1/6 - Masterclass Christopher Vogler - Point de vue d'Alexandre Astier : Pourquoi Vogler ?
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- Опубліковано 18 вер 2012
- Propos recueillis par Jean-Christophe Hembert à l'Acting Studio
- Masterclass exceptionnelle par Christopher Vogler sur l'art du récit -
Les 29, 30 et 31 octobre 2012 à Lyon - Cité-Centre des Congrès
En collaboration avec la CCI de Lyon et l'Europe (programme pour l'Espace Alpin et le FEDER)
Infos / Inscriptions : www.actingstudio-masterclass.com
« Toutes les histoires de l’humanité, depuis la nuit des temps, sur tous les continents, ont un point commun : il y a toujours un vieux. Parce que c’est vachement mystérieux, les vieux. »
- Chevalier Campbell de Galles
Non, c'est Perceval
@@walterego960 Ouais c'est c'qu'il à dit
J'écouterais ce mec parler des heures peut importe le sujet.... quel pied sa doit être d'avoir quelqu'un comme lui dans son entourage. Mr Astier😲😲😲
j adore definitivement ce mec.
Merci Monsieur Astier !!! on vous écouterait pendant de soirées entières et de plus les Sciences vous intéressent, MERI
Merci Mr Astier pour ce partage, je viens de visionner votre vidéo qui m'a donné envie d'acheter le livre aussitôt. Je pense que j'en avais besoin car je suis au point mort et je me reconnais dans tout ce que vous dites...
Enfin un français qui parle de la méthode Vogler.
Thumbs up!
Je ne suis ni auteur ni rien du genre, mais ça m'a vraiment donné envie de lire les auteurs dont il parle, malheureusement les premiers résultats Google me semblent très cher, en tout cas merci Alexandre astier pour me faire découvrir cela
merci de partager ça. ce mec est génial.
"Les trois actes, c'est les bonnes femmes qui sont mi-taupes mi-déesses, et qui ont forcé les mecs de Bethléem à construire les pyramides."
Exactement !
Ouais, c'est pas faux!
c'est pas faux !
Très intéressant et très bien cadré ! ;-)
Ceci étant, attention au formatage, ne nous emballons pas ! Une histoire, ça vient de la tête, mais aussi du coeur.
Je commente du Astier qui commente du Vogler qui commente du Campbell qui commente du Lucas.
Je commente du Nicolas Martin qui commente du Astier qui commente du Vogler qui commente du Campbell qui commente du Lucas.
ah t'es là toi? lol
Je commente du Marina qui commente du Vince Drawing, qui commente du Nicolas Martin, qui commente du Astier, qui commente du Vogler qui commente du Campbell qui commente du Lucas
Je commente Shao Shisho, qui commente du Marina qui commente du Vince Drawing, qui commente du Nicolas Martin, qui commente du Astier, qui commente du Vogler qui commente du Campbell qui commente du Lucas.
gg man
En fait, la façon dont il parle dans kaamelott c'est simple! J'imagine bien Perceval et Karadok devant ce genre de discours! En tous cas, bravo pour tout ce qui est dit, c'est très bien prononcé!
Incroyable, énorme, passionnant.
Un grand Moi
Au passage, super lit
Tout à fait d'accord avec toi. Dommage que les films du second type sont les plus visibles et accessibles. Très dommage.
Qui c'est qui a dérapé sur le pouce "moins" ??
Quelqu'un qui en a gros...
tout est absolument bien dit ! comme dhabitude.... mais une chose à redire, star wars 1 !!!!! un nouvelle espoirt cest lepisode 4 !!!!!
Vogler il devait avoir piscine le jour de la lecture du scénario de la postlogie StarWars...
Hé oui Astier ce n'est pas que des dialogues cultes dans les cours de recrée, c'est aussi et surtout un auteur sérieux et extrêmement cultivé
Memento apprend des choses aux héros même si c'est un durée très limitée. Il redécouvre à chaque moment l'objet de sa quête et apprend de mieux en mieux à vivre avec son amnésie. Même le concept est le même : un début (Lui et sa femme, heureux, j'imagine) -> un élément déclencheur (viol, assassinat : pas de spoil, c'est dans le résumé) -> les péripéties où le héros découvre des choses -> un élément déclencheur de la fin (pas de spoil donc je me tais) -> fin
Donnie Darko je n'y suis pas encore.
C'est quand la prochaine Masterclass ? 😇
ça tient debout (et encore, c'est de plus en plus branlant pour cette même raison que tu donnes à la fin), mais ça ne casse pas des briques, sauf lorsqu'il s'agit de les dynamiter évidemment mais là bon...Je pense que nous sommes d'accord
Parce que tu trouves pas que les scénarios non-US sont prévisibles aussi? Le problème c'est surtout qu'on vois bien plus de choses qu'autrefois, et donc qu'on anticipe mieux. Un simple exemple, mais le "twist" final, je ne le trouve toujours que dans le cinéma américain. Malheureusement d'un certain côté
Que pensez-vous de la méthode Truby ?
Mais je suis d'accord avec toi pour dire que beaucoup, voire presque tous sauf 2-3, font de la pure daube. C'est clair, et en art, c'est normal.
Ce qui chiffonne, c'est pourquoi est-ce que les gens continuent à les voir ? Bah parce qu'il n'y a que ça.
J'attend patiemment l'avènement glorieux du cinéma indépendant. On aura droit à pas mal de mauvais films mais autant de bons à côtés. L'équilibre, là au moins, sera respecté.
ce n'est que la première approche que l'on fait de la méthode Vogler. Si les scénarios se ressemblent tous ce n'est pas de la faute de la méthode, mais de ses scénaristes sans talents qui pompe partout et sur tout le monde juste parcequ'une idée a bien fonctionné. Mais regarde même tes films préférés (peut importe, ou même un livre), ils sont fait avec la méthode Vogler.
Alors on ne peut pas dire que la méthode fait et produit plus de film qui se ressemblent tous.
l'origine et la mécanique de la plaie mondialiste disney, super
Je regarde ça et je te dis quoi ;) D'autres qui savent peuvent répondre, au cas où
il faut écouter ce que dis Alexandre Astier, regarder la vidéo c'est bien, la comprendre c'est mieux. Jamais Astier ne dis que Vogler a inventé quoi que ce soit, mais qu'il a juste repris les propres travaux de Campbell Joseph sur le Monomythe, chose qu'il a lui-même dégagé de tous les récits primals de la tradition écrite et orale mondiale, donc c'est beau la paraphrase mais ça fait pas avancer le schmilblick lol
4:38 Quand il dit "Aristote", j'ai explosé de rire en me disant "La poétique".
4:42 PAF !!! La poétique.
Arthur: Bon, heu... Je vais pas vous citer Aristote...
Perceval: Qui ça ?
Arthur: Aristote !... Nonon... Vous connaissez pas !
Perceval: C'est pas lui qui a écrit "La poétique" ?
Arthur: Heu... Si... Si, si, carrément...
Perceval: Je l'savais ça.
Arthur: Mais vous l'avez lu, La poétique ?
Perceval: Non, chais pas lire !
Joli reportage (produit par "Maman" ^^, et recueillis par "Karadoc" xD), mais où sont les 5 autres parties ???
J'ai trouvé, mais vous auriez put mettre ça en description. ;)
juste une question est-ce que pulp fiction obéit à ces règles?
Oui, mais disons que pulp fiction est battit comme un recueil de nouvelle, dont toute les nouvelle sont introduite dans le même univer. Donc la structure du voyage du héros y est bien présente mais, si vous voulez, répéter plusieur fois. Les arc narratif trouve tous leur aboutisment. Au lieu d'une seul boucle pour tout un film, cette fois c'est plusieurs petites boucles s'enchainant les unes dans les autres.
memento ça apprend plus de trucs au spectateur qu'au héros non?
et peut être donnie darko aussi?
c'est pas à la fois une solution et un problème ? Je pense que le fait que TOUS les scénarios US notamment, ont exactement la même structure, ce qui fait qu'à la fois ça tient debout mais aussi que finalement c'est toujours prévisible, et copié-collé les uns sur les autres (en tout cas pour les blockbusters US)
justement, si tu ne vois même plus la structure, c'est que l'auteur à bien fait son travail et qu'il a mis suffisamment de lui même pour masquer la méthode et se l'approprié totalement.
Quand on voit un film trop prévisible, trop linéaire, avec toujours les même perso, on a affaire à des scénaristes qui se foulent pas et qui appliquent seulement la méthode, sans y mettre de la personnalité.
Je suis le seul à voir lu : pourquoi vloger ?
Toutes les histoires fausses? C'est justement pas ce que dit Campbell, les mythes ne sont ni faux ni vrais, ils sont puissants ou faibles, mais en tant métaphores, ce ne sont pas des faits.
Merci pour votre commentaire
Par exemple je suis patissiere. Eh ben, tu peux etre le plus doue des decorateurs, avoir un sens artistique de ouf, si tu ne maitrises pas tes techniques de bases et que t'es pas foutu de faire une patissiere convenable ben tu rentres chez toi... Pareil en cuisine, en peinture, en dessin, etc... Tous ces metiers, qui a la base touchent a l'artisanat, et je pense, tous les corps de metier en general, exigent des bases super solides avant de pouvoir se faire plaisir...
là je viens de voir iron man 3, benjamin gates, skyfall et un tas d'autres trucs bah j'avais compris avant de voir cette vidéo
le problème c'est qu'en France on confie des budgets à des fils de, ou à des types qu'on encense mais qui sont infoutus de faire un film propre. C'est ça l'exception culturelle française;
C'est l'excuse facile. Evidemment on part de plus loin sans les bonnes personnes (voir mentor dans l'anatomie du scénario) mais limiter le problème à cette unique cause c'est généraliser un problème pour se trouver un excuse.
Ce mec est juste hallucinant...
Pulp fiction est un cas assez spécial dans le sens où le schéma se vérifie mais dans un aspect plus malsain. Ils sont amené à faire une mission, ou en tout cas de bosser pour quelqu'un, ils acceptent le contrat, font le boulot, et à la fin ils y gagnent ou y perdent quelque chose. La fin du film, le coup des portefeuilles et des voleurs, peut être une sorte de + gagné par Jackson mais bon. En quelque sorte, toute la littérature et le conte humain est basé sur ce schéma, Vogler n'a rien inventé.
PS : Tous les récits sont censé apprendre quelque chose aux spectateurs. C'est d'ailleurs par ce critère que, personnellement, j'évalue si un film est bon ou pas. Et non pas par le fait qu'il respecte le code Vogler ^^ Mais chacun son truc, hein
Aux Etats-Unis ou ailleurs, mis à part le cinéma indé, tous suivent plus ou moins cette même logique.
Je pense plutôt que ce qui la fout mal, c'est une trop forte exposition au cinéma anglo-américain et donc forcément à la culture américaine, ce qui fait que le cinéma français, manquant cruellement d'explosions à gogo, de munitions illimitées et d'histoire d'amour pornographique (je généralise, mais pas tant que ça...) ne connait pas vraiment le même engouement de la part des spectateurs.
Si ils ont tous la même structure, c'est qu'il n'ont pas compris ce que Vogler dit dans ses Masterclasses. Il donne le schéma de l'histoire que l'on s'attend à entendre, le schéma que l'on a dans la tête. Si quelqu'un suit les 12 points de la méthode avec des personnages classiques alors c'est très ennuyeux et très prévisible. La méthode de Vogler est un exemple à ne pas suivre.
Cette méthode narrative reprise par Vogler et utilisée bien avant sa naissance est un pilier de la narration chez tous les peuples. C'est une structure de base sur laquelle se construit toute la richesse narrative des Hommes : les récits linéaires, cycliques, bipolaires, enchâssés ou à rebours,..Avoir une base commune n'empêche pas l'épanouissement mais surtout une sécurité pour le spectateur, une corde à laquelle tenir. Mais la redondance pour le fric est un réel problème, malheureusement..
Mais bon, y a plus intéressant comme sujet de discussion.
Bonsoir, quand même. Et la prochaine fois, bien penser à d'abord balayer devant sa porte. Sans animosité aucune.
Ce qui relie toutes les histoires, je sais pas.
Mais tous les mythes et légendes, c'est la responsabilité.
La religion c'est la responsabilité de l'individu.
On pourrait parler de propagande conséquente.
Et ça c'est universel.
M'enfin moi je m'en fou de raconter des histoires, j'ai bien assez à faire avec la vérité.
Salut !
il faut lire avant de répondre : je n'ai jamais dit que je paraphrasais ni citais Astier. Au contraire, j'exposais un point de vue totalement personnel. Et si mes propos se sont rejoins sur ce point là avec ceux d'Alexandre, tant mieux qu'il en reste qui soient d'accord entre eux.
Je dis que Vogler n'a rien inventé, c'est une confirmation de la chose. Qu'il l'ai dit avant, je m'en tamponne, je ne me lie aucunement à Astier.
Donc c'est beau de piger à côté, mais ça fait pas avancer le bazar.