Journée de fondation du Mouvement pour la Remigration - Discours de Laurent Ozon (21 septembre 2014)
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- Опубліковано 3 жов 2014
- Le 21 septembre 2014 avait lieu à Paris la journée de fondation du Mouvement pour la Remigration lancé par Laurent Ozon. Ce mouvement a dans l’esprit de son initiateur vocation à être un laboratoire d’idées, mais aussi et peut-être surtout d’actions, permettant de préparer les conditions, lorsque le moment sera venu, de l’inversion des flux migratoires voulus et mis en œuvre depuis des décennies par les gouvernements de droite comme de gauche, avec les dramatiques résultats que l’on sait pour la France, en matière d’identité, de culture, de mode de vie, d’économie, de sécurité. Un mouvement qui prétend donc travailler à la mise en œuvre d’une réponse radicale mais en réalité absolument pas utopique : de grands mouvements de population ont déjà existé maintes fois dans l’histoire, comme par exemple en Espagne, avec le départ définitif des musulmans à l’issue de la Reconquista, ou plus près de nous, avec celui des Pieds Noirs, présents pourtant en Algérie depuis bien plus longtemps que les immigrés d’origine africaine en France.
Ce mouvement de remigration sera d’ailleurs une nécessité absolue pour la survie de cette France historique, multiséculaire et unique dont nous sommes dépositaires vis-à-vis des générations futures, et sans doute même pour les populations et l’identité des pays du Maghreb, comme l’explique très bien Laurent Ozon dans son discours. Et il sera en réalité certainement bien plus respectueux de la dignité et de l’identité des immigrés, que la fausse compassion bienpensante qui a fait d’eux depuis près de quarante ans soit un sous prolétariat corvéable à merci au bénéfice du grand capital (comme l’exprime remarquablement Francis Cousin dans une autre vidéo de La Plume), soit, pire encore, des citoyens de seconde zone vivant dans de véritables ghettos ethniques, dans l’assistanat et le clientélisme sordidement électoraliste.
Laurent Ozon se lance donc dans une grande aventure qui n’est pas sans péril pour lui, mais qui promet d’être exaltante et fort utile, pour ne pas dire essentielle. La Plume à Gratter salue son courage, soutient son action, et espère qu’après l’avoir écouté, vous en ferez de même.
Marc LEROY - La Plume à Gratter
« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » La Boétie
www.laplumeagratter.fr
Le mouvement pour la remigration existe en structure ou c est juste un titre de conference?
Les musulmans sinceres sont pour la remigration en pays d islam et une convergence pourrait s opperer entre ce mouvement et les musulmans.
Ça pleurniche 15 minutes en embrayant sur le fait qu'il est pas là pour pleurnicher. Salmigondis disparate vide de tout sens.…
Ozon prouve ignore complètement sa propre histoire, ou bien il est un sophiste politicien au même titre que ceux qu'il prétend combattre : le "nous" qu'il emploie pour parler des Français désigne un peuple qui n'a *rien à voir* anthropologiquement avec le peuple que constituaient nos arrière-grands-parents. Rappelons au clown Ozon que dans la 2ème moitié du 19ème Siècle, le peuple français était à 80% paysan. En quelques décennies d'industrialisation, le déracinement fut général et complet, de A jusqu'à Z. Les immigrés qui commencèrent à affluer à partir de la Libération ne remplacent donc absolument pas un peuple à la "substance" restée jusque-là unie et protégée. Car il n'y a rien de comparable entre l'ouvrier français petit-embourgeoisé des années 70, possédant télévision et voiture, et son grand-père paysan du début du siècle. L'un et l'autre n'ont rien à se dire et ne partagent rien, ni culture, ni vision du monde, ni tradition, ni danse, ni chanson, rien à part leur nom. Dans ces circonstances, s'en prendre aux immigrés - souvent d'ailleurs bien plus proches spirituellement de nos grands-parents car issus d'une paysannerie de plus fraîche date - est à la fois illusoire et dérisoire. C'est l'étrangeté générale qui devrait être en cause, pas l'étrangeté des seuls étrangers. La vérité, c'est que nous n'avons plus rien à voir avec nos vies. L'attachement des identitaires à leurs fétiches (Nation, Drapeau, Églises etc.) est du même ordre que, chez les consommateurs petits-bourgeois qui forment la majeure partie de la population, l'attachement aux marchandises sans origine ni identité que leur vend un marché sans nom ni visage. Faute de comprendre le processus par lequel tout être humain, depuis un siècle, est arraché à son sol, la pseudo-dissidence en est réduite à revendiquer le culte d'un cadavre : cette France propre et nettoyée qui ne ressemblerait à rien.
azezu scemu
Si nous sommes tous devenus des consommateurs névrosés et conditionnés par les médias, il n'y a pas plus de différence entre un Maghrébin et un Français de souche qu'entre deux Français de souche. Je peux d'ailleurs le constater autour de moi.
azezu scemu
Une culture perdue ne se retrouve pas. Quant aux expressions comme "mondialisme" ou "métissage imposé", il s'agit là d'une rhétorique de propagande. En tant qu'idéologie se substituant à l'analyse concrète du réel, cette rhétorique joue aussi son rôle de sabotage de la langue et de la culture. Ce langage purement affectif et victimaire que vous utilisez est bien trop aveuglant pour servir la cause de la vérité.
azezu scemu
C'est pas la question. Les Maghrébins et Subsahariens fuient la misère que nous avons participé à créer. Et nous sommes un eldorado, pas eux.
azezu scemu
Cette misère on en profite tous les jours, donc on l'alimente. Tu sais avec quoi on fabrique ton téléphone portable ?
Il ne s'agit pas d'accuser le "petit blanc prolétaire", il s'agit de voir qu'il est du même côté que le prolétaire immigré.
Si vraiment tu voulais t'en prendre aux élites et aux multinationales, tu ne perdrais pas ton temps à jouer avec ces histoires d'immigration.
Au fond, la propagande des Ozon et des Le Pen vise le petit-bourgeois tremblant à l'idée que le sous-prolétariat (d'origine immigrée, car issu d'une classe ouvrière jetée dans le chômage) lui vole son pécule. Ce "combat" n'a rien à voir avec le peuple.
azezu scemu
Tu parles par slogans. Désolé mais ça ne m'intéresse pas.