"La mémoire et la mer", "Avec le temps", "Tu ne dis jamais rien"... dans dix mille ans, elles seront toujours les plus belles chansons de langue française, jamais écrites. Ferré a laissé à nos émotions un catalogue d'humanité et de poésie tellement inépuisable ! Merci Léo !
282 likes pour l'une des plus belles chansons françaises de tous les temps... ça en dit long sur la culture de la médiocrité qui régit la variété hexagonale depuis maintenant des années.
Je te dirai mes larmes sur cette chanson avec une femme que j aimais… une artiste capable de me déballer la chaconne comme ça à midi pour moi tout seul….
Owh frérot, ton commentaire en dis plus sur toi que le nombre de like en dit sur l’état de la culture française . Prends soin de toi, c’était y’a 2ans, j’espère que t’es plus aussi aigri , je te le souhaite en tout cas 👯♂️👯♂️
je ne connaissais pas cette chanson c'est un vrai chez d'œuvres c'est paroles sont extraordinaires je ne sais comment exprimé mon émotion tellement que ces paroles sont belles je pleure quand je l'écoute merci Léo Ferré pour cette chanson merci l'artiste pour ce que tu nous fait
pas question d'érudition, de culture, de connaissances avec Léo Férré , il te parle , il fait naitre en toi des images, des sons, des senteurs, des affections et des révulsions, en aucun cas il n'est sujet a des débats philosophiques ou érudits, il parle aux gens, méme aux gens qui ne savent pas qu'ils ont un "gens" en eux ..
Sans aucun doute le morceau ( les paroles , cette façon d'apporter du surréalisme ( alors consacré uniquement à la peinture avant ce texte ) , la musique , ce fond d'ensemble de cordes lourd , cette mélodie et j'en passe car je pourrais en faire une dissertation de 310 pages ! ) qui a changé ma vie , ma conception de beaucoup de choses a été ébranlé , ....et la façon d'écrire mes textes et mes poèmes en on été impacté . Tout comme mon cœur qu'il l'a tout autant été et continue de l'être à chaque écoute . Ca me bouleverse et me transperce . Merci Léo
@@yodeval5937 Tient salut tu es la toi ? !!!!! ca fait plaisir de te retrouver ici ! Oh oui je connais la version que tu as envoyé en lien ......J'en ai le coeur qui m'en coule à travers les yeuw à chaque fois ....Il y a aussi une version mise en image ( dans les premières recommandé quand on tape le titre de ce morceau ) qui est très bien fait ! Merci Yod et à bientot au détour d'un coin de youtube :) Bisouilles mon poto
@@TomTom-lj7px Très bel hommage à notre immense Leo ferré. Moi je l ai découvert à 14 ans et aujourd'hui J en ai 60. Je me ferai enterrer avec sa photo Et ses vynils
@@pascalmalaurie1830 ......Je suis sans doute un peu trop jeune , ( bien que je bascule entre deux âges !!!! ) .....Mais je trouve , et ca c'est personnel et sans jugement , que les chansons et les textes de Ferré on un autre impact à partir du moment ou il commence lui mème a vieillir ......Je trouve par exemple que la chanson " 20 ans " prends une autre dimension quand il l'a chante quand il est plus agé , comme si c'était écrit pour être chanté plus tard
@@TomTom-lj7px C est vrai que Leo a pris une envergure énorme en prenant de l age. Ses textes ciselés au couteau La magie de ses musiques La profondeur de ses mots nous bouffent les tripes et le reste. En écoutant Leo moi aussi les frissons me prennent me font partir ailleurs et cela depuis 46 ans. Pourquoi ? Je ne sais pas trop Ou plutôt je le sais trop ! Notre vécu d enfance ? Notre sensibilité ? Ou tout simplement Percuté de plein fouet à 14 ans par une œuvre considerable de beauté ? Mais ferré est il accessible à tout le monde ? Je ne pense pas Sans prétention je pense que Leo N est compris et aimer que par des gens assez rare. Ses plus belles œuvres ? Avec le temps est une perfection d un résumé de vie. La mémoire et la mer. L amour fou Petite. A st German des prés. On s aimera. Ca te va. Et tant d autres. Amitiés mon ami ferriste👌👌
Je n'en connais pas les sens , seul Bernard Lavilliers a eu l'honneur de certaines clés mais pas toutes de la part de Léo.Je vis au Brésil près des plages tropicales qui n'ont à voir avec la côte de granit rose... Juste se faire bercer par l'océan des notes et l'écume des mots... @@meuuuhmeuuuh3470
*Paroles* La marée, je l'ai dans le cœur Qui me remonte comme un signe Je meurs de ma petite sœur, De mon enfant et de mon cygne Un bateau, ça dépend comment On l'arrime au port de justesse Il pleure de mon firmament Des années-lumière et j'en laisse Je suis le fantôme Jersey Celui qui vient les soirs de frime Te lancer la brume en baiser Et te ramasser dans ses rimes Comme le trémail de juillet Où luisait le loup solitaire Celui que je voyais briller Aux doigts du sable de la terre Rappelle-toi ce chien de mer Que nous libérions sur parole Et qui gueule dans le désert Des goémons de nécropole Je suis sûr que la vie est là Avec ses poumons de flanelle Quand il pleure de ces temps-là Le froid tout gris qui nous appelle Je me souviens des soirs là-bas Et des sprints gagnés sur l'écume Cette bave des chevaux ras Au ras des rocs qui se consument Ô l'ange des plaisirs perdus Ô rumeurs d'une autre habitude Mes désirs dès lors ne sont plus Qu'un chagrin de ma solitude Et le diable des soirs conquis Avec ses pâleurs de rescousse Et le squale des paradis Dans le milieu mouillé de mousse Reviens, fille verte des fjords Reviens, violon des violonades Dans le port fanfarent les cors Pour le retour des camarades Ô parfum rare des salants Dans le poivre feu des gerçures Quand j'allais, géométrisant, Mon âme au creux de ta blessure Dans le désordre de ton cul Poissé dans les draps d'aube fine Je voyais un vitrail de plus, Et toi, fille verte, mon spleen Les coquillages figurant Sous les sunlights cassés, liquides Jouent de la castagnette tant Qu'on dirait l'Espagne livide Dieux des granits, ayez pitié De leur vocation de parure Quand le couteau vient s'immiscer Dans leur castagnette figure Et je voyais ce qu'on pressent Quand on pressent l'entrevoyure Entre les persiennes du sang Et que les globules figurent Une mathématique bleue, Dans cette mer jamais étale D'où me remonte peu à peu Cette mémoire des étoiles Cette rumeur qui vient de là Sous l'arc copain où je m'aveugle Ces mains qui me font du fla-fla Ces mains ruminantes qui meuglent Cette rumeur me suit longtemps Comme un mendiant sous l'anathème Comme l'ombre qui perd son temps À dessiner mon théorème Et sur mon maquillage roux S'en vient battre comme une porte Cette rumeur qui va debout Dans la rue, aux musiques mortes C'est fini, la mer, c'est fini Sur la plage, le sable bêle Comme des moutons d'infini... Quand la mer bergère m'appelle
Un être suprême.. Des sens hors normes inconnus des gens du commun.. La musique des mots explosants de sens de vérité.. Ce mec courtisait l’extraordinaire.. Il est parti loin maintenant.. Tu manques à la notre culture Grand Léo chéri !!!
Des chansons belles, magnifiques, émouvantes, sensibles, inspirées, il y en a des milliers ; et pourtant, si je ne devais en retenir qu'une, alors, alors oui, je crois que ce serait celle-là. 🙌🙌
Sans Léo Ferré, Nous serions rien, Toi, dans nos coeurs, Jusqu'à la mort, Je te vis là, Dans une immense souffrance, Chaque instant Les frissons Tant de souvenirs Silencieux Et les bords de mers Dans les tempêtes Sauvages, jusqu'aux pleurs
CHEF D'OEUVRE ABSOLU ! " La mémoire et la mer, illustration musicale dense et forte de mots emmenés par le magicien Léo Ferré, qui fait des naufrages de varech, des histoires sombres qui dégoulinent dans des textes incertains, et pourtant derrière tout ça se dégage des forces violentes, la force violente d'un homme qui a tellement compris la mer, qu'il peut la chanter avec des mots qui se bousculent, qui se construisent de façon extraordinaire, le souffle de l'océan pénètre sa voix et sa musique, il est le témoin, il est l'acteur, il est l'auteur, il est l'océan pendant quelques instants puis disparait comme les vagues, parce que le propre de la vague, c'est d'arriver sur le sable et de se retirer presqu'en silence". ( Olivier de Kersauson, 2017 )
First heard Leo Ferre when I went to Toulouse for an aircraft conversion. Didn't understand the words, but liked the songs and the melody. Now understand them better. My favourite is Requiem. Regards from India
Eh oui j'écoutais cela et toujours en 1975.. Tous les albums de mon très cher. LEO FERRÉ... Lorsque l'on écoute cela... Qui mais qui pourrait être à la hauteur !! Ils peuvent s'accrocher les gogols.. Pathétiques. Les connasses et connards.... Écoutez ça a 7 h du matin sur la plage.. Merveilleux. A en mourir de beauté...
make me more human: oui, on se sent tout de suite très humain en écoutant cette chanson, mis à part la beauté de la musique et des paroles je pense que cela tient aussi au timbre de la voix de léo, une voix tellement...humaine.
poetry make us human, even in hell, even in Auswitchz, even in Kaboul, even in Gaza, even in Teheran, even in Bagdad ... Poetry is the way to freedom .
Je decouvre Leo Ferre sur le tard à l aube de mes 5O ans et je le connais encore peu et surtout (probablement) tres mal mais Je m explique mal que le public de Ferre dans les annees 60-70 ait pu etre la jeunesse de 15-25ans d alors ? ..Ses textes et melodies sont tres belles mais egalement tres graves, desenchantés, melancoliques à mille lieux de l enthousiasme et de la frenesie qu on a à cet age normalement....Et dieu sait si la jeunesse de ces decennies là voulait aller de l avant et etait particulierment enjouée....C est pour moi un anachronisme que je ne m explique pas! 🤔...Si quelqu un se sent la plume de me l expliquer en quelques phrases, c est avec gand plaisir que je le lirai! 🙏
Je vais tenter de vous transmettre mon vécu, me retrouvant personnellement être l'un des sujets de votre étonnement. J'ai été confronté à ce personnage vers mes 8-10 ans par une émission de télévision en l'écoutant répondre à un journaliste des propos inintelligibles pour un enfant étonné que j'étais et qui a déclaré à sa maman "Il est fou ce monsieur" effectivement vers mes 17 ans je me suis mis à trouver que sa poésie et musique souvent brute, engagée, sincère, mélancolique, écorchée, érudite, me touchait, d'une manière particulière et à petite dose, à un niveau à peu près équivalent que la poésie et musique de Brel, Gainsbourg, Brassens. Tous différents mais tous écoutés avec une immense satisfaction de me nourrir de qualités que les autres compositeurs ne parvenaient pas à me donner au delà d'un sentiment global de musique récréative très distrayante des top 50 de nos radios. Chez Ferré et ces auteurs, le niveau de qualité est une garantie de qualité et aussi le sentiment de se nourrir vraiment sans risque de se tromper, un snobisme aussi, de se penser à part du grand lot commun des légèretés radiophoniques. Donc une nourriture mais certainement non focalisée et monolithique, car comme pour beaucoup de personnes, il m'est impossible d'écouter long temps ces auteurs remarquables sans finir vite par avoir besoin de changer de style, pour sortir d'un sentiment d'ennui et de lassitude, vivre d'autres choses, mais y revenir, souvent, régulièrement, avec amour! Toujours, maintenant à mes 60ans, avec autant de plaisir qu'à mes 10 ans! Avec amour! pour tous ces auteurs, Avec amour!
Paroles : La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne Un bateau, ça dépend comment on l'arrime au port de justesse Il pleure de mon firmament des années lumières et j'en laisse Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les soirs de frime Te lancer la brume en baiser et te ramasser dans ses rimes Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire Celui que je voyais briller Aux doigts de sable de la terre Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur parole Et qui gueule dans le désert des goémons de nécropole Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de flanelle Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle Je me souviens des soirs là-bas et des sprints gagnés sur l'écume Cette bave des chevaux ras, au raz des rocs qui se consument Ô l'ange des plaisirs perdus, ô rumeurs d'une autre habitude Mes désirs, dès lors, ne sont plus Qu'un chagrin de ma solitude Et le diable des soirs conquis avec ses pâleurs de rescousse Et le squale des paradis dans le milieu mouillé de mousse Reviens fille verte des fjords, reviens violon des violonades Dans le port fanfarent les cors, pour le retour des camarades Ô parfum rare des salants, dans le poivre feu des gerçures Quand j'allais, géométrisant, mon âme au creux de ta blessure Dans le désordre de ton cul, poissé dans des draps d'aube fine Je voyais un vitrail de plus Et toi fille verte, mon spleen Les coquillages figurant sous les sunlights, cassés, liquides Jouent de la castagnette tant qu'on dirait l'Espagne livide Dieux de granit, ayez pitié de leur vocation de parure Quand le couteau vient s'immiscer dans leur castagnette figure Et je voyais ce qu'on pressent quand on pressent l'entrevoyure Entre les persiennes du sang et que les globules figurent Une mathématique bleue, dans cette mer jamais étale D'où me remonte peu à peu Cette mémoire des étoiles Cette rumeur qui vient de là, sous l'arc copain où je m'aveugle Ces mains qui me font du fla-fla, ces mains ruminantes qui meuglent Cette rumeur me suit longtemps comme un mendiant sous l'anathème Comme l'ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème Et sous mon maquillage roux s'en vient battre comme une porte Cette rumeur qui va debout, dans la rue, aux musiques mortes C'est fini, la mer, c'est fini, sur la plage, le sable bêle Comme des moutons d'infini Quand la mer bergère m'appelle
@@jean-pierrebernigaud8130 Donc vous n'avez rien compris mais comme c'est Léo Ferré (que j'apprécie beaucoup. L'opéra du pauvre (franc-maçon ?) est musicalement un chef-d'œuvre) On dit qu'c'est génial même si on a rien compris.
Dans les Basses-Alpes de Provence,j'ai échoué à un entretien d'embauche(d'étrange idée de test candidat ; choix artistique (,directeur masculin) en exprimant mon attrait pour cette belle chanson(Recalée...)Il aimait peut être plus Celine ?? Elle dresse le tableau de cette contradiction ,qu'il existe entre la beauté des paysages et du coeur de ses habitants.Ou de ses touristes tourmentés.Le sable,les rochers,la mer les « « «Carmaguaises » splendides juments sauvages implantées dans ces paysages voisinent à une centaine de km ,la culture Corrida et sacrifice de Taureau.()B.B ne s'en ait pas tant offusquée ,entre les phoques et les moutons .Grand concours de convoitise..On veut pas se payer des enquêtes dle luxe à retrouver les assassins de jeunes femmes trouvées mortes dans des immenses propriétés privées.Les hommes vivent comme des sacs troués,quand c'est pas par l'alcool c'est au couteau (ou autre arme «marché noir» Darwin ne serait pas surpris de l'évolution des espèces.Voilà,le reflet poisseux de cette belle chanson.Elle mériterait un prix d'un festival de Polars Musical.Ça existe pas peut être,on va le créer.
The tide, I have it in the heart Which comes in me again like a sign I die of my little sister Of my child and of my swan A boat it depends on how It is secured to the harbor, barely. Some lightyears are crying down from my firmament and I leave some behind I'm the ghost of Jersey the one that comes the evenings of show Throwing at you the mist as kisses And picking you up in his rhymes Like the trammel of July Where the lone wolf was glinting The one I was seeing shine At the fingers of sand of the earth Remember that sea dog That we were setting free on parole And who barks like mad in the desert Of wracks from some necropolis. I'm sure that life is there With its flannel lungs When it cries of those weathers The cold, all grey, which is calling us I remember evenings over there And sprints won over the foam That slobber of the short-haired horses At the level of the rocks which are wasting away Oh the angel of lost pleasures Oh rumor of an other habit My desires from then on are nothing more but a sorrow of my loneliness And the devil of the conquered evenings With his palenesses of rescue And the shark of the paradises In the environment wet with mosses Come back green girl of the Fjords Come back fiddle of the violin bands In the harbor, the horns are clamoring For the return of the comrades Oh rare perfume of the salants In the pepper fire of the chappings When I was going while geometric-ing My soul at the hollow of your wound In the disorder of your ass Nabbed in the sheets made of thin dawn I was seeing one more stained glass window. And you green girl, my spleen. The sea shells acting a minor part Under the broken liquid sunlights Playing so much castanets That it looked like Spain, livid God of the granites have mercy Of their vocation of finery When the knife comes to interfere in Their castanet figure And I was seeing what one has a foreboding of When we have a premonition of the glimpse Between the shutters of the blood And that the corpuscules represent A blue mathematic In that sea which is never slack From which comes in again little by little towards me That memory of the stars That rumor coming from there Under the friendly arc where I blind myself Those hands which show off to me Those ruminatning hands that moo That rumor follows me for a long time Like a beggar under the anathema Like the shadow which loses its time Drawing my theorem And on my red make-up Comes beating like a door That rumor which goes standing In the street filled with dead musics It's over the sea, it's over On the beach, the sand bleats Like sheeps of infinite When the shepherdess sea is calling me
60 ans car :poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées : (La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots) Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide. Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré.
"La mémoire et la mer", "Avec le temps", "Tu ne dis jamais rien"... dans dix mille ans, elles seront toujours les plus belles chansons de langue française, jamais écrites. Ferré a laissé à nos émotions un catalogue d'humanité et de poésie tellement inépuisable ! Merci Léo !
Bravo pour le catalogue d’émotion et de poésie
faut pas oublier Richard
Cette puissante poésie, de celles qui changent le monde, nous n'en avons pas maintenant, et elle change toujours le monde .
Sublime ...dans les veines terrestres du grand rimbaud ...son frère dans l' immortalité de la poésie accrochée à la mémoire des étoiles....
A en pleurer !
Oui vraiment
282 likes pour l'une des plus belles chansons françaises de tous les temps... ça en dit long sur la culture de la médiocrité qui régit la variété hexagonale depuis maintenant des années.
Tout à fait
Ok , une très belle chanson effectivement. Mais pourriez vous m'expliquer ce qu'il raconte. N'étant pas initié, j'ai des lacunes.
@@meuuuhmeuuuh3470bonjour, il évoque des souvenirs de Bretagne et de Normandie
Je te dirai mes larmes sur cette chanson avec une femme que j aimais… une artiste capable de me déballer la chaconne comme ça à midi pour moi tout seul….
Owh frérot, ton commentaire en dis plus sur toi que le nombre de like en dit sur l’état de la culture française .
Prends soin de toi, c’était y’a 2ans, j’espère que t’es plus aussi aigri , je te le souhaite en tout cas 👯♂️👯♂️
je ne connaissais pas cette chanson c'est un vrai chez d'œuvres c'est paroles sont extraordinaires je ne sais comment exprimé mon émotion tellement que ces paroles sont belles je pleure quand je l'écoute merci Léo Ferré pour cette chanson merci l'artiste pour ce que tu nous fait
L'un des plus beaux textes de la littérature française !
Je souscris à cent pour cent
pas question d'érudition, de culture, de connaissances avec Léo Férré , il te parle , il fait naitre en toi des images, des sons, des senteurs, des affections et des révulsions, en aucun cas il n'est sujet a des débats philosophiques ou érudits, il parle aux gens, méme aux gens qui ne savent pas qu'ils ont un "gens" en eux ..
Sans aucun doute le morceau ( les paroles , cette façon d'apporter du surréalisme ( alors consacré uniquement à la peinture avant ce texte ) , la musique , ce fond d'ensemble de cordes lourd , cette mélodie et j'en passe car je pourrais en faire une dissertation de 310 pages ! ) qui a changé ma vie , ma conception de beaucoup de choses a été ébranlé , ....et la façon d'écrire mes textes et mes poèmes en on été impacté . Tout comme mon cœur qu'il l'a tout autant été et continue de l'être à chaque écoute . Ca me bouleverse et me transperce . Merci Léo
Je ne sais pas si tu connais cette version .
ua-cam.com/video/fnMhUCu5reU/v-deo.html
Peut être ce que j'ai écouté de plus beau.
@@yodeval5937 Tient salut tu es la toi ? !!!!! ca fait plaisir de te retrouver ici ! Oh oui je connais la version que tu as envoyé en lien ......J'en ai le coeur qui m'en coule à travers les yeuw à chaque fois ....Il y a aussi une version mise en image ( dans les premières recommandé quand on tape le titre de ce morceau ) qui est très bien fait ! Merci Yod et à bientot au détour d'un coin de youtube :) Bisouilles mon poto
@@TomTom-lj7px
Très bel hommage à notre immense Leo ferré. Moi je l ai découvert à 14 ans et aujourd'hui J en ai 60.
Je me ferai enterrer avec sa photo
Et ses vynils
@@pascalmalaurie1830 ......Je suis sans doute un peu trop jeune , ( bien que je bascule entre deux âges !!!! ) .....Mais je trouve , et ca c'est personnel et sans jugement , que les chansons et les textes de Ferré on un autre impact à partir du moment ou il commence lui mème a vieillir ......Je trouve par exemple que la chanson " 20 ans " prends une autre dimension quand il l'a chante quand il est plus agé , comme si c'était écrit pour être chanté plus tard
@@TomTom-lj7px
C est vrai que Leo a pris une envergure énorme en prenant de l age. Ses textes ciselés au couteau
La magie de ses musiques
La profondeur de ses mots nous bouffent les tripes et le reste.
En écoutant Leo moi aussi les frissons me prennent me font partir ailleurs et cela depuis 46 ans.
Pourquoi ? Je ne sais pas trop
Ou plutôt je le sais trop !
Notre vécu d enfance ? Notre sensibilité ? Ou tout simplement
Percuté de plein fouet à 14 ans par une œuvre considerable de beauté ?
Mais ferré est il accessible à tout le monde ? Je ne pense pas
Sans prétention je pense que Leo
N est compris et aimer que par des gens assez rare. Ses plus belles œuvres ? Avec le temps est une perfection d un résumé de vie.
La mémoire et la mer. L amour fou
Petite. A st German des prés. On s aimera. Ca te va. Et tant d autres.
Amitiés mon ami ferriste👌👌
Le plus GRAND...........Oui...c´est une des plus belles chansons françaises. Un bonjour du Portugal - 18/06/2021.
CHEF D'OEUVRE ABSOLU !!! Pas pris une ride depuis presque 50 ans .... Poésie intemporelle qui me fait pleurer de joie à chaque fois .... MERCI LEO !!!
Oui, effectivement, d'une extrême beauté mais pourriez vous m'expliquer ce qu'il veut dire ?
Je n'en connais pas les sens , seul Bernard Lavilliers a eu l'honneur de certaines clés mais pas toutes de la part de Léo.Je vis au Brésil près des plages tropicales qui n'ont à voir avec la côte de granit rose... Juste se faire bercer par l'océan des notes et l'écume des mots...
@@meuuuhmeuuuh3470
*Paroles*
La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur,
De mon enfant et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années-lumière et j'en laisse
Je suis le fantôme Jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts du sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au ras des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus
Ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens, fille verte des fjords
Reviens, violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans les draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi, fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés, liquides
Jouent de la castagnette tant
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux des granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Dans cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sur mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini...
Quand la mer bergère m'appelle
🖤🖤🖤
🙌
Meloncolique triste et pourtant sublimissime / JACOB 😢
🤩 ❤
Un être suprême..
Des sens hors normes inconnus des gens du commun..
La musique des mots explosants de sens de vérité..
Ce mec courtisait l’extraordinaire..
Il est parti loin maintenant..
Tu manques à la notre culture Grand Léo chéri !!!
Tellement vrai, chaque nouvelle journée ,ce n'est que d'y bonheur .
Un chef-d'oeuvre l expression fabuleuse des mots l expression sublime de mots qui tissent un poème français magnifique...
Des chansons belles, magnifiques, émouvantes, sensibles, inspirées, il y en a des milliers ; et pourtant, si je ne devais en retenir qu'une, alors, alors oui, je crois que ce serait celle-là. 🙌🙌
Un géant de la chanson françaises leo repose en paix
Tu m'as souvent consolé et appris Léo ! Tu me consoles encore et ta mémoire est présente en ce moment et pour longtemps ! Merci !!
Pareillement. Il plonge dans les rêves et nous en fait ressortir plus fort ou plus triste où comme on veut mais il rassure de ses textes
Quand tout va plus mal que mal, je me rapelle que j'aime Léo Férré, sa poésie, et que je ne suis pas tout a fait perdu ..
Sans Léo Ferré,
Nous serions rien,
Toi, dans nos coeurs,
Jusqu'à la mort,
Je te vis là,
Dans une immense souffrance,
Chaque instant
Les frissons
Tant de souvenirs
Silencieux
Et les bords de mers
Dans les tempêtes
Sauvages, jusqu'aux pleurs
La plus belle chanson de tous les temps!
De la poésie brut de fonderie ! Magnifique !
Ariistiide bruant
Je
CHEF D'OEUVRE ABSOLU !
" La mémoire et la mer, illustration musicale dense et forte de mots emmenés par le magicien Léo Ferré, qui fait des naufrages de varech, des histoires sombres qui dégoulinent dans des textes incertains, et pourtant derrière tout ça se dégage des forces violentes, la force violente d'un homme qui a tellement compris la mer, qu'il peut la chanter avec des mots qui se bousculent, qui se construisent de façon extraordinaire, le souffle de l'océan pénètre sa voix et sa musique, il est le témoin, il est l'acteur, il est l'auteur, il est l'océan pendant quelques instants puis disparait comme les vagues, parce que le propre de la vague, c'est d'arriver sur le sable et de se retirer presqu'en silence". ( Olivier de Kersauson, 2017 )
First heard Leo Ferre when I went to Toulouse for an aircraft conversion. Didn't understand the words, but liked the songs and the melody. Now understand them better. My favourite is Requiem. Regards from India
Merci à Lucien, Xena et Léo de m'avoir fais découvrir ceci...
Merci Esmé pour cette scène.
Merci Léo.
De la pure poésie 💓
Tout simplement sublime…lleno de emociones…
Michel du Chili
Quel grand compositeur interprète
Merci Léo Ferré
Eh oui j'écoutais cela et toujours en 1975.. Tous les albums de mon très cher. LEO FERRÉ... Lorsque l'on écoute cela... Qui mais qui pourrait être à la hauteur !! Ils peuvent s'accrocher les gogols.. Pathétiques. Les connasses et connards....
Écoutez ça a 7 h du matin sur la plage.. Merveilleux. A en mourir de beauté...
Comment, comment , peut-on mettre un dislike à ce moment d'éternité ?????
From iraq_baghdad.....thanks for best music and best filling...
bravo l'artiste tout simplement
Éternel 🎙🎼🕊🚀🌌
V est.un.ange quz.Dieu.le garde a ses cotes.pour.ses.melodies
A l'anarchiste ont peut que marché les yeux baisse honneur a toi cher frère
Une merveille
Ni dieu..Ni Maitre..❤
From Iraq I like this fous.....make me more human..
make me more human: oui, on se sent tout de suite très humain en écoutant cette chanson, mis à part la beauté de la musique et des paroles je pense que cela tient aussi au timbre de la voix de léo, une voix tellement...humaine.
poetry make us human, even in hell, even in Auswitchz, even in Kaboul, even in Gaza, even in Teheran, even in Bagdad ... Poetry is the way to freedom .
Une belle chanson !!
Pour moi cette chanson est la plus belle de son oeuvte à chaque fois je l'écoute religieusement m^me si je suis athée.
MAGNIFIQUE !
C'est ma chanson préférée ❤
Une larme coule.....
Merci Pepe ferre!!
Superbe ❤😂🎉😢😮😅😊
Très jolie chanson
Ça tue.
la plus belle ...
merci ,
Très belle reprise aussi d'Hubert-Félix thiefaine
Je decouvre Leo Ferre sur le tard à l aube de mes 5O ans et je le connais encore peu et surtout (probablement) tres mal mais Je m explique mal que le public de Ferre dans les annees 60-70 ait pu etre la jeunesse de 15-25ans d alors ? ..Ses textes et melodies sont tres belles mais egalement tres graves, desenchantés, melancoliques à mille lieux de l enthousiasme et de la frenesie qu on a à cet age normalement....Et dieu sait si la jeunesse de ces decennies là voulait aller de l avant et etait particulierment enjouée....C est pour moi un anachronisme que je ne m explique pas! 🤔...Si quelqu un se sent la plume de me l expliquer en quelques phrases, c est avec gand plaisir que je le lirai! 🙏
Il devait passer par les étoiles, il suffit d'ouvrir les yeux pour les regarder briller.
Je vais tenter de vous transmettre mon vécu, me retrouvant personnellement être l'un des sujets de votre étonnement.
J'ai été confronté à ce personnage vers mes 8-10 ans par une émission de télévision en l'écoutant répondre à un journaliste des propos inintelligibles pour un enfant étonné que j'étais et qui a déclaré à sa maman "Il est fou ce monsieur" effectivement vers mes 17 ans je me suis mis à trouver que sa poésie et musique souvent brute, engagée, sincère, mélancolique, écorchée, érudite, me touchait, d'une manière particulière et à petite dose, à un niveau à peu près équivalent que la poésie et musique de Brel, Gainsbourg, Brassens. Tous différents mais tous écoutés avec une immense satisfaction de me nourrir de qualités que les autres compositeurs ne parvenaient pas à me donner au delà d'un sentiment global de musique récréative très distrayante des top 50 de nos radios. Chez Ferré et ces auteurs, le niveau de qualité est une garantie de qualité et aussi le sentiment de se nourrir vraiment sans risque de se tromper, un snobisme aussi, de se penser à part du grand lot commun des légèretés radiophoniques.
Donc une nourriture mais certainement non focalisée et monolithique, car comme pour beaucoup de personnes, il m'est impossible d'écouter long temps ces auteurs remarquables sans finir vite par avoir besoin de changer de style, pour sortir d'un sentiment d'ennui et de lassitude, vivre d'autres choses, mais y revenir, souvent, régulièrement, avec amour! Toujours, maintenant à mes 60ans, avec autant de plaisir qu'à mes 10 ans! Avec amour! pour tous ces auteurs, Avec amour!
@@famillebuchmann117 Merci pour votre retour d experience👍
Paroles :
La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment on l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras, au raz des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus, ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs, dès lors, ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords, reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors, pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants, dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant, mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul, poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant sous les sunlights, cassés, liquides
Jouent de la castagnette tant qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granit, ayez pitié de leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang et que les globules figurent
Une mathématique bleue, dans cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là, sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla, ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux s'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout, dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini, sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle
Bonjour ❤❤❤❤❤❤❤
Bonjour ❤😂🎉😢😮😅😊 super
Superbe ❤😂🎉😢😮😅😊 bonjour
❤😂🎉😢😮😅😊 superbe
Peut-on créer un texte plus intense ?
Cela semble effectivement très compliqué!
Mister Georgia,comme à Ostende mes préférées. Tu connais Sébastien Bach
Superbe chanson d'un chanteur du peuple et des ouvriers. Mais quelqu'un peut il me traduire les paroles ?
Il ne faut pas traduire juste se laisser porter, c’est le pouvoir de la vraie poésie
Respect pour le vieux Léo…
@@jean-pierrebernigaud8130
Donc vous n'avez rien compris mais comme c'est Léo Ferré (que j'apprécie beaucoup. L'opéra du pauvre (franc-maçon ?) est musicalement un chef-d'œuvre) On dit qu'c'est génial même si on a rien compris.
Traduire en français les paroles d’un poète français, je ne vous dirai pas ce q je pense de cette idée absurde
@@jean-pierrebernigaud8130
Pourriez vous donc expliquer le sens de cette poésie ?
Ça ne se fait pas en trois lignes
Ce serait un vrai travail d’écriture
On a demandé à Aznavour quelle est la chanson que vous aurez aimè écrire
Il a dit " avec le temps "
❤🌟❤
❤❤❤
Dans les Basses-Alpes de Provence,j'ai échoué à un entretien d'embauche(d'étrange idée de test candidat ; choix artistique (,directeur masculin) en exprimant mon attrait pour cette belle chanson(Recalée...)Il aimait peut être plus Celine ?? Elle dresse le tableau de cette contradiction ,qu'il existe entre la beauté des paysages et du coeur de ses habitants.Ou de ses touristes tourmentés.Le sable,les rochers,la mer les « « «Carmaguaises » splendides juments sauvages implantées dans ces paysages voisinent à une centaine de km ,la culture Corrida et sacrifice de Taureau.()B.B ne s'en ait pas tant offusquée ,entre les phoques et les moutons .Grand concours de convoitise..On veut pas se payer des enquêtes dle luxe à retrouver les assassins de jeunes femmes trouvées mortes dans des immenses propriétés privées.Les hommes vivent comme des sacs troués,quand c'est pas par l'alcool c'est au couteau (ou autre arme «marché noir» Darwin ne serait pas surpris de l'évolution des espèces.Voilà,le reflet poisseux de cette belle chanson.Elle mériterait un prix d'un festival de Polars Musical.Ça existe pas peut être,on va le créer.
I'd love to see this lyrics in english, cause translate always give wrong things. I want to see this in his special meaning in english. :( help me
The tide, I have it in the heart
Which comes in me again like a sign
I die of my little sister
Of my child and of my swan
A boat it depends on how
It is secured to the harbor, barely.
Some lightyears are crying down
from my firmament and I leave some behind
I'm the ghost of Jersey
the one that comes the evenings of show
Throwing at you the mist as kisses
And picking you up in his rhymes
Like the trammel of July
Where the lone wolf was glinting
The one I was seeing shine
At the fingers of sand of the earth
Remember that sea dog
That we were setting free on parole
And who barks like mad in the desert
Of wracks from some necropolis.
I'm sure that life is there
With its flannel lungs
When it cries of those weathers
The cold, all grey, which is calling us
I remember evenings over there
And sprints won over the foam
That slobber of the short-haired horses
At the level of the rocks which are wasting away
Oh the angel of lost pleasures
Oh rumor of an other habit
My desires from then on are nothing more
but a sorrow of my loneliness
And the devil of the conquered evenings
With his palenesses of rescue
And the shark of the paradises
In the environment wet with mosses
Come back green girl of the Fjords
Come back fiddle of the violin bands
In the harbor, the horns are clamoring
For the return of the comrades
Oh rare perfume of the salants
In the pepper fire of the chappings
When I was going while geometric-ing
My soul at the hollow of your wound
In the disorder of your ass
Nabbed in the sheets made of thin dawn
I was seeing one more stained glass window.
And you green girl, my spleen.
The sea shells acting a minor part
Under the broken liquid sunlights
Playing so much castanets
That it looked like Spain, livid
God of the granites have mercy
Of their vocation of finery
When the knife comes to interfere in
Their castanet figure
And I was seeing what one has a foreboding of
When we have a premonition of the glimpse
Between the shutters of the blood
And that the corpuscules represent
A blue mathematic
In that sea which is never slack
From which comes in again little by little towards me
That memory of the stars
That rumor coming from there
Under the friendly arc where I blind myself
Those hands which show off to me
Those ruminatning hands that moo
That rumor follows me for a long time
Like a beggar under the anathema
Like the shadow which loses its time
Drawing my theorem
And on my red make-up
Comes beating like a door
That rumor which goes standing
In the street filled with dead musics
It's over the sea, it's over
On the beach, the sand bleats
Like sheeps of infinite
When the shepherdess sea is calling me
Cette chanson me bouleverse 😑. Cependant, le texte est d'une telle complexité ! J'avoue ne rien y comprendre...🤔 quelqu'un peut-il m'éclairer ?💜 merci
Bien malin celui qui pourra dire "je comprend et je t'explique" . Si tu sens que tu es bouleversée, que des larmes te montent , alors tu as compris .
@@wildux8221 oui, c'est ça 🥹🙏
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Bonjour ❤😂🎉😢😮😅😊
Bonjour ❤😂🎉😢😮😅😊😂🎉❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤
❤😂🎉😢😮😅😊
un poème
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CHEF D'OEUVRE ABSOLU !!! Pas pris une ride depuis presque 50 ans .... Poésie intemporelle qui me fait pleurer de joie à chaque fois .... MERCI LEO !!!
🌹
60 ans car :poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées :
(La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots)
Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide.
Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré.
Superbe ❤😂🎉😢😮😅😊
Bonjour ❤😂🎉😢😮😅😊
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Bonjour ❤😂🎉😢😮😅😊
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Bonjour ❤😂🎉😢😮😅😊
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Bonjour ❤😂🎉😢😮😅😊
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pas que pour les diabétiques...