Les secrets de la sagesse musicale de Jean Philippe Fanfant. C’est vrai, le son des cymbales Sabian est très épuré, c’est un matériel bien travaillé, sculpté avec Art et la passion de l’excellence pour permettre au batteur de mieux s’exprimer sur l’instrument. Le reflet doré de ces cymbales créé une atmosphère de rêve entre le rythme et le temps. Le poète a toujours besoin d’un bout de crayon et d’un petit morceau de papier pour tisser les mots de sa poésie. Le peintre a besoin de ses pinceaux, des différents pigments colorants qu’il mélange sur ses palettes, son chevalet et son canevas pour rendre visible ses visions qui cheminent dans les fibres intangibles de son inspiration. Le professeur dans sa salle de classe à besoin d’un bout de craie et de son tableau pour détailler les méandres des équations de la vie et de sa voix convaincante, il révèle les solutions des énigmes du savoir, alors que le musicien a besoin d’un bon instrument pour tricoter le son dans le cœur des mélomanes. Mais au-delà de l’instrument physique, il y a l’instrument mental qui gît au creux des chromosomes de l’inspiration et de la sensibilité personnelle de chaque batteur. La musique est jouée entre l’invisibilité de l’âme rythmique et les baguettes, les cymbales, la grosse caisse, les toms et les pédales. Pour maintenir le tempo qui est l’oxygène dans le cœur même de la musique, il faut qu’il y ait une symbiose entre le battement du cœur du batteur et le temps, une sorte d’osmose artistique entre le sang et le son. Le son est une peinture invisible. Les couleurs du son se traduisent entre les nuances des frappes et la pirouette des touches des baguettes qui se transforment en pinceaux pour esquisser un tableau agréable à entendre et à savourer. La façon dont Jean Philippe Fanfant joue de la batterie, il faut conclure qu’il est un peintre vibratoire. Il a une maîtrise de l’instrument qui reflète une certaine sagesse. Il a une philosophie musicale très rare qui joue et partage l’espace musical avec les autres instruments, la mélodie et les mots de la chanson pour créer un moment de rêve pas comme les autres. Il parle de l’instrument comme s’il était une extension de sa propre âme. Il y a une certaine joie qui se dégage en lui lorsqu'il exprime son amour pour ce qu’il fait, il a aussi une profonde gratitude pour les professeurs qui lui ont tracé le chemin de son aventure musicale, il sourit à travers les mots tout en les remerciant. Compliment Jeanphi, tu joues avec une simplicité qui est excessivement sophistiquée, peut-être pour toi, l’art de la sophistication est en fait le culte de la simplicité. Jean Winer PASCAL 14 Septembre 2020
Magnifique batteur, très cool en plus...!
Les secrets de la sagesse musicale de Jean Philippe Fanfant.
C’est vrai, le son des cymbales Sabian est très épuré, c’est un matériel bien travaillé, sculpté avec Art et la passion de l’excellence pour permettre au batteur de mieux s’exprimer sur l’instrument. Le reflet doré de ces cymbales créé une atmosphère de rêve entre le rythme et le temps.
Le poète a toujours besoin d’un bout de crayon et d’un petit morceau de papier pour tisser les mots de sa poésie. Le peintre a besoin de ses pinceaux, des différents pigments colorants qu’il mélange sur ses palettes, son chevalet et son canevas pour rendre visible ses visions qui cheminent dans les fibres intangibles de son inspiration. Le professeur dans sa salle de classe à besoin d’un bout de craie et de son tableau pour détailler les méandres des équations de la vie et de sa voix convaincante, il révèle les solutions des énigmes du savoir, alors que le musicien a besoin d’un bon instrument pour tricoter le son dans le cœur des mélomanes. Mais au-delà de l’instrument physique, il y a l’instrument mental qui gît au creux des chromosomes de l’inspiration et de la sensibilité personnelle de chaque batteur. La musique est jouée entre l’invisibilité de l’âme rythmique et les baguettes, les cymbales, la grosse caisse, les toms et les pédales. Pour maintenir le tempo qui est l’oxygène dans le cœur même de la musique, il faut qu’il y ait une symbiose entre le battement du cœur du batteur et le temps, une sorte d’osmose artistique entre le sang et le son.
Le son est une peinture invisible. Les couleurs du son se traduisent entre les nuances des frappes et la pirouette des touches des baguettes qui se transforment en pinceaux pour esquisser un tableau agréable à entendre et à savourer. La façon dont Jean Philippe Fanfant joue de la batterie, il faut conclure qu’il est un peintre vibratoire. Il a une maîtrise de l’instrument qui reflète une certaine sagesse. Il a une philosophie musicale très rare qui joue et partage l’espace musical avec les autres instruments, la mélodie et les mots de la chanson pour créer un moment de rêve pas comme les autres. Il parle de l’instrument comme s’il était une extension de sa propre âme. Il y a une certaine joie qui se dégage en lui lorsqu'il exprime son amour pour ce qu’il fait, il a aussi une profonde gratitude pour les professeurs qui lui ont tracé le chemin de son aventure musicale, il sourit à travers les mots tout en les remerciant.
Compliment Jeanphi, tu joues avec une simplicité qui est excessivement sophistiquée, peut-être pour toi, l’art de la sophistication est en fait le culte de la simplicité.
Jean Winer PASCAL
14 Septembre 2020
Merci pour votre commentaire.
@@La_Boite_Noire_du_Musicien
Pas de quoi. Ce fut un plaisir.
où peut on trouvé des drumming lab en France ?? Aux Antilles ?