GRANDIOSE !!! Deux musiciens partagent avec eux le plateau, dont Mounir Troudi, lun des plus grands chanteurs soufis de sa génération. Ce dialogue entre la musique et la poésie des corps ouvre « un regard lumineux et honnête sur la beauté de la double origine ». Seule la respiration vient contrarier une danse fluide tendue vers lamour et la beauté, tendue surtout vers le désir ardent de lamour de lautre jusquà la perte possible de soi. BRAVO !!!!
Je suis la musicienne qui a commencé ce projet avec Abou LAGRA et je me rappele de chaque instant de cette création qu'on a fait ensemble mais c'est bien dommage que Abou LAGRA n'était pas assez reconnaissante car une fois il a inspiré sa danse et sa chorégraphie il a décidé de nous éliminer entant que les deux musiciens sur la scène. Son égoïsme a enlevé un grand charme de ce travail. Malheureusement
Cest dans lécriture de Roumi, grd poète persan du XIIIe siècle et les quatrains du poète Omar Khayyam, que Abou Lagraa a cherché son essence. Leur poésie a mené le chorégraphe à rechercher le sens profond de sa double culture, française et maghrébine. Deux sens joue sur les sens. Ils sont deux sur scène, lui, le chorégraphe et elle, la danseuse Nawal.
. La pièce charnelle, est axée sur le contact physique et les entrelacs des corps, doù le choix du duo et de la figure du couple, comme une évidence, pour cette pièce. Avec Nawal Lagraa, il sest penché sur larabe littéraire pour que leurs corps le mettent en mouvement. Une envoûtante calligraphie se dessine, insufflée par la musique soufi « dans son aspiration à élever lesprit et lâme à leur expression la plus pure ».
Dommage que l'égoïsme de Abou LAGRA a enlevé un grand charme de ce travail en supprimant les musiciens et leur musique. En sachant qu'il a inspiré sa chorégraphie grâce à deux musiciens persan mais il n'a velu comprendra que c'était un travail d'équipe et que nous 4 ensemble sur la scène nous étions 2 fois mieux que juste 2 danseurs. Dommage
GRANDIOSE !!!
Deux musiciens partagent avec eux le plateau, dont Mounir
Troudi, lun des plus grands chanteurs soufis de sa génération.
Ce dialogue entre la musique et la poésie des corps ouvre « un
regard lumineux et honnête sur la beauté de la double origine ».
Seule la respiration vient contrarier une danse fluide tendue vers
lamour et la beauté, tendue surtout vers le désir ardent de
lamour de lautre jusquà la perte possible de soi.
BRAVO !!!!
Je suis la musicienne qui a commencé ce projet avec Abou LAGRA et je me rappele de chaque instant de cette création qu'on a fait ensemble mais c'est bien dommage que Abou LAGRA n'était pas assez reconnaissante car une fois il a inspiré sa danse et sa chorégraphie il a décidé de nous éliminer entant que les deux musiciens sur la scène. Son égoïsme a enlevé un grand charme de ce travail. Malheureusement
BELLO. Sin palabras para describir tanto arte. EXCELENTE.
* * * * *
Cest dans lécriture de Roumi, grd poète persan du XIIIe siècle
et les quatrains du poète Omar Khayyam, que Abou Lagraa a cherché son essence. Leur poésie a mené le
chorégraphe à rechercher le sens profond de sa double culture,
française et maghrébine.
Deux sens joue sur les sens. Ils sont deux sur scène, lui, le chorégraphe et elle, la danseuse Nawal.
J'ai tres envie de voir le travail que vous avez fait , je vous embrasse fort.
Anto
. La pièce
charnelle, est axée sur le contact physique et les entrelacs des
corps, doù le choix du duo et de la figure du couple, comme une
évidence, pour cette pièce.
Avec Nawal Lagraa, il sest penché sur larabe littéraire pour que
leurs corps le mettent en mouvement. Une envoûtante
calligraphie se dessine, insufflée par la musique soufi « dans son
aspiration à élever lesprit et lâme à leur expression la plus pure ».
Dommage que l'égoïsme de Abou LAGRA a enlevé un grand charme de ce travail en supprimant les musiciens et leur musique. En sachant qu'il a inspiré sa chorégraphie grâce à deux musiciens persan mais il n'a velu comprendra que c'était un travail d'équipe et que nous 4 ensemble sur la scène nous étions 2 fois mieux que juste 2 danseurs. Dommage