j'ai ressorti mon encyclo des symboles et la traduction "sous le sceau du silence" comme tu as dis semble le plus proche. Mais quand j'avais regardé le film, c'est la conclusion du narrateur qui, pour moi, donnait ce sens au titre. Sympa cette idée de vidéo.
Merci beaucoup! Et pour le coup j'ai découvert l'expression "sub rosa" / "sous le sceau du silence" en faisant mes recherches pour cette vidéo :-)
Un des films préférés de mon père.
Je ne l'ai vu qu'une seule fois, sa jaquette m'avait longtemps rebuté, finalement j'eus tord, un vrai film de détective au Moyen-Age.
Je vais d'ailleurs montrer cette vidéo à mon paternel en lui posant cette question, pourquoi ce titre ? ;-)
Eh bien merci! :-) Tout pareil, à la base je trouve que le film est pas très vendeur. Mais pourtant, une fois plongé dedans: quelle claque!
J'ai regardé ce film quand j'ai fait ma pre-pro et je l'ai beaucoup aimé. En tout cas ce discours à la fin du film est vraiment poignante !
Merci :-) Et j'avoue que c'était un plaisir de le re-découvrir parce que ça faisait looooongtemps que j'avais envie de le revoir. De mon côté on nous l'avait projeté en fin de formation. En tant que bibliothécaire, on pouvait pas y couper.
J'ai connu un syndicaliste CGT, grand buveur de 1664, assidu aux pauses "syndicales" et connaissant par coeur les revendications salariales des 15 dernières années... Bref, il ne travaillait pas beaucoup...
Un jour il me dit que _Le nom de la rose_ est son film préféré. Comme j'etais surpris il m'explique: "Bah ouais, a la fin il y a une bibliothèque qui brule".
Le bibliothécaire que je suis frissonne à la lecture de ce commentaire
En allant dans la playliste de 'C'est quoi ce titre?' j'y ai vu trois titres incongrus. C'est voulu?
Merci beaucoup pour la remarque! J'ai tendance à ajouter des vidéos dans ma playlist "à regarder plus tard" et parfois l'automatisation Youtubienne fait que ça se déplace dans mes propres playlists... Il faut que j'y fasse un ménage :-) Merci beaucoup en tout cas!
ok on as la meme analyse c est sur c est ca enfin je crois . un abonne de plus
Il serait sympa, une vidéo pour Le film Cinéma Paradise
C'est très vrai! Je l'ai enfin découvert il y a de cela 2 ans et j'ai toujours eu envie de me lancer dans une analyse du film. Ça se fera certainement un jour :)
Pour moi, c'était juste le nom de la fille, mais c'est intéressant, tout ca !
Mais merci l'ami! Et si ça se trouve c'est que le nom de la fille... on ne sait guère! Peut-être que je m'arrache les cheveux pour rien sur ces histoires... ce qui expliquerait cette chauvitude qui garnit mon crâne.
bon j ai mon idee je me suis a 20seconde pour voir si on a la meme analyse pour moi c est le nom de la fille ( qu il ne connais pas )
C'est juste le nom de la fille... Pourquoi ? Simplement Enzo en tombe dingue amoureux et pour lui ia quête de vérité c ne est la sauver du bûcher alors que son maitre lui est au final a la recherche d'un livre. La valeur de ce livre n'est rien comparé a l'amour de sa vie... D'ailleurs il le dit a la fin..... Il y a pensé TOUTE SA VIE...
C'est malin de divulgâcher le film 😞
J'aurais effectivement pu prévenir mais je pense que quand on vient découvrir pourquoi un film s'appelle de telle manière, c'est qu'on s'attend à en apprendre pas mal sur l'intrigue :-) En plus je révèle pas du tout qui est le meurtriologue.
Ha ! Ce titre là, faut oser ! Franchement bravo.
Le nom.
Le premier roman d'Umberto Eco se déroule dans son 'jardin' en tant que sémiologue médiéviste. Le sémiologue s'intéressant aux 'signes' (création, évolution, etc) comme le symbole de la rose. Mais l'époque choisie est celle d'une ouverture, et querelles, des théologiens aux textes non canoniques dont ceux d'Aristote. Et c'est d'ailleurs Saint Thomas d’Aquin qui sera la vedette de ce renouveau, le 'Maître' de Guillaume de Baskerville. Et en même temps l'Europe reçoit l'influence des poètes musulmans au sujet de la Rose comme symbole (Voyez la 'Divine Comédie')
La rose.
Adso de Melk est une andouille. C'est pas méchant, Eco l'a voulu ainsi. Il transcrit fidèlement ce qu'il a vu et entendu mais ne pige rien des enjeux politiques des différents ordres religieux ou des courants philosophiques en lutte. Mais contrairement à Guillaume il a vraiment connu 'la chose'. Mais il n'en gardera qu'un regret.
Bref.
Toutes les actions sont motivées dans ce livre par un désir de connaitre quelque chose. Même Jorgé n'est pas si terrible dans le livre et cherche à protéger ses petits. Mais de toutes ces actions il ne restera rien. Chacun cherche sa rose et finalement il ne reste que son nom.
Merci pour cette magnifique analyse et retour du bouquin! Je n'ai malheureusement pas encore pris le temps de lire ce livre, mais je pense que je vais essayer de me le procurer cette année. Ce sera mon premier Umberto Eco tiens!
@@ProjetsVentilo Excellent début pour découvrir Eco. Il y a beaucoup à dire sur l'adaptation. Entre autre sur le passage à l'image de la complexité d'un labyrinthe, lol. Mais attention, Eco ne fait pas de concession aux lecteurs. Même si la scène d'introduction du personnage de Baskerville est joyeusement un pastiche des romans de Conan Doyle il faut s’accrocher. Quand Adso décrit les bas reliefs de la porte de l'église on sent la lourdeur de la pierre lol. Lire ce que dit Salvatore ( Ron Perlman) est un exercice en soi ! Mais c'est pas grave, on zappe et on y revient. Bonne lecture.