Voilà le dossier du Martiniquais dénommé Hervé Pinto ...Avant de prendre parti, il convient de se renseigner... Rappelons les faits : En 1875, un dénommé Felix Grat achète 16,9 ha dans la commune des Trois Ilets en Martinique. M. Felix Grat decède en 1902 en laissant 12 enfants. Cet héritage reste dans l indivision, comme cela se passe très souvent dans notre pays ...Aucun des héritiers ne se manifeste... Il faut attendre 1985, pour qu apparaisse un dénommé Hermes Toussaint Ezana, fils de l un des 12 enfants héritiers, donc petit fils de Grat et cousin germain de Arthur Pinto... le cousin Ezana âgé de 87 ans aujourd hui, explique qu il a tranquillement obéi à sa mère qui lui a dit que tout le monde lui donnait le terrain " A l époque, c était comme cela...on n allait pas devant un notaire " Il lance tout de même une procédure de prescription trentenaire à son profit et obtient un titre de propriété ! Cette procédure est alors dénoncée par son cousin petit fils de Grat, un dénommé Arthur Pinto. La justice est saisie ...et M. Ezana est débouté. Arthur PINTO gagne son procès : une première fois en 2007 : ce jugement annule la procédure de prescription trentenaire et Arthur Pinto est reconnu comme un des co héritiers ....une deuxième fois, cette décision est confirmée par la Cour d appel le 14 janvier 2011. Donc M. Arthur Pinto est reconnu comme un des cohéritiers. Lorsqu il brandit les deux décisions de justice il se plaît à dire ( et son avocat également) que la justice lui a donné raison - c est vrai ..mais c était son père qui avait saisi la justice...pas lui - et que ces documents veulent dire que c est lui, le propriétaire ( c est faux : il est juste co héritier) ...M. Monotuka son avocat tient le même discours de mensonge ! pour être propriétaire il faut liquider la succession ! Entretemps, le cousin Ezana avec la complicité d un notaire de la place ( l étude Lagarde - Mathieu) se met à vendre des parcelles...Ezana dispose d un vrai- faux titre de propriété et peut donc vendre si le notaire ferme les yeux ! D ailleurs ce vrai- faux document est encore en sa possession, il le brandit dans le France Antilles du mois de fevrier 2024 !!! Les nouveaux acquéreurs construisent leur logement en ayant donc un titre de propriété légal de la parcelle dont ils ont fait l acquisition. Après le décès de M. Arthur Pinto, Le fils, Hervé Pinto, au lieu de saisir la justice pour exiger l annulation des ventes et réunir enfin les autres co héritiers pour liquider l héritage, crie au vol et s attaque aux nouveaux acquereurs... Il est poursuivi, car il mène des actions illégales avec l aide d une véritable milice - d un gang en fait - appelé " Kolectif Jistis Matinik" en traitant les nouveaux acquereurs de voleurs et en les menaçant physiquement : il se met donc hors la loi ! de plus il n est pas propriétaire, contrairement ce qui se dit ! Cette affaire est strictement familial et l Etat colonial, ni les salauds de békés, ni les blancs, n ont rien à voir dans cette histoire de famille... M. Pinto co héritier et non propriétaire devrait réunir sa famille pout miquider cette succession dénoncer les ventes pour lesfaire annuler légalement et porter plainte contre les notaires..Son père avait commencé, il doit poursuivre dans la légalité !!! Ceux qui veulent vérifier par eux mêmes ces informations peuvent lire les deux publications de France Antilles consacrées à Pinto et son cousin Ezana...l interview de M. Ezana à RCI ( toujours en poadcast sur le site internet de RCI ) et deux émissions radios : -"Dékalé krab la " de SEM radion en date du 6 mars 2024 toujours sur UA-cam. - interview du maire de Saint Esprit Fred Michel Tirault, ancien avocat de Arthur Pinto sur la radio RLDM.
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Voilà le dossier du Martiniquais dénommé Hervé Pinto ...Avant de prendre parti, il convient de se renseigner...
Rappelons les faits :
En 1875, un dénommé Felix Grat achète 16,9 ha dans la commune des Trois Ilets en Martinique.
M. Felix Grat decède en 1902 en laissant 12 enfants.
Cet héritage reste dans l indivision, comme cela se passe très souvent dans notre pays ...Aucun des héritiers ne se manifeste...
Il faut attendre 1985, pour qu apparaisse un dénommé Hermes Toussaint Ezana, fils de l un des 12 enfants héritiers, donc petit fils de Grat et cousin germain de Arthur Pinto... le cousin Ezana âgé de 87 ans aujourd hui, explique qu il a tranquillement obéi à sa mère qui lui a dit que tout le monde lui donnait le terrain " A l époque, c était comme cela...on n allait pas devant un notaire "
Il lance tout de même une procédure de prescription trentenaire à son profit et obtient un titre de propriété !
Cette procédure est alors dénoncée par son cousin petit fils de Grat, un dénommé Arthur Pinto.
La justice est saisie ...et M. Ezana est débouté. Arthur PINTO gagne son procès : une première fois en 2007 : ce jugement annule la procédure de prescription trentenaire et Arthur Pinto est reconnu comme un des co héritiers ....une deuxième fois, cette décision est confirmée par la Cour d appel le 14 janvier 2011.
Donc M. Arthur Pinto est reconnu comme un des cohéritiers. Lorsqu il brandit les deux décisions de justice il se plaît à dire ( et son avocat également) que la justice lui a donné raison - c est vrai ..mais c était son père qui avait saisi la justice...pas lui - et que ces documents veulent dire que c est lui, le propriétaire ( c est faux : il est juste co héritier) ...M. Monotuka son avocat tient le même discours de mensonge !
pour être propriétaire il faut liquider la succession !
Entretemps, le cousin Ezana avec la complicité d un notaire de la place ( l étude Lagarde - Mathieu) se met à vendre des parcelles...Ezana dispose d un vrai- faux titre de propriété et peut donc vendre si le notaire ferme les yeux !
D ailleurs ce vrai- faux document est encore en sa possession, il le brandit dans le France Antilles du mois de fevrier 2024 !!!
Les nouveaux acquéreurs construisent leur logement en ayant donc un titre de propriété légal de la parcelle dont ils ont fait l acquisition.
Après le décès de M. Arthur Pinto,
Le fils, Hervé Pinto, au lieu de saisir la justice pour exiger l annulation des ventes et réunir enfin les autres co héritiers pour liquider l héritage, crie au vol et s attaque aux nouveaux acquereurs...
Il est poursuivi, car il mène des actions illégales avec l aide d une véritable milice - d un gang en fait - appelé " Kolectif Jistis Matinik" en traitant les nouveaux acquereurs de voleurs et en les menaçant physiquement : il se met donc hors la loi ! de plus il n est pas propriétaire, contrairement ce qui se dit !
Cette affaire est strictement familial et l Etat colonial, ni les salauds de békés, ni les blancs, n ont rien à voir dans cette histoire de famille...
M. Pinto co héritier et non propriétaire devrait réunir sa famille pout miquider cette succession dénoncer les ventes pour lesfaire annuler légalement et porter plainte contre les notaires..Son père avait commencé, il doit poursuivre dans la légalité !!!
Ceux qui veulent vérifier par eux mêmes ces informations peuvent lire les deux publications de France Antilles consacrées à Pinto et son cousin Ezana...l interview de M. Ezana à RCI ( toujours en poadcast sur le site internet de RCI ) et deux émissions radios :
-"Dékalé krab la " de SEM radion en date du 6 mars 2024 toujours sur UA-cam.
- interview du maire de Saint Esprit Fred Michel Tirault, ancien avocat de Arthur Pinto sur la radio RLDM.