Question posée aux professeurs Thierry Petit et Marc Spielmann: S'il est parfois préférable d'envisager de traiter en adjuvant une patiente mutée BRCA, ayant une réponse PCR partielle au vu des résultats d'analyse de la pièce opératoire, avec des anti PARP (Olaparib) plutôt que par immunothérapie, pourquoi les patientes mutées PALB2 ayant une telle réponse PCR (ce qui est mon cas) ne peuvent-elles pas accéder actuellement au traitement par anti PARP? Quelle est la logique d'exclusion de telles patientes de ce type de traitement?
l'imunothérapie j'en suis revenue....malheureusement sans mon pauvre époux qui a tant souffert durant six mois. il aura très certainement perdu la vie à prendre ce traitement avec des effets secondaires tels que analyses sanguines relevant toujours des inflammations ou infections ça! ils n'ont jamais vraiment compris eux même et jamais décidé de lui arrêter ce traitement, il avait de la fièvre presque toujours ils ne mettaient jamais cela sur le dos de l'immunothérapie alors que cela est sur la liste des effets secondaire, ils préféraient chercher le problème ailleurs alors que c'est eux qui lui administraient. il aura à la seconde injection passé une nuit épouvantable de douleurs au dos juste derrière la chambre peut être les poumons alors j'en ai fait par pour que l'oncologue le sache l'a t'elle sut. au dernier mois il aura eu un épanchement pulmonaire et dans les derniers quinze jours un caillot de sang au cerveau puis s'en ai suivie les méninges de pris du coup il est parti de cette on va dire méningite plus que de son cancer à proprement parlé car lui aux derniers IRM il n'avait pas flambé. Personne ne se sera interrogé (ils cherchaient toujours une autre raison tellement persuadé de leur truc) sur tous ces symptômes et surtout! galère que mon époux vivait depuis la prise de cet immunothérapie. Pour moi lorsqu'ils sont emballés par un traitement et qu'ils y on un intérêt quelconque ils en font tout un programme déloge... entre ce que l'on nous raconte, fait croire ou persuade dans nos écrans et magazines et la réalité du vécu surtout lorsque la médecine ne s'occupe pas correctement en suivi de ses patients et ça! ce n'est pas une croyance c'est du vécu et j'en suis témoin de l'épouvantable parcours qu'aura vécu mon époux toujours en galère après galère et souffrance abominable. Le progrès c'est une chose mais les êtres humains qui se font voeux d'être la personne apte (médecins, oncologues) à gérer l'acquis du progrès et surtout le savoir faire ça fait peur
Lundi 05 Août 2024 Bonjour, Je me dois de vous dire que votre langage bien trop scientifique, n'est pas compréhensible par tout un chacun, ainsi que vos schéma trop vite retirés de l' écran! Je vous cite! Cancer du sein:Les dernières avancées en 2024. Ne serait-ce pas plutôt les, incertitudes/ hésitations, patientes/ patients cobaye ? Votre discours à ce sujet est plus " inquiétant que rassurant "! Bien à vous
Merci à vous qui faites tout pour ameliorer les conditions de vies de nos malades .merci.
Question posée aux professeurs Thierry Petit et Marc Spielmann: S'il est parfois préférable d'envisager de traiter en adjuvant une patiente mutée BRCA, ayant une réponse PCR partielle au vu des résultats d'analyse de la pièce opératoire, avec des anti PARP (Olaparib) plutôt que par immunothérapie, pourquoi les patientes mutées PALB2 ayant une telle réponse PCR (ce qui est mon cas) ne peuvent-elles pas accéder actuellement au traitement par anti PARP? Quelle est la logique d'exclusion de telles patientes de ce type de traitement?
l'imunothérapie j'en suis revenue....malheureusement sans mon pauvre époux qui a tant souffert durant six mois. il aura très certainement perdu la vie à prendre ce traitement avec des effets secondaires tels que analyses sanguines relevant toujours des inflammations ou infections ça! ils n'ont jamais vraiment compris eux même et jamais décidé de lui arrêter ce traitement, il avait de la fièvre presque toujours ils ne mettaient jamais cela sur le dos de l'immunothérapie alors que cela est sur la liste des effets secondaire, ils préféraient chercher le problème ailleurs alors que c'est eux qui lui administraient. il aura à la seconde injection passé une nuit épouvantable de douleurs au dos juste derrière la chambre peut être les poumons alors j'en ai fait par pour que l'oncologue le sache l'a t'elle sut. au dernier mois il aura eu un épanchement pulmonaire et dans les derniers quinze jours un caillot de sang au cerveau puis s'en ai suivie les méninges de pris du coup il est parti de cette on va dire méningite plus que de son cancer à proprement parlé car lui aux derniers IRM il n'avait pas flambé. Personne ne se sera interrogé (ils cherchaient toujours une autre raison tellement persuadé de leur truc) sur tous ces symptômes et surtout! galère que mon époux vivait depuis la prise de cet immunothérapie.
Pour moi lorsqu'ils sont emballés par un traitement et qu'ils y on un intérêt quelconque ils en font tout un programme déloge... entre ce que l'on nous raconte, fait croire ou persuade dans nos écrans et magazines et la réalité du vécu surtout lorsque la médecine ne s'occupe pas correctement en suivi de ses patients et ça! ce n'est pas une croyance c'est du vécu et j'en suis témoin de l'épouvantable parcours qu'aura vécu mon époux toujours en galère après galère et souffrance abominable. Le progrès c'est une chose mais les êtres humains qui se font voeux d'être la personne apte (médecins, oncologues) à gérer l'acquis du progrès et surtout le savoir faire ça fait peur
Et concernant le vaccin ucp vax en stade 2?
Une question, cancer du rein métastatique type 4. Vous donneriez l'immunothérapie?
Cancer du sein agressif HER2 triple positif avec métastases au cerveau (carcinome meningé) elle ne s en est pas sortie
Lundi 05 Août 2024
Bonjour,
Je me dois de vous dire que votre langage bien trop scientifique, n'est pas compréhensible par tout un chacun, ainsi que vos schéma trop vite retirés de l' écran!
Je vous cite!
Cancer du sein:Les dernières avancées en 2024.
Ne serait-ce pas plutôt les, incertitudes/ hésitations, patientes/ patients cobaye ?
Votre discours à ce sujet est plus " inquiétant que rassurant "!
Bien à vous