Once Upon a Time...in Hollywood feat. Damien Ziegler
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- Опубліковано 15 вер 2024
- Loin de la simple peinture sociétale, Once Upon a Time… in Hollywood, qui a depuis fait l’objet de la publication d’un roman de la plume de son réalisateur, convie les influences conjuguées du théâtre de l’absurde, de la culture pop et du surréalisme pour proposer une singulière expérience de réalité augmentée
Le Livre est disponible ici : www.edition-le...
Merci beaucoup pour cette emission, le meilleur Tarantino pour moi, le livre va me permettre de patienter d'avoir l'occasion de le revoir en salle 🥲
Un film qui me résiste autant qu'il me fascine. Je suis comme toi Samir, il me faut plusieurs visionnages pour pleinement l'apprécier mais j'y suis encore extérieur. Cet entretien ne fait pas une lumière spéciale, pour moi, sur des éléments qui me permettraient de l'aimer encore plus, tout ce qui est évoqué m'est déjà acquis, mais ça fait plaisir d'en entendre parler, et le livre a l'air passionnant! Merci
Merci Samir pour tes interviews très profondes
Très bonne analyse pour un grand film
Tarantino était au talk show de Jimmy Kimmel ces derniers jours. Il sort un livre de souvenirs autour du cinéma, intitulé «Cinema Speculation» (sortit le 1er novembre 2022)
A propos de Manson, Tarantino parle dans un podcast qu'en ayant changé la fin et donc en ayant fait de la Manson Family des personnages n'ayant pas tué Sharon Tate fait qu'in fine il ne serait pas autant rentré dans "l'histoire" et devient donc rétrospectivement un personnage de moindre importance dans cette histoire et dans celle avec un grand H telle que racontée par Tarantino.
Je suis toujours sidéré de ne pas encore avoir entendu d'analyse de film mettant en rapport Once Upon a Time et la lutte des classes. il me semble que Tarantino passe une grande partie de notre récit à nous montrer que les vrais héros, ceux qui se battent pour de vrai sont les prolos de l'industrie vivants dans des caravanes et que les stars ne sont que les vitrines du faux. A ce propos Rick Dalton en plus d'être un has been qui oublie ses répliques, ne connaît pas le cinéma Italien et semble complètement mépriser Polanski est montré en parallèle de Rick Dalton qui lui se bat pour de vrai au Spahn Ranch, qui lit des comic book, regarde des shows télé... Analyse à approfondir.
Merci pour cet entretien. Dommage que je ne partage pas l’enthousiasme de l’invité pour OUATIH car bien que j’ai trouvé l’angle intéressant (les coulissses du Hollywood d’un certain temps) j’ai trouvé la fin grotesque. À croire que le réalisateur ne savait pas comment terminer son film et il s’est dit «allons dans le gore». À bien y penser ses films précédents se terminent de façon similaires (hémoglobine par litres dans Inglourious Bastards, Django Unchained, Les huit salopards). Pourtant j’aime bien le Tarantino affable en entrevue. Je crois que pour ce dernier film il a agit comme un gamin dans un magasin de bonbons où rien ne lui était refusé. Les bandes audios de l’époque, la reconstitution de pans entiers de rues de Los Angeles n’apportent rien selon moi, que de la poudre aux yeux pour un scénario très moyen. J’ai beaucoup lu les critiques après la sortie, ceux qui aimait le gore jubilaient à la fin mais trouvait le film bien long. Et ceux qui aimaient l’aspect cinéma n’aimaient pas la fin «je vais sauver Sharon Tate»... À ce sujet j’ai lu qu’à l’époque Sharon Tate avait un registre de jeu similaire à Farrah Fawcett (qui jouait dans la série télé «Drôles de dame), donc elle n’avait rien d’une grande actrice. L’inspiration de Pitt (en cascadeur) et Di Caprio (en acteur) viendrait de la relation qu’à eu Burt Reynolds et son cascadeur. La petite pointe que Tarantino fait à Bruce Lee vient du fait que Quentin à un faible pour les cascadeurs. Quand Lee est arrivé à Hollywood il était méprisant avec eux et au début il donnait des vrais coups lors des combats. C’est pourquoi Tarantino fait perdre à Lee un combat à mains nus qu’il aurait du remporter.
Burt Reynolds devait jouer dans le film mais il est mort avant .
@@Super-xj3ei Merci, je ne savais pas. Comme mentionné ailleurs ces deux personnages principaux sont un amalgame de plusieurs autres personnalités. Pour le personnage de Pitt il y avait aussi la référence à un cascadeur nommé Gene Lebell qui s’y connaissais en arts martiaux. Tarantino disait dans un blog que si Lebell rencontrait Lee dans la jungle ce dernier se ferait tuer. Mais inversement si Lebell avait un combat sur un ring avec Lee c’est Lebell qui serait mort. Lebell aida beaucoup Bruce Lee a ses débuts et les deux échangèrent sur des méthodes de combats.