Avec mon coeur sensible Brisé mille morceaux Cabossé Du dedans En friches Flagada Grisonnant sous la peine Haletant de sanglots Incapable de dire Je me retrouve à terre Ko Livide Manant N'existant plus vraiment Objet de convoitise Piétiné sans vergogne Que l'amour Reste loin Sinistre Tambourin Ulcérant mon intime Vagabond d'infortune Wallaby sautillant Xylophone intérieur murmure déjà pourtant Y croire demain peut-être Zapper ressentiment
A quand le prochain exercice contacté par Claire ? Ben le voilà… C’est particulier comme exercice. Débile ? non, je ne crois pas. Extrêmement réfléchi comme elle aime ? Faut croire que oui. Gargarisons-nous de la connaitre et faisons-le savoir ! Hip hip hourra : je fais partie des disciples de l’atelier Lune de Plume ! Il y a plein d’autres membres disséminés de-ci de-là en Franche-Comté. J’aime bien y aller, une bonne petite équipe et on rigole bien. Kaléidoscope, oui c’est ça, elle nous fait sortir des textes hétéroclites qui s’assemblent lors de nos lectures comme s’assemblent les morceaux verre du kaléidoscope. Lectures qui génèrent fous rires et émotions. Malgré nos réticences, nos errances, notre timidité, notre panne d’imagination nous y revenons toujours. Nous y revenons pour libérer nos tensions, vivre notre imaginaire… Ou refaire notre passé. Passé simple, passé compliqué, passer le passé pour aller vers le futur, Quid du qu’en dira-t-on ? Rares sont les participants qui manquent de bienveillance, qui oserait ? Sartre de Besançon ? Tennessee Williams de Champagnole ? Ubu roi vociférant dans sa pompe à merdre ? Va nu-pieds que celui qui oserait ! Wagon d’inepties ce que nous écrivons ? Xénophobe des mots, voilà comment nous pourrions surnommer un détracteur ! Y’a plus qu’à continuer, comme d’habitude. Zut à ceux qui n’aiment pas, ils n’ont qu’à passer leur chemin… Chemin que nous ne rebrousserons pas. Et oui, il y en a certains qui sont bouche bée. Parfois les mots il faut les dépecer Ne pas rester sur sa première idée On pourrait retourner à l’école Décider de partir à bord d’un astronef On peut aussi ne rien changer Casser les convenances à coup de hache Vivre dans un bouiboui, Se voiler la face derrière un Emoji Les détracteurs, autant que faire se peut, ne pas en faire de cas Sortir de sa coquille, déployer ses ailes C’est pour ça qu’on les aime, Pendant ce temps on oublie la haine Pendant ces ateliers qui nous tirent vers le haut Parfois la pointe su stylo peut nous happer Pour produire ce que d’aucuns nommeront un torche-cul Serait-ce pour les ennuyer qu’on fait des vers sans en avoir l’air ? Par provocation qu’on leur fait remarquer qu’un mot au pluriel prend, à la fin, un « s » ? Ce que leur petit esprit ne saurait suputer… Comme à Monsieur Jourdain ou pourrait leur apprendre à prononcer un A ou un U Les faire mariner comme des petits pois à l’étuvée En leur apprenant que, dans l’alphabet, le V est suivi du W Sans hésitation ils répondront qu’ils préfèrent lire Astérix Alors n’hésitons pas à leur mettre les points sur les i grecs Le sommeil me gagne, il est l’heure de l’onomatopée finale Zzzzz…..
aime la vie Belle mais courte cool et serreine Dignité privilégié Evolution notable Finalement je suis heureuse Gaie et joyeuse je le suis Honte au placard Indépendance est mon maitre mot Julie, je me nomme kilos en trop, on s'en fou Laisse mon passé derrière Maintien de l'autonomie Nier l'évidence n'est pas bon Oeil de lynx à l'affut perplexité au placard Quel bel exercice Rigoureusement respectée la consigne silencieuse mais pas trop Tellement intéressante unique en son genre Vivacité à toute épreuve wagon à raccrocher xylophone en fond musical zenitude merci claire pour cette super proposition d'ecriture j'ai hâte de voir et d'écouter la seconde
@@ateliersdecriturelunedeplume c'est toi que je remercie vivement pour le travail accomplit tu assure vraiment bcp en tant que pro et je te respecte bcp pour cela si tu souhaite mettre mon texte sur ton blog tu as mon feux vert
-- REVE -- Allons ensemble, Bras enlacés, Côtoyer le coeur de notre Soi, Dans les profondeurs de notre être. Explorons, Fouillons, Grattons les couches de la Vie Habituellement opaques. Infatigablement, cherchons, Jouons à comprendre. Képis, serpents, trains,... Les symboles sont énergie. Maintenant nous sommes en chemin, Nous suivons le fil, Obliquons, tournons, descendons,... Profondeurs intimes Qui nous conduisent au Soi. Regards intérieurs, Sur son féminin, son masculin... Tout est là : Union des contraires, Vérité de soi. Wagons qui s'articulent en train, Xylophones à lames de Vie. Y voyons-nous plus clair ? Zizanie ou union ?
Avec mon coeur sensible
Brisé mille morceaux
Cabossé
Du dedans
En friches
Flagada
Grisonnant sous la peine
Haletant de sanglots
Incapable de dire
Je me retrouve à terre
Ko
Livide
Manant
N'existant plus vraiment
Objet de convoitise
Piétiné sans vergogne
Que l'amour
Reste loin
Sinistre
Tambourin
Ulcérant mon intime
Vagabond d'infortune
Wallaby sautillant
Xylophone intérieur murmure déjà pourtant
Y croire demain peut-être
Zapper ressentiment
C'est superbe, bravo Sylvie et merci ❤
@@ateliersdecriturelunedeplume Merci 🙂🙏
A quand le prochain exercice contacté par Claire ?
Ben le voilà…
C’est particulier comme exercice.
Débile ? non, je ne crois pas.
Extrêmement réfléchi comme elle aime ?
Faut croire que oui.
Gargarisons-nous de la connaitre et faisons-le savoir !
Hip hip hourra : je fais partie des disciples de l’atelier Lune de Plume !
Il y a plein d’autres membres disséminés de-ci de-là en Franche-Comté.
J’aime bien y aller, une bonne petite équipe et on rigole bien.
Kaléidoscope, oui c’est ça, elle nous fait sortir des textes hétéroclites qui s’assemblent lors de nos lectures comme s’assemblent les morceaux verre du kaléidoscope.
Lectures qui génèrent fous rires et émotions.
Malgré nos réticences, nos errances, notre timidité, notre panne d’imagination nous y revenons toujours.
Nous y revenons pour libérer nos tensions, vivre notre imaginaire…
Ou refaire notre passé.
Passé simple, passé compliqué, passer le passé pour aller vers le futur,
Quid du qu’en dira-t-on ?
Rares sont les participants qui manquent de bienveillance, qui oserait ?
Sartre de Besançon ?
Tennessee Williams de Champagnole ?
Ubu roi vociférant dans sa pompe à merdre ?
Va nu-pieds que celui qui oserait !
Wagon d’inepties ce que nous écrivons ?
Xénophobe des mots, voilà comment nous pourrions surnommer un détracteur !
Y’a plus qu’à continuer, comme d’habitude.
Zut à ceux qui n’aiment pas, ils n’ont qu’à passer leur chemin…
Chemin que nous ne rebrousserons pas.
Et oui, il y en a certains qui sont bouche bée.
Parfois les mots il faut les dépecer
Ne pas rester sur sa première idée
On pourrait retourner à l’école
Décider de partir à bord d’un astronef
On peut aussi ne rien changer
Casser les convenances à coup de hache
Vivre dans un bouiboui,
Se voiler la face derrière un Emoji
Les détracteurs, autant que faire se peut, ne pas en faire de cas
Sortir de sa coquille, déployer ses ailes
C’est pour ça qu’on les aime,
Pendant ce temps on oublie la haine
Pendant ces ateliers qui nous tirent vers le haut
Parfois la pointe su stylo peut nous happer
Pour produire ce que d’aucuns nommeront un torche-cul
Serait-ce pour les ennuyer qu’on fait des vers sans en avoir l’air ?
Par provocation qu’on leur fait remarquer qu’un mot au pluriel prend, à la fin, un « s » ?
Ce que leur petit esprit ne saurait suputer…
Comme à Monsieur Jourdain ou pourrait leur apprendre à prononcer un A ou un U
Les faire mariner comme des petits pois à l’étuvée
En leur apprenant que, dans l’alphabet, le V est suivi du W
Sans hésitation ils répondront qu’ils préfèrent lire Astérix
Alors n’hésitons pas à leur mettre les points sur les i grecs
Le sommeil me gagne, il est l’heure de l’onomatopée finale Zzzzz…..
Ohlala Carole bravo pour le texte et mille et un mercis pour l'hommage aux ateliers, tout y est et ça me touche beaucoup !!! ❤
aime la vie
Belle mais courte
cool et serreine
Dignité privilégié
Evolution notable
Finalement je suis heureuse
Gaie et joyeuse je le suis
Honte au placard
Indépendance est mon maitre mot
Julie, je me nomme
kilos en trop, on s'en fou
Laisse mon passé derrière
Maintien de l'autonomie
Nier l'évidence n'est pas bon
Oeil de lynx à l'affut
perplexité au placard
Quel bel exercice
Rigoureusement respectée la consigne
silencieuse mais pas trop
Tellement intéressante
unique en son genre
Vivacité à toute épreuve
wagon à raccrocher
xylophone en fond musical
zenitude
merci claire pour cette super proposition d'ecriture j'ai hâte de voir et d'écouter la seconde
Super Julie, ton texte est vraiment chouette ! Un grand merci pour ta contribution et à bientôt pour le second 😊
@@ateliersdecriturelunedeplume c'est toi que je remercie vivement pour le travail accomplit tu assure vraiment bcp en tant que pro et je te respecte bcp pour cela si tu souhaite mettre mon texte sur ton blog tu as mon feux vert
-- REVE --
Allons ensemble,
Bras enlacés,
Côtoyer le coeur de notre Soi,
Dans les profondeurs de notre être.
Explorons,
Fouillons,
Grattons les couches de la Vie
Habituellement opaques.
Infatigablement, cherchons,
Jouons à comprendre.
Képis, serpents, trains,...
Les symboles sont énergie.
Maintenant nous sommes en chemin,
Nous suivons le fil,
Obliquons, tournons, descendons,...
Profondeurs intimes
Qui nous conduisent au Soi.
Regards intérieurs,
Sur son féminin, son masculin...
Tout est là :
Union des contraires,
Vérité de soi.
Wagons qui s'articulent en train,
Xylophones à lames de Vie.
Y voyons-nous plus clair ?
Zizanie ou union ?
Merci pour ce beau partage !