C'est comme l' ADSL VIA via la fibre , une capacité d'appréhendées les informations plus rapidement que le commun des personnes en général, cela dit c'est pas toujours simple à gérer .. Cependant je reste modeste considérant qu'il y a toujours plus intelligents que moi ..
En effet , par contre c’est toujours la même chose qui ressort des gens parlant de hpi , ils parlent de modestie et d’humilité. Et je pense que cela cache une peur et une insécurité sur le fait de dire ce que l’on pense et surtout de parler des choses qui sont factuelles. Tous le monde a un sérieux problème avec le mot “supériorité” et ça en devient marrant à force ☺️
@@calissarusakova Nous avons tous notre propre singularité, qui n'est malheureusement pas toujours compris de tous, et oui je m'intéresse au factuelles ainsi que des sujets comme la distorsion espace temps et thématiques quantiques par exemple merci de votre réponse 🙂
@laurenmarilyndouville68 oui comme nôtre personnalité propre ce que peu de gens peuvent comprendre au-delà du hpi . Je suis aussi très passionnée des sujets aux thématiques quantiques .
@@calissarusakova Merci à vous, je regarderais vos prochaines vidéos , car non seulement le sujet m'intéresse , ( Sujet HPI) lors que le temps me sera donné je ferais certainement un test d'évaluation même ci ces derniers sont standardisés..
Bonjour. Ce que tu dis dans ta vidéo est vrai mais je te suggère de preciser que le fait d'être HPI ne fait pas de quelqu'un une personne supérieure aux autres... Car ton explication sur le cerveau + performant et le fait de trouver les autres lents risue d'être prise pour de la prétention... Et beaucoup de HPI lutent contre cette image de personnes prétentieuses se pensant au dessus des autres ...
Bonjour je pense que nous n’avons pas la même vision de la réalité c’est bien dommage . C’est comme dire que nous avons tous les mêmes physiques et que nous sommes tous égaux en tout . Encore une fois il n’est nullement mentionné « supériorité » . C’est encore très complexe mais le hpi est quelque chose de précieux et personne n’a à avoir honte de l’être ou pas .
Par "supérieur" (au sens général) tu parles d'une notion de "valeur", donc morale... C'est toi qui pose ce problème là... Pourquoi le poser à l'avance ?? Parce que la mise en "échelle de valeur" (égotique) serait systématique ?? Alors pourquoi en faire la remarque à chaque fois qu'on parle de potentiel intellectuel, et non d'autre chose ?? Aurais-tu fait la même remarque à quelqu'un qui parlerait de capacité physique supérieure (endurance, détente, vitesse) ??? De mon point de vue, la demande est révélatrice du problème soulevé (cf. contexte social) mais n'est absolument pas logique de façon claire et nette. Après si des personnes sont malveillantes et voient le mal là où il n'est pas : c'est qu'il est dans leur observation-même (de juger vite et mal)... [ et, spoil : on n'y peut rien ou très peu ==> changer le regard des gens ne serait-ce qu'un peu, c'est le travail des artistes, et pour y arriver un tout petit peu c'est le travail de toute une vie coupée en douze morceaux comme des cheveux, petit bout par petit bout ^^ ] Sauf qu'on ne peut pas inclure "ça" dans les idées reçues et qui pourraient se comprendre, puisque c'est totalement illogique (dans le fond). À quel moment, et de quelle manière on pourrait préciser un telle chose ??? 😳 T'imagines, par exemple, dire un truc du style : « alors voilà, il n'est pas vrai que les HPI se trouveraient être des gens de catégorie supérieure... » Puisque personne n'a jamais supposé ça de façon vraiment sérieuse, certaines personnes lui reprocheraient, aussi, puisque la malveillance n'a pas de fond véritable, de l'avoir signifié de façon éhontée. Vaste sujet, à méditer, qu'est la malveillance sans queue ni tête... Sinon t'imagines, il faudrait carrément ouvrir une rubrique "absurde" (genre café philo) et dans laquelle il faudrait alors également préciser que "les HPI n'ont pas tous la peau blanche" et ce genre de truc éclaté au sol débile. La vidéo durerait une infinité d'heures au point d'exploser la charge des serveurs Google là ! Bien sûr que certaines personnes HPI ne sont pas "meilleurs", et même : comme d'autres (qui ne sont pas HPI) elles peuvent tournent très mal et terminer derrière les barreaux d'une prison par exemple. Une capacité ou un potentiel, ou toute autre caractéristique : ça n'a jamais un quelconque rapport avec une valeur (humaine) qu'on attribue aux gens suivant comment ils se comportent. Mais j'avoue que je me pose la question, moi-même, s'il est possible d'être "100% bienveillant" si on n'a pas une intelligence extraordinairement élevée, parce que l'inconscient agit (toujours) dans tous les cas de figure. Mais l'inverse n'est pas vrai, c'est certain, même avec un très haut potentiel intellectuel : on garde encore une bonne marge de très haut potentiel de connerie. Possible aussi que ce "haut potentiel de connerie" croisse au fur et à mesure que l'intelligence baisse, ce qui n'est même pas certain. Mais, là encore, le "haut potentiel de connerie" ne serait de toute façon pas à mettre de façon forcée en parallèle d'une valeur (morale) de sentiment de supériorité quelconque. Après, si des gens peinent à comprendre ça, c'est comme ça, on ne peut pas forcément réparer tous les champs d'incompréhension de l'humanité en ouvrant un sujet précis à chaque fois (d'où l'Enfer des réseaux sociaux dans certains cas)... Je suis tout à fait d'accord avec le fait qu'elle n'ait pas inclus cet amalgame (biaisé) informe... Et puisqu'il est probable que la seule chose plus grande que notre Univers est l'étendue de la stupidité humaine ==> inutile de s'y arrêter sur un point plus que sur un autre, puisqu'ils sont tous aussi stupides les uns que les autres ! 😅😉 Bien que je comprends ce qui motive ta demande... Malheureusement on ne peut pas empêcher certaines personnes de mal penser (surtout à propos de valeur). En tout cas, d'expérience, j'en suis totalement convaincu. Parfois, il faut juste "laisser dire" (ou médire) et tracer sa route, et « Adieu les cons » (référence au film de Dupontel qui est génial). Voilà tout ce que ça m'inspire... 😁 Bien à toi, 👋
Sur la rubrique "le HPI est un trouble" je suis au regret de te dire que tu fais complètement erreur... Non pas que tu ne connaîtrais pas de qu'est "être HPI" mais parce que tu ne sais pas ce qui définit : trouble, diagnostic, et différence ou supposées maladies etc. L'autisme n'est pas une maladie, par exemple, et pourtant on parle de "trouble" parce qu'on n'a pas trouvé une autre façon de le définir (je précise : je ne suis pas moi-même autiste mais je connais TRÈS bien ce sujet). Plus généralement on garde le nom "trouble" alors qu'il s'agit bien, aussi, d'une différence (qu'on dit également neuro-atypique au sens général). Or ça peut causer des handicaps, principalement d'adaptation sociale, et le fait d'être HPI peut être un réel facteur aggravant. Ce qui crée cette confusion, c'est : à la fois le fait que certaines personnes passent par des états instables, et qu'on confond aussi (là par contre : très souvent) les causes et leurs conséquences... On ne peut pas te blâmer sur ce point car il reste encore beaucoup de chemin pour faire changer les regards des gens complètement convaincus de "savoir" alors même qu'ils en comprennent RIEN (en très résumé) ou qu'ils ont fini par capituler et admettre des choses illogiques qu'ils ne savent pas remettre en question. Possible que si tous les psychiatres étaient HPI : ça serait certainement très différent aujourd'hui en terme de niveau de compréhension globale, mais c'est (extrêmement) loin d'être le cas. Le "handicap" n'est pas une notion qui pointe une maladie ou une déficience ==> ça correspond plutôt au fait de ne pas partir avec des chances égales, ou quelque chose comme ça... Handicap et maladie n'ont, de base, normalement RIEN à voir. Mais la faute est à rejeter sur nos institutions qui datent d'une époque où on évaluait à peu près rien, et très mal, et qui ont très peu évolué elles-mêmes. Pour elles, oui, c'est "confondu" ==> il faut voir ça comme les maternité : "être enceinte" n'est pas "être malade" pourtant on n'accouche pas dans les étables (enfin la plupart du temps et ça fait longtemps que ça n'est plus comme ça heureusement). C'est pareil pour d'autres choses : et beaucoup de psychologues (je le pense aussi) peuvent considérer qu'il est probable que les gens les plus "malades" sont ceux qui ne viennent jamais les voir, et non l'inverse, sauf qu'ils ne le savent qu'au jour où ils sont "obligés" d'aller consulter (parce qu'un truc déconne dans leur vie / trop grave) et qu'il est souvent trop tard. De mon point de vue, la majorité des HPI auront besoin, tôt ou tard, d'aller voir des psychologues pour résoudre des problématiques au lieu de les fuir, même si ce n'est pas lié à un handicap en particulier. Bien sûr, là encore, ça ne concerne pas tous les HPI... Une assez bonne proportion n'aura sans doute pas besoin d'en passer par là, surtout que la capacité de résilience est nettement plus élevée chez les HPI. Mais tu es loin d'être la seule à ne pas y voir clair sur ce sujet précis ==> très peu de communication existe sur ces sujets, et quand il y en a (des émissions TV sur ces sujets) c'est bourré de vieilles idées reçues qui sont éclatées au sol depuis de très nombreuses années, parce qu'on fait venir des gens qui ne sont absolument pas à l'avant-garde sur les sujets discutés et qui répètent ce qui se disait il y a 20 ans (en gros) sur plein de détails précis mais sur lesquels un certain nombre (peu nombreux) de spécialistes font des avancées, et très significatives. As-tu déjà entendu ne serait-ce qu'une seule fois, par exemple, que la schizophrénie et/ou la bipolarité (appelés également troubles) ne sont pas des maladies ? Ça m'étonnerait. Et pourtant ce n'en sont pas ! Mais c'est au autre sujet que le point sur les HPI donc pas très grave, passons... En l'occurrence, ces différences là quelles qu'elles soient (y compris HPI) peuvent occasionner des handicaps, le plus souvent d'ordre relationnel/social, en plus ou moins grandes proportion, de nature plus ou moins grave, selon de quelle différence et à quel niveau de "gravité" on en parle... J'ai entendu une fois, par une psychologue clinicienne que certaines études estimaient entre un tiers et la moitié : le taux d'échec social, parfois très grave, sans autre trouble dit de "co-morbidité". Ce qui est loin d'être négligeable. Ça n'est pas une généralité (heureusement) mais ça arrive quand même assez souvent. Peut-être l'inverse de l'empathie sur-développée (plus souvent mais pas non plus systématique => 2/3 et 1/3 à peu près). Personnellement je trouve que le truc le plus "intéressant" chez le HPI, c'est la plus grande capacité de résilience. Ça ne veut pas dire que "tout va généralement bien se passer" et aussi facilement que ça pourrait en avoir l'air sans véritablement comprendre, mais c'est quand même "à double tranchant et de façon positive" ==> donc ça peut enfoncer, tout en donnant la possibilité de s'en sortir mieux que d'autres dans une situation dramatique comparable. Car généralement les HPI ont cette capacité de résilience beaucoup plus forte. Je trouve que tu as néanmoins raison d'insister sur le fait que ces points (ceux dont tu parles) ne sont, en tout cas, jamais systématiques... Et contrairement aux points communs systématiques ou ultra fréquents : précocité dans certains domaines, curiosité exacerbée, pensée en arborescence, besoin de comprendre/savoir, capacité de résilience très élevée etc. Bien à toi 👋
C'est comme l' ADSL VIA via la fibre , une capacité d'appréhendées les informations plus rapidement que le commun des personnes en général, cela dit c'est pas toujours simple à gérer .. Cependant je reste modeste considérant qu'il y a toujours plus intelligents que moi ..
En effet , par contre c’est toujours la même chose qui ressort des gens parlant de hpi , ils parlent de modestie et d’humilité. Et je pense que cela cache une peur et une insécurité sur le fait de dire ce que l’on pense et surtout de parler des choses qui sont factuelles. Tous le monde a un sérieux problème avec le mot “supériorité” et ça en devient marrant à force ☺️
@@calissarusakova Nous avons tous notre propre singularité, qui n'est malheureusement pas toujours compris de tous, et oui je m'intéresse au factuelles ainsi que des sujets comme la distorsion espace temps et thématiques quantiques par exemple merci de votre réponse 🙂
@laurenmarilyndouville68 oui comme nôtre personnalité propre ce que peu de gens peuvent comprendre au-delà du hpi . Je suis aussi très passionnée des sujets aux thématiques quantiques .
@@calissarusakova Merci à vous, je regarderais vos prochaines vidéos , car non seulement le sujet m'intéresse , ( Sujet HPI) lors que le temps me sera donné je ferais certainement un test d'évaluation même ci ces derniers sont standardisés..
@laurenmarilyndouville68 merci , oui ça peut vous donner aussi une idée
Bonjour. Ce que tu dis dans ta vidéo est vrai mais je te suggère de preciser que le fait d'être HPI ne fait pas de quelqu'un une personne supérieure aux autres... Car ton explication sur le cerveau + performant et le fait de trouver les autres lents risue d'être prise pour de la prétention... Et beaucoup de HPI lutent contre cette image de personnes prétentieuses se pensant au dessus des autres ...
Bonjour je pense que nous n’avons pas la même vision de la réalité c’est bien dommage . C’est comme dire que nous avons tous les mêmes physiques et que nous sommes tous égaux en tout . Encore une fois il n’est nullement mentionné « supériorité » . C’est encore très complexe mais le hpi est quelque chose de précieux et personne n’a à avoir honte de l’être ou pas .
Par "supérieur" (au sens général) tu parles d'une notion de "valeur", donc morale... C'est toi qui pose ce problème là... Pourquoi le poser à l'avance ?? Parce que la mise en "échelle de valeur" (égotique) serait systématique ?? Alors pourquoi en faire la remarque à chaque fois qu'on parle de potentiel intellectuel, et non d'autre chose ?? Aurais-tu fait la même remarque à quelqu'un qui parlerait de capacité physique supérieure (endurance, détente, vitesse) ??? De mon point de vue, la demande est révélatrice du problème soulevé (cf. contexte social) mais n'est absolument pas logique de façon claire et nette.
Après si des personnes sont malveillantes et voient le mal là où il n'est pas : c'est qu'il est dans leur observation-même (de juger vite et mal)... [ et, spoil : on n'y peut rien ou très peu ==> changer le regard des gens ne serait-ce qu'un peu, c'est le travail des artistes, et pour y arriver un tout petit peu c'est le travail de toute une vie coupée en douze morceaux comme des cheveux, petit bout par petit bout ^^ ]
Sauf qu'on ne peut pas inclure "ça" dans les idées reçues et qui pourraient se comprendre, puisque c'est totalement illogique (dans le fond).
À quel moment, et de quelle manière on pourrait préciser un telle chose ??? 😳 T'imagines, par exemple, dire un truc du style : « alors voilà, il n'est pas vrai que les HPI se trouveraient être des gens de catégorie supérieure... » Puisque personne n'a jamais supposé ça de façon vraiment sérieuse, certaines personnes lui reprocheraient, aussi, puisque la malveillance n'a pas de fond véritable, de l'avoir signifié de façon éhontée. Vaste sujet, à méditer, qu'est la malveillance sans queue ni tête... Sinon t'imagines, il faudrait carrément ouvrir une rubrique "absurde" (genre café philo) et dans laquelle il faudrait alors également préciser que "les HPI n'ont pas tous la peau blanche" et ce genre de truc éclaté au sol débile. La vidéo durerait une infinité d'heures au point d'exploser la charge des serveurs Google là !
Bien sûr que certaines personnes HPI ne sont pas "meilleurs", et même : comme d'autres (qui ne sont pas HPI) elles peuvent tournent très mal et terminer derrière les barreaux d'une prison par exemple. Une capacité ou un potentiel, ou toute autre caractéristique : ça n'a jamais un quelconque rapport avec une valeur (humaine) qu'on attribue aux gens suivant comment ils se comportent. Mais j'avoue que je me pose la question, moi-même, s'il est possible d'être "100% bienveillant" si on n'a pas une intelligence extraordinairement élevée, parce que l'inconscient agit (toujours) dans tous les cas de figure. Mais l'inverse n'est pas vrai, c'est certain, même avec un très haut potentiel intellectuel : on garde encore une bonne marge de très haut potentiel de connerie. Possible aussi que ce "haut potentiel de connerie" croisse au fur et à mesure que l'intelligence baisse, ce qui n'est même pas certain. Mais, là encore, le "haut potentiel de connerie" ne serait de toute façon pas à mettre de façon forcée en parallèle d'une valeur (morale) de sentiment de supériorité quelconque. Après, si des gens peinent à comprendre ça, c'est comme ça, on ne peut pas forcément réparer tous les champs d'incompréhension de l'humanité en ouvrant un sujet précis à chaque fois (d'où l'Enfer des réseaux sociaux dans certains cas)...
Je suis tout à fait d'accord avec le fait qu'elle n'ait pas inclus cet amalgame (biaisé) informe... Et puisqu'il est probable que la seule chose plus grande que notre Univers est l'étendue de la stupidité humaine ==> inutile de s'y arrêter sur un point plus que sur un autre, puisqu'ils sont tous aussi stupides les uns que les autres ! 😅😉
Bien que je comprends ce qui motive ta demande... Malheureusement on ne peut pas empêcher certaines personnes de mal penser (surtout à propos de valeur). En tout cas, d'expérience, j'en suis totalement convaincu. Parfois, il faut juste "laisser dire" (ou médire) et tracer sa route, et « Adieu les cons » (référence au film de Dupontel qui est génial). Voilà tout ce que ça m'inspire... 😁 Bien à toi, 👋
Sur la rubrique "le HPI est un trouble" je suis au regret de te dire que tu fais complètement erreur... Non pas que tu ne connaîtrais pas de qu'est "être HPI" mais parce que tu ne sais pas ce qui définit : trouble, diagnostic, et différence ou supposées maladies etc. L'autisme n'est pas une maladie, par exemple, et pourtant on parle de "trouble" parce qu'on n'a pas trouvé une autre façon de le définir (je précise : je ne suis pas moi-même autiste mais je connais TRÈS bien ce sujet). Plus généralement on garde le nom "trouble" alors qu'il s'agit bien, aussi, d'une différence (qu'on dit également neuro-atypique au sens général). Or ça peut causer des handicaps, principalement d'adaptation sociale, et le fait d'être HPI peut être un réel facteur aggravant.
Ce qui crée cette confusion, c'est : à la fois le fait que certaines personnes passent par des états instables, et qu'on confond aussi (là par contre : très souvent) les causes et leurs conséquences... On ne peut pas te blâmer sur ce point car il reste encore beaucoup de chemin pour faire changer les regards des gens complètement convaincus de "savoir" alors même qu'ils en comprennent RIEN (en très résumé) ou qu'ils ont fini par capituler et admettre des choses illogiques qu'ils ne savent pas remettre en question. Possible que si tous les psychiatres étaient HPI : ça serait certainement très différent aujourd'hui en terme de niveau de compréhension globale, mais c'est (extrêmement) loin d'être le cas.
Le "handicap" n'est pas une notion qui pointe une maladie ou une déficience ==> ça correspond plutôt au fait de ne pas partir avec des chances égales, ou quelque chose comme ça... Handicap et maladie n'ont, de base, normalement RIEN à voir. Mais la faute est à rejeter sur nos institutions qui datent d'une époque où on évaluait à peu près rien, et très mal, et qui ont très peu évolué elles-mêmes. Pour elles, oui, c'est "confondu" ==> il faut voir ça comme les maternité : "être enceinte" n'est pas "être malade" pourtant on n'accouche pas dans les étables (enfin la plupart du temps et ça fait longtemps que ça n'est plus comme ça heureusement). C'est pareil pour d'autres choses : et beaucoup de psychologues (je le pense aussi) peuvent considérer qu'il est probable que les gens les plus "malades" sont ceux qui ne viennent jamais les voir, et non l'inverse, sauf qu'ils ne le savent qu'au jour où ils sont "obligés" d'aller consulter (parce qu'un truc déconne dans leur vie / trop grave) et qu'il est souvent trop tard. De mon point de vue, la majorité des HPI auront besoin, tôt ou tard, d'aller voir des psychologues pour résoudre des problématiques au lieu de les fuir, même si ce n'est pas lié à un handicap en particulier. Bien sûr, là encore, ça ne concerne pas tous les HPI... Une assez bonne proportion n'aura sans doute pas besoin d'en passer par là, surtout que la capacité de résilience est nettement plus élevée chez les HPI.
Mais tu es loin d'être la seule à ne pas y voir clair sur ce sujet précis ==> très peu de communication existe sur ces sujets, et quand il y en a (des émissions TV sur ces sujets) c'est bourré de vieilles idées reçues qui sont éclatées au sol depuis de très nombreuses années, parce qu'on fait venir des gens qui ne sont absolument pas à l'avant-garde sur les sujets discutés et qui répètent ce qui se disait il y a 20 ans (en gros) sur plein de détails précis mais sur lesquels un certain nombre (peu nombreux) de spécialistes font des avancées, et très significatives.
As-tu déjà entendu ne serait-ce qu'une seule fois, par exemple, que la schizophrénie et/ou la bipolarité (appelés également troubles) ne sont pas des maladies ? Ça m'étonnerait. Et pourtant ce n'en sont pas ! Mais c'est au autre sujet que le point sur les HPI donc pas très grave, passons...
En l'occurrence, ces différences là quelles qu'elles soient (y compris HPI) peuvent occasionner des handicaps, le plus souvent d'ordre relationnel/social, en plus ou moins grandes proportion, de nature plus ou moins grave, selon de quelle différence et à quel niveau de "gravité" on en parle... J'ai entendu une fois, par une psychologue clinicienne que certaines études estimaient entre un tiers et la moitié : le taux d'échec social, parfois très grave, sans autre trouble dit de "co-morbidité". Ce qui est loin d'être négligeable. Ça n'est pas une généralité (heureusement) mais ça arrive quand même assez souvent. Peut-être l'inverse de l'empathie sur-développée (plus souvent mais pas non plus systématique => 2/3 et 1/3 à peu près).
Personnellement je trouve que le truc le plus "intéressant" chez le HPI, c'est la plus grande capacité de résilience. Ça ne veut pas dire que "tout va généralement bien se passer" et aussi facilement que ça pourrait en avoir l'air sans véritablement comprendre, mais c'est quand même "à double tranchant et de façon positive" ==> donc ça peut enfoncer, tout en donnant la possibilité de s'en sortir mieux que d'autres dans une situation dramatique comparable. Car généralement les HPI ont cette capacité de résilience beaucoup plus forte.
Je trouve que tu as néanmoins raison d'insister sur le fait que ces points (ceux dont tu parles) ne sont, en tout cas, jamais systématiques... Et contrairement aux points communs systématiques ou ultra fréquents : précocité dans certains domaines, curiosité exacerbée, pensée en arborescence, besoin de comprendre/savoir, capacité de résilience très élevée etc.
Bien à toi 👋