Titre : Passé Oublié (Intro) Yo… C’est l’histoire qu’on enterre, qu’on préfère ignorer, Les cicatrices du temps qu’on ne veut plus explorer. On marche sur des traces, mais qui s’en souvient ? Le passé oublié, comme un spectre qui revient. (Couplet 1) J’ouvre le livre, les pages craquent sous mes doigts, Des noms, des dates effacées, mais c’est quoi ? Des peuples enchaînés, des rêves brisés, Des larmes noyées dans l’océan des années. On parle de progrès, mais à quel prix ? Les ombres de l’histoire hantent encore nos nuits. Qui se rappelle des souffrances, des voix brisées, Quand la mémoire se perd dans un nuage de fumée ? Les murs racontent des secrets qu’on n’écoute plus, Les pierres crient, mais on préfère rester dessus. La vérité dort, on la laisse sous la poussière, Car se souvenir, c’est affronter la lumière. (Refrain) Passé oublié, mémoire envolée, Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ? On cache les plaies sous des mots bien polis, Mais le silence lui-même finit par faire du bruit. Passé oublié, mémoire envolée, Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ? Les fantômes du temps viennent nous rappeler, Que rien ne se perd, même le passé oublié. (Couplet 2) Ils disent “tourne la page”, mais la page est arrachée, Et le livre se referme avant d’être achevé. Des monuments s’élèvent, mais pour qui ? Pourquoi ? Quand certains noms gravés restent noyés sous les lois. Les promesses brisées de ceux qu’on a trahis, Les richesses volées, le poids des colonies. L’histoire écrite par les vainqueurs, c’est ça qu’on voit, Mais les vaincus crient encore au fond de leurs voix. Des guerres oubliées, des peuples effacés, Dans les marges du passé qu’on veut plus retracer. La mémoire est une arme, mais qui la brandit ? Quand on préfère le déni à ce qu’on a détruit. (Refrain) Passé oublié, mémoire envolée, Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ? On cache les plaies sous des mots bien polis, Mais le silence lui-même finit par faire du bruit. Passé oublié, mémoire envolée, Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ? Les fantômes du temps viennent nous rappeler, Que rien ne se perd, même le passé oublié. (Pont) Regarde autour de toi, les traces sont partout, Dans les noms des rues, dans les chaînes au bout du cou. Dans les murs des villes, dans les chants des anciens, Le passé oublié fait partie des liens. Mais on préfère fuir, détourner le regard, Comme si ignorer pouvait tout réparer plus tard. La vérité attend, elle frappe à nos portes, Elle veut qu’on l’écoute avant qu’elle nous emporte. (Outro) Passé oublié, mémoire enterrée, Mais les racines sont profondes, elles finiront par parler. On ne peut pas fuir l’histoire, elle est tatouée sur nos peaux, Dans le silence des siècles, elle hurle encore ses mots. Yo… c’est le passé oublié.
Titre : Passé Oublié
(Intro)
Yo…
C’est l’histoire qu’on enterre, qu’on préfère ignorer,
Les cicatrices du temps qu’on ne veut plus explorer.
On marche sur des traces, mais qui s’en souvient ?
Le passé oublié, comme un spectre qui revient.
(Couplet 1)
J’ouvre le livre, les pages craquent sous mes doigts,
Des noms, des dates effacées, mais c’est quoi ?
Des peuples enchaînés, des rêves brisés,
Des larmes noyées dans l’océan des années.
On parle de progrès, mais à quel prix ?
Les ombres de l’histoire hantent encore nos nuits.
Qui se rappelle des souffrances, des voix brisées,
Quand la mémoire se perd dans un nuage de fumée ?
Les murs racontent des secrets qu’on n’écoute plus,
Les pierres crient, mais on préfère rester dessus.
La vérité dort, on la laisse sous la poussière,
Car se souvenir, c’est affronter la lumière.
(Refrain)
Passé oublié, mémoire envolée,
Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ?
On cache les plaies sous des mots bien polis,
Mais le silence lui-même finit par faire du bruit.
Passé oublié, mémoire envolée,
Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ?
Les fantômes du temps viennent nous rappeler,
Que rien ne se perd, même le passé oublié.
(Couplet 2)
Ils disent “tourne la page”, mais la page est arrachée,
Et le livre se referme avant d’être achevé.
Des monuments s’élèvent, mais pour qui ? Pourquoi ?
Quand certains noms gravés restent noyés sous les lois.
Les promesses brisées de ceux qu’on a trahis,
Les richesses volées, le poids des colonies.
L’histoire écrite par les vainqueurs, c’est ça qu’on voit,
Mais les vaincus crient encore au fond de leurs voix.
Des guerres oubliées, des peuples effacés,
Dans les marges du passé qu’on veut plus retracer.
La mémoire est une arme, mais qui la brandit ?
Quand on préfère le déni à ce qu’on a détruit.
(Refrain)
Passé oublié, mémoire envolée,
Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ?
On cache les plaies sous des mots bien polis,
Mais le silence lui-même finit par faire du bruit.
Passé oublié, mémoire envolée,
Combien d’histoires qu’on a voulu brûler ?
Les fantômes du temps viennent nous rappeler,
Que rien ne se perd, même le passé oublié.
(Pont)
Regarde autour de toi, les traces sont partout,
Dans les noms des rues, dans les chaînes au bout du cou.
Dans les murs des villes, dans les chants des anciens,
Le passé oublié fait partie des liens.
Mais on préfère fuir, détourner le regard,
Comme si ignorer pouvait tout réparer plus tard.
La vérité attend, elle frappe à nos portes,
Elle veut qu’on l’écoute avant qu’elle nous emporte.
(Outro)
Passé oublié, mémoire enterrée,
Mais les racines sont profondes, elles finiront par parler.
On ne peut pas fuir l’histoire, elle est tatouée sur nos peaux,
Dans le silence des siècles, elle hurle encore ses mots.
Yo… c’est le passé oublié.