Yo, dans les rues sombres, la mélancolie frappe, Des rêves brisés, des échos dans cette tape. "Le regard des autres", j’en porte le poids, Des nuits solitaires, c’est le vide en moi. (Couplet 1) Les regards pesants, comme des chaînes, Je me suis perdu, dans cette routine incertaine. "Jamais eu le bonheur", je cherche un chemin, Un fils, un rêve, coincé entre l’ombre et le sein. Des heures passent, sans but, sans lueur, Des souvenirs s’effacent, mais c'est plein de douleur. Je vois les autres vivre, sourire sous les néons, Mais moi, ici, j’attends juste un frisson. (Refrain) Comme les heures qui filent, sans jamais s'arrêter, Je cherche la lumière, mais je ne fais que trébucher. Le regard des autres, sur moi il se pose, Une vie de silence, une mélancolie morose. (Couplet 2) Je prends le temps de réfléchir à qui je suis, Un fils sans avenir, un poisson dans l'oubli. Les rêves évanouis, comme des cendres dans le vent, Je tourne en rond, à chaque instant, c'est troublant. Les sourires des passants, un reflet de ma peine, Ils ne savent pas que derrière ce masque, je me traîne. Des à-côtés vides, des promesses oubliées, Je me bats avec mes démons, difficile d’avancer. (Refrain) Comme les heures qui filent, sans jamais s'arrêter, Je cherche la lumière, mais je ne fais que trébucher. Le regard des autres, sur moi il se pose, Une vie de silence, une mélancolie morose. (Outro) Et si un jour je trouve, cette paix tant attendue, Un moyen de briser ces chaînes, je me reconstruis. Entre les notes de ma vie, je cherche l’harmonie, Pour sortir de l’ombre, retrouver un peu d’entrain ici.
![Maes feat Booba - Blanche [Slowed + Reverb]](http://i.ytimg.com/vi/Ol84kFfbo4w/mqdefault.jpg)
Lourd !
Yo, dans les rues sombres, la mélancolie frappe,
Des rêves brisés, des échos dans cette tape.
"Le regard des autres", j’en porte le poids,
Des nuits solitaires, c’est le vide en moi.
(Couplet 1)
Les regards pesants, comme des chaînes,
Je me suis perdu, dans cette routine incertaine.
"Jamais eu le bonheur", je cherche un chemin,
Un fils, un rêve, coincé entre l’ombre et le sein.
Des heures passent, sans but, sans lueur,
Des souvenirs s’effacent, mais c'est plein de douleur.
Je vois les autres vivre, sourire sous les néons,
Mais moi, ici, j’attends juste un frisson.
(Refrain)
Comme les heures qui filent, sans jamais s'arrêter,
Je cherche la lumière, mais je ne fais que trébucher.
Le regard des autres, sur moi il se pose,
Une vie de silence, une mélancolie morose.
(Couplet 2)
Je prends le temps de réfléchir à qui je suis,
Un fils sans avenir, un poisson dans l'oubli.
Les rêves évanouis, comme des cendres dans le vent,
Je tourne en rond, à chaque instant, c'est troublant.
Les sourires des passants, un reflet de ma peine,
Ils ne savent pas que derrière ce masque, je me traîne.
Des à-côtés vides, des promesses oubliées,
Je me bats avec mes démons, difficile d’avancer.
(Refrain)
Comme les heures qui filent, sans jamais s'arrêter,
Je cherche la lumière, mais je ne fais que trébucher.
Le regard des autres, sur moi il se pose,
Une vie de silence, une mélancolie morose.
(Outro)
Et si un jour je trouve, cette paix tant attendue,
Un moyen de briser ces chaînes, je me reconstruis.
Entre les notes de ma vie, je cherche l’harmonie,
Pour sortir de l’ombre, retrouver un peu d’entrain ici.
Tu tes gourés