Je me rend compte qu’au final je suis tomber sur pas mal de tes prod(s) et que je ne suis toujours pas abonné pourtant j’admire ton travail étonnant de ma part 😅😂 ps : « je n’ai jamais vu ça » et un des tag qui met le plus rester en tête ! Continue frero 🔥💪🏻
Les mots sont mes armes, des balles chargées de poésie, J'transforme les doutes en rimes, l'angoisse en symphonie, entre rire et pleure, ce cache une grande désillusion Je gravis les montagnes de ma propre dépression Jvois des ombres danser, reflet de nos âmes blessées, Le silences résonnent comme des échos d'une vie passée, On cherche des réponses dans un monde trop pressé, Les blessures se referment mais laissent des cicatrices, Qu'on couvre de mots, pour en faire des délices auditif Les soirées passent, les verres se remplissent, Les corps se frôlent, et le désir se glisse, Dans les ombres des ruelles où les esprits se lâchent, On noie nos peurs dans des rimes qui s’attachent. On est tous des poètes dans cette vie en errance, Cherchant l'amour, mais trouvant l’arrogance, On trahit nos cœurs pour des plaisirs éphémères, La sincérité se meurt, enterrée dans la poussière. J'ai vu l'amour se noyer dans un verre de whisky, J'ai vu la vérité couler avec elle, tout est flou, c'est mystique. Mais au fond, tout ça n'est qu'un jeu dangereux, Où la haine et l’amour s'embrassent sous un ciel ténébreux. Les bouteilles sont vides, les cendriers débordent de remords, Chaque regard est un éclat de vérité qu'on déforme. Les caresses sont volatiles, comme la fumée qu'on aspire, Elle me parle de fidélité, mais ses yeux respirent le désir. Je marche en ville, les pensées qui s’égarent, Jeune et perdu, cherchant l’amour dans les regards, Les corps se frôlent, l’ivresse des nuits tard, On s’éclate, on se perd, entre plaisirs et cauchemars. L’amour se fume en blunt, et les valeurs se diluent, On s'cherche dans l'vice, mais au fond on s’tue. elle me dis qu’est-ce que tu cherche avec moi fuck j’me redouter ça, je plisse les yeux tel un chinois j’lui dis L’amour c’est éphémère, on le sait trop bien, j’me serre un verre viens on kiffe le moment, on verra demain.
Le coeur meurtri quand j'écris ces mots Impossible de taire ces pensées dans ma tête c'est trop.. Compliqué de ne plus differencier amour et haine Compliqué de ne plus nous voir au jardin d'Eden
le temps passe et je commence a me lassé les yeux froncé le regard foncé elle a renoncé sans même essayé renoncer au passé n'est pas si facile l'amour ne tient qu'a un fil ton attente est dans l'autre fils l'avenir se plisse et l'ancien agonise le coeur brisé d'adonis toucher par les vertus qu'il vaporise j'attente ton message meme en attente jsuis perdu dans l'messa bas les c je tente
Quoi Je voulais fair resembler à mes idol Je voulais que les gens veuillent me ressembler aussi Depuis petit ça l’est toujours même si depuis Certain son partie je leur en veux pas en vrais parfois c’etais de ma faute Oe parfois c’était parfait putain y’a des soirées gravé y’en as que je veux pas refaire Pas grave y reste des souvenirs des photo
dans ma shit j’prends l’taureau par les cornes comme un tomachi jvais plonger dans les gorges du verdon a force tu perds tout avec le temps pour reconstruire après écouter ces cons une perte de temps tout va s’détruire après j’marche jme sens comme l’autre dans la rue sous fumée la nuit jme sens coupable j’ai pris des coups bas ça parle bcp mais c’est des cougars haha jsuis dans le tram comme un holligan de l’ombre c’est dur de s’dire que tout l’monde part d’ce monde
Voici un texte de rap new wave en un seul couplet, encore plus long : Couplet : Le silence m’oppresse, les lumières m’étouffent, J’avance dans la brume, les ombres qui m’bousculent. Les murs parlent trop, mais personne n’écoute, Les mots s’envolent vite dans cette époque qui s’écroule. J’passe d’un rêve à l’autre, sans trouver ma place, Les jours défilent, chaque pas s’efface. On vit dans l’illusion de maîtriser le temps, Mais l’passé nous rattrape, ça tourne en rond, incessant. Les heures se fondent, les regrets s’empilent, Les visages changent, mais au fond, rien ne brille. La ville est froide, le béton m’étreint, J’vois des fantômes dans les rues, mais j’avance quand même. Les promesses d’hier se perdent dans la foule, Chacun joue son rôle, mais j’vois l’vide sous les masques. J’les vois courir après des rêves brisés, Trop d’vies gâchées, trop d’âmes écrasées. Les cœurs sont blindés, les regards se ferment, On construit des murs pour pas sentir la haine. Les nuits sont longues, les journées passent trop vite, On cherche des réponses, mais on vit dans l’vide. Les écrans nous contrôlent, les réseaux s’emmêlent, On pense qu’on est libres, mais on porte des chaînes. Les visages défilent, tout s’efface au matin, On cherche la lumière, mais on n’voit que du lointain. Les bruits de la ville couvrent nos pensées, Les sirènes, les klaxons, tout semble figé. On croit s’élever, mais on creuse nos tombes, On rêve d’évasion, mais on reste dans l’ombre. Chaque nuit est une bataille contre moi-même, J’m’entends crier, mais le silence règne. Les rues sont pleines de gens qu’j’reconnais pas, Tout s’enchaîne vite, mais j’me sens hors-la-loi. J’pense à c’qu’on aurait pu être, c’qu’on a laissé, À ces routes qu’on a prises sans jamais s’arrêter. J’me noie dans l’flux, les visages s’effacent, J’vois qu’des reflets d’moi dans les vitres, tout s’lasse. Les jours passent, mais les douleurs restent, J’crois qu’on vit pour fuir ce qui nous oppresse. La lune éclaire nos vies décolorées, On cherche à briller dans ce monde démodé. Les promesses sont mortes, les illusions sont reines, J’vois qu’des âmes perdues dans des quêtes sans peine. On suit des chemins qu’on a pas choisis, Les dés sont jetés, mais personne saisit. Les rêves sont brisés, étouffés sous les strass, On court après l’or, mais l’âme, on la casse. Le monde tourne vite, mais j’garde mes repères, J’garde l’espoir, même quand tout devient amer. Les visages changent, mais les blessures restent, On cherche tous un but, mais au fond, on s’perd. Les rues sont des labyrinthes, sans issue, On marche sans but, on cherche des vues. Les étoiles brillent, mais elles s’effacent lentement, On vit dans un rêve, mais on l’voit rarement. Les faux sourires, les mensonges s’empilent, La vérité s’efface, tout semble futile. On joue des rôles qu’on a jamais voulu, Mais l’histoire s’écrit sans nous, tout est perdu. J’cherche un sens à tout ça, mais l’vide persiste, Les mots résonnent, mais le silence insiste. Les rêves d’enfants se perdent dans l’marécage, La vie nous dépasse, c’est une course sans étapes. On vit dans l’flou, les yeux rivés sur l’écran, On pense qu’on contrôle, mais tout est mouvant. La peur d’l’avenir nous bloque, on avance en arrière, On construit des châteaux, mais on sait qu’ils s’effondrent. J’m’accroche à l’espoir, même quand tout part en vrille, Les souvenirs s’effacent, mais l’âme reste fragile. On marche sur des cendres, des rêves consumés, On cherche la lumière, mais tout est voilé. Ce texte explore une profondeur introspective, avec des thèmes comme l’aliénation, la désillusion face au monde moderne, et la recherche d’un sens dans une société qui semble tourner en rond. Il plonge dans une ambiance mélancolique et intense, fidèle au style new wave.
Je me rend compte qu’au final je suis tomber sur pas mal de tes prod(s) et que je ne suis toujours pas abonné pourtant j’admire ton travail étonnant de ma part 😅😂 ps : « je n’ai jamais vu ça » et un des tag qui met le plus rester en tête ! Continue frero 🔥💪🏻
merci beaucoup pour la force! on est ensemble ❤🩹
@@prodrasti 🔥🔥
Les mots sont mes armes, des balles chargées de poésie,
J'transforme les doutes en rimes, l'angoisse en symphonie,
entre rire et pleure, ce cache une grande désillusion
Je gravis les montagnes de ma propre dépression
Jvois des ombres danser, reflet de nos âmes blessées,
Le silences résonnent comme des échos d'une vie passée,
On cherche des réponses dans un monde trop pressé,
Les blessures se referment mais laissent des cicatrices,
Qu'on couvre de mots, pour en faire des délices auditif
Les soirées passent, les verres se remplissent,
Les corps se frôlent, et le désir se glisse,
Dans les ombres des ruelles où les esprits se lâchent,
On noie nos peurs dans des rimes qui s’attachent.
On est tous des poètes dans cette vie en errance,
Cherchant l'amour, mais trouvant l’arrogance,
On trahit nos cœurs pour des plaisirs éphémères,
La sincérité se meurt, enterrée dans la poussière.
J'ai vu l'amour se noyer dans un verre de whisky,
J'ai vu la vérité couler avec elle, tout est flou, c'est mystique.
Mais au fond, tout ça n'est qu'un jeu dangereux,
Où la haine et l’amour s'embrassent sous un ciel ténébreux.
Les bouteilles sont vides, les cendriers débordent de remords,
Chaque regard est un éclat de vérité qu'on déforme.
Les caresses sont volatiles, comme la fumée qu'on aspire,
Elle me parle de fidélité, mais ses yeux respirent le désir.
Je marche en ville, les pensées qui s’égarent,
Jeune et perdu, cherchant l’amour dans les regards,
Les corps se frôlent, l’ivresse des nuits tard,
On s’éclate, on se perd, entre plaisirs et cauchemars.
L’amour se fume en blunt, et les valeurs se diluent,
On s'cherche dans l'vice, mais au fond on s’tue.
elle me dis qu’est-ce que tu cherche avec moi
fuck j’me redouter ça, je plisse les yeux tel un chinois
j’lui dis L’amour c’est éphémère, on le sait trop bien,
j’me serre un verre viens on kiffe le moment, on verra demain.
t'es le génie que tu penses être
c'est propre
La giga dinguerie
🫶🏻☀️
Nan celle la elle est vraiment incroyable 😯🔥
@@onam.7 c’est toi qui est incroyable !
Le coeur meurtri quand j'écris ces mots
Impossible de taire ces pensées dans ma tête c'est trop..
Compliqué de ne plus differencier amour et haine
Compliqué de ne plus nous voir au jardin d'Eden
Damn
@@tiri_ou_tieri 🫶🏻🫶🏻🫶🏻
le temps passe et
je commence a me lassé
les yeux froncé
le regard foncé
elle a renoncé
sans même essayé
renoncer au passé
n'est pas si facile
l'amour ne tient qu'a un fil
ton attente est dans l'autre fils
l'avenir se plisse
et l'ancien agonise
le coeur brisé d'adonis
toucher par les vertus qu'il vaporise
j'attente ton message meme en attente
jsuis perdu dans l'messa bas les c je tente
Quoi
Je voulais fair resembler à mes idol
Je voulais que les gens veuillent me ressembler aussi
Depuis petit ça l’est toujours même si depuis
Certain son partie je leur en veux pas en vrais parfois c’etais de ma faute
Oe parfois c’était parfait putain y’a des soirées gravé y’en as que je veux pas refaire
Pas grave y reste des souvenirs des photo
dans ma shit
j’prends l’taureau par les cornes
comme un tomachi
jvais plonger dans les gorges du verdon
a force tu perds tout avec le temps
pour reconstruire après
écouter ces cons une perte de temps
tout va s’détruire après
j’marche
jme sens comme l’autre dans la rue
sous fumée la nuit
jme sens coupable
j’ai pris des coups bas
ça parle bcp mais c’est des cougars
haha
jsuis dans le tram comme un holligan de l’ombre
c’est dur de s’dire que tout l’monde part d’ce monde
j’ai posé dessus tu veux jte l’envoie ?
@@boozac envoies ça fort!
@@prodrasti envoie ton mail chef
@@boozact’as tout ce qui te faut dans la description ☀️
@@prodrastic’est fait 🫡
@@prodrasti t’as reçu boy ?
Voici un texte de rap new wave en un seul couplet, encore plus long :
Couplet :
Le silence m’oppresse, les lumières m’étouffent,
J’avance dans la brume, les ombres qui m’bousculent.
Les murs parlent trop, mais personne n’écoute,
Les mots s’envolent vite dans cette époque qui s’écroule.
J’passe d’un rêve à l’autre, sans trouver ma place,
Les jours défilent, chaque pas s’efface.
On vit dans l’illusion de maîtriser le temps,
Mais l’passé nous rattrape, ça tourne en rond, incessant.
Les heures se fondent, les regrets s’empilent,
Les visages changent, mais au fond, rien ne brille.
La ville est froide, le béton m’étreint,
J’vois des fantômes dans les rues, mais j’avance quand même.
Les promesses d’hier se perdent dans la foule,
Chacun joue son rôle, mais j’vois l’vide sous les masques.
J’les vois courir après des rêves brisés,
Trop d’vies gâchées, trop d’âmes écrasées.
Les cœurs sont blindés, les regards se ferment,
On construit des murs pour pas sentir la haine.
Les nuits sont longues, les journées passent trop vite,
On cherche des réponses, mais on vit dans l’vide.
Les écrans nous contrôlent, les réseaux s’emmêlent,
On pense qu’on est libres, mais on porte des chaînes.
Les visages défilent, tout s’efface au matin,
On cherche la lumière, mais on n’voit que du lointain.
Les bruits de la ville couvrent nos pensées,
Les sirènes, les klaxons, tout semble figé.
On croit s’élever, mais on creuse nos tombes,
On rêve d’évasion, mais on reste dans l’ombre.
Chaque nuit est une bataille contre moi-même,
J’m’entends crier, mais le silence règne.
Les rues sont pleines de gens qu’j’reconnais pas,
Tout s’enchaîne vite, mais j’me sens hors-la-loi.
J’pense à c’qu’on aurait pu être, c’qu’on a laissé,
À ces routes qu’on a prises sans jamais s’arrêter.
J’me noie dans l’flux, les visages s’effacent,
J’vois qu’des reflets d’moi dans les vitres, tout s’lasse.
Les jours passent, mais les douleurs restent,
J’crois qu’on vit pour fuir ce qui nous oppresse.
La lune éclaire nos vies décolorées,
On cherche à briller dans ce monde démodé.
Les promesses sont mortes, les illusions sont reines,
J’vois qu’des âmes perdues dans des quêtes sans peine.
On suit des chemins qu’on a pas choisis,
Les dés sont jetés, mais personne saisit.
Les rêves sont brisés, étouffés sous les strass,
On court après l’or, mais l’âme, on la casse.
Le monde tourne vite, mais j’garde mes repères,
J’garde l’espoir, même quand tout devient amer.
Les visages changent, mais les blessures restent,
On cherche tous un but, mais au fond, on s’perd.
Les rues sont des labyrinthes, sans issue,
On marche sans but, on cherche des vues.
Les étoiles brillent, mais elles s’effacent lentement,
On vit dans un rêve, mais on l’voit rarement.
Les faux sourires, les mensonges s’empilent,
La vérité s’efface, tout semble futile.
On joue des rôles qu’on a jamais voulu,
Mais l’histoire s’écrit sans nous, tout est perdu.
J’cherche un sens à tout ça, mais l’vide persiste,
Les mots résonnent, mais le silence insiste.
Les rêves d’enfants se perdent dans l’marécage,
La vie nous dépasse, c’est une course sans étapes.
On vit dans l’flou, les yeux rivés sur l’écran,
On pense qu’on contrôle, mais tout est mouvant.
La peur d’l’avenir nous bloque, on avance en arrière,
On construit des châteaux, mais on sait qu’ils s’effondrent.
J’m’accroche à l’espoir, même quand tout part en vrille,
Les souvenirs s’effacent, mais l’âme reste fragile.
On marche sur des cendres, des rêves consumés,
On cherche la lumière, mais tout est voilé.
Ce texte explore une profondeur introspective, avec des thèmes comme l’aliénation, la désillusion face au monde moderne, et la recherche d’un sens dans une société qui semble tourner en rond. Il plonge dans une ambiance mélancolique et intense, fidèle au style new wave.