Ces explications faciles d'accès par leur limpidité font chaud au cœur ! Un grand merci à ce psychothérapeute, ainsi qu'aux personnes ayant réalisé ces précieuses minutes d'entretien. Montaigne et La Boétie ont laissé un héritage d'amitié à tous points de vue exemplaire.
Montaigne disait qu’il connaissait La Boetie avant de le rencontrer par ses écrits. Aussi un fil conducteur traverse leur relation puisqu’il y eut rencontre / amitié / séparation par la mort de La Boetie et donc les Essais sont l’aboutissement et la concrétisation d’une relation amorcée par l’écriture de La Boetie. Un effet de miroir en sorte qui pérennise leur amitié au delà des limites de leurs existences.
Je ne suis pas d’accord avec certaines de ces explications qui sont beaucoup dans l’intellect et tres peu dans l’âme (le coeur). Analyse de l’amitié de Montaigne et La Boetie… elle est decrite et doit simplement etre ressentie en lisant Montaigne. Trop d’intellectualisation alors que Montaigne parle de l’EXPERIENCE. Mais comme ce monsieur le dit, il n’a pas vécu cette experience. Le double de La Boetie est quelque chose en lien avec l’âme et l’amour transmuté, transcendé - comme Dante et Béatrice. Quand à l’ami invisible, on peut appeler ça l’âme - meme si Montaigne a une position ambigue par rapport à l’immmortalité de l’âme et/ou la vie éternelle chrétienne, il a pu faire l’expérience de la presence de l’âme de son ami et dialoguer avec lui pendant la redaction des Essais. Le terme dialogue doit selon moi, etre pris au pied de la lettre et au sens propre.
J’ai beaucoup aimé ce monsieur, il a expliqué avec clarté, des références etc.
Merci!
Ces explications faciles d'accès par leur limpidité font chaud au cœur ! Un grand merci à ce psychothérapeute, ainsi qu'aux personnes ayant réalisé ces précieuses minutes d'entretien. Montaigne et La Boétie ont laissé un héritage d'amitié à tous points de vue exemplaire.
Montaigne disait qu’il connaissait La Boetie avant de le rencontrer par ses écrits. Aussi un fil conducteur traverse leur relation puisqu’il y eut rencontre / amitié / séparation par la mort de La Boetie et donc les Essais sont l’aboutissement et la concrétisation d’une relation amorcée par l’écriture de La Boetie. Un effet de miroir en sorte qui pérennise leur amitié au delà des limites de leurs existences.
Je ne suis pas d’accord avec certaines de ces explications qui sont beaucoup dans l’intellect et tres peu dans l’âme (le coeur). Analyse de l’amitié de Montaigne et La Boetie… elle est decrite et doit simplement etre ressentie en lisant Montaigne. Trop d’intellectualisation alors que Montaigne parle de l’EXPERIENCE.
Mais comme ce monsieur le dit, il n’a pas vécu cette experience. Le double de La Boetie est quelque chose en lien avec l’âme et l’amour transmuté, transcendé - comme Dante et Béatrice.
Quand à l’ami invisible, on peut appeler ça l’âme - meme si Montaigne a une position ambigue par rapport à l’immmortalité de l’âme et/ou la vie éternelle chrétienne, il a pu faire l’expérience de la presence de l’âme de son ami et dialoguer avec lui pendant la redaction des Essais. Le terme dialogue doit selon moi, etre pris au pied de la lettre et au sens propre.