Les lumières s'éteignent, je reste là, Les yeux ouverts mais le cœur las. J'entends les échos d’une foule pressée, Dans ma tête, tout semble oppressé. À chaque pas, le poids s'accroît, On nous demande, on nous broie. Toujours plus avec toujours moins, Des rêves qui s’effacent au matin. Toujours plus, toujours moins, Des corps qui plient sous les mains. Le burn-out guette, l’ombre est là, Comment on fait, dis-moi pourquoi ? Le malaise est là, palpable et froid, Mais on continue sans savoir pourquoi. Les chiffres défilent sur des écrans, Mes forces s’effritent, je sens le vent. On parle de rendement, d'efficacité, Mais à l'intérieur, je suis cassé. J'ai perdu le goût, l'élan, le sens, Sous le poids de l’indifférence. Chaque jour ressemble à la veille, Dans ce tunnel, pas de soleil. Toujours plus, toujours moins, Des corps qui plient sous les mains. Le burn-out guette, l’ombre est là, Comment on fait, dis-moi pourquoi ? Le malaise est là, palpable et froid, Mais on continue sans savoir pourquoi. On dit que ça passera, Que c’est juste une phase, un état. Mais les journées s’étirent, Et le soir, c'est toujours le pire. Le vide s'installe, et moi, je cours, Dans cette course sans retour. Comment on fait pour tenir, Quand l'âme est prête à partir ? Toujours plus, toujours moins, Des corps qui plient sous les mains. Le burn-out guette, l’ombre est là, Comment on fait, dis-moi pourquoi ? Le malaise est là, palpable et froid, Mais on continue sans savoir pourquoi. Un jour peut-être, je partirai, Loin de ces murs où je suis enfermé. Mais pour l’instant, je serre les dents, Sous le poids du néant. Toujours plus, toujours moins, Mais jusqu’à quand tiendrons-nous ce refrain ?
Les lumières s'éteignent, je reste là,
Les yeux ouverts mais le cœur las.
J'entends les échos d’une foule pressée,
Dans ma tête, tout semble oppressé.
À chaque pas, le poids s'accroît,
On nous demande, on nous broie.
Toujours plus avec toujours moins,
Des rêves qui s’effacent au matin.
Toujours plus, toujours moins,
Des corps qui plient sous les mains.
Le burn-out guette, l’ombre est là,
Comment on fait, dis-moi pourquoi ?
Le malaise est là, palpable et froid,
Mais on continue sans savoir pourquoi.
Les chiffres défilent sur des écrans,
Mes forces s’effritent, je sens le vent.
On parle de rendement, d'efficacité,
Mais à l'intérieur, je suis cassé.
J'ai perdu le goût, l'élan, le sens,
Sous le poids de l’indifférence.
Chaque jour ressemble à la veille,
Dans ce tunnel, pas de soleil.
Toujours plus, toujours moins,
Des corps qui plient sous les mains.
Le burn-out guette, l’ombre est là,
Comment on fait, dis-moi pourquoi ?
Le malaise est là, palpable et froid,
Mais on continue sans savoir pourquoi.
On dit que ça passera,
Que c’est juste une phase, un état.
Mais les journées s’étirent,
Et le soir, c'est toujours le pire.
Le vide s'installe, et moi, je cours,
Dans cette course sans retour.
Comment on fait pour tenir,
Quand l'âme est prête à partir ?
Toujours plus, toujours moins,
Des corps qui plient sous les mains.
Le burn-out guette, l’ombre est là,
Comment on fait, dis-moi pourquoi ?
Le malaise est là, palpable et froid,
Mais on continue sans savoir pourquoi.
Un jour peut-être, je partirai,
Loin de ces murs où je suis enfermé.
Mais pour l’instant, je serre les dents,
Sous le poids du néant.
Toujours plus, toujours moins,
Mais jusqu’à quand tiendrons-nous ce refrain ?