[FREE] Luther type beat "POUR NOUS"

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  • Опубліковано 2 лис 2024

КОМЕНТАРІ • 24

  • @rolejoker
    @rolejoker 3 місяці тому +19

    Je me rend compte qu’au final je suis tomber sur pas mal de tes prod(s) et que je ne suis toujours pas abonné pourtant j’admire ton travail étonnant de ma part 😅😂 ps : « je n’ai jamais vu ça » et un des tag qui met le plus rester en tête ! Continue frero 🔥💪🏻

    • @prodrasti
      @prodrasti  3 місяці тому +10

      merci beaucoup pour la force! on est ensemble ❤‍🩹

    • @rolejoker
      @rolejoker 3 місяці тому +1

      @@prodrasti 🔥🔥

  • @tristanloizeau2531
    @tristanloizeau2531 2 місяці тому +6

    Les mots sont mes armes, des balles chargées de poésie,
    J'transforme les doutes en rimes, l'angoisse en symphonie,
    entre rire et pleure, ce cache une grande désillusion
    Je gravis les montagnes de ma propre dépression
    Jvois des ombres danser, reflet de nos âmes blessées,
    Le silences résonnent comme des échos d'une vie passée,
    On cherche des réponses dans un monde trop pressé,
    Les blessures se referment mais laissent des cicatrices,
    Qu'on couvre de mots, pour en faire des délices auditif
    Les soirées passent, les verres se remplissent,
    Les corps se frôlent, et le désir se glisse,
    Dans les ombres des ruelles où les esprits se lâchent,
    On noie nos peurs dans des rimes qui s’attachent.
    On est tous des poètes dans cette vie en errance,
    Cherchant l'amour, mais trouvant l’arrogance,
    On trahit nos cœurs pour des plaisirs éphémères,
    La sincérité se meurt, enterrée dans la poussière.
    J'ai vu l'amour se noyer dans un verre de whisky,
    J'ai vu la vérité couler avec elle, tout est flou, c'est mystique.
    Mais au fond, tout ça n'est qu'un jeu dangereux,
    Où la haine et l’amour s'embrassent sous un ciel ténébreux.
    Les bouteilles sont vides, les cendriers débordent de remords,
    Chaque regard est un éclat de vérité qu'on déforme.
    Les caresses sont volatiles, comme la fumée qu'on aspire,
    Elle me parle de fidélité, mais ses yeux respirent le désir.
    Je marche en ville, les pensées qui s’égarent,
    Jeune et perdu, cherchant l’amour dans les regards,
    Les corps se frôlent, l’ivresse des nuits tard,
    On s’éclate, on se perd, entre plaisirs et cauchemars.
    L’amour se fume en blunt, et les valeurs se diluent,
    On s'cherche dans l'vice, mais au fond on s’tue.
    elle me dis qu’est-ce que tu cherche avec moi
    fuck j’me redouter ça, je plisse les yeux tel un chinois
    j’lui dis L’amour c’est éphémère, on le sait trop bien,
    j’me serre un verre viens on kiffe le moment, on verra demain.

    • @bem-akram7539
      @bem-akram7539 Місяць тому

      t'es le génie que tu penses être

    • @exeatan
      @exeatan 27 днів тому

      c'est propre

  • @quincyfrench3436
    @quincyfrench3436 3 місяці тому +4

    La giga dinguerie

  • @onam.7
    @onam.7 3 місяці тому

    Nan celle la elle est vraiment incroyable 😯🔥

    • @prodrasti
      @prodrasti  3 місяці тому

      @@onam.7 c’est toi qui est incroyable !

  • @abtx.2979
    @abtx.2979 2 місяці тому +1

    Le coeur meurtri quand j'écris ces mots
    Impossible de taire ces pensées dans ma tête c'est trop..
    Compliqué de ne plus differencier amour et haine
    Compliqué de ne plus nous voir au jardin d'Eden

  • @tiri_ou_tieri
    @tiri_ou_tieri 3 місяці тому +1

    Damn

    • @prodrasti
      @prodrasti  3 місяці тому

      @@tiri_ou_tieri 🫶🏻🫶🏻🫶🏻

  • @TheylookforOpale
    @TheylookforOpale 2 місяці тому +2

    le temps passe et
    je commence a me lassé
    les yeux froncé
    le regard foncé
    elle a renoncé
    sans même essayé
    renoncer au passé
    n'est pas si facile
    l'amour ne tient qu'a un fil
    ton attente est dans l'autre fils
    l'avenir se plisse
    et l'ancien agonise
    le coeur brisé d'adonis
    toucher par les vertus qu'il vaporise
    j'attente ton message meme en attente
    jsuis perdu dans l'messa bas les c je tente

  • @DrakeDrake-dc5rk
    @DrakeDrake-dc5rk 3 місяці тому +1

    Quoi
    Je voulais fair resembler à mes idol
    Je voulais que les gens veuillent me ressembler aussi
    Depuis petit ça l’est toujours même si depuis
    Certain son partie je leur en veux pas en vrais parfois c’etais de ma faute
    Oe parfois c’était parfait putain y’a des soirées gravé y’en as que je veux pas refaire
    Pas grave y reste des souvenirs des photo

  • @721g
    @721g 9 днів тому

    dans ma shit
    j’prends l’taureau par les cornes
    comme un tomachi
    jvais plonger dans les gorges du verdon
    a force tu perds tout avec le temps
    pour reconstruire après
    écouter ces cons une perte de temps
    tout va s’détruire après
    j’marche
    jme sens comme l’autre dans la rue
    sous fumée la nuit
    jme sens coupable
    j’ai pris des coups bas
    ça parle bcp mais c’est des cougars
    haha
    jsuis dans le tram comme un holligan de l’ombre
    c’est dur de s’dire que tout l’monde part d’ce monde

  • @boozac
    @boozac 2 місяці тому

    j’ai posé dessus tu veux jte l’envoie ?

    • @prodrasti
      @prodrasti  2 місяці тому

      @@boozac envoies ça fort!

    • @boozac
      @boozac 2 місяці тому +1

      @@prodrasti envoie ton mail chef

    • @prodrasti
      @prodrasti  Місяць тому

      @@boozact’as tout ce qui te faut dans la description ☀️

    • @boozac
      @boozac Місяць тому

      @@prodrastic’est fait 🫡

    • @boozac
      @boozac Місяць тому

      @@prodrasti t’as reçu boy ?

  • @noamml9389
    @noamml9389 20 днів тому

    Voici un texte de rap new wave en un seul couplet, encore plus long :
    Couplet :
    Le silence m’oppresse, les lumières m’étouffent,
    J’avance dans la brume, les ombres qui m’bousculent.
    Les murs parlent trop, mais personne n’écoute,
    Les mots s’envolent vite dans cette époque qui s’écroule.
    J’passe d’un rêve à l’autre, sans trouver ma place,
    Les jours défilent, chaque pas s’efface.
    On vit dans l’illusion de maîtriser le temps,
    Mais l’passé nous rattrape, ça tourne en rond, incessant.
    Les heures se fondent, les regrets s’empilent,
    Les visages changent, mais au fond, rien ne brille.
    La ville est froide, le béton m’étreint,
    J’vois des fantômes dans les rues, mais j’avance quand même.
    Les promesses d’hier se perdent dans la foule,
    Chacun joue son rôle, mais j’vois l’vide sous les masques.
    J’les vois courir après des rêves brisés,
    Trop d’vies gâchées, trop d’âmes écrasées.
    Les cœurs sont blindés, les regards se ferment,
    On construit des murs pour pas sentir la haine.
    Les nuits sont longues, les journées passent trop vite,
    On cherche des réponses, mais on vit dans l’vide.
    Les écrans nous contrôlent, les réseaux s’emmêlent,
    On pense qu’on est libres, mais on porte des chaînes.
    Les visages défilent, tout s’efface au matin,
    On cherche la lumière, mais on n’voit que du lointain.
    Les bruits de la ville couvrent nos pensées,
    Les sirènes, les klaxons, tout semble figé.
    On croit s’élever, mais on creuse nos tombes,
    On rêve d’évasion, mais on reste dans l’ombre.
    Chaque nuit est une bataille contre moi-même,
    J’m’entends crier, mais le silence règne.
    Les rues sont pleines de gens qu’j’reconnais pas,
    Tout s’enchaîne vite, mais j’me sens hors-la-loi.
    J’pense à c’qu’on aurait pu être, c’qu’on a laissé,
    À ces routes qu’on a prises sans jamais s’arrêter.
    J’me noie dans l’flux, les visages s’effacent,
    J’vois qu’des reflets d’moi dans les vitres, tout s’lasse.
    Les jours passent, mais les douleurs restent,
    J’crois qu’on vit pour fuir ce qui nous oppresse.
    La lune éclaire nos vies décolorées,
    On cherche à briller dans ce monde démodé.
    Les promesses sont mortes, les illusions sont reines,
    J’vois qu’des âmes perdues dans des quêtes sans peine.
    On suit des chemins qu’on a pas choisis,
    Les dés sont jetés, mais personne saisit.
    Les rêves sont brisés, étouffés sous les strass,
    On court après l’or, mais l’âme, on la casse.
    Le monde tourne vite, mais j’garde mes repères,
    J’garde l’espoir, même quand tout devient amer.
    Les visages changent, mais les blessures restent,
    On cherche tous un but, mais au fond, on s’perd.
    Les rues sont des labyrinthes, sans issue,
    On marche sans but, on cherche des vues.
    Les étoiles brillent, mais elles s’effacent lentement,
    On vit dans un rêve, mais on l’voit rarement.
    Les faux sourires, les mensonges s’empilent,
    La vérité s’efface, tout semble futile.
    On joue des rôles qu’on a jamais voulu,
    Mais l’histoire s’écrit sans nous, tout est perdu.
    J’cherche un sens à tout ça, mais l’vide persiste,
    Les mots résonnent, mais le silence insiste.
    Les rêves d’enfants se perdent dans l’marécage,
    La vie nous dépasse, c’est une course sans étapes.
    On vit dans l’flou, les yeux rivés sur l’écran,
    On pense qu’on contrôle, mais tout est mouvant.
    La peur d’l’avenir nous bloque, on avance en arrière,
    On construit des châteaux, mais on sait qu’ils s’effondrent.
    J’m’accroche à l’espoir, même quand tout part en vrille,
    Les souvenirs s’effacent, mais l’âme reste fragile.
    On marche sur des cendres, des rêves consumés,
    On cherche la lumière, mais tout est voilé.
    Ce texte explore une profondeur introspective, avec des thèmes comme l’aliénation, la désillusion face au monde moderne, et la recherche d’un sens dans une société qui semble tourner en rond. Il plonge dans une ambiance mélancolique et intense, fidèle au style new wave.