Bibracte, une ville gauloise mise en valeur par le numérique

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  • Опубліковано 25 сер 2024
  • Le musée de Bibracte (Mont Beuvray, Morvan, Bourgogne), vitrine des recherches archéologiques menées sur le site de la ville gauloise du même nom, a achevé sa rénovation.
    Parmi les nouveautés, des dispositifs numériques innovants qui racontent l'histoire de la capitale éduenne et de sa redécouverte tout en rendant accessibles à tous les multiples informations collectées par les archéologues au fil des chantiers de fouille. Un premier aperçu dans cette vidéo, avant de venir tester au musée, sans modération !

КОМЕНТАРІ • 16

  • @emmiesonnet7356
    @emmiesonnet7356 Рік тому +1

    Excellentissime ❤️❤️❤️

  • @edwardhanson3664
    @edwardhanson3664 6 місяців тому

    Wow! This is fantastic and fascinating. Science is grand.

  • @thibauthusson3130
    @thibauthusson3130 6 років тому +7

    A la fin de la vidéo, il est question de contenus numérique consultable des 4 coins de la planète qui seraient publié dans les mois qui viennent. Je pense qu'ils ont été publié vu que cette vidéo a 3ans. Seulement j'ai beau chercher je n'ai trouvé ces contenus numériques nul part. J'aimerais beaucoup m'en servir en classe.

  • @chn2233
    @chn2233 3 роки тому +2

    Surtout, ne touchez pas à la forêt, contentez-vous du virtuel, les fouilles, tentes, pancartes et autres verrues ont suffisamment dénaturé ce superbe site sauvage.

    • @durandangelique8071
      @durandangelique8071 Рік тому

      La forêt parlons en, quand on se promène et que l'on voit les déchets que les gens y jettent on en a mal au cœur, quand on revient du fastfood on Jette le paquet par la fenêtre ou on va picniquer on jette les déchets un peu partout, si les humains étaient plus responsables de la nature elle serait peut être moins à l'agonie. Alors ne venez pas me dire que les archéologues qui font des fouilles sur un sites avec des arbres vont détruire le paysage et prendre "une scie" pour couper les arbres façon de parler.
      Ne pas confondre destructeur de la nature, et archéologues deux mondes différents.

  • @YvesHerbo
    @YvesHerbo 4 роки тому +5

    C'est une ville Eduenne et non gauloise : la vérité historique est que les tribus présentes en "France" (et aussi dans les autres parties de ce que les romains ont ensuite appelé "Gaule", qui intégrait des régions italiennes, suisses, espagnoles et même l'actuel royaume uni un moment) ne s'appelaient pas du tout des "gaulois", n'étaient pas unies du tout, souvent en guerre les unes contre les autres... Bon, c'est un raccourci historique, on peut parler d'une culture "gauloise" (résumée donc par les romains mais pas par les intéressés) mais pas vraiment d'un peuple gaulois... Vercingétorix a lutté contre ça, justement... et trahi par deux tribus qui ont préféré les romains... et qui ont été trahies à leur tour par les romains :)

    • @31416yatoula
      @31416yatoula 3 роки тому +1

      OK Y.H. Indépendamment les uns des autres sans doute (et non comme nous avec une culture unitaire acquise par contraintes et à travers les siècles, depuis), reste que pour eux aussi : les grecs, étrusques, romains italiotes, germains étaient de vrais étrangers, plus étrangers, disons, parce qu'ils s'exprimaient de façon tout à fait opaque.
      Pour le commerce, passe encore, avec les truchements.
      Après, c' est la guerre : en lisant le point de vue du conquérant, l'unique« De Bello Gallico», partout où Jules C.débarque, c'est : donne-moi ton blé, ton fourrage, ton bois, ton eau et autres ressources, livre-moi toi, tes enfants et tes filles en otages et laisse-moi m'occuper de ta politique et de ta liberté; nul besoin de faire partie des élites pour se sentir sous la pression, et même violé.
      Par rapport aux masses. Il y avait les élites. Alors les populations restaient certes divisées, et antagonistes, se liguant quand même les unes avec les autres. Mais, parmi ceux qui détenaient les clé de la gouvernance, la partie qui s'occupait de ce qu'on appelle la culture, disons schématiquement qui recoupe, les lois et le sacré, la cosmologie, le calcul, la mémoire orale et mythique; cette partie était forcément dans une unité car sachant bien se comprendre, et tout au fait de considérer toute les communes valeurs, en se défiant de l'étranger. Étrangers voisins que ces élites connaissaient très bien, les côtoyant et se confrontant avec leurs élites respectivement lors de voyages. Derrière ce qui est écrit des gaulois, des choses étant passées sous silence à dessein, imaginons que cette partie, érudite et/ mais/ tout autant guerrière, pouvait s'accorder dans la compréhension des menées de César. Ensuite c'est la politique : diviser pour régner, l’armée romaine n'étant pas assez nombreuse, mais isolément d'une qualité et d'une homogénéité confite, ayant une culture du combat devenue universelle et opportuniste.

    • @YvesHerbo
      @YvesHerbo 3 роки тому +1

      @@31416yatoula En fait, le latin et le grec étaient des langues assez connues de toute la méditerranée, commerce oblige (et on sait même que les Asiatiques y participaient beaucoup). Les "gaulois", tant qu'à eux, possédaient une langue indo-européenne, puisqu'ils leurs ancêtres provenaient de l'Est et en avait hérité obligatoirement (il y a de nombreux mots gaulois s'apparentant au dravidien), et ils utilisaient d'ailleurs certains symboles indo-européens, connus dans toute l'Europe de l'époque. Et il y avait même des peuples "gaulois" en Italie, Espagne, Suisse et autres... Il n'y avait pas de frontières définies en fait, et la notion "d'étranger" n'existait pas réellement, surtout la notion de territoire tribal pour les "barbares". D'ailleurs, pour les Romains, rien ne ressemblait plus à un barbare qu'un autre barbare, quel que soit l'endroit. En ce qui concerne César et les romains, ils n'ont fait que répéter ce qu'ont fait tous les empires précédents : éviter le troc et le commerce quand c'est possible et s'approprier les denrées et richesses des voisins...

    • @31416yatoula
      @31416yatoula 3 роки тому +2

      @@YvesHerbo Oui ainsi; territoire tribal d'accord, et ce qui correspond à de la frontière, de ce qu'on sait par le paysage et la toponymie; /RAND.../ est une zone. La France conserve beaucoup de diversité. Dans le massif central, ces zones correspondent avec le paysage, partagé par des montagnes et des cours d'eau. Et chacun des espaces des grandes "cités" est assez facile à comprendre. Autre terme qu'on trouve disséminé dans des toponymes : ALLOS( et comme allobroges) qui marque ce qui est d'autres, mais pas de la tribu.
      César est bien critiqué ou jalousé à Rome, tordant le bras des tenants de l'ordre ancien : Imperium, imperator, son grade de commandant en chef ou général, sont des notions militaires ; ça donne /empire/ en français. Il est un putschiste qui franchit le Rubicon et cherche à prendre le pouvoir comme un dictateur. Après une guerre civile ! C'est donc une nouvelle Rome qu'il initie...

    • @31416yatoula
      @31416yatoula 3 роки тому +2

      L'intervention de César précipite des choses en tout cas pour en venir à une notion de frontière qui est la notre actuelle : c'est lui qui définit le Rhin comme un frontière "naturelle", qui ne l'était pas encore tout à fait, il y avait des celtes de l'autre côté, peut-être eux même en coalition avec les tribus derrière Arioviste...

    • @YvesHerbo
      @YvesHerbo 3 роки тому +1

      @@31416yatoula Oui en effet, mais des monolithes et même certains alignements de mégalithes formaient aussi probablement des bornes et frontières de territoires, pierres réutilisées par les Celtes et issues à l'origine de la civilisation des mégalithes, plus ancienne.

  • @garlande2012
    @garlande2012 3 роки тому

    pas tres vivant...on ne se sent pas immergé...parfait pour le patin a roulettes