Naufragés des villes | E10 | S'engager

Les naufragés reviennent à Montréal pour témoigner de leur expérience de la pauvreté. Que leur a-t-elle laissé comme bagage? A-t-elle changé leur perception? Les a-t-elle changés, eux? Avec un recul de quatre mois, ils refont le voyage en notre compagnie...
Le retour des naufragés en sol montréalais ravive les souvenirs. Ceux-ci sont remplis d'images vives de petits bonheurs, de grandes détresses, de paniques intérieures et de tous les autres sentiments de survie liés à leur situation précaire. Pierre et Emmanuelle revivent leur parcours de deux mois, étape par étape. Un parcours tissé de choses simples, qui leur ont pourtant souvent compliqué la vie : se loger, se nourrir, trouver du travail. Entre les images passées et leur vision actuelle se dessine le carnet de bord d'une expérience humaine marquante, toujours vivante.
Pour ce dernier épisode, Judi Richards orchestre l'aller-retour entre le passé et le présent. Elle-même bénévole, engagée dans plusieurs causes, elle sait la détresse des femmes en difficulté. Et elle connaît la générosité de celles et ceux qui tentent au quotidien d'alléger le fardeau de la misère. Entre empathie et détermination, elle nous guide à travers cette conclusion, où il est aussi question de ce que chacun peut et veut faire pour changer les choses. Bref, de ce que les Naufragés des villes ont semé en nous.
Tout comme les naufragés, notre perception de la pauvreté aura peut-être changé. Certains préjugés seront peut-être tombés sous un éclairage nouveau. Pierre et Emmanuelle sont-ils pour autant plus impliqués dans leurs communautés respectives? Ils répondent à cette question en toute sincérité. Alors, au bout de leur expérience, il reste le plus important : la réflexion suscitée en nous par leur voyage au cœur d'une réalité qui frappe plus de 3 millions de personnes au Canada.
© Radio-Canada

[@StephLeBarbu]

Tout ceux qui ont des préjuger envers les ''BS'' devraient regarder cette série...

[@karogagne6625]

il ne faut pas oublier qu'il y a des profiteurs dans tous les domaines.Les prejuges visent les profiteurs non les BS

[@gambino458]

j ai beaucoup aime cette serie documentataire

[@flacomtl95]

Excellent série....

[@orelliroger1136]

merci beaucoup

[@KariNorita]

Très intéressant! Ça permet de se faire une idée du le niveau de vie des Canadiens...
En tant que Belge, je ne comprends pas pourquoi les recruteurs canadiens recherchent des travailleurs chez nous (en Belgique) alors que de nombreux Canadiens semblent être dans le besoin!
Pourquoi n'offrent-ils pas ces emplois aux occupants de leur pays?
Le BS, faudrait penser à changer le nom car franchement c'est se moquer du monde que qualifier le revenu social de "Bien-être ..."
En Belgique, nous avons le ris ou revenu d'intégration sociale dont le montant, pour une personne isolée, est d'environ 860€.
En tant que chômeuse, je perçois environ 100€ supplémentaires (ça varie en fonction du nombre de jours dans un mois! Les jours fériés ne sont pas indemnisés!) et je peux vous garantir que trouver un logement (convenable ou salubre) à moins de 500€, c'est mission impossible!
Revenus de remplacement quels qu'ils soient, c'est la galère et les gouvernements s'en tapent royalement!

[@james-sv1yg]

c est triste de voir ces cas des gens dans pays développé comme canada