Voici toutes mes ressources pour vous aider à combattre le trouble obsessionnel-compulsif: www.nicolassarrasin.com/ressources-tocs Voici ma ressource principale pour vous aider à vous en libérer: www.nicolassarrasin.com/programme-toc Et voici la page de mon site qui vous présente cette ressource unique que j'ai créée pour vous aider à vous libérer du TOC de la peur d'être homosexuel: www.nicolassarrasin.com/module-toc-homo.
Bonjour, Je vie une histoire amoureuse avec un homme depuis 4 mois. Mais au vu des pratiques sexuelles que l’on a j’ai des doutes qu’il soit un homosexuel refoulé. Comment lui en parler sans le blesser ? Je souhaites arrêter mon histoire avec lui car je ne suis pas sure qu’il est de réels sentiments pour moi, et que même si pour lui notre relation lui paraît satisfaisante sexuellement ce n’est pas mon cas. Je suis loin d’entrée épanouies à ce niveau. Je ne sais que faire car par ailleurs au quotidien c’est une personne que j’apprécie. Encore une fois je ne voudrais pas le vexer ou le blesser juste l’aider à prendre conscience de son homosexualité si réellement il l’est. Merci de votre réponse.
Bonjour, Ma vidéo porte spécifiquement sur le fait que l'homosexualité refoulée n'existe pas. De plus, cette vidéo s'adresse surtout aux personnes qui souffrent du TOC de la peur d'être homosexuel (qui croient souvent, à tort, que les obsessions de leur TOC cache une "homosexualité refoulée"). Ce n'est donc pas le bon endroit pour poser votre question votre question. Je prendrai néanmoins le temps de vous dire, simplement, que si quelque chose ne vous convient pas dans votre relation, le mieux est toujours de communiquer en faisant preuve de franchise, de tact et d'empathie. Ouvrir une discussion sur les sujets qui vous préoccupent est le meilleur moyen d'améliorer les choses. Il n'y a pas de recette magique pour le faire: il faut faire preuve de bienveillance et d'honnêteté, c'est le meilleur moyen d'aborder tout sujet de manière constructive en couple.
Même si l'on adhère au concept de refoulement, il s'agit d'un revirement vers l'inconscient ; par conséquent, quelqu'un qui refoule quelque chose ne va pas développer d'obsession, c'est à dire d'envahissement de la conscience, de la chose refoulée, cela n'aurait aucun sens. En psychanalyse, il est considéré que l'obsession, quel que soit son objet, est justement un moyen employé inconsciemment par le sujet pour dévier son attention de ce qui lui pose réellement problème, et qui n'est pas sujet à obsession (voir les concepts de névrose obsessionnelle et de déplacement).
Merci de votre commentaire, mais l'objectif de cette vidéo (et de mon article sur le sujet) est d'éviter que les personnes qui souffrent de ce type de TOC n'empirent leurs symptômes et leur souffrance en entretenant la croyance dans l'existence du "refoulement". Et puisque la majorité des personnes qui souffrent de TOC et croient au refoulement ne savent pas que ce concept vient de la psychanalyse (et non de la psychologie), ils entretiennent également une définition du refoulement qui peut, en effet, ne pas refléter la manière dont la psychanalyse le définit de manière précise. Mais mon objectif n'est pas de proposer une définition étoffée du refoulement: il vise à expliquer qu'il est inutile de croire en ce concept qui n'est fondé sur aucune base scientifique, car le fait d'y croire empire la souffrance et l'anxiété des personnes qui souffrent de TOC (en donnant un crédit inutile à leurs peurs).
@@Nicolassarrasinblog Je suis d'accord avec vous, mais le fait de n'accorder du crédit qu'à la science n'est pas une idée partagée de tous. Il serait selon moi encore plus efficace de rappeler que, même si l'on croit au concept de refoulement, il n'est pas adapté pour décrire une situation comme celle-là. Votre vidéo est tout de même bien fournie, synthétique et utile (j'ai moi même été victime de ce toc).
Thomas Tremblay: En fait, la psychanalyse n'est pas une science du tout (ses théories ne se fondent pas sur la méthode scientifique). Elle a toutefois joué un rôle important dans l'histoire de la psychologie.
Voici toutes mes ressources pour vous aider à combattre le trouble obsessionnel-compulsif: www.nicolassarrasin.com/ressources-tocs
Voici ma ressource principale pour vous aider à vous en libérer: www.nicolassarrasin.com/programme-toc
Et voici la page de mon site qui vous présente cette ressource unique que j'ai créée pour vous aider à vous libérer du TOC de la peur d'être homosexuel: www.nicolassarrasin.com/module-toc-homo.
Bonjour,
Je vie une histoire amoureuse avec un homme depuis 4 mois.
Mais au vu des pratiques sexuelles que l’on a j’ai des doutes qu’il soit un homosexuel refoulé.
Comment lui en parler sans le blesser ?
Je souhaites arrêter mon histoire avec lui car je ne suis pas sure qu’il est de réels sentiments pour moi, et que même si pour lui notre relation lui paraît satisfaisante sexuellement ce n’est pas mon cas.
Je suis loin d’entrée épanouies à ce niveau.
Je ne sais que faire car par ailleurs au quotidien c’est une personne que j’apprécie.
Encore une fois je ne voudrais pas le vexer ou le blesser juste l’aider à prendre conscience de son homosexualité si réellement il l’est.
Merci de votre réponse.
Bonjour,
Ma vidéo porte spécifiquement sur le fait que l'homosexualité refoulée n'existe pas. De plus, cette vidéo s'adresse surtout aux personnes qui souffrent du TOC de la peur d'être homosexuel (qui croient souvent, à tort, que les obsessions de leur TOC cache une "homosexualité refoulée"). Ce n'est donc pas le bon endroit pour poser votre question votre question.
Je prendrai néanmoins le temps de vous dire, simplement, que si quelque chose ne vous convient pas dans votre relation, le mieux est toujours de communiquer en faisant preuve de franchise, de tact et d'empathie. Ouvrir une discussion sur les sujets qui vous préoccupent est le meilleur moyen d'améliorer les choses.
Il n'y a pas de recette magique pour le faire: il faut faire preuve de bienveillance et d'honnêteté, c'est le meilleur moyen d'aborder tout sujet de manière constructive en couple.
Même si l'on adhère au concept de refoulement, il s'agit d'un revirement vers l'inconscient ; par conséquent, quelqu'un qui refoule quelque chose ne va pas développer d'obsession, c'est à dire d'envahissement de la conscience, de la chose refoulée, cela n'aurait aucun sens. En psychanalyse, il est considéré que l'obsession, quel que soit son objet, est justement un moyen employé inconsciemment par le sujet pour dévier son attention de ce qui lui pose réellement problème, et qui n'est pas sujet à obsession (voir les concepts de névrose obsessionnelle et de déplacement).
Merci de votre commentaire, mais l'objectif de cette vidéo (et de mon article sur le sujet) est d'éviter que les personnes qui souffrent de ce type de TOC n'empirent leurs symptômes et leur souffrance en entretenant la croyance dans l'existence du "refoulement".
Et puisque la majorité des personnes qui souffrent de TOC et croient au refoulement ne savent pas que ce concept vient de la psychanalyse (et non de la psychologie), ils entretiennent également une définition du refoulement qui peut, en effet, ne pas refléter la manière dont la psychanalyse le définit de manière précise.
Mais mon objectif n'est pas de proposer une définition étoffée du refoulement: il vise à expliquer qu'il est inutile de croire en ce concept qui n'est fondé sur aucune base scientifique, car le fait d'y croire empire la souffrance et l'anxiété des personnes qui souffrent de TOC (en donnant un crédit inutile à leurs peurs).
@@Nicolassarrasinblog Je suis d'accord avec vous, mais le fait de n'accorder du crédit qu'à la science n'est pas une idée partagée de tous. Il serait selon moi encore plus efficace de rappeler que, même si l'on croit au concept de refoulement, il n'est pas adapté pour décrire une situation comme celle-là. Votre vidéo est tout de même bien fournie, synthétique et utile (j'ai moi même été victime de ce toc).
C'est en effet une bonne suggestion, et je tenterai de la retenir pour l'utiliser éventuellement. Et merci pour vos commentaires.
Thomas Tremblay: En fait, la psychanalyse n'est pas une science du tout (ses théories ne se fondent pas sur la méthode scientifique). Elle a toutefois joué un rôle important dans l'histoire de la psychologie.