionne correctement. Ensuite *faire un référendum n'est pas aussi simple,* ça demande du temps, des moyens et ressources qu'une citoyenne lambda n'a pas. Généralement ce sont des associations (dont c'est le travail) qui s'occupent d'organiser des référendums et récolter des signatures. Et contrairement à vous les Françaises, *la motion populaire n'existe pas en Suisse* au niveau fédérale, il n'y a que les parlementaires qui peuvent déposer une motion. Bref, vous avez une vision bien peu édulcorée mais surtout ignorante sur les référendums en Suisse (et sur la Suisse tout court, quand je lis vos autres commentaires). C'est très naïf de penser que c'est si simple de faire un référendum, tout n'est noir et blanc, c'est bien plus complexe que ça. *1.* Pour commencer, il faut faire le référendum et, comme je l'ai expliqué, en pratique ce n'est pas accessible à toute citoyenne lambda pour diverses raisons (logistique/temps/ressources/compétences/etc). En théorie oui, n'importe qui est autorisé a lancer un référendum, mais dans la pratique ça ne marche pas comme ça. Les référendums passent systématiquement par des associations, des comités, des groupes politiques, et c'est eux qui décident des priorités et de la ligne politique à suivre. Moi, en tant qu'individue lambda, je n'ai aucun pouvoir là-dessus. On peut suggérer mais concrètement ça ne changera absolument rien, ça tombera dans l'oreille d'un sourd. *2.* Ensuite, une fois ces questions logistiques et de mise en oeuvre réglées, avant qu'un référendum ne soit soumis à la votation du peuple, il doit d'abord passer par le Conseil fédéral et le Parlement qui, eux, peuvent très bien démonter le projet de vote. Et hop → poubelle ! *3.* Pour finir (si par chance ça passe en votation, sans avoir été complètement dénaturé de son essence en passage par le CF et le Parlement) tu n'as pas idée du nombre de votations qui ont été gaché à cause de gens trop sots, ou qui n'ont pas les compétences et l'expertise pour avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet et/ou qui sont simplement trop manéables (par le matraquage publicitaire des lobbies) pour voter dans l'intérêts de la communauté et de l'environnement. C'est comme chez vous, je pourrais te retourner la même remarque. Vous aviez le pouvoir de changer de président et d'élire quelqu'un qui vous correspond plus. Pourquoi vous l'avez pas fait et vous allez élu 2x de suite le même président, alors que vous arrêtez pas de vous en plaindre. Bref, tu vois tout n'est pas noir ou blanc, les choses sont bien plus complexes. Et la question des frontaliers c'est pareil. Mon commentaire est un raccourci (parce que j'ai pas le temps d'écrire un livre, de nuancer et écrire une analyse plua détaillée qui ferait encore + de pavés) mais évidemment que tout n'est pas la faute des frontalières, elles ne font que profiter d'une situation qui leur apporte des avantages. *Mon commentaire c'était surtout pour dénoncer l'hypocrisie et le mensonge de cette personne, qui dit que les Suissesses ne veulent pas faire leur travail.* Et il a évidement un vrai problème au niveau de la politique suisse, qui crée cette situation problématique avec les frontalières.
@@rolandroland3172 Déja donner le pouvoir à des personnes incompétentes ne font pas d'un pays, un pays juste et qui fonctionne correctement. Ensuite *faire un référendum n'est pas aussi simple,* ça demande du temps, des moyens et ressources qu'une citoyenne lambda n'a pas. Généralement ce sont des associations (dont c'est le travail) qui s'occupent d'organiser des référendums et récolter des signatures. Et contrairement à vous les Françaises, *la motion populaire n'existe pas en Suisse* au niveau fédérale, il n'y a que les parlementaires qui peuvent déposer une motion. Bref, vous avez une vision bien peu édulcorée mais surtout ignorante sur les référendums en Suisse (et sur la Suisse tout court, quand je lis vos autres commentaires). C'est très naïf de penser que c'est si simple de faire un référendum, tout n'est noir et blanc, c'est bien plus complexe que ça. *1.* Pour commencer, il faut faire le référendum et, comme je l'ai expliqué, en pratique ce n'est pas accessible à toute citoyenne lambda pour diverses raisons (logistique/temps/ressources/compétences/etc). En théorie oui, n'importe qui est autorisé a lancer un référendum, mais dans la pratique ça ne marche pas comme ça. Les référendums passent systématiquement par des associations, des comités, des groupes politiques, et c'est eux qui décident des priorités et de la ligne politique à suivre. Moi, en tant qu'individue lambda, je n'ai aucun pouvoir là-dessus. On peut suggérer mais concrètement ça ne changera absolument rien, ça tombera dans l'oreille d'un sourd. *2.* Ensuite, une fois ces questions logistiques et de mise en oeuvre réglées, avant qu'un référendum ne soit soumis à la votation du peuple, il doit d'abord passer par le Conseil fédéral et le Parlement qui, eux, peuvent très bien démonter le projet de vote. Et hop → poubelle ! *3.* Pour finir (si par chance ça passe en votation, sans avoir été complètement dénaturé de son essence en passage par le CF et le Parlement) tu n'as pas idée du nombre de votations qui ont été gaché à cause de gens trop sots, ou qui n'ont pas les compétences et l'expertise pour avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet et/ou qui sont simplement trop manéables (par le matraquage publicitaire des lobbies) pour voter dans l'intérêts de la communauté et de l'environnement. C'est comme chez vous, je pourrais te retourner la même remarque. Vous aviez le pouvoir de changer de président et d'élire quelqu'un qui vous correspond plus. Pourquoi vous l'avez pas fait et vous allez élu 2x de suite le même président, alors que vous arrêtez pas de vous en plaindre. Bref, tu vois tout n'est pas noir ou blanc, les choses sont bien plus complexes. Et la question des frontaliers c'est pareil. Mon commentaire est un raccourci (parce que j'ai pas le temps d'écrire un livre, de nuancer et écrire une analyse plua détaillée qui ferait encore + de pavés) mais évidemment que tout n'est pas la faute des frontalières, elles ne font que profiter d'une situation qui leur apporte des avantages. *Mon commentaire c'était surtout pour dénoncer l'hypocrisie et le mensonge de cette personne, qui dit que les Suissesses ne veulent pas faire leur travail.* Et il a évidement un vrai problème au niveau de la politique suisse, qui crée cette situation problématique avec les frontalières.
Moi qui suis suisse et sans emploi après une longue maladie, je ne retrouve pas de travail, quelque soit le secteur dans lequel j'ai postulé. La raison est simple, engager des frontaliers revient moins cher à l'entreprise, et vu que je suis suisse je n'ai droit à aucune aide. Je vais bientôt finir SDF et je vais en mourir, merci la Suisse...
@@alexandrenouvel8828 Je suis boulanger pâtissier de formation, après la naissance de mon enfant j'ai changé d'orientation, j'ai travaillé 26 ans dans le commerce de détail en tant que magasinier, je commençais à 5H30 le matin et mon salaire net était de 3100.-, d'autres questions ?
Je comprend très Bien ce que vous relatez. Il n’y a pas que de Français, aussi les Allemands ( que je préfère comme collègue ) et maintenant une vague de Polonais. La qualité n’est plus la Suisse que j’ai connu il y a 20 ans. J’étais tout ce temps dans la santé. Vraiment c’est regrettable. Une dame âgée qui s’est faite gronder parce qu’elle ne savait pas manipuler la télé moderne par un jeune infirmier, j’étais tellement choqué de son language envers la pauvre dame. Le RH ferme les yeux, il n y a que le profit qui compte. Pour ne citer que ça. Je suis partie au bout de 3 mois. Moi, j’ai retrouvé un emploi avec de gens humble et humain comme la Suisse que je connais. Courage à toi flash Gordon.
Je suis choquée de dire que le métier "infirmière" est un métier que personne ne veut faire...ce n'est pas n'importe quelle personne peut être infirmier.. avant tout il l faut être humain.. c'est ainsi que je décris cette profession ❤ Mes salutations distinguées a tout le personnel soignant a travers le monde d'ailleurs
MDR toi tu crois tout ce que tu entends à la TV 🤦🏽♀️ *C'est une grosse mytho cette femme, j'ai dans mon entourage des amies infirmières qui cherchent du boulot dans les hôpitaux publics Suisse* et *qui n'arrivent pas à être embauché à cause des frontaliers* qui prennent leur place. Parce que c'est moins cher pour l'hôpital d'embaucher des frontaliers que d'embaucher des personnes ayant fait leur formation en Suisse. Ce n'est donc pas que les Suissesses ne veulent pas faire ce type de boulot, c'est juste que vous vous leur prenez leur boulot et que l'État est complice de ce racket social. Quand je vois qu'au CHUV (hôpital public géré par le canton de vaud) elles ont refusé un poste vacant d'infirmière à une amie, juste parce que son salaire est trop cher comparé aux centaines de CV de frontalières que reçoit l'hôpital, tu m'étonnes qu' *au CHUV maintenant +50% du personnel est composé de frontalières.* *Le pire c'est que depuis quelques années, *le CHUV a commencé à contracter des intérims* qui font n'importe quoi et qui déstabilise totalement le bon fonctionnement de l'hôpital (il y a un roulement pas possible, ce qui complique le suivi des patientes et créer des situations de négligence et maltraitance).
2'900.-- pour 42 h c'est une honte. En 1965 un plombier gagnait 950.-- à Lausanne alors qu'à l'époque un appartement coûtait environ 100.-- par pièce. Quelle aubaine pour les entreprises.
J'ai été frontalier dans le bâtiment pendant 10 ans puis je suis revenu en france et j'ai créé ma propre entreprise en bourgogne résultat maintenant je ne regrette pas. Beaucoup plus de travail et de soucis un moins bon salaire mais en zone frontalière le niveau social ne correspond pas au salaire un manœuvre gagne plus qu'un chef d'entreprise et ça lui monte au cerveau.
2:37 il dit qu'il a doit chercher son personel de production en France parce qu'il ne trouve personne en Suisse. Françoise gagne 2900.00 Euros. En Suisse il n'est pas possible de vivre avec un salaire de 2900.00 Euros. Peut-être qu'en proposant un salaire correct il trouverait aussi du monde en Suisse.
C'est vraiment un *commentaire de privilégié* qui gagnait bien sa vie ou de quelqu'un juste ignorant, parce qu' *il y a plein de gens qui vivent avec 2500.- voir bcp moins que ça en Suisse.* Étant concernée et gagnant moins de 2500, je peux te dire que les gens qui gagnent plus en suisse vivent simplement dans le luxe (surconsommation inutile) et dans les privilèges (sorties, restos, voitures, abo TV inutile, etc).
@@WIISTERIAAAAAAAJe comprends pas pourquoi tu parles alors qu' *il est évident que tu aies privilégiée et que tu ignores tout de la précarité.* Il y a des métiers tristement sous-payés (pourtant si essentiels) et si tu étais un peu plus informée, tu saurais que le salaire minimum n'existe pas en Suisse (le peuple a bêtement voté contre, faut donc pas s'étonner que ce genre de situation existe). De ce fait, quelqu'une peut très bien travailler à 100 % et être payé que 2000 francs par mois ! Sans compter les nombreuses personnes vivant avec un(des) handicap(s) et ne pouvant pas se réinsérer dans le marché classique du travail, et qui ne touche que 1600.- par mois. Pourtant, quand c'est possible, certaines d'entre-elles travaillent quand même dans des _"ateliers (soi-disant) protégés"_ mais qui ne servent qu'à exploiter les handicapés en les sous payant. Faudrait sortir de ton milieu social et prendre conscience que bcp d'autres réalités existent en Suisse !
@@WIISTERIAAAAAAA évidemment que ça existe (femme de ménage, agriculture) mais cette précarité touche principalement des femmes sans formation. Les hommes sont plus avantagés donc moins conscients de cette réalité (à part ceux qui sont mariés avec des femmes dans cette situation). Et quand est femme de ménage indépendante, par exemple, tu choisis pas ton taux de travail. C'est en fonction de la demande, certains mois ça peut être telle taux (-de 100) d'autres mois un autre taux (+ de 100) mais dans tous les cas, si tu es par exemple que à 90% durant une période (parce qu'il n'y a pas plus de demandes en ce moment) tu m'expliques comment tu fais pour trouver un travail à seulement 10%, qui puisse coller avec les horaires de ton travail principal ? Et puis tu crois que c'est facile pour tout le monde de trouver un travail à 100%, dans certaines branches le problème est systémique, pour raison économique elles n'embauche quasiment plus que des personnes à 80% au max, quand c'est pas moins (par exemple chez les travailleuses sociales ou encore dans le ménage). Sans compter que selon les (non) formations de certaines personnes (toujours la même classe de la population bizarrement) c'est un vrai défit de trouver un emploi stable à 100%. Bref, c'est facile de juger et de supposer quand on connaît pas ce type de situation. Encore une fois, sors de ton monde et de ton milieu social, parce qu'il existe plein d'autres réalités en Suisse.
Le problème, ce ne sont pas les salaires 🇨🇭 mais le niveau des salaires 🇲🇫.... Mais comme c'est tout un modèle de société qu'il y aurait à revoir et que la France est championne du monde de l'assistanat en tout genre qu'elle finance par un niveau d'imposition record totalement délirant, faut pas s'étonner et venir chouiner par la suite sur les écarts de niveau de vie !!! On a les politiques qu'on mérite, voter ne suffit pas, faut aussi mieux savoir utiliser son 🧠 🙄.
J'ai travaillé en Suisse , à Genevrey sur Cofrane , jan gagnais 1000 euros la semaine pour 45 h de travail !! Genvrey se trouve tout à côté de Pontarlier environ entre Pontarlier et Neufchâtel !!!!
Je lis tous les commentaires en attendant les Suisses qui sont en France dont ma voisine que je salue sont très heureux d’y vivre, ils sont soignés pour presque rien para port à chez eux et pour peu qu’ils aient pris la nationalité française ils auront une retraite plus intéressante qu’en Suisse et en plus il fait moins froid et ils sont mieux accueilli que les francais en Suisse 😅
Le smic a 900€ ? Il a quel age ce reportage ?? Et combien est le cout de la vie en région frontalière. Car si on s'imagine que l'immobilier reste au prix français avec des gens qui ont un revenu aussi élevé on rêve. A moins de se taper 1h de route et autant de bouchons tout les jours ..
Le SMIC (temps plein) tournais à 900 € (brut) vers 1993-1996, c'est à dire quand l'euros n'existait pas ! Le SMIC tournais à 900 € net vers 2003-2004, mais on voit bien aux voitures par exemple que le reportage est plus récent... Ce reportage date de 2013 (lire la description), le SMIC était à 1430 € (brut) donc 1130 € net. On peut donc en conclure que cette dame travaillait en temps partielle à 80 %, donc 28h/semaine.
Pardon mais des gens qui peuvent et veulent faire leur job y en a masse en Suisse ! On a combien de réfugiés qui se tournent les pouces depuis des années? Beaucoup trop ! Et encore si le gouvernement faisait son job correctement, la loi sur l'emploi prioritaire des Suisses serait beaucoup plus respecté ! ça fait une loi, mais ça contrôle QUE DALLE ! Combien de fois ma mère s'est fait rembarrée après avoir formé le petit frontalier ... Beaucoup trop au point où elle n'arrivait plus à trouver un travail à cause de son âge ! 300'000 Frontaliers en Suisse ! On est à peine 9 millions ... ça fait plus de 3% pour un si petit pays ... Vous avez vérifié dans les autres pays le taux de frontaliers? Non je pense pas🙄
Profiter ? Oui, c'est le principe de l'offre et de la demande, les frontaliers ne sont pas le problème, ils sont juste dans un système qui les pousse à fonctionner comme ca. les états sont en concurrence à cause de quoi ? Du capitalisme...
@@rolandroland3172 vous êtes qui vous pour parler, alors que vous n'êtes même pas Suisse. C'est quoi cette manie de vouloir expliquer des choses pour lesquelles vous n'êtes ni compétent ni concerné, à des personnes plus compétentes et concernées que vous. Moi je viens pas vous dire comment fonctionne la France (j'osera pas puisque j'y vit pas) alors ayez l'humilité de vous taire alors que vous n'est pas de Suisse et ne connaissez rien à notre système. J'ai pas le temps de vous éduqué sur tout (parce que je vois que vous posez plein de questions) mais pour info *le SMIC est un concept français qui n'existe pas en Suisse.* Le peuple Suisse, et les cantons, ont même rejeté l'initiative populaire fédérale 'Pour la protection de salaires équitables (Initiative sur les salaires minimums) en mai 2014. Je me souviens j'avais voté pour mais la s7up¡d¡té des gens l'a une fois de plus emporter ! À l’inverse de nombreux pays, la Suisse ne dispose donc pas de SMIC ou de salaire minimum. Vu que le gouvernement central ne fixe aucun salaire minimum légal, cette particularité repose à la fois sur le principe de décentralisation du système salarial ainsi que la négociation collective. De ce fait, ce sont les employeurs et les syndicats qui ont pour responsabilité de déterminer les salaires minimums et les conditions de travail à partir des CCT, les Conventions Collectives de Travail.
@@rolandroland3172 vous êtes qui vous pour parler, alors que vous n'êtes même pas Suisse. C'est quoi cette manie de vouloir expliquer des choses pour lesquelles vous n'êtes ni compétent ni concerné, à des personnes plus compétentes et concernées que vous. Moi je viens pas vous dire comment fonctionne la France (j'osera pas puisque j'y vit pas) alors ayez l'humilité de vous taire alors que vous n'est pas de Suisse et ne connaissez rien à notre système. J'ai pas le temps de vous éduqué sur tout (parce que je vois que vous posez plein de questions) mais pour info *le SMIC est un concept français qui n'existe pas en Suisse.* Le peuple Suisse, et les cantons, ont même rejeté l'initiative populaire fédérale 'Pour la protection de salaires équitables (Initiative sur les salaires minimums) en mai 2014. Je me souviens j'avais voté pour mais la s7up¡d¡té des gens l'a une fois de plus emporter ! À l’inverse de nombreux pays, la Suisse ne dispose donc pas de SMIC ou de salaire minimum. Vu que le gouvernement central ne fixe aucun salaire minimum légal, cette particularité repose à la fois sur le principe de décentralisation du système salarial ainsi que la négociation collective. De ce fait, ce sont les employeurs et les syndicats qui ont pour responsabilité de déterminer les salaires minimums et les conditions de travail à partir des CCT (Conventions Collectives de Travail).
@@rolandroland3172 Mais vous vous prenez pour qui pour parler à la place des concernées, alors que vous n'êtes même pas Suisse. C'est quoi cette manie de vouloir expliquer des choses pour lesquelles vous n'êtes ni compétent ni concerné, à des personnes plus compétentes et concernées que vous. Moi je viens pas vous dire comment fonctionne la France (j'osera pas puisque j'y vit pas) alors ayez l'humilité de vous taire alors que vous n'est pas de Suisse et ne connaissez rien à notre système. J'ai pas le temps de vous éduqué sur toutes vos questions (parce que je vois que vous posez bcp de questions ici et là) mais pour info *le SMIC est un concept français qui n'existe pas en Suisse.* Je ne sais pas d'où vous sortez ces chiffres saugrenus... ? En plus, *le peuple Suisse a malheureusement rejeté **_l'initiative populaire fédérale "Pour la protection de salaires équitables"_** (Initiative sur les salaires minimums) en mai 2014.* Je me souviens j'avais voté pour mais la s7up¡d¡té des gens l'a une fois de plus emporté sur la raison 🙄😏 Bref, à l’inverse de nombreux pays, la Suisse ne dispose donc pas de SMIC ou de salaire minimum. Vu que le gouvernement central ne fixe aucun salaire minimum légal, cette particularité repose à la fois sur le principe de décentralisation du système salarial ainsi que la négociation collective. De ce fait, ce sont les employeurs et les syndicats qui ont pour responsabilité de déterminer les salaires minimums et les conditions de travail à partir des CCT (Conventions Collectives de Travail). Informez-vous avant de remettre en question les propos de personnes bien *plus légitime que vous* pour parlé de ce qui se passe en suisse.
Voila que les suisse engage de frontaliers qui coûte moins, mais les vrais suisse qui son né en suisse son pas engager, sais vraiment en foutu pays bon que pour les riche et les frontaliers.
MDR renseigne toi sur ce qu'est l'idéologie du racisme... il y a que les a6rut¡s qui utilisent ce mot à toutes les sauces, pour toutes les situations 🤦🏽♀️
Nous on ne peux pas travailler dans cette usine pour 2900fr nous les Suisses on ne vit pas on coule, car avec le loyer impôt, assurance maladie on sera dans les dettes. 😢 J'ai rien contre les Frontaliers mais çest des casse prix,pour nous donc déloyale.
*Arrête de mytonner et sors un peu de ton monde de privilégié...* De nombreuses personnes vivent avec bcp moins de 2900.- en Suisse, on peut donc très bien survivre avec ça ! Faut juste savoir distinguer une vie de privilégié, d'une vie simple et précaire. *Peut-être que si vous arrêtiez de jeter de l'argent par les fenêtres dans des choses superficielles* (TV, abonnement, smartphone, vêtements, fastfood, voiture et cie) dont vous pourriez très bien vous passer, vous comprendriez qu'on peut très bien vivre avec 2900.- ! J'ai déjà posté d'autres commentaires à ce sujet, en expliquant pourquoi et comment, je vais pas tout recommencer ici !
Ya énormément de suisses qui font leurs courses en France ou achètent des maisons en France. Et à cause de ça les prix ont explosés et du coup les français qui ne travaillent pas en suisse vivent dans la misère à la frontière. Les médecins ne veulent même pas s'installer tellement tout est cher, du coup désert médical, les français à la frontière ne peuvent pas se soigner... Et pourtant les français sont pas entrain de dire qu'il faut interdire aux suisses de venir faire leurs courses ou acheter des biens...
La grande gagnante de cette situation est la Suisse. Sachant que la formation d'un/e suisse jusqu'à leurs 20ans coûte à l'état env. 350'000 chf, cest ce que fait gagner à la Suisse chaque frontalier en venant y travailler. Une aubaine NON??? De plus s'il devient chômeur c'est la France qui paiera. De plus, le frontalier ne sera jamais à la charge de l'état suisse à l'âge de la retraite venue. Etc etc.
Profiter est un gros mot. Nous contribuons aussi bien à la fiscalité Suisse avec les impôts qu'au pouvoir d'achat côté Français. Je ne vois pas où est le problème, tout le monde y gagne
*Parce que tu crois que la Suisse n'est pas impactée* par l'immigration de masse, et notamment les frontaliers qui crée plein des problèmes en Suisse... ta *vision* est vraiment *naïve et édulcorée.* Si tu crois que tout ça est sans conséquence sur la population suisse et que ça ne dégrade pas l'accès à l'emploi pour les locaux, la sécurité sur les routes, l'accès aux soins à la sécurité dans les hôpitaux, tu te trompe.
@@Verinha9Arrête donc, on parle du chômage ? On le touche en France après avoir travaillé des années en Suisse sans que la Suisse ne verse rien à la France sur les cotisations payées par les frontaliers. On parle aussi des assurances santé payées par les frontaliers chez Helsana ou autre sans se faire soigner en Suisse ? La réalité c'est que les frontaliers suisses coûtent plus chers à la France qu'à la Suisse. Venez donc pas sortir le problème de l'accès à l'emploi en Suisse pour les Suisses alors que vous venez faire vos courses chez nous et achetez vos maisons dans les régions frontalières faisant drastiquement augmenter l'immobilier. C'est donnant-donnant et tout le monde s'y retrouve.
@@acteBien dit et vous oubliez un point non négligeable qui est que le frontalier arrive toute formation payée par la France, formation qui représente comparativement à une formation en Suisse denv. 350'000 chf. Une belle aubaine pour la confédération.
@@acte Je suis contre les gens qui viennent polluer en voiture jusqu'au France juste pour faire leurs courses et, comme des Gripsou, faire de économies pour pouvoir dépenser dans des choses non essentielles ailleurs. Je suis absolument contre ce mode de vie et la surconsommation. Donc il y a pas de _"donnant-donnant"_ comme tu dis, *restez chez vous parce que vous créez trop de problèmes en Suisse* et que les suissesses viennent faire les courses chez vous (bien que je sois contre pour des raisons écologiques) je ne vois pas en quoi ça vous impacte. Je pense que tu n'en as vraiment pas conscience au vu de ton discours (tu n'es tout simplement pas concerné par ces problèmes donc tu ne les vois pas) et toi ton seul reproche c'est que des Suissesses viennent faire des courses en France (je suis aussi pour qu'elles arrêtent de faire ça) alors que chez nous vous créez de vraies problèmes, du dangers sur les routes, des problèmes à l'hôpital (en déstabilisant les soins publics, en maltraitant la patientèle et créant des erreurs médicals) tu n'as vraiment pas conscience de l'impact que les frontaliers ont sur le système de santé public, sur les emplois et sur les routes (et je me parle même pas de la pollution environnementale). Aujourd'hui le chiffre tourne à plus de 50 % avec des frontaliers, et la nouvelle tendance depuis des années c'est d'embaucher des intérims ce qui crée d'énormes problèmes dans les hôpitaux (erreurs médicales, négligence, des maltraitances vis-à-vis de la patientèle, etc). J'ai laissé un autre commentaire à ce sujet sous la vidéo, tu n'as qu'à aller le lire. Et je dis pas que c'est de leur faute, je dis que c'est un problème que l'État cautionne et participe à détruire notre système de santé. Bref, les frontaliers est une vraie problématique à traiter d'urgence. Mais tout ça c'est de la responsabilité des politiques qui ne font rien, et même au contraire encourage cette situation qui se répercute sur nous, le bas peuple.
Reportage mensonger car il est très compliqué aujourd’hui d’être nouveau transfrontalier car les entreprises suisses t’obligent aujourd’hui à vivre en suisse
C'est pas que le suisse ne veux pas faire ce travail c'est qu'un suisse ne peux pas survivre avec 2900.- euro dans le pays ! Nos salaires ont chutés depuis l'ouverture des frontières et nous voulons du travail alors nous sommes pour une régulation comme avant les accord Schengen il y en a marre de ces déplacements de populations
*Arrête de mytonner et sors un peu de ton monde de privilégié...* De nombreuses personnes vivent avec bcp moins de 2900.- en Suisse, on peut donc très bien survivre avec ça !
Faut juste savoir distinguer une vie de privilégié, d'une vie simple et précaire. *Peut-être que si vous arrêtiez de jeter de l'argent par les fenêtres dans des choses superficielles* (TV, abonnement, smartphone, vêtements, fastfood, voiture et cie) dont vous pourriez très bien vous passer, vous comprendriez qu'on peut très bien vivre avec 2900.- !
J'ai déjà posté d'autres commentaires à ce sujet, en expliquant pourquoi et comment, je vais pas tout recommencer ici !
Les salaires nont pas chuté mdrr a geneve oui mais pas en suisse
Ya énormément de suisses qui font leurs courses en France ou achètent des maisons en France. Et à cause de ça les prix ont explosés et du coup les français qui ne travaillent pas en suisse vivent dans la misère à la frontière. Les médecins ne veulent même pas s'installer tellement tout est cher, du coup désert médical, les français à la frontière ne peuvent pas se soigner... Et pourtant les français sont pas entrain de dire qu'il faut interdire aux suisses de venir faire leurs courses ou acheter des biens...
@@lc8397oui en effet pertinent votre message, je suis suissesse et je n avais pas vu le problème sous cet angle la😮
Il a le droit d'avoir une vie de privilégié comme vous le dites...c'est pas à vous de dicter la manière de vivre @@Verinha9.
Je suis Suisse et je travaille à Genève dans le domaine de l’informatique depuis 20 ans.
J’ai donc travaillé avec des Suisses et des frontaliers.
De mon expérience je peux vous garantir que la très grande partie des frontaliers sont des bosseurs, et très rarement des feignants comme beaucoup le pense,
La raison est fort simple, les frontaliers savent la grande différence de salaire,
et c’est cette grande différence qui les motive a travailler fort et bien.
Alors oui les nouveaux sont parfois surpris par notre mentalité, notre façon de faire, notre culture
mais tes souvent ils sont contents de nous connaitre si on leur explique avec bienveillance.
Il faut reconnaitre que sans les frontaliers Genève est en mort clinique après 2 jours !
Fini les caissières de la Coop ou de la Migros
Fini les transports publics
Fini l’éducation
Fini les soins infirmiers
Fini les restaurants…
Etc…
Essayons d’avoir l’intelligence de bien travailler ensemble
Moi j’ai essayé. Cela a été une horreur la plus absolue 5 ans après. L’argent ne fait pas tout 😐
Sans les frontaliers a Genève fini les agences de interim e les Suisses ne sont plus temporaires
7:40 *La grosse mytho, j'ai dans mon entourage des amies infirmières qui cherchent du boulot dans les hôpitaux publics Suisse* et *qui n'arrivent pas à être embauché à cause des frontaliers* qui prennent leur place. Parce que c'est moins cher pour l'hôpital d'embaucher des frontaliers que d'embaucher des personnes ayant fait leur formation en Suisse. Ce n'est donc pas que les Suissesses ne veulent pas faire ce type de boulot, c'est juste que vous vous leur prenez leur boulot et que l'État est complice de ce racket social. Quand je vois qu'au CHUV (hôpital public géré par le canton de vaud) elles ont refusé un poste vacant d'infirmière à une amie, juste parce que son salaire est trop cher comparé aux centaines de CV de frontalières que reçoit l'hôpital, tu m'étonnes qu' *au CHUV maintenant +50% du personnel est composé de frontalières.* *Le pire c'est que depuis quelques années, *le CHUV a commencé à contracter des intérims* qui font n'importe quoi et qui déstabilisent totalement le bon fonctionnement de l'hôpital (il y a un roulement pas possible, ce qui complique le suivi des patientes et créer des situations de négligence et maltraitance médicale).
Votre commentaire est des plus pertinent, mais les frontaliers ne prennent aucune place de travail car on leurs offre. Cette situation est une énorme aubaine pour la Suisse. Les suisses ont selon eux le pouvoir entre leurs mains avec les votations populaires et référendums,qu'attendez vous pour faire changer ce fait.
@@rolandroland3172 Déja donner le pouvoir à des personnes incompétentes ne font pas d'un pays, un pays juste et qui fonctionne correctement. Ensuite, faire un référendum n'est pas aussi simple ça demande des moyens et des ressources, généralement ce sont des associations (dont c'est le travail) qui s'occupe d'organiser des référendums, le citoyen lambda ne peut pas faire ça car c'est trop compliqué. Vous avez une vision un peu édulcorée mais surtout ignorante sur les référendums en Suisse.
Si vous pensez que c'est si simple, que tout est noir et blanc, c'est faux car c'est bien plus complexe que ça.
1. Pour commencer, avant qu'un référendum soit mise en votation il doit d'abord passer par le Conseil fédéral et le Parlement qui, eux, peuvent très bien démonter le projet de vote.
2. Pour finir (si par chance ça passe en votation, sans avoir été complètement démonté au passage) tu n'as pas idée du nombre de votations qui ont été jeté à la poubelle à cause de gens trop sots, ou qui n'ont pas les compétences et l'expertise pour avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet et/ou qui sont simplement trop manéables (par le matraquage publicitaire des lobbies) pour voter dans l'intérêts de la communauté et de l'environnement.
C'est comme chez vous, je pourrais te retourner la même remarque. Vous aviez le pouvoir de changer de président et d'élire quelqu'un qui vous correspond plus. Pourquoi vous l'avez pas fait et vous allez élu 2x de suite le même président, alors que vous arrêtez pas de vous en plaindre.
Bref, tu vois tout n'est pas noir ou blanc, les choses sont bien plus complexes. Et la question des frontaliers c'est pareil.
Mon commentaire est un raccourci (parce que j'ai pas le temps d'écrire un livre, de nuancer et écrire une analyse plua détaillée qui ferait encore + de pavés) mais évidemment que tout n'est pas la faute des frontalières, elles ne font que profiter d'une situation qui leur apporte des avantages. *Mon commentaire c'était surtout pour dénoncer l'hypocrisie et le mensonge de cette personne, qui dit que les Suissesses ne veulent pas faire leur travail.*
Et il a évidement un vrai problème au niveau de la politique suisse, qui crée cette situation problématique pour les citoyenes Suissesses.
@@rolandroland3172 ont a déja voté pour réguler les frontaliers mais les employeurs ne respecte pas les directives. Renseigner vous avant de poster ce genre de commentaire
@@rolandroland3172 Déja donner le pouvoir à des personnes incompétentes ne font pas d'un pays, un pays juste et qui fonctionne correctement. Ensuite *faire un référendum n'est pas aussi simple,* ça demande du temps, des moyens et ressources qu'une citoyenne lambda n'a pas. Généralement ce sont des associations (dont c'est le travail) qui s'occupent d'organiser des référendums et récolter des signatures.
Et contrairement à vous les Françaises, *la motion populaire n'existe pas en Suisse* au niveau fédérale, il n'y a que les parlementaires qui peuvent déposer une motion.
Bref, vous avez une vision bien peu édulcorée mais surtout ignorante sur les référendums en Suisse (et sur la Suisse tout court, quand je lis vos autres commentaires).
C'est très naïf de penser que c'est si simple de faire un référendum, tout n'est noir et blanc, c'est bien plus complexe que ça.
*1.* Pour commencer, il faut faire le référendum et, comme je l'ai expliqué, en pratique ce n'est pas accessible à toute citoyenne lambda pour diverses raisons (logistique/temps/ressources/compétences/etc). En théorie oui, n'importe qui est autorisé a lancer un référendum, mais dans la pratique ça ne marche pas comme ça. Les référendums passent systématiquement par des associations, des comités, des groupes politiques, et c'est eux qui décident des priorités et de la ligne politique à suivre. Moi, en tant qu'individue lambda, je n'ai aucun pouvoir là-dessus. On peut suggérer mais concrètement ça ne changera absolument rien, ça tombera dans l'oreille d'un sourd.
*2.* Ensuite, une fois ces questions logistiques et de mise en oeuvre réglées, avant qu'un référendum ne soit soumis à la votation du peuple, il doit d'abord passer par le Conseil fédéral et le Parlement qui, eux, peuvent très bien démonter le projet de vote. Et hop → poubelle !
*3.* Pour finir (si par chance ça passe en votation, sans avoir été complètement dénaturé de son essence en passage par le CF et le Parlement) tu n'as pas idée du nombre de votations qui ont été gaché à cause de gens trop sots, ou qui n'ont pas les compétences et l'expertise pour avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet et/ou qui sont simplement trop manéables (par le matraquage publicitaire des lobbies) pour voter dans l'intérêts de la communauté et de l'environnement.
C'est comme chez vous, je pourrais te retourner la même remarque. Vous aviez le pouvoir de changer de président et d'élire quelqu'un qui vous correspond plus. Pourquoi vous l'avez pas fait et vous allez élu 2x de suite le même président, alors que vous arrêtez pas de vous en plaindre.
Bref, tu vois tout n'est pas noir ou blanc, les choses sont bien plus complexes. Et la question des frontaliers c'est pareil.
Mon commentaire est un raccourci (parce que j'ai pas le temps d'écrire un livre, de nuancer et écrire une analyse plua détaillée qui ferait encore + de pavés) mais évidemment que tout n'est pas la faute des frontalières, elles ne font que profiter d'une situation qui leur apporte des avantages. *Mon commentaire c'était surtout pour dénoncer l'hypocrisie et le mensonge de cette personne, qui dit que les Suissesses ne veulent pas faire leur travail.*
Et il a évidement un vrai problème au niveau de la politique suisse, qui crée cette situation problématique avec les frontalières.
@@rolandroland3172 Déja donner le pouvoir à des personnes incompétentes ne font pas d'un pays, un pays juste et qui fonctionne correctement. Ensuite *faire un référendum n'est pas aussi simple,* ça demande du temps, des moyens et ressources qu'une citoyenne lambda n'a pas. Généralement ce sont des associations (dont c'est le travail) qui s'occupent d'organiser des référendums et récolter des signatures.
Et contrairement à vous les Françaises, *la motion populaire n'existe pas en Suisse* au niveau fédérale, il n'y a que les parlementaires qui peuvent déposer une motion.
Bref, vous avez une vision bien peu édulcorée mais surtout ignorante sur les référendums en Suisse (et sur la Suisse tout court, quand je lis vos autres commentaires).
C'est très naïf de penser que c'est si simple de faire un référendum, tout n'est noir et blanc, c'est bien plus complexe que ça.
*1.* Pour commencer, il faut faire le référendum et, comme je l'ai expliqué, en pratique ce n'est pas accessible à toute citoyenne lambda pour diverses raisons (logistique/temps/ressources/compétences/etc). En théorie oui, n'importe qui est autorisé a lancer un référendum, mais dans la pratique ça ne marche pas comme ça. Les référendums passent systématiquement par des associations, des comités, des groupes politiques, et c'est eux qui décident des priorités et de la ligne politique à suivre. Moi, en tant qu'individue lambda, je n'ai aucun pouvoir là-dessus. On peut suggérer mais concrètement ça ne changera absolument rien, ça tombera dans l'oreille d'un sourd.
*2.* Ensuite, une fois ces questions logistiques et de mise en oeuvre réglées, avant qu'un référendum ne soit soumis à la votation du peuple, il doit d'abord passer par le Conseil fédéral et le Parlement qui, eux, peuvent très bien démonter le projet de vote. Et hop → poubelle !
*3.* Pour finir (si par chance ça passe en votation, sans avoir été complètement dénaturé de son essence en passage par le CF et le Parlement) tu n'as pas idée du nombre de votations qui ont été gaché à cause de gens trop sots, ou qui n'ont pas les compétences et l'expertise pour avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet et/ou qui sont simplement trop manéables (par le matraquage publicitaire des lobbies) pour voter dans l'intérêts de la communauté et de l'environnement.
C'est comme chez vous, je pourrais te retourner la même remarque. Vous aviez le pouvoir de changer de président et d'élire quelqu'un qui vous correspond plus. Pourquoi vous l'avez pas fait et vous allez élu 2x de suite le même président, alors que vous arrêtez pas de vous en plaindre.
Bref, tu vois tout n'est pas noir ou blanc, les choses sont bien plus complexes. Et la question des frontaliers c'est pareil.
Mon commentaire est un raccourci (parce que j'ai pas le temps d'écrire un livre, de nuancer et écrire une analyse plua détaillée qui ferait encore + de pavés) mais évidemment que tout n'est pas la faute des frontalières, elles ne font que profiter d'une situation qui leur apporte des avantages. *Mon commentaire c'était surtout pour dénoncer l'hypocrisie et le mensonge de cette personne, qui dit que les Suissesses ne veulent pas faire leur travail.*
Et il a évidement un vrai problème au niveau de la politique suisse, qui crée cette situation problématique avec les frontalières.
En France on donne tout à certains, mais les salariés qui travaillent eux n'ont rien !
C'est qui certains ?
Faut mademoiselle l infirmière , ma fille est infirmière et faut arrêter de critiquer que vous venez ici pour faire le sale boulot des Suisses
Un peu il y a tres très très peu d'infirmières suisses
C'est pourtant la vérité en Suisse le François c'est l arabe du Suisse !!!🧐
Moi qui suis suisse et sans emploi après une longue maladie, je ne retrouve pas de travail, quelque soit le secteur dans lequel j'ai postulé.
La raison est simple, engager des frontaliers revient moins cher à l'entreprise, et vu que je suis suisse je n'ai droit à aucune aide.
Je vais bientôt finir SDF et je vais en mourir, merci la Suisse...
😢
Es-tu capable de te lever à 5h00 du mat pour un salaire de 2’900 ?
Je ne pense pas
@@alexandrenouvel8828 Je suis boulanger pâtissier de formation, après la naissance de mon enfant j'ai changé d'orientation, j'ai travaillé 26 ans dans le commerce de détail en tant que magasinier, je commençais à 5H30 le matin et mon salaire net était de 3100.-, d'autres questions ?
@@flashgordon5741,force à toi.
Je comprend très Bien ce que vous relatez. Il n’y a pas que de Français, aussi les Allemands ( que je préfère comme collègue ) et maintenant une vague de Polonais. La qualité n’est plus la Suisse que j’ai connu il y a 20 ans. J’étais tout ce temps dans la santé. Vraiment c’est regrettable. Une dame âgée qui s’est faite gronder parce qu’elle ne savait pas manipuler la télé moderne par un jeune infirmier, j’étais tellement choqué de son language envers la pauvre dame. Le RH ferme les yeux, il n y a que le profit qui compte. Pour ne citer que ça. Je suis partie au bout de 3 mois. Moi, j’ai retrouvé un emploi avec de gens humble et humain comme la Suisse que je connais.
Courage à toi flash Gordon.
@@alexandrenouvel8828les frais en Suisse sont plus élevés pour ceux qui y habitent tandis que les frontaliers s’y retrouvent.
Je suis choquée de dire que le métier "infirmière" est un métier que personne ne veut faire...ce n'est pas n'importe quelle personne peut être infirmier.. avant tout il l faut être humain.. c'est ainsi que je décris cette profession ❤
Mes salutations distinguées a tout le personnel soignant a travers le monde d'ailleurs
MDR toi tu crois tout ce que tu entends à la TV 🤦🏽♀️ *C'est une grosse mytho cette femme, j'ai dans mon entourage des amies infirmières qui cherchent du boulot dans les hôpitaux publics Suisse* et *qui n'arrivent pas à être embauché à cause des frontaliers* qui prennent leur place. Parce que c'est moins cher pour l'hôpital d'embaucher des frontaliers que d'embaucher des personnes ayant fait leur formation en Suisse. Ce n'est donc pas que les Suissesses ne veulent pas faire ce type de boulot, c'est juste que vous vous leur prenez leur boulot et que l'État est complice de ce racket social. Quand je vois qu'au CHUV (hôpital public géré par le canton de vaud) elles ont refusé un poste vacant d'infirmière à une amie, juste parce que son salaire est trop cher comparé aux centaines de CV de frontalières que reçoit l'hôpital, tu m'étonnes qu' *au CHUV maintenant +50% du personnel est composé de frontalières.* *Le pire c'est que depuis quelques années, *le CHUV a commencé à contracter des intérims* qui font n'importe quoi et qui déstabilise totalement le bon fonctionnement de l'hôpital (il y a un roulement pas possible, ce qui complique le suivi des patientes et créer des situations de négligence et maltraitance).
2'900.-- pour 42 h c'est une honte. En 1965 un plombier gagnait 950.-- à Lausanne alors qu'à l'époque un appartement coûtait environ 100.-- par pièce. Quelle aubaine pour les entreprises.
On ne tourne pas le dos , on ne veut pas nous engager car on coute trop chère
Le taux de chômage est à 4,5%
J'entends des Français qui parle à des Africains....😂😂😂😂😂😂😂😂😂
J'ai été frontalier dans le bâtiment pendant 10 ans puis je suis revenu en france et j'ai créé ma propre entreprise en bourgogne résultat maintenant je ne regrette pas. Beaucoup plus de travail et de soucis un moins bon salaire mais en zone frontalière le niveau social ne correspond pas au salaire un manœuvre gagne plus qu'un chef d'entreprise et ça lui monte au cerveau.
2:37 il dit qu'il a doit chercher son personel de production en France parce qu'il ne trouve personne en Suisse. Françoise gagne 2900.00 Euros. En Suisse il n'est pas possible de vivre avec un salaire de 2900.00 Euros. Peut-être qu'en proposant un salaire correct il trouverait aussi du monde en Suisse.
C'est vraiment un *commentaire de privilégié* qui gagnait bien sa vie ou de quelqu'un juste ignorant, parce qu' *il y a plein de gens qui vivent avec 2500.- voir bcp moins que ça en Suisse.*
Étant concernée et gagnant moins de 2500, je peux te dire que les gens qui gagnent plus en suisse vivent simplement dans le luxe (surconsommation inutile) et dans les privilèges (sorties, restos, voitures, abo TV inutile, etc).
@@Verinha9vous n'êtes pas a 100% si vous gagnez que ca.. comme les autres . Temps partiel oui
@@WIISTERIAAAAAAAJe comprends pas pourquoi tu parles alors qu' *il est évident que tu aies privilégiée et que tu ignores tout de la précarité.*
Il y a des métiers tristement sous-payés (pourtant si essentiels) et si tu étais un peu plus informée, tu saurais que le salaire minimum n'existe pas en Suisse (le peuple a bêtement voté contre, faut donc pas s'étonner que ce genre de situation existe).
De ce fait, quelqu'une peut très bien travailler à 100 % et être payé que 2000 francs par mois !
Sans compter les nombreuses personnes vivant avec un(des) handicap(s) et ne pouvant pas se réinsérer dans le marché classique du travail, et qui ne touche que 1600.- par mois. Pourtant, quand c'est possible, certaines d'entre-elles travaillent quand même dans des _"ateliers (soi-disant) protégés"_ mais qui ne servent qu'à exploiter les handicapés en les sous payant.
Faudrait sortir de ton milieu social et prendre conscience que bcp d'autres réalités existent en Suisse !
@@Verinha9 2000 par mois pour un 100% ca nexiste pas en suisse... 90% des temps plein gagnent plus que 4500
@@WIISTERIAAAAAAA évidemment que ça existe (femme de ménage, agriculture) mais cette précarité touche principalement des femmes sans formation. Les hommes sont plus avantagés donc moins conscients de cette réalité (à part ceux qui sont mariés avec des femmes dans cette situation). Et quand est femme de ménage indépendante, par exemple, tu choisis pas ton taux de travail. C'est en fonction de la demande, certains mois ça peut être telle taux (-de 100) d'autres mois un autre taux (+ de 100) mais dans tous les cas, si tu es par exemple que à 90% durant une période (parce qu'il n'y a pas plus de demandes en ce moment) tu m'expliques comment tu fais pour trouver un travail à seulement 10%, qui puisse coller avec les horaires de ton travail principal ?
Et puis tu crois que c'est facile pour tout le monde de trouver un travail à 100%, dans certaines branches le problème est systémique, pour raison économique elles n'embauche quasiment plus que des personnes à 80% au max, quand c'est pas moins (par exemple chez les travailleuses sociales ou encore dans le ménage). Sans compter que selon les (non) formations de certaines personnes (toujours la même classe de la population bizarrement) c'est un vrai défit de trouver un emploi stable à 100%.
Bref, c'est facile de juger et de supposer quand on connaît pas ce type de situation. Encore une fois, sors de ton monde et de ton milieu social, parce qu'il existe plein d'autres réalités en Suisse.
Le problème, ce ne sont pas les salaires 🇨🇭 mais le niveau des salaires 🇲🇫.... Mais comme c'est tout un modèle de société qu'il y aurait à revoir et que la France est championne du monde de l'assistanat en tout genre qu'elle finance par un niveau d'imposition record totalement délirant, faut pas s'étonner et venir chouiner par la suite sur les écarts de niveau de vie !!! On a les politiques qu'on mérite, voter ne suffit pas, faut aussi mieux savoir utiliser son 🧠 🙄.
J'ai travaillé en Suisse , à Genevrey sur Cofrane , jan gagnais 1000 euros la semaine pour 45 h de travail !! Genvrey se trouve tout à côté de Pontarlier environ entre Pontarlier et Neufchâtel !!!!
Je lis tous les commentaires en attendant les Suisses qui sont en France dont ma voisine que je salue sont très heureux d’y vivre, ils sont soignés pour presque rien para port à chez eux et pour peu qu’ils aient pris la nationalité française ils auront une retraite plus intéressante qu’en Suisse et en plus il fait moins froid et ils sont mieux accueilli que les francais en Suisse 😅
Le smic a 900€ ? Il a quel age ce reportage ??
Et combien est le cout de la vie en région frontalière. Car si on s'imagine que l'immobilier reste au prix français avec des gens qui ont un revenu aussi élevé on rêve.
A moins de se taper 1h de route et autant de bouchons tout les jours ..
La *description* c'est pas pour les chiens 🙄🤦🏽♀️
Le SMIC (temps plein) tournais à 900 € (brut) vers 1993-1996, c'est à dire quand l'euros n'existait pas !
Le SMIC tournais à 900 € net vers 2003-2004, mais on voit bien aux voitures par exemple que le reportage est plus récent...
Ce reportage date de 2013 (lire la description), le SMIC était à 1430 € (brut) donc 1130 € net. On peut donc en conclure que cette dame travaillait en temps partielle à 80 %, donc 28h/semaine.
@@alexandrebourgeois4299
Oui, c'est bien ce que je me disais !
Bonne déduction 👍
Pardon mais des gens qui peuvent et veulent faire leur job y en a masse en Suisse ! On a combien de réfugiés qui se tournent les pouces depuis des années? Beaucoup trop ! Et encore si le gouvernement faisait son job correctement, la loi sur l'emploi prioritaire des Suisses serait beaucoup plus respecté ! ça fait une loi, mais ça contrôle QUE DALLE ! Combien de fois ma mère s'est fait rembarrée après avoir formé le petit frontalier ... Beaucoup trop au point où elle n'arrivait plus à trouver un travail à cause de son âge ! 300'000 Frontaliers en Suisse ! On est à peine 9 millions ... ça fait plus de 3% pour un si petit pays ... Vous avez vérifié dans les autres pays le taux de frontaliers? Non je pense pas🙄
Profiter ? Oui, c'est le principe de l'offre et de la demande, les frontaliers ne sont pas le problème, ils sont juste dans un système qui les pousse à fonctionner comme ca. les états sont en concurrence à cause de quoi ? Du capitalisme...
Ils profitent? ils travaillent dur
On est tous l'arabe de quelqu'un.
Et à raison souvent
L’eldorado pour certains, pour d’autres c’est l’amertume.
Qui nettoille 😂😂😂
Mdrrrr ça a 15 ans ce truc le SMIC en suisse et a 3500 euros maintenant si c'est pas plus
ça existe pas le SMIC en suisse, *alors parle pas quand tu sais pas !*
@@Verinha9je vous retourne votre remarque. En Suisse, 5 Cantons ont un SMIC et si on prends la moyenne des 5 cela tourne aux environs de 3850 chf
@@rolandroland3172 vous êtes qui vous pour parler, alors que vous n'êtes même pas Suisse.
C'est quoi cette manie de vouloir expliquer des choses pour lesquelles vous n'êtes ni compétent ni concerné, à des personnes plus compétentes et concernées que vous.
Moi je viens pas vous dire comment fonctionne la France (j'osera pas puisque j'y vit pas) alors ayez l'humilité de vous taire alors que vous n'est pas de Suisse et ne connaissez rien à notre système.
J'ai pas le temps de vous éduqué sur tout (parce que je vois que vous posez plein de questions) mais pour info *le SMIC est un concept français qui n'existe pas en Suisse.*
Le peuple Suisse, et les cantons, ont même rejeté l'initiative populaire fédérale 'Pour la protection de salaires équitables (Initiative sur les salaires minimums) en mai 2014. Je me souviens j'avais voté pour mais la s7up¡d¡té des gens l'a une fois de plus emporter !
À l’inverse de nombreux pays, la Suisse ne dispose donc pas de SMIC ou de salaire minimum. Vu que le gouvernement central ne fixe aucun salaire minimum légal, cette particularité repose à la fois sur le principe de décentralisation du système salarial ainsi que la négociation collective. De ce fait, ce sont les employeurs et les syndicats qui ont pour responsabilité de déterminer les salaires minimums et les conditions de travail à partir des CCT, les Conventions Collectives de Travail.
@@rolandroland3172 vous êtes qui vous pour parler, alors que vous n'êtes même pas Suisse.
C'est quoi cette manie de vouloir expliquer des choses pour lesquelles vous n'êtes ni compétent ni concerné, à des personnes plus compétentes et concernées que vous.
Moi je viens pas vous dire comment fonctionne la France (j'osera pas puisque j'y vit pas) alors ayez l'humilité de vous taire alors que vous n'est pas de Suisse et ne connaissez rien à notre système.
J'ai pas le temps de vous éduqué sur tout (parce que je vois que vous posez plein de questions) mais pour info *le SMIC est un concept français qui n'existe pas en Suisse.*
Le peuple Suisse, et les cantons, ont même rejeté l'initiative populaire fédérale 'Pour la protection de salaires équitables (Initiative sur les salaires minimums) en mai 2014. Je me souviens j'avais voté pour mais la s7up¡d¡té des gens l'a une fois de plus emporter !
À l’inverse de nombreux pays, la Suisse ne dispose donc pas de SMIC ou de salaire minimum. Vu que le gouvernement central ne fixe aucun salaire minimum légal, cette particularité repose à la fois sur le principe de décentralisation du système salarial ainsi que la négociation collective. De ce fait, ce sont les employeurs et les syndicats qui ont pour responsabilité de déterminer les salaires minimums et les conditions de travail à partir des CCT (Conventions Collectives de Travail).
@@rolandroland3172 Mais vous vous prenez pour qui pour parler à la place des concernées, alors que vous n'êtes même pas Suisse.
C'est quoi cette manie de vouloir expliquer des choses pour lesquelles vous n'êtes ni compétent ni concerné, à des personnes plus compétentes et concernées que vous. Moi je viens pas vous dire comment fonctionne la France (j'osera pas puisque j'y vit pas) alors ayez l'humilité de vous taire alors que vous n'est pas de Suisse et ne connaissez rien à notre système.
J'ai pas le temps de vous éduqué sur toutes vos questions (parce que je vois que vous posez bcp de questions ici et là) mais pour info *le SMIC est un concept français qui n'existe pas en Suisse.* Je ne sais pas d'où vous sortez ces chiffres saugrenus... ?
En plus, *le peuple Suisse a malheureusement rejeté **_l'initiative populaire fédérale "Pour la protection de salaires équitables"_** (Initiative sur les salaires minimums) en mai 2014.* Je me souviens j'avais voté pour mais la s7up¡d¡té des gens l'a une fois de plus emporté sur la raison 🙄😏
Bref, à l’inverse de nombreux pays, la Suisse ne dispose donc pas de SMIC ou de salaire minimum. Vu que le gouvernement central ne fixe aucun salaire minimum légal, cette particularité repose à la fois sur le principe de décentralisation du système salarial ainsi que la négociation collective. De ce fait, ce sont les employeurs et les syndicats qui ont pour responsabilité de déterminer les salaires minimums et les conditions de travail à partir des CCT (Conventions Collectives de Travail).
Informez-vous avant de remettre en question les propos de personnes bien *plus légitime que vous* pour parlé de ce qui se passe en suisse.
Voila que les suisse engage de frontaliers qui coûte moins, mais les vrais suisse qui son né en suisse son pas engager, sais vraiment en foutu pays bon que pour les riche et les frontaliers.
Mdrr les suisses de souche ont un taux de chômage a 3% cest rien du tout
Cette émission elle a été faite y’a 10 ans déjà lol
Au montant de son salaire c'est un vieux reportage
Voilà partout du racisme... Même entre européens 😮😮😮
MDR renseigne toi sur ce qu'est l'idéologie du racisme... il y a que les a6rut¡s qui utilisent ce mot à toutes les sauces, pour toutes les situations 🤦🏽♀️
Il date de quand ce reportage ?
Car la Suisse ne fait plus rêver malheureusement.
Pour quelles raisons tu dis ca? C etait mieux avant?
@loumac9312 justement oui , aujourd'hui la Suisse est devenue extrêmement pauvre avec Luxembourg.
Oui c'était mieux avant et avec le franc en France.
@@lolaboubou7960non cest toujours bien Les salaires (avant 2020) ont baissé seulement a Genève et au Tessin ..
Les rêves sont que très rarement réalité.
Nous on ne peux pas travailler dans cette usine pour 2900fr nous les Suisses on ne vit pas on coule, car avec le loyer impôt, assurance maladie on sera dans les dettes. 😢
J'ai rien contre les Frontaliers mais çest des casse prix,pour nous donc déloyale.
*Arrête de mytonner et sors un peu de ton monde de privilégié...* De nombreuses personnes vivent avec bcp moins de 2900.- en Suisse, on peut donc très bien survivre avec ça !
Faut juste savoir distinguer une vie de privilégié, d'une vie simple et précaire. *Peut-être que si vous arrêtiez de jeter de l'argent par les fenêtres dans des choses superficielles* (TV, abonnement, smartphone, vêtements, fastfood, voiture et cie) dont vous pourriez très bien vous passer, vous comprendriez qu'on peut très bien vivre avec 2900.- !
J'ai déjà posté d'autres commentaires à ce sujet, en expliquant pourquoi et comment, je vais pas tout recommencer ici !
@@Verinha9 oui bien sûr, le seuil de pauvreté étant de 2587chf celui qui gagne 2900 vous avez raison est un gros privilégié
MDR
Ya énormément de suisses qui font leurs courses en France ou achètent des maisons en France. Et à cause de ça les prix ont explosés et du coup les français qui ne travaillent pas en suisse vivent dans la misère à la frontière. Les médecins ne veulent même pas s'installer tellement tout est cher, du coup désert médical, les français à la frontière ne peuvent pas se soigner... Et pourtant les français sont pas entrain de dire qu'il faut interdire aux suisses de venir faire leurs courses ou acheter des biens...
La grande gagnante de cette situation est la Suisse. Sachant que la formation d'un/e suisse jusqu'à leurs 20ans coûte à l'état env. 350'000 chf, cest ce que fait gagner à la Suisse chaque frontalier en venant y travailler. Une aubaine NON??? De plus s'il devient chômeur c'est la France qui paiera. De plus, le frontalier ne sera jamais à la charge de l'état suisse à l'âge de la retraite venue. Etc etc.
Les frontaliers cotisent pour la retraite suisse hein...
@@lc8397 ben oui, j'ai jamais dit le contraire.
Elle parle d’euros alors qu’en Suisse ce sont des francs?
Réfléchis un peu!! Elle est frontalière
C'était en 2013
Profiter est un gros mot. Nous contribuons aussi bien à la fiscalité Suisse avec les impôts qu'au pouvoir d'achat côté Français. Je ne vois pas où est le problème, tout le monde y gagne
Pas les français qui bossent en France en tout cas
*Parce que tu crois que la Suisse n'est pas impactée* par l'immigration de masse, et notamment les frontaliers qui crée plein des problèmes en Suisse... ta *vision* est vraiment *naïve et édulcorée.* Si tu crois que tout ça est sans conséquence sur la population suisse et que ça ne dégrade pas l'accès à l'emploi pour les locaux, la sécurité sur les routes, l'accès aux soins à la sécurité dans les hôpitaux, tu te trompe.
@@Verinha9Arrête donc, on parle du chômage ? On le touche en France après avoir travaillé des années en Suisse sans que la Suisse ne verse rien à la France sur les cotisations payées par les frontaliers. On parle aussi des assurances santé payées par les frontaliers chez Helsana ou autre sans se faire soigner en Suisse ? La réalité c'est que les frontaliers suisses coûtent plus chers à la France qu'à la Suisse. Venez donc pas sortir le problème de l'accès à l'emploi en Suisse pour les Suisses alors que vous venez faire vos courses chez nous et achetez vos maisons dans les régions frontalières faisant drastiquement augmenter l'immobilier. C'est donnant-donnant et tout le monde s'y retrouve.
@@acteBien dit et vous oubliez un point non négligeable qui est que le frontalier arrive toute formation payée par la France, formation qui représente comparativement à une formation en Suisse denv. 350'000 chf. Une belle aubaine pour la confédération.
@@acte Je suis contre les gens qui viennent polluer en voiture jusqu'au France juste pour faire leurs courses et, comme des Gripsou, faire de économies pour pouvoir dépenser dans des choses non essentielles ailleurs. Je suis absolument contre ce mode de vie et la surconsommation.
Donc il y a pas de _"donnant-donnant"_ comme tu dis, *restez chez vous parce que vous créez trop de problèmes en Suisse* et que les suissesses viennent faire les courses chez vous (bien que je sois contre pour des raisons écologiques) je ne vois pas en quoi ça vous impacte.
Je pense que tu n'en as vraiment pas conscience au vu de ton discours (tu n'es tout simplement pas concerné par ces problèmes donc tu ne les vois pas) et toi ton seul reproche c'est que des Suissesses viennent faire des courses en France (je suis aussi pour qu'elles arrêtent de faire ça) alors que chez nous vous créez de vraies problèmes, du dangers sur les routes, des problèmes à l'hôpital (en déstabilisant les soins publics, en maltraitant la patientèle et créant des erreurs médicals) tu n'as vraiment pas conscience de l'impact que les frontaliers ont sur le système de santé public, sur les emplois et sur les routes (et je me parle même pas de la pollution environnementale).
Aujourd'hui le chiffre tourne à plus de 50 % avec des frontaliers, et la nouvelle tendance depuis des années c'est d'embaucher des intérims ce qui crée d'énormes problèmes dans les hôpitaux (erreurs médicales, négligence, des maltraitances vis-à-vis de la patientèle, etc). J'ai laissé un autre commentaire à ce sujet sous la vidéo, tu n'as qu'à aller le lire.
Et je dis pas que c'est de leur faute, je dis que c'est un problème que l'État cautionne et participe à détruire notre système de santé.
Bref, les frontaliers est une vraie problématique à traiter d'urgence. Mais tout ça c'est de la responsabilité des politiques qui ne font rien, et même au contraire encourage cette situation qui se répercute sur nous, le bas peuple.
Maintenant ta le leman express en 15 minutes tes a geneve
Reportage mensonger car il est très compliqué aujourd’hui d’être nouveau transfrontalier car les entreprises suisses t’obligent aujourd’hui à vivre en suisse
Ça sera mon cas aussi dans quelques mois.
Ouais bah casse-toi, on veut pas de toi ici !
La suisse sans les frontaliers sont foutu
absolument pas, on se porterait beaucoup mieux !
@@Verinha9lancez une initiative pour les virer et on verra bien. Vous le pouvez NON ???
14:50 6000 euros le m²?
Si seulement.. . On est a 12000 mtnt
5:48 ce reportage fait partie du programme