Je ne me lasse pas de regarderai tout ces Baus documentaire ils y a 60an j'en ai profité au Piémont en Italie et l'amour de la campagne et montagne surtout ne m'a jamais quitté. Je vous remercie beaucoup pour toutes ces belles images... Guy
Dommage que ce buron soit fermé, c est l emblème de l aubrac. Continuez à nous faire rêver avec vos si merveilleux reportages qui montrent bien la rudesse de cette belle région.
Pure merveille ton film et la vie de ces 2 hommes. Merci. 1998 et l'on dirait un autre monde. Le temps ou l'on savait travailler durement et vivre chichement.
Magnifique reportage qui m'a appris beaucoup de détail sur la vie de ces buronniers. D'origine Aveyronnaise je me suis moi aussi occupé des vaches de mon père dans sa petite ferme mais nous étions des coustoubis (paysan des coteaux de l'Aubrac) et pas des montagnols comme Jean et Louis et nous n'avions pas de buron.Ce reportage à été très émouvant pour moi.Bravo au réalisateur.
Les traditions se perdent, mais ce documentaire rend un bel hommage aux buronniers et à l' Aubrac! On devrait le montrer dans les écoles pour que les jeunes voient ce que c' était que la vraie vie dans les montagnes!
Dommage que ce buron soit fermé, c est l emblème de l aubrac. Continuez à nous émerveiller avec vos reportages. Ils montrent bien la rudesse du travail de ces hommes et de cette région. Merci
Deux personnes remarquables, dures à la tâche mais portées par l'amour de leur bêtes et le souci de bien faire leur travail. En communion avec une nature à leur image, silencieuse, entière, profonde et parfois si rude. Deux grands serviteurs de l'Aubrac qui ne méritent que du respect. Merci Jean, merci Louis.
Mathilde, je suis portugais avec 68 anées passioné pour le monde rural et je comprend que les personnes sont les memes en tout le monde! Merci pour ce vídeo magnifique!
Yves quel plaisir de voir ton film et ta passion toujours entière de la nature dont tu te fais un ambassadeur. Il y a de nombreuses années tu me faisais partager le plaisir de cette union avec elle. Bravo er merci Danielle
Patrice, je suis d'acord! C'est le monde rustique authentique! Je suis portugais, avec 68 ans, passioné pour cettes choses! À vivre et travailler a lá champagne, j'ai vaches aussi! C'est une vie trés dure et dificile!!
Très beau film sur la transhumance des vaches , et quel beaux fromage , ça donne envie d y gouter .Le portable n existait pas , et ces hommes , quel carnisme de vrais paysans .Superbe ces vaches , et monsieur le taureau , bel étalon qui a procréer de beaux veaux .Mais c était le temps d avant , ou tout était simple , avec un travail de buronnier à jamais perdu
Aveyronnais de naissance, fils et petit fils de paysans Aveyronnais, je suis fier d'être de ce ''pays''' et je me reconnais en eux, même si je n'ai jamais fait ce travail là. Quand j'achète mon fromage au supermarché, je n'imagine pas tout le travail qu'il y a en amont pour qu'il soit aussi bon! La prochaine fois que j'en prendrai je penserai à Jean et Louis de Canuc, merci Messieurs, et bravo pour votre savoir faire, votre volonté et l'amour du travail bien fait. Que sont ils devenus ces braves gens? Le film est de 1998, 23 ans déjà!!
Très beau documentaire sur des hommes courageux et aimant leur bêtes. Les corréziens de Seilhac rencontrés à la Brasserie de Bozouls le 25 Août dernier , où vous avez cassé un verre !!!
Et moi, je bosse tous les jours, pour payer mes factures...temps de se remettre en question. Il faut pas grand choses pour vivre serein! Merci pour ce documentation!
Pas d'industrie à l'époque ! Ses hommes la ont n'en trouveras plus c'est finie ... Surtout bien garder ses archives si précieuse et merci a ses bons vivant même si c'était dur ils vivaient bien au moins ....
A 1 heure 04 minutes 42 secondes jusqu'à 44 secondes sur la droite de l'image en haut : Je me suis rendu sur place par téléportation pour être présent sur le dernier plan du documentaire que j'ai mis en route et fait réalisé pour immortaliser le dernier buron juste avant sa fermeture ou du moins avec ses vrais acteurs ; Et dans ce buron j'y suis allé souvent , au moins 7 à 8 fois par an chaque saison depuis l'âge de 3 ou 4 ans au début des années 70 , ( avec le village , la famille ..) jusqu'aux années fin 80 , après je n'y allais plus sauf 1 fois ou 2 ...Dans les années 70 - 80 , il n'y avait pas grand monde , c'était pas à la mode , si bien qu'il y avait souvent les mêmes personnes , pas plus de 30 , plutôt 20 maximum , des fois à peine 10 , pour manger l'aligot " le Dimanche " . Si je me rappelle bien , il y avait 2 ou 3 burons ouvert dans les années 70 puis seulement 2 dans les années 80 pour 1 seul à la fin des années 80 . C'est devenu à la mode au début des années 90 , mais c'était trop tard , ils ne trouvaient plus personne pour travailler et surement moins rentable pour les exploitants car les types qui tiennent le buron le temps de la transhumance du mois de Mai à fin septembre sont des ouvriers de grosses fermes situées à plus de 50 kilomètres dans la région de Gages près de Laissac dans l'Aveyron ; En réalité ce sont ces mêmes ouvriers très rudes faisant 15 heures de travail par jour y compris le Dimanche , mal payés , qui tenaient totalement les fermes de gros propriétaires à eux tout seuls " ils faisaient tout " , et je les croisaient aussi au marché de Laissac ou ils vendaient des veaux et des vaches pour leurs patrons . Durant 5 mois , ils devaient faire du fromage tous les jours et garder et gérer le troupeau , le reste du temps d'Octobre à Mai ils travaillaient au siège de la ferme .... Les montagnes de l'Aubrac , où le troupeau est en transhumance pour la saison , ne valaient quasiment rien en valeur marchande dans les années 70 - début 80 , c'est à dire que pour pas grand chose vous aviez 100 hectares , ça n'intéressait pas grand monde ...C'est à partir du moment ou il y a eu la valorisation de la race Aubrac et des produits " Labellisés Aubrac " tel que le fromage , la viande et l'aligot que tout à changé d'un coup ...Et je suis un des principaux moteurs de cette valorisation avec un type s'appelant " Valadier " qui ont mis ce changement en route pour faire connaitre et commercialiser ces produits ....A partir des années 90 les montagnes ont pris de la valeur et les exploitations se battent le moindre hectare valant plus de 10000 Euros ... Ce soir là , j'arrive à 500 mètres du Buron , je me rends au Buron à pied , je trouve une famille qui parlaient à l'extérieur , je me mets à parler et sympathiser avec quelque uns qui m'offre à boire , il commençait à faire nuit , puis au bout d'une heure on les appelle pour manger à l'intérieur , et moi je leur dis " moi je viens pas , j'ai pas réservé , je passais boire un coup " et me répondent : non , non ! tu viens avec nous , on te l'offre ! En fin de soirée , nous étions dehors , et j'ai dis au gens que j'avais laissé ma voiture à 1 kilomètre , je les ai remercié , je suis parti à pied et je ne suis jamais revenu , le buron à fermé quelques années plus tard ..." Le caméraman et le réalisateur ne m'ont peut -être pas reconnu ce soir là , je leur ai dit bonjour , je les connaissais à distance " ... A noter que ce soir là , qui devait être au mois de septembre , pas de chance il avait gelé je pense jusqu'à moins 5 degrés et je me trouvais en teeshirt , ça devait être entre minuit et 1 heure du matin , les gens voulaient me ramener jusqu'à la voiture , je leur dit non merci elle est pas loin , puis une voiture me rattrape et j'étais arrivé vers la fin du chemin non goudronné , et la ils insistent " mais on te ramène " , " non , merci , j'ai laissé la voiture juste un peu plus haut dans le champs d'un ami , " bon d'accord comme tu voudras , bonne nuit , à la prochaine " ; Puis j'entends une autre voiture qui arrivait , je me planque derrière un tas de pierres jusqu'à que toutes les voitures partent , puis je me dirige par la route vers Laguiole , mais il faisait de plus en plus froid , je fis au peu près 5 kilomètres et je n'arrivais pas à me concentrer pour revenir et j'étais tellement gelé que je décida d'aller dans un bois , c'était brumeux et je ne distinguais rien , je cherchais du cran ou des genets , je trouvais rien ...et au bout d'un moment j'ai trouvé un trou et en ramassant les feuilles avec les pieds et les mains , tout ce que je pouvais trouver " pas grand chose en fait " , je me suis couché et me suis enseveli de tout ce tas , mais il faisait toujours aussi froid , très froid ...Je gelais ....Au bout de 1 ou 1 heure 30 je repris la route en essayant de courir , mais les jambes ça allait , le problème était les oreilles , les mains et les bras qui gelaient , il faisait moins 5 degré....Je me suis trompé de sens car sur le plateau il y a des faux plats et des descentes sur la montée puis je m'en suis aperçu ( c'est surtout qu'en rejoignant la route les voitures sont parties vers la droite et j'ai pensé qu'elles allaient vers Laguiole , surtout que l'on était sur le plat ) , j'ai fais demi tour et j'ai couru toute la nuit pour pas mourir de froid , le problème était les oreilles et les mains que je tapotais constamment et j'ai dû faire 30 kilomètres , le but était de descendre vers la vallée ( Laguiole - Espalion ) que je n'ai jamais trouvé , " même pas Laguiole " , au bout d'un moment je ne il faisait tellement nuit et froid que je ne savais même plus le sens vers Laguiole ( une fois ça descendait , putin c'est de l'autre coté , puis ça remontait c'est bon , puis faux plat descente putain tout faux ...) , et je suis arrivé au niveau de ce que je pensais être la station de ski vers 6 heures du matin " une grosse bâtisse fermée " ( il faisait encore nuit mais ça commençait à se lever ) , où tout était fermé , et à ce moment là j'avais commencé à me concentré pour revenir , je sentais que ça allait arrivé , soudain un paysans passa et s'arrêta avec un véhicule utilitaire genre C15 , je grelotais , il me dit " bonjour , qu'est -ce que vous faites là ; et je lui dit j'ai ma voiture qui est tombée en panne 15 kilomètres plus haut , je me rend à Laguiole ; Mais on est loin de Laguiole ici ! Je peux vous amener à Aumont ou Prade .à 5 kilomètres ....je ne me rappelle pas exactement ce qu'il m'a dit comme bled , vous allez crever de froid ! " , et j'ouvre la porte et comme j'étais déjà dans la phase de retour : je disparais devant lui .."
Arthursteeman pay de flandre belgie met veel nostalgie gevolgd,hard labeur,vrienschap onder de mensen,Moest in alle scholen verplicht lesmaterilaal zijn
On voit bien que vous n'avez jamais travaillé de vos mains, ne vous êtes jamais levé à 4h00 du matin qu'il vente, neige ou fasse un cagnard de plomb, pour ne pas respecter le travail des paysans. Ce type de travail a peut-être pratiquement disparu, mais il mérite le respect pas la méchanceté gratuite.
Je ne me lasse pas de regarderai tout ces Baus documentaire ils y a 60an j'en ai profité au Piémont en Italie et l'amour de la campagne et montagne surtout ne m'a jamais quitté. Je vous remercie beaucoup pour toutes ces belles images... Guy
Quelle. Nostalgie grand que cela ne soit qu'un souvenir qu'on garderas a vie
Dommage que ce buron soit fermé, c est l emblème de l aubrac. Continuez à nous faire rêver avec vos si merveilleux reportages qui montrent bien la rudesse de cette belle région.
Pure merveille ton film et la vie de ces 2 hommes. Merci. 1998 et l'on dirait un autre monde. Le temps ou l'on savait travailler durement et vivre chichement.
Un noble et dur métier servi par des personnages sympathiques et attachants que l'on aimerait côtoyer.
Un grand et respectueux bravo.
Ce qui me frappe chez ces buronniers, c'est l'amour de leurs bêtes.
C'est cela, l'amour du travail bien fait.
Magnifique reportage qui m'a appris beaucoup de détail sur la vie de ces buronniers. D'origine Aveyronnaise je me suis moi aussi occupé des vaches de mon père dans sa petite ferme mais nous étions des coustoubis (paysan des coteaux de l'Aubrac) et pas des montagnols comme Jean et Louis et nous n'avions pas de buron.Ce reportage à été très émouvant pour moi.Bravo au réalisateur.
Les traditions se perdent, mais ce documentaire rend un bel hommage aux buronniers et à l' Aubrac! On devrait le montrer dans les écoles pour que les jeunes voient ce que c' était que la vraie vie dans les montagnes!
Dommage que ce buron soit fermé, c est l emblème de l aubrac. Continuez à nous émerveiller avec vos reportages. Ils montrent bien la rudesse du travail de ces hommes et de cette région. Merci
Deux personnes remarquables, dures à la tâche mais portées par l'amour de leur bêtes et le souci de bien faire leur travail. En communion avec une nature à leur image, silencieuse, entière, profonde et parfois si rude. Deux grands serviteurs de l'Aubrac qui ne méritent que du respect. Merci Jean, merci Louis.
Mathilde, je suis portugais avec 68 anées passioné pour le monde rural et je comprend que les personnes sont les memes en tout le monde!
Merci pour ce vídeo magnifique!
Que de nostalgie. Il faudrait revenir à cette époque
Yves quel plaisir de voir ton film et ta passion toujours entière de la nature dont tu te fais un ambassadeur. Il y a de nombreuses années tu me faisais partager le plaisir de cette union avec elle. Bravo er merci Danielle
as tu vu ma réponse?
@@yvesangoy3420 non je ne lis que le message où tu me poses la question....
J'ai regardé avec beaucoup de respect...
Merci
Un grand savoir-faire appuyé par un énorme courage. Un grand bravo à eux .
Documentaire social d’une grande valeur qui devrait être vu et expliqué dans toutes les écoles de France, y parviendrons nous jamais?
Patrice, je suis d'acord! C'est le monde rustique authentique!
Je suis portugais, avec 68 ans, passioné pour cettes choses! À vivre et travailler a lá champagne, j'ai vaches aussi!
C'est une vie trés dure et dificile!!
Très beau film sur la transhumance des vaches , et quel beaux fromage , ça donne envie d y gouter .Le portable n existait pas , et ces hommes , quel carnisme de vrais paysans .Superbe ces vaches , et monsieur le taureau , bel étalon qui a procréer de beaux veaux .Mais c était le temps d avant , ou tout était simple , avec un travail de buronnier à jamais perdu
Bonjour Yves quel bonheur de voir tes images
Merci a tous de ces instants de racine de notre pays
Tellement beau ,magnifique , ce sont des taiseux, proches de leurs animaux, sourires espiègles, des artisants comme ils n en restent peu ,
Aveyronnais de naissance, fils et petit fils de paysans Aveyronnais, je suis fier d'être de ce ''pays''' et je me reconnais en eux, même si je n'ai jamais fait ce travail là. Quand j'achète mon fromage au supermarché, je n'imagine pas tout le travail qu'il y a en amont pour qu'il soit aussi bon! La prochaine fois que j'en prendrai je penserai à Jean et Louis de Canuc, merci Messieurs, et bravo pour votre savoir faire, votre volonté et l'amour du travail bien fait. Que sont ils devenus ces braves gens? Le film est de 1998, 23 ans déjà!!
superbe 'adore ces commentaires tres belles bêtes bravo suis petit fils de paysan me suis elevé dans ce milieu . rural .
Des vrais gens sans artifices c'est beau ,j'ai mangé l'aligot a canuc bon souvenir
Très beau documentaire sur des hommes courageux et aimant leur bêtes.
Les corréziens de Seilhac rencontrés à la Brasserie de Bozouls le 25 Août dernier , où vous avez cassé un verre !!!
Et moi, je bosse tous les jours, pour payer mes factures...temps de se remettre en question. Il faut pas grand choses pour vivre serein! Merci pour ce documentation!
Great film,very interesting, a hard but good way of life, i hope they continue
BRAVO MERCI BC, RESPECT MAROC
Pas d'industrie à l'époque ! Ses hommes la ont n'en trouveras plus c'est finie ... Surtout bien garder ses archives si précieuse et merci a ses bons vivant même si c'était dur ils vivaient bien au moins ....
Quand ils parlent à leurs bêtes, ça fait comme une chanson, les bêtes comprennent très bien cette mélopée (occitan).
Là d accord c est des vrais paysans pas avec leurs gros tracteur s énorme et leurs 500 vaches
En quelle année à été tourné ce très beau reportage? Merci.
A 1 heure 04 minutes 42 secondes jusqu'à 44 secondes sur la droite de l'image en haut : Je me suis rendu sur place par téléportation pour être présent sur le dernier plan du documentaire que j'ai mis en route et fait réalisé pour immortaliser le dernier buron juste avant sa fermeture ou du moins avec ses vrais acteurs ; Et dans ce buron j'y suis allé souvent , au moins 7 à 8 fois par an chaque saison depuis l'âge de 3 ou 4 ans au début des années 70 , ( avec le village , la famille ..) jusqu'aux années fin 80 , après je n'y allais plus sauf 1 fois ou 2 ...Dans les années 70 - 80 , il n'y avait pas grand monde , c'était pas à la mode , si bien qu'il y avait souvent les mêmes personnes , pas plus de 30 , plutôt 20 maximum , des fois à peine 10 , pour manger l'aligot " le Dimanche " . Si je me rappelle bien , il y avait 2 ou 3 burons ouvert dans les années 70 puis seulement 2 dans les années 80 pour 1 seul à la fin des années 80 . C'est devenu à la mode au début des années 90 , mais c'était trop tard , ils ne trouvaient plus personne pour travailler et surement moins rentable pour les exploitants car les types qui tiennent le buron le temps de la transhumance du mois de Mai à fin septembre sont des ouvriers de grosses fermes situées à plus de 50 kilomètres dans la région de Gages près de Laissac dans l'Aveyron ; En réalité ce sont ces mêmes ouvriers très rudes faisant 15 heures de travail par jour y compris le Dimanche , mal payés , qui tenaient totalement les fermes de gros propriétaires à eux tout seuls " ils faisaient tout " , et je les croisaient aussi au marché de Laissac ou ils vendaient des veaux et des vaches pour leurs patrons . Durant 5 mois , ils devaient faire du fromage tous les jours et garder et gérer le troupeau , le reste du temps d'Octobre à Mai ils travaillaient au siège de la ferme ....
Les montagnes de l'Aubrac , où le troupeau est en transhumance pour la saison , ne valaient quasiment rien en valeur marchande dans les années 70 - début 80 , c'est à dire que pour pas grand chose vous aviez 100 hectares , ça n'intéressait pas grand monde ...C'est à partir du moment ou il y a eu la valorisation de la race Aubrac et des produits " Labellisés Aubrac " tel que le fromage , la viande et l'aligot que tout à changé d'un coup ...Et je suis un des principaux moteurs de cette valorisation avec un type s'appelant " Valadier " qui ont mis ce changement en route pour faire connaitre et commercialiser ces produits ....A partir des années 90 les montagnes ont pris de la valeur et les exploitations se battent le moindre hectare valant plus de 10000 Euros ...
Ce soir là , j'arrive à 500 mètres du Buron , je me rends au Buron à pied , je trouve une famille qui parlaient à l'extérieur , je me mets à parler et sympathiser avec quelque uns qui m'offre à boire , il commençait à faire nuit , puis au bout d'une heure on les appelle pour manger à l'intérieur , et moi je leur dis " moi je viens pas , j'ai pas réservé , je passais boire un coup " et me répondent : non , non ! tu viens avec nous , on te l'offre ! En fin de soirée , nous étions dehors , et j'ai dis au gens que j'avais laissé ma voiture à 1 kilomètre , je les ai remercié , je suis parti à pied et je ne suis jamais revenu , le buron à fermé quelques années plus tard ..." Le caméraman et le réalisateur ne m'ont peut -être pas reconnu ce soir là , je leur ai dit bonjour , je les connaissais à distance " ...
A noter que ce soir là , qui devait être au mois de septembre , pas de chance il avait gelé je pense jusqu'à moins 5 degrés et je me trouvais en teeshirt , ça devait être entre minuit et 1 heure du matin , les gens voulaient me ramener jusqu'à la voiture , je leur dit non merci elle est pas loin , puis une voiture me rattrape et j'étais arrivé vers la fin du chemin non goudronné , et la ils insistent " mais on te ramène " , " non , merci , j'ai laissé la voiture juste un peu plus haut dans le champs d'un ami , " bon d'accord comme tu voudras , bonne nuit , à la prochaine " ; Puis j'entends une autre voiture qui arrivait , je me planque derrière un tas de pierres jusqu'à que toutes les voitures partent , puis je me dirige par la route vers Laguiole , mais il faisait de plus en plus froid , je fis au peu près 5 kilomètres et je n'arrivais pas à me concentrer pour revenir et j'étais tellement gelé que je décida d'aller dans un bois , c'était brumeux et je ne distinguais rien , je cherchais du cran ou des genets , je trouvais rien ...et au bout d'un moment j'ai trouvé un trou et en ramassant les feuilles avec les pieds et les mains , tout ce que je pouvais trouver " pas grand chose en fait " , je me suis couché et me suis enseveli de tout ce tas , mais il faisait toujours aussi froid , très froid ...Je gelais ....Au bout de 1 ou 1 heure 30 je repris la route en essayant de courir , mais les jambes ça allait , le problème était les oreilles , les mains et les bras qui gelaient , il faisait moins 5 degré....Je me suis trompé de sens car sur le plateau il y a des faux plats et des descentes sur la montée puis je m'en suis aperçu ( c'est surtout qu'en rejoignant la route les voitures sont parties vers la droite et j'ai pensé qu'elles allaient vers Laguiole , surtout que l'on était sur le plat ) , j'ai fais demi tour et j'ai couru toute la nuit pour pas mourir de froid , le problème était les oreilles et les mains que je tapotais constamment et j'ai dû faire 30 kilomètres , le but était de descendre vers la vallée ( Laguiole - Espalion ) que je n'ai jamais trouvé , " même pas Laguiole " , au bout d'un moment je ne il faisait tellement nuit et froid que je ne savais même plus le sens vers Laguiole ( une fois ça descendait , putin c'est de l'autre coté , puis ça remontait c'est bon , puis faux plat descente putain tout faux ...) , et je suis arrivé au niveau de ce que je pensais être la station de ski vers 6 heures du matin " une grosse bâtisse fermée " ( il faisait encore nuit mais ça commençait à se lever ) , où tout était fermé , et à ce moment là j'avais commencé à me concentré pour revenir , je sentais que ça allait arrivé , soudain un paysans passa et s'arrêta avec un véhicule utilitaire genre C15 , je grelotais , il me dit " bonjour , qu'est -ce que vous faites là ; et je lui dit j'ai ma voiture qui est tombée en panne 15 kilomètres plus haut , je me rend à Laguiole ; Mais on est loin de Laguiole ici ! Je peux vous amener à Aumont ou Prade .à 5 kilomètres ....je ne me rappelle pas exactement ce qu'il m'a dit comme bled , vous allez crever de froid ! " , et j'ouvre la porte et comme j'étais déjà dans la phase de retour : je disparais devant lui .."
superbe video
Svp faites revivre ce joli buron ne le laissez pas tomber en ruine. Merci
Arthursteeman pay de flandre belgie met veel nostalgie gevolgd,hard labeur,vrienschap onder de mensen,Moest in alle scholen verplicht lesmaterilaal zijn
Et oui se temps et révolu
dure vie qu'ils ont ou qu'ils ont eu !!!!
Vie de moine mais sans monastère.
Mon métier détruit par ces marchands de profits une vie , un savoir faire ancestral s'en va pour le béton et les fumées des mégapoles ...
La France
Oui la belle France !
Ouï la belle France !
Avant c était toujours mieux
Rien pigé.
insuportable ce bruit de feraille ..maintenant on sait que c nocif pour les betes !!
bientôt macaron leur enverra du migrant coloré islamisé pour les aider ou les remplacer, mais le goût du fromage ne sera plus le même.
Le fromage a le gout du savoir-faire, du travail et de la flore que mange la vache...pas de la couleur de peau de ceux qui le font.
de la rigolade du folclore pas de la vrai vie
Qu'est ce que vous appelez de la vrai vie???
Si ce n'est pas la vrai vie ça, je ne sais pas ce qu'il vous faut....!!!
connard
Allez visiter!
On voit bien que vous n'avez jamais travaillé de vos mains, ne vous êtes jamais levé à 4h00 du matin qu'il vente, neige ou fasse un cagnard de plomb, pour ne pas respecter le travail des paysans. Ce type de travail a peut-être pratiquement disparu, mais il mérite le respect pas la méchanceté gratuite.
et on s'étonne que le fromage sent la bouse de vache !
??
T'as quas pas en manger.
@@barotche9107 très intelligente réponse !
@@faolou800 merci
@@faolou800 merci