Pour pouvoir être analysé par les pairs, tu dois le faire en anglais ce qui permet la mobilité internationale :) Une langue véhiculaire :p C'est dommage car on doit l'apprendre et on massacre l'anglais mais au moins tu n'as plus de barrière. Dans l'histoire des sciences, certaines découvertes majeures ont et découverte tard dû à cette barrière (des publications en Néerlandais envoyé dans les presses scientifiques anglaises par exemple)
Pour l'anecdote de Leuweenhoeck : Il en fait part immédiatement et régulièrement à la Royal Society de Londres, mais la nécessaire traduction de ses lettres (écrites en néerlandais) - il ne maîtrise ni l’anglais ni le latin - en freine la diffusion.
@@prdevisleorleandre1337 je sais tout ça, je suis moi-même un scientifique québécois. Mais de là à tenir nos réunions internes en anglais ?!?!? Voilà un pas que nous, les Québécois, ne voulons pas franchir. C’est une frontière à la colonisation intellectuelle que nous tenons avec fermeté. Nous tenons le fort linguistique et nos capacités cognitives ne s’en portent que mieux. Les scientifiques québécois sont pourtant mondialement reconnus pour leur maîtrise du bilinguisme scientifique anglais - français. Mais chez nous, c’est en français que ça se passe et que ça discute et échange. Je participe couramment à des réunions savantes au Québec et c’est en français. Si on sort de l’état québécois, c’est en anglais. C’est ainsi.
Un grand merci à Audrey pour sa passion de partage, vous êtes lumineuse
On l’aime beaucoup aussi 🙂
Bonjour Audrey je suis du CM1CM2 de madame Nicolas
Merci pour la dictée
Dommage que le travail de recherche se fasse en anglais et ce, en France.
Pour pouvoir être analysé par les pairs, tu dois le faire en anglais ce qui permet la mobilité internationale :)
Une langue véhiculaire :p
C'est dommage car on doit l'apprendre et on massacre l'anglais mais au moins tu n'as plus de barrière.
Dans l'histoire des sciences, certaines découvertes majeures ont et découverte tard dû à cette barrière (des publications en Néerlandais envoyé dans les presses scientifiques anglaises par exemple)
Pour l'anecdote de Leuweenhoeck : Il en fait part immédiatement et régulièrement à la Royal Society de Londres, mais la nécessaire traduction de ses lettres (écrites en néerlandais) - il ne maîtrise ni l’anglais ni le latin - en freine la diffusion.
@@prdevisleorleandre1337 je sais tout ça, je suis moi-même un scientifique québécois. Mais de là à tenir nos réunions internes en anglais ?!?!? Voilà un pas que nous, les Québécois, ne voulons pas franchir. C’est une frontière à la colonisation intellectuelle que nous tenons avec fermeté. Nous tenons le fort linguistique et nos capacités cognitives ne s’en portent que mieux. Les scientifiques québécois sont pourtant mondialement reconnus pour leur maîtrise du bilinguisme scientifique anglais - français. Mais chez nous, c’est en français que ça se passe et que ça discute et échange. Je participe couramment à des réunions savantes au Québec et c’est en français. Si on sort de l’état québécois, c’est en anglais. C’est ainsi.
Merci Audrey Dussutour, vous êtes passionnante j'ai trouvé, je pense un blob sauvage et je vais expérimenter .
Tu la repeter
@@ezekiells8828 oui ça marche bien
Tu es gentille on dirait♥