Je compatis Madame. Et la maltraitance sévit malheureusement dans tous les milieux. Et la mère (ou le père dans le cas inverse) est souvent complice. L'essentiel pour ce type de personnes étant que ça ne s'ébruite pas, pour sauver leur réputation. Le problème quand on est enfant c'est qu'on est entièrement dépendant de ses parents et qu'on peut penser être la cause de cette manière d'agir. On éprouve de la peur, de la honte et de la tristesse. On est en plein désarroi.
Pour moi c'était ma mére qui me traitait mal, physiquement et psychologiquement.Elle me critiquée et me rabaissée sans cesse.Elle me frappait avec un martinet et me laissait avec des rages de dents sans réagir alors que je n'étais qu'une enfant.J'ai gardée des séquelles de tout cela...
@@guilloiscorinne bonjour Corinne si ils sont vraiment toxique.Eloignez vous de ces gens là sinon,ils vont vous faire souffrir.Bisou ma belle et courage😊
@@dariapolska3961 Ma mère aussi avait une mère et un frère toxiques. Elle n'a jamais accepté que ma mère ne soit pas un garçon, car elle en a perdu un avant sa naissance. Son frère est né un an après elle et c'était son préféré, à qui elle a donné le même prénom que celui décédé. En fait ils étaient toxiques pour les oncles et tantes aussi, même si c'était pire pour ma mère et sa sœur aînée. Elle a laissé son premier enfant à sa mère et son beau-père, mais on ne sait pas pourquoi. Elle était méchante avec mes cousins et cousines aussi. Elle n'aimait pas mon papa et à osé pleurer à son enterrement. En plus elle voulait qu'on retourne vivre en Lorraine. Mon papa est décédé en 1990, le père de ma mère en 1962 donc on l'a pas connu. On a des origines polonaises du côté paternel de ma mère. Sinon on a tous eu un parent ou des frères et sœurs toxiques dans nos familles du côté de ma mère, sauf le fils de mon plus jeune oncle qui a eu plus de chance. Moi aussi j'ai malheureusement un "frère" aîné toxique. On est 4 enfants dans ma fratrie. Et votre père, il était comment avec vous? Vous l'avez connu?
La seule chose qui me console legerement dans vos terribles temoignages mesdames, c est vous avez l air de personnes formidables qui semblent ne pas avoir sombré face a ces abominations. Je n ai pas eu vos malchances mais je compatis enormement pour les jeunes filles que vous etiez ❤
Je travaille dans le domaine de la protection de l'enfance et j'entends des horreurs quotidiennement. Je vous envoie tout mon courage et vous êtes une belle personne, n'en doutez surtout pas.
Je donne ma mère à qui veut bien la prendre. 87ans, psychopathe, a conservé toutes ses capacités de nuisance ! Pas sûr que vous fassiez une affaire... Ne sera ni reprise ni échangée. Livraison gratuite. Reste à vous souhaiter bon courage, vous en aurez besoin !!
L'humour aide à surpasser des situations fort désagréables. Bravo à vous. Même avec une super promotion, je vous laisse votre mère. J'ai la mienne qui vaut le détour 😂
J’ai eu le même genre de maltraitances. Une famille plutôt à l’aise financièrement, éduquée, mais des parents négligents, ma mère a fait ce qu’elle a pu avec ses carences affectives à elle et mon père lui nous « cassait » régulièrement (pas de violence physique heureusement). Résultat : très dur de savoir « où j’avais mal » mais de l’âge de 20 ans à 40 en dépression chronique, en crises d’anxiété , toc invalidants, crises de panique, sans profiter du tout de ma vie. De plus un choix de partenaires extrêmement toxiques pour moi, qui m’ont maltraitée. J’essaie de me rattraper aujourd’hui mais ma vie a en partie été gâchée.
Ne pas savoir où est-ce qu'on a mal, ne pas savoir mettre des mots dessus parce qu'on n'a pas reçu de coups physiques, la dépression latente qui assomme dès le début de la vie d'adulte, c'est exactement ça.. 😞
Ma mère pleurnichait en me montrant ses mains. C'était terrible car elle disait que la douleur etait dûe au fait qu'elle m'avait trop battue ces jours là.
Ça me fait penser a mon histoire, mais moi c'était ma mère. Déjà elle voulait absolument une fille, je suis un garçon, déjà premier problème et puis je n'étais pas un grand fan de l'école (bien que j'ai plusieurs diplômes) et pour ma mère j'étais un bon a rien, par exemple je n’étais pas bon en anglais donc pendant les vacances elle me faisait faire à m'en dégoûter des cahiers de vacances sur l'anglais sauf que si je ne comprenait pas bien un truc et que je demandais de l'aide elle qui se disait bonne en anglais alors que c'était faux et qu'elle ne comprenait pas non plus l'exercice et bien elle m'insultait de bon a rien et me laissait devant le cahier pendant des heures jusqu'à ce qu'elle en ai marre de me voir. Après des fois elle me giflait et me disait de repliquer sauf que je n'osais pas parceque je savais que derrière si je faisais quelque chose c'est mon père qui m'aurait frappé, une fois pendant les vacances mon frère me frappait (il savait qu'il ne risquait rien à ça et ça n’a pas été la seule fois) et pour éviter les coup je suis allé dans la seule pièce qui fermait à clef, la chambre de mes parents, mon frère a enfoncé la porte et il y avait un énorme trou dans la porte, le soir je me suis fait tabassé parceque j'aurais dû ceder aux caprices de mon frère. Mon plus vieux souvenir c'était le bain quand j'étais tout petit, en me déshabillent j'ai eu un frisson, ça n’a pas plu a ma mère et elle m’a frappé. Au collège elle refusait de m’acheter un sac un minimum qualitatif, donc je finissait les années avec un sac troué et si elle le voyait c'est que c'était de ma faute si les coutures ne tenaient pas et j'avais le droit à des moments d'humiliations, j'avais tellement peur d'elle qu’une année j'ai fini l'année avec des chaussures troué par la semelle sans lui dire parceque je savais ce que je risquait... Pareil au collège j'avais les cheuveux long, une fois dans une de ses crises elle m’a forcé à les couper pour m’humilier... En plus de ce que je vivais à la maison je me faisais harceler au collège, j'ai essayé de lui dire, sa seule reponse c'est que je n’avais qu'à me défendre et le jour où en 3e j'ai massacré un de mes harceleurs et que le collège a prévenu mes parents elle s'est faite passé pour la mère d'un fils qui ne lui dit jamais rien, alors que si je ne disais rien c'était parcequ’elle s'en foutait, encore pire si je lui disais je prenais la même chose à la maison. Et je passe bon nombre de scènes. Aussi loin que je me souvienne je ne l'ai jamais aimé a cause de ce qu'elle me faisait vivre j'ai même de nombreuses fois rêvé de la voir mourrir quand j'étais petit et à 18 ans après une de ses crises d'hystérie je ne suis plus jamais revenu chez elle, j’ai coupé tout liens avec les personnes qui etaient en contact avec elle. Aujourd'hui même si dans les relations amoureuses ça a encore un impact sur ma vie, je vis ma vie, elle n’a été qu'un frein à mon épanouissement, ma vie a reellement commencé à mes 18 ans, j'ai rencontré en 12 ans tellement de personnes plus intéressantes et enrichissantes qu'elle. Mon seul regret c'est mon père qui m’a donné mes passions mais qui lui l'aime malgré ce qu'elle lui fait subir à lui aussi.
Votre témoignage m’a fait penser au livre de Bazin : Vipère au poing La cruauté de certaines personnes est sans limite. Je vous souhaite le meilleur pour votre avenir ❤
La maltraitance existe dans tous les milieux sociaux et culturelle ( plus ou moins banalisé). Ma mère me donnait surtout des gifles et quelques fessées. Mon père m'a donner des coups de ceinture en cas de désobéissance ou de mauvaise notes/mots dans le carnet. C'était pas par méchanceté dans le sens ou c'est assez courant en Europe de l'est...donc je lui en veux pas trop. Il a été élevé de la même façon.
Ce genre de parents ne se rendent même pas compte que leurs comportements sont anormaux et inacceptables. Ma mère a noté dans mon livre de naissance à la page des "premières fois" : mes premiers coups de martinets à 2 ans parce que j'avais mis de l'eau sur la moquette de la salle de bain en prenant mon bain, disant que j'avais les fesses toutes rouges, en mode "anecdote rigolote"... Ou qu'à quelques mois ils me mettaient à dormir dans la cuisine dans mon couffin pour ne pas être réveillés "parce que je ne pensais qu'à manger"... J'ai réellement réalisé la violence de ces scènes lorsque j'ai eu mon propre enfant. J'ai coupé les ponts quelques années après j'avais 40 ans. Mes frère et sœur ont d'ailleurs fait de même. Et pour autant à aucun moment ils ne se sont remis en question. Nous ne sommes pour eux que des ingrats, ils considèrent même qu'on a été trop gâtés...
Je trouve cette femme magnifique 😊 Elle est belle et même avec cette souffrance qu’elle a du endurer durant son enfance, elle en parle désormais avec un certain détachement ce qui me rend admirative. Car pour avoir vécu moi aussi exactement la même souffrance par des géniteurs maltraitants durant toute mon enfance et mon adolescence, ainsi qu’avec une partie de mes oncles et tantes qui sont rentrés eux aussi dans ce cercle vicieux de maltraiter une enfant, à en croire que c’était devenu pour cette famille un jeu de prendre une enfant comme victime de leurs névroses, je comprends parfaitement ce que cette femme peut ressentir et j’admire cette sorte de détachement à évoquer son enfance. Pour ma part, je n’arrive pas à pardonner. J’ai essayé de parler à certains de ceux qui m’ont maltraité mais comme cette dame le précise en fin de reportage, ils ont nié et m’en ont voulu au point de ne plus vouloir me voir sur leurs dernières heures. Ce qui m’attriste maintenant c’est que je n’aurai jamais de réponse à cette jubilation collective qu’ils ont tous pris à me faire du mal car ils m’ont nié jusque dans leur mort😮
J’avais tellement peur de mon père car j’avais eu une mauvaise note à l’école sur mon carnet journalier que j’ai imité sa signature… bien sûr j’ai été démasquée et là qu’est ce que j’ai pris!!!!
J'aurais pu témoigner. Que de courage pour ces enfants d'avoir survécu à cette maltraitance. Là seule solution est de couper cette équation . La rupture familiale. On s'éloigne du parent défaillant et des potentiels émissaires de la génitrice. Ces gens n'auront de cesse de tenter de vous ramener vers votre mère en la plaignant. Stop. Vous avez supporté l' omerta durant votre enfance de ces individus. Leur intérêt est de polisser à votre désavantage l'unicité familiale. Donc quand il faut couper l'équation pour mieux avancer et se libérer avec courage de ses chaînes avec le parent bourreau , il faut comprendre que la rupture sera avec l'entièreté de la famille. N'oublions que votre image à leurs yeux a été tronquée depuis votre naissance par la génitrice . Donc ne pas restée bloquée dans un habit d'éternel avocat pour vous justifier. C'est energivore et surtout les dés sont pipés à l'avance. Pour avancer en sécurité, ne plus rester dans le passé, il faut vivre mais loin du parent défaillant et sans aucuns remords. Le pardon vous appartient donc vous êtes libres de ne pas pardonner. Vous seuls portez des blessures suintantes jusqu'à la fin de votre existence. On n'oublie pas. Cette mère nous a volée notre enfance. J'ai survecue à mon enfance alors que je ne demandais qu'à la vivre.
Des exemples similaires ou des scenarii proches il y en a plus que vous ne croyez..avec une mere non disponible, finalement maltraitante,accusatrice ,qui se plaint au père...de rien mais pour se plaindre..alors oui le lien est plus que distendu par manque de soutien ..avec refus de travail sur soi meme donc on ( je) finit( s) en therapie avec sa culpabilité,ce desarroi face a l incompréhension meme si on cherche le pourquoi du comment pour remédier a cet etat affectif malmené...et puis on decide de s eloigner parce qu on sait que jusqu'à la fin,il n y aura pas de changement ou remise en question.C est triste ..impactant mais vital pour se re construire. Et cette solitude de l enfant! Et ces mots qui blessent...a vie meme si on a du avancer,se soigner ! Moi j ai dit et je pense écrire...pour moi.Ils ne comprendrontvpas car ils refusent de reconnaître. Il n y a pas de dialogue ou un echange qui ne porte pas ses fruits... Constat.
Il faut du courage pour en parler. Ce témoignage m’a réconfortée car j’ai reçu le même type d’éducation. Il me semble que c’est souvent dans des milieux très religieux que cela se produit. J’ai une foi très forte aujourd’hui donc je ne suis pas en train de critiquer la foi. Par contre la religion c’est un cadre de vie que les gens adoptent pour se rassurer, mais cela les rend intransigeants avec les autres. Comme ils sont religieux ils ont l’impression d’être des personnes parfaites. Mais ils ne savent pas aimer. On peut être religieux mais pas du tout spirituel, pas du tout transformé par sa foi. La religion c’est un fardeau que les gens s’imposent à eux-mêmes. C’est pas ce que Dieu nous demande dans la Bible. C’est bien d’avoir des grands principes, mais quand on n’est pas capable d’aimer, ces principes n’ont aucune valeur. Pour ma part j’ai été vraiment abîmée par ce milieu. J’ai souffert de manque d’amour et aujourd’hui je manque fortement de confiance en moi. Je n’arrive pas à avoir une relation amoureuse ou à m’attacher à quelqu’un. En amitié c’est compliqué parce que j’ai peur du rejet. Même en tant qu’adulte je suis traitée comme une mineure. Je ne suis pas très bien intégrée dans ma famille, donc j’y retourne assez peu. Sinon je perds encore plus confiance en moi. Ce type de témoignage m’aide à comprendre mes difficultés et à savoir que des gens comme moi il y en a beaucoup.
J’ai eu un papa Violent toxique pervers narcissique j’en ai BAVÉ + pas de mère ma belle mère cruelle et méchante bref c’est qqch qui vs détruit à VIE 😢
Courage, vous n’êtes pas seule. Ai connu le martinet, le cachot, les rats, mes parents n’étaient pas conscients de leur violence, qu’eux même avaient subis. Restons positifs, on s’en sort.,, Tout ce qui ne nous détruit pas nous renforce. Nous permet de rester debout et intègre.
Oui c était comme ça,,,,punaise les raclée ceinture à ne pas me mettre à l'école pendant plusieurs jours,,je n arrive pas à en vouloir à mon père,,,malgré tout,,il est parti et j'ai pardonner depuis longtemps .mais ça me reste dans la tête quelque fois 😢
La toute puissance de l’autorité parentale, l’abus de pouvoir sur des enfants. Avec mes frères et sœurs on a vécu ça, on est brisés à jamais. Tués dans l’oeuf, on n’a pas réussi à surmonter nos traumatismes.
Désolée mais, dans le temps, tous les parents ne frappaient pas leurs enfants ! J'ai 74 ans et j'ai eu des parents adorables. Je n'ai jamais maltraité mes enfants non plus.
Oui un ami m'en a parlé. Il y a été invité. C'est dingue ces trucs ! Pour Minimisswinnie, Les rallyes sont une sorte de soirées mondaines. Disons que c'est pour que les enfants ( ado et jeunes adultes) de la "Haute" se côtoient entre eux ( les parents sont présents pour être entre eux auss, il me semble ) comme ça, ça peut créer des liens. A l'époque ça pouvait même créer des mariages arrangés/forcés. Bref une vieille coutume 😬
Bon, elle a pas l air simple non plus..pas facile comme gamine.elle part et rentre 2 jours apres.mm s il n y avait pas de portable on peut toujours prévenir. 😮
Mon dieu comment on peut traiter ses enfants comme ça des etres aussi ignobles un animal ne le fait pas plus hypocrite je peux pas supporter ses personnages Mylène
Je compatis Madame. Et la maltraitance sévit malheureusement dans tous les milieux. Et la mère (ou le père dans le cas inverse) est souvent complice. L'essentiel pour ce type de personnes étant que ça ne s'ébruite pas, pour sauver leur réputation. Le problème quand on est enfant c'est qu'on est entièrement dépendant de ses parents et qu'on peut penser être la cause de cette manière d'agir. On éprouve de la peur, de la honte et de la tristesse. On est en plein désarroi.
Pour moi c'était ma mére qui me traitait mal, physiquement et psychologiquement.Elle me critiquée et me rabaissée sans cesse.Elle me frappait avec un martinet et me laissait avec des rages de dents sans réagir alors que je n'étais qu'une enfant.J'ai gardée des séquelles de tout cela...
Bonjour Daria.ma soeur ma mere et moi avons eu unperz et mari tres dur.😢
@@guilloiscorinne bonjour Corinne si ils sont vraiment toxique.Eloignez vous de ces gens là sinon,ils vont vous faire souffrir.Bisou ma belle et courage😊
@Dariapolska Dans un foyer il n'y a pas que les parents qui sont maltraitants, mais aussi les frères et/ou sœurs.
@@nadegekempa827 oui mon frère est comme ma mère.Il est néfaste et toxique... Très méchant avec moi.
@@dariapolska3961 Ma mère aussi avait une mère et un frère toxiques. Elle n'a jamais accepté que ma mère ne soit pas un garçon, car elle en a perdu un avant sa naissance. Son frère est né un an après elle et c'était son préféré, à qui elle a donné le même prénom que celui décédé. En fait ils étaient toxiques pour les oncles et tantes aussi, même si c'était pire pour ma mère et sa sœur aînée. Elle a laissé son premier enfant à sa mère et son beau-père, mais on ne sait pas pourquoi. Elle était méchante avec mes cousins et cousines aussi. Elle n'aimait pas mon papa et à osé pleurer à son enterrement. En plus elle voulait qu'on retourne vivre en Lorraine. Mon papa est décédé en 1990, le père de ma mère en 1962 donc on l'a pas connu. On a des origines polonaises du côté paternel de ma mère.
Sinon on a tous eu un parent ou des frères et sœurs toxiques dans nos familles du côté de ma mère, sauf le fils de mon plus jeune oncle qui a eu plus de chance. Moi aussi j'ai malheureusement un "frère" aîné toxique. On est 4 enfants dans ma fratrie.
Et votre père, il était comment avec vous? Vous l'avez connu?
La seule chose qui me console legerement dans vos terribles temoignages mesdames, c est vous avez l air de personnes formidables qui semblent ne pas avoir sombré face a ces abominations. Je n ai pas eu vos malchances mais je compatis enormement pour les jeunes filles que vous etiez ❤
Bien de montrer que DANS TOUS LES MILIEUX...cela peut se passer...
Merci pour ce témoignage
👍
Merci, avec plaisir
Je travaille dans le domaine de la protection de l'enfance et j'entends des horreurs quotidiennement. Je vous envoie tout mon courage et vous êtes une belle personne, n'en doutez surtout pas.
Merci beaucoup
Je donne ma mère à qui veut bien la prendre. 87ans, psychopathe, a conservé toutes ses capacités de nuisance ! Pas sûr que vous fassiez une affaire... Ne sera ni reprise ni échangée. Livraison gratuite.
Reste à vous souhaiter bon courage, vous en aurez besoin !!
Non merci j’ai encore la mienne 😅 tout pareil
@@casariepapa6414 Les mères sont nombreuses, mais les mamans plus rares... Hélas !! 😏
L'humour aide à surpasser des situations fort désagréables. Bravo à vous. Même avec une super promotion, je vous laisse votre mère. J'ai la mienne qui vaut le détour 😂
Je reconnais l humour qui a été et est une bouée de sauvetage, finalement on se reconnaît entre nous, sans se connaître, jamais. ❤
@@Cassandre-z2c 👋, heureusement qu'il nous reste l'humour même pour des sujets graves sinon " bonjour tristesse", alors rions
J’ai eu le même genre de maltraitances. Une famille plutôt à l’aise financièrement, éduquée, mais des parents négligents, ma mère a fait ce qu’elle a pu avec ses carences affectives à elle et mon père lui nous « cassait » régulièrement (pas de violence physique heureusement). Résultat : très dur de savoir « où j’avais mal » mais de l’âge de 20 ans à 40 en dépression chronique, en crises d’anxiété , toc invalidants, crises de panique, sans profiter du tout de ma vie. De plus un choix de partenaires extrêmement toxiques pour moi, qui m’ont maltraitée. J’essaie de me rattraper aujourd’hui mais ma vie a en partie été gâchée.
Oui, le plus dur pour moi a été d'identifier mon mal-être profond. Comme d'un autre côté j'ai reçu de l'argent, je ne pouvais pas me plaindre
@@janickdumay8622 c’est exactement cela. On endure et on culpabilise, dans le même temps..
Ne pas savoir où est-ce qu'on a mal, ne pas savoir mettre des mots dessus parce qu'on n'a pas reçu de coups physiques, la dépression latente qui assomme dès le début de la vie d'adulte, c'est exactement ça.. 😞
@@plagehya oui, un long cheminement pour mettre de la clarté dans notre vécu
Je suis en train de le regarder ( décalage horaire en Martinique ) . De très fort témoignage
Merci
Ma mère pleurnichait en me montrant ses mains.
C'était terrible car elle disait que la douleur etait dûe au fait qu'elle m'avait trop battue ces jours là.
Ça me fait penser a mon histoire, mais moi c'était ma mère. Déjà elle voulait absolument une fille, je suis un garçon, déjà premier problème et puis je n'étais pas un grand fan de l'école (bien que j'ai plusieurs diplômes) et pour ma mère j'étais un bon a rien, par exemple je n’étais pas bon en anglais donc pendant les vacances elle me faisait faire à m'en dégoûter des cahiers de vacances sur l'anglais sauf que si je ne comprenait pas bien un truc et que je demandais de l'aide elle qui se disait bonne en anglais alors que c'était faux et qu'elle ne comprenait pas non plus l'exercice et bien elle m'insultait de bon a rien et me laissait devant le cahier pendant des heures jusqu'à ce qu'elle en ai marre de me voir. Après des fois elle me giflait et me disait de repliquer sauf que je n'osais pas parceque je savais que derrière si je faisais quelque chose c'est mon père qui m'aurait frappé, une fois pendant les vacances mon frère me frappait (il savait qu'il ne risquait rien à ça et ça n’a pas été la seule fois) et pour éviter les coup je suis allé dans la seule pièce qui fermait à clef, la chambre de mes parents, mon frère a enfoncé la porte et il y avait un énorme trou dans la porte, le soir je me suis fait tabassé parceque j'aurais dû ceder aux caprices de mon frère. Mon plus vieux souvenir c'était le bain quand j'étais tout petit, en me déshabillent j'ai eu un frisson, ça n’a pas plu a ma mère et elle m’a frappé. Au collège elle refusait de m’acheter un sac un minimum qualitatif, donc je finissait les années avec un sac troué et si elle le voyait c'est que c'était de ma faute si les coutures ne tenaient pas et j'avais le droit à des moments d'humiliations, j'avais tellement peur d'elle qu’une année j'ai fini l'année avec des chaussures troué par la semelle sans lui dire parceque je savais ce que je risquait... Pareil au collège j'avais les cheuveux long, une fois dans une de ses crises elle m’a forcé à les couper pour m’humilier... En plus de ce que je vivais à la maison je me faisais harceler au collège, j'ai essayé de lui dire, sa seule reponse c'est que je n’avais qu'à me défendre et le jour où en 3e j'ai massacré un de mes harceleurs et que le collège a prévenu mes parents elle s'est faite passé pour la mère d'un fils qui ne lui dit jamais rien, alors que si je ne disais rien c'était parcequ’elle s'en foutait, encore pire si je lui disais je prenais la même chose à la maison. Et je passe bon nombre de scènes. Aussi loin que je me souvienne je ne l'ai jamais aimé a cause de ce qu'elle me faisait vivre j'ai même de nombreuses fois rêvé de la voir mourrir quand j'étais petit et à 18 ans après une de ses crises d'hystérie je ne suis plus jamais revenu chez elle, j’ai coupé tout liens avec les personnes qui etaient en contact avec elle. Aujourd'hui même si dans les relations amoureuses ça a encore un impact sur ma vie, je vis ma vie, elle n’a été qu'un frein à mon épanouissement, ma vie a reellement commencé à mes 18 ans, j'ai rencontré en 12 ans tellement de personnes plus intéressantes et enrichissantes qu'elle. Mon seul regret c'est mon père qui m’a donné mes passions mais qui lui l'aime malgré ce qu'elle lui fait subir à lui aussi.
Courage et force à vous, je vous souhaite une très belle vie🌻
Votre témoignage m’a fait penser au livre de Bazin : Vipère au poing
La cruauté de certaines personnes est sans limite.
Je vous souhaite le meilleur pour votre avenir ❤
Je vous souhaite beaucoup de bonheur dans votre vie future ❤
C'est tellement poignant, bon courage et beaucoup d'amour pour vous 🤗
Je suis touchée par ce que vous avez dû endurer. Je vous souhaite plein de bonheur.
Coucou Janik merci pour ton témoignage ❤🎉
Merci❤
Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences derrière chaque porte
Exactement ✨️
La maltraitance existe dans tous les milieux sociaux et culturelle ( plus ou moins banalisé).
Ma mère me donnait surtout des gifles et quelques fessées.
Mon père m'a donner des coups de ceinture en cas de désobéissance ou de mauvaise notes/mots dans le carnet.
C'était pas par méchanceté dans le sens ou c'est assez courant en Europe de l'est...donc je lui en veux pas trop.
Il a été élevé de la même façon.
La maltraitance ordinaire, oui
Ce genre de parents ne se rendent même pas compte que leurs comportements sont anormaux et inacceptables.
Ma mère a noté dans mon livre de naissance à la page des "premières fois" : mes premiers coups de martinets à 2 ans parce que j'avais mis de l'eau sur la moquette de la salle de bain en prenant mon bain, disant que j'avais les fesses toutes rouges, en mode "anecdote rigolote"...
Ou qu'à quelques mois ils me mettaient à dormir dans la cuisine dans mon couffin pour ne pas être réveillés "parce que je ne pensais qu'à manger"...
J'ai réellement réalisé la violence de ces scènes lorsque j'ai eu mon propre enfant. J'ai coupé les ponts quelques années après j'avais 40 ans. Mes frère et sœur ont d'ailleurs fait de même. Et pour autant à aucun moment ils ne se sont remis en question. Nous ne sommes pour eux que des ingrats, ils considèrent même qu'on a été trop gâtés...
"personne n'a jamais rien vu ? " Lélé si il le voient il ne veulent pas sen mêler...pourquoi sauver des vies après tout.....😢
Je trouve cette femme magnifique 😊
Elle est belle et même avec cette souffrance qu’elle a du endurer durant son enfance, elle en parle désormais avec un certain détachement ce qui me rend admirative.
Car pour avoir vécu moi aussi exactement la même souffrance par des géniteurs maltraitants durant toute mon enfance et mon adolescence, ainsi qu’avec une partie de mes oncles et tantes qui sont rentrés eux aussi dans ce cercle vicieux de maltraiter une enfant, à en croire que c’était devenu pour cette famille un jeu de prendre une enfant comme victime de leurs névroses, je comprends parfaitement ce que cette femme peut ressentir et j’admire cette sorte de détachement à évoquer son enfance.
Pour ma part, je n’arrive pas à pardonner. J’ai essayé de parler à certains de ceux qui m’ont maltraité mais comme cette dame le précise en fin de reportage, ils ont nié et m’en ont voulu au point de ne plus vouloir me voir sur leurs dernières heures.
Ce qui m’attriste maintenant c’est que je n’aurai jamais de réponse à cette jubilation collective qu’ils ont tous pris à me faire du mal car ils m’ont nié jusque dans leur mort😮
Je vois envoie toute ma bienveillante compassion
C'est atroce le témoignage de cette dame !
J’avais tellement peur de mon père car j’avais eu une mauvaise note à l’école sur mon carnet journalier que j’ai imité sa signature… bien sûr j’ai été démasquée et là qu’est ce que j’ai pris!!!!
Pareil avec ma mère… puis elle s’étonnait qu’on ne lui dise jamais rien. Courage à vous.
J'aurais pu témoigner.
Que de courage pour ces enfants d'avoir survécu à cette maltraitance. Là seule solution est de couper cette équation .
La rupture familiale.
On s'éloigne du parent défaillant et des potentiels émissaires de la génitrice. Ces gens n'auront de cesse de tenter de vous ramener vers votre mère en la plaignant.
Stop.
Vous avez supporté l' omerta durant votre enfance de ces individus. Leur intérêt est de polisser à votre désavantage l'unicité familiale.
Donc quand il faut couper l'équation pour mieux avancer et se libérer avec courage de ses chaînes avec le parent bourreau , il faut comprendre que la rupture sera avec l'entièreté de la famille.
N'oublions que votre image à leurs yeux a été tronquée depuis votre naissance par la génitrice . Donc ne pas restée bloquée dans un habit d'éternel avocat pour vous justifier. C'est energivore et surtout les dés sont pipés à l'avance.
Pour avancer en sécurité, ne plus rester dans le passé, il faut vivre mais loin du parent défaillant et sans aucuns remords.
Le pardon vous appartient donc vous êtes libres de ne pas pardonner. Vous seuls portez des blessures suintantes jusqu'à la fin de votre existence.
On n'oublie pas. Cette mère nous a volée notre enfance.
J'ai survecue à mon enfance alors que je ne demandais qu'à la vivre.
Je compatis. Je vous souhaite une vie sereine
Des exemples similaires ou des scenarii proches il y en a plus que vous ne croyez..avec une mere non disponible, finalement maltraitante,accusatrice ,qui se plaint au père...de rien mais pour se plaindre..alors oui le lien est plus que distendu par manque de soutien ..avec refus de travail sur soi meme donc on ( je) finit( s) en therapie avec sa culpabilité,ce desarroi face a l incompréhension meme si on cherche le pourquoi du comment pour remédier a cet etat affectif malmené...et puis on decide de s eloigner parce qu on sait que jusqu'à la fin,il n y aura pas de changement ou remise en question.C est triste ..impactant mais vital pour se re construire.
Et cette solitude de l enfant!
Et ces mots qui blessent...a vie meme si on a du avancer,se soigner !
Moi j ai dit et je pense écrire...pour moi.Ils ne comprendrontvpas car ils refusent de reconnaître.
Il n y a pas de dialogue ou un echange qui ne porte pas ses fruits...
Constat.
Il faut du courage pour en parler. Ce témoignage m’a réconfortée car j’ai reçu le même type d’éducation. Il me semble que c’est souvent dans des milieux très religieux que cela se produit. J’ai une foi très forte aujourd’hui donc je ne suis pas en train de critiquer la foi. Par contre la religion c’est un cadre de vie que les gens adoptent pour se rassurer, mais cela les rend intransigeants avec les autres. Comme ils sont religieux ils ont l’impression d’être des personnes parfaites. Mais ils ne savent pas aimer. On peut être religieux mais pas du tout spirituel, pas du tout transformé par sa foi. La religion c’est un fardeau que les gens s’imposent à eux-mêmes. C’est pas ce que Dieu nous demande dans la Bible. C’est bien d’avoir des grands principes, mais quand on n’est pas capable d’aimer, ces principes n’ont aucune valeur. Pour ma part j’ai été vraiment abîmée par ce milieu. J’ai souffert de manque d’amour et aujourd’hui je manque fortement de confiance en moi. Je n’arrive pas à avoir une relation amoureuse ou à m’attacher à quelqu’un. En amitié c’est compliqué parce que j’ai peur du rejet. Même en tant qu’adulte je suis traitée comme une mineure. Je ne suis pas très bien intégrée dans ma famille, donc j’y retourne assez peu. Sinon je perds encore plus confiance en moi. Ce type de témoignage m’aide à comprendre mes difficultés et à savoir que des gens comme moi il y en a beaucoup.
Je suis heureuse que mon témoignage soit une contribution pour vous.🫂✨️
J’ai eu un papa
Violent toxique pervers narcissique j’en ai BAVÉ + pas de mère ma belle mère cruelle et méchante bref c’est qqch qui vs détruit à VIE 😢
🫂✨️
La mère est complice, c'est honteux. Il y a des parents qui ne devraient pas avoir d'enfants
J'ai connu beaucoup de bourgeois de cet acabi !!!
Idem
La maltraitance des enfants ou autres " tape" dans tous les milieux sociaux
Courage, vous n’êtes pas seule. Ai connu le martinet, le cachot, les rats, mes parents n’étaient pas conscients de leur violence, qu’eux même avaient subis. Restons positifs, on s’en sort.,,
Tout ce qui ne nous détruit pas nous renforce. Nous permet de rester debout et intègre.
Dans le temps taper les enfants était normal. Qui aime bien châtie bien….!! Voilà l’excuse
Oui c était comme ça,,,,punaise les raclée ceinture à ne pas me mettre à l'école pendant plusieurs jours,,je n arrive pas à en vouloir à mon père,,,malgré tout,,il est parti et j'ai pardonner depuis longtemps .mais ça me reste dans la tête quelque fois 😢
@@marieclaudeguerrin417😅
La toute puissance de l’autorité parentale, l’abus de pouvoir sur des enfants.
Avec mes frères et sœurs on a vécu ça, on est brisés à jamais.
Tués dans l’oeuf, on n’a pas réussi à surmonter nos traumatismes.
Exactement! Dans les années 60 c’était normal d’user de violence sur les enfants!! On le méritait et c’était « pour notre bien » !!
Désolée mais, dans le temps, tous les parents ne frappaient pas leurs enfants ! J'ai 74 ans et j'ai eu des parents adorables. Je n'ai jamais maltraité mes enfants non plus.
😢
❤
Chez beaucoup de famille africaine c’est normal et quotidien les coups de ceinture, ceinture, câble électrique, cintre…
Ça n'enlève pas la violence de ces actes.
Ce n'es pas normal de faire subir de telle violence à des enfants qu'importe la raison une mauvaise note etc
C’est peut-être commun, mais ce n’est en rien normal.
C'est pas normal que nos parents nous tapent car ça laisse une traumatisme à vie.
j'ai vécu je sais ce quoi😭😭
Et pourtant cela n'a rien de normal. On peut éduquer les enfants avec fermeté mais sans violences morales ou physiques.
Les rallies existent encore…
?
Oui un ami m'en a parlé. Il y a été invité. C'est dingue ces trucs !
Pour Minimisswinnie, Les rallyes sont une sorte de soirées mondaines. Disons que c'est pour que les enfants ( ado et jeunes adultes) de la "Haute" se côtoient entre eux ( les parents sont présents pour être entre eux auss, il me semble ) comme ça, ça peut créer des liens. A l'époque ça pouvait même créer des mariages arrangés/forcés.
Bref une vieille coutume 😬
Oui je confirme ça existent encore eg ca danse rhrs du rock lol
Je ne vois pas le rapport !
@@faverogibou6773 ben il faut écouter pour comprendre….
Bonjour je ne savais pas que le milieu bourgeois maltraite les enfants courage à vous madame
Merci
Comment
😳😳😳😳😳😳😳😳😳😳
Bon, elle a pas l air simple non plus..pas facile comme gamine.elle part et rentre 2 jours apres.mm s il n y avait pas de portable on peut toujours prévenir. 😮
C est une ambiance très malsaine pas du tout sécurisante Mylène
Mon dieu comment on peut traiter ses enfants comme ça des etres aussi ignobles un animal ne le fait pas plus hypocrite je peux pas supporter ses personnages Mylène
Plus caché sous le catholicisme ça me rend folle Mylène