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Laudate Dominum - Nicolas Bernier

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  • Опубліковано 1 тра 2013
  • Les Pages et les Symphonistes du Centre de Musique Baroque de Versailles
    Direction: Olivier Schneebeli
    Concert du jeudi 2 décembre 2010 à la chapelle royale du château de Versailles

КОМЕНТАРІ • 4

  • @lenulstk5126
    @lenulstk5126 2 роки тому +1

    Nicolas Bernier est un grand compositeur.

  • @fcoleman8
    @fcoleman8 11 років тому +2

    It never ceases to astonish me what a beautiful instrument the trained boys' voice is.

    • @Nooticus
      @Nooticus Рік тому

      Probably the most hauntingly beautiful instrument in existence.
      A lot of young boys choirs nowadays don’t have a sound as good as this anymore, but somehow the ‘pages’ of the CMBV Versailles sound better than ever, some of the most stunning boy solos I’ve ever heard! 🧡

  • @GuntherDebymusique
    @GuntherDebymusique 8 років тому +2

    Nicolas Bernier
    Compositeur français ,
    Né le 28 juin 1664, le 5 juin 1665 ou le 6 juin 1665 à Mantes-sur-Seine (actuelle Mantes-la-Jolie) ,
    Décédé le6 juillet 1734, le 5 août 1734 ou le 5 septembre 1734 à Paris
    Biographie
    Fils de Rémy Bernier et de Marguerite Bauly, c'est à la maîtrise de la cathédrale de sa ville natale que le jeune Nicolas débute ses études. Il bénéficie ensuite de l'enseignement choral de la Cathédrale d'Evreux toute proche. Bien que L’État actuel de la Musique du Roi de 1773 fasse état d’études avec Antonio Caldara(1670-1736) en Italie nous n'avons pas conservé de preuve plus tangible d'un voyage outre-monts.
    Bernier semble toutefois être arrivé à Paris peu avant 1692, date à laquelle il loge rue Tiquetonne, (dans l'actuel 2e arrondissement de Paris) et y enseigne leclavecin. Selon Évrard Titon du Tillet, " il y fit en peu de temps de grands progrès, ce qui lui donna dans la suite des Protecteurs de la plus grande considération, dont M. le Duc d'Orléans, petit-fils de France, voulut bien être du nombre " .
    L'année suivante, en 1693, il échoue au concours ouvrant les portes de maître de chapelle de la cathédrale de Rouen face à Jean-François Lalouette (1651-1728) élève et secrétaire de Lully. Le 17 septembre 1694, il se console néanmoins en décrochant la direction de la maîtrise de la cathédrale de Chartres puis, le 18 mars 1698 celle de l'Église Saint-Germain-l'Auxerrois à Paris, en remplacement de Jean-François Lalouette.
    Le 21 octobre 1700, l'un de ses Te Deum est joué avec succès devant le roi au Château de Fontainebleau. Selon le Mercure de France d'avril 1701, Bernier redonna l'œuvre à Saint-Germain-l'Auxerrois, exécutée " par un grand nombre de voix, qui furent bien secondées par la bonté d'un très-grand nombre d'instrumens ".
    Il se lance alors dans la publication de petits motets, genre qu'il maîtrisera avec brio.
    Vers l'année 1700, peu après le compositeur Jean-Baptiste Morin (Orléans, 1677-Paris, 1745), protégé comme lui par le duc Philippe d'Orléans, Bernier fut un des créateurs d'un nouveau genre d'inspiration profane, imité de l'Italie, la " cantate françoise ". Ces œuvres sont écrites pour une ou deux (plus rarement trois) voix solistes avec basse continue (auxquelles peuvent s'ajouter un ou deux violons, ou d'autres instruments tels que la flûte traversière, le hautbois ou la basse de viole).
    La dédicace de son premier livre de motets (1703) montre que Bernier était déjà attaché à la famille royale puisqu'il l'adresse au jeune duc de Bourgogne :
    Voir la lettre et plus sur la vie de ce compositeur - le lien ci-dessous :
    Bonne écoute.
    fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Bernier