Les fruits de cette oeuvre sont colossaux. Dans ma paroisse tous ceux qui la lisent sont devenus de fervents chrétiens. Ils essaient de participer dans l'humilité, prennent maintenant la communion a genoux et sur la langue etc. Cette œuvre c'est simplement la Bible mais en 3 d. Indispensable ❤❤❤❤❤
LA TENTATION AU DÉSERT EN HIVER : Je vous avais dit devoir demander son avis à quelqu'un de plus qualifié que moi sur cette question : c'est chose faite en la personne de JF Lavère. Voici donc ce qu'il vous répond en passant par moi : JFL : " Je commence par une remarque préliminaire, que je m’efforce de toujours garder à l’esprit en abordant les révélations privées en général, et donc bien sûr celle de Maria Valtorta : Il importe, il me semble, d’établir une hiérarchie dans les données transmises. 1/ En tout premier lieu, ces données sont-elles compatibles avec ce qui résulte directement des textes évangéliques, et plus généralement, de ce qui constitue le dépôt de la Foi. 2/ Sont-elles conformes à l’opinion unanime des Pères de l’Église ? 3/ Sont-elles en accord avec ce que nous enseigne de façon véridique les données scientifiques : la physique, la chimie, la géographie, l’histoire, l’archéologie, etc. (Comme par exemple le mouvement des astres, les reliefs, les distances à parcourir, le cycle des saisons…) 4/ Si ces données sont attribuées à Jésus ou à Marie, elles doivent être véridiques, car ils ne peuvent ni se tromper, ni nous tromper. 5/ Si elles émanent de la personne elle-même qui « reçoit » les révélations, toujours garder à l’esprit qu’il s’agit d’un être humain faillible comme nous tous, et que ce qu’il décrit, surtout quand il s’agit d’impressions personnelles, ne doit pas être pris comme « parole d’évangile ». Le prince du mensonge peut toujours semer l’erreur, et même les plus grands saints n’ont pas échappé à ses coups de griffe… 6/ Et avant toute étude, ne jamais oublier d’invoquer le Saint-Esprit, qu’Il nous éclaire et nous guide sur la voie étroite de la Vérité…" - On voit mal un être humain, même Jésus, rester 40 jours dans un désert toride en plein été ! Cela aurait été mortel pour lui. JFL : "Oui, et c’est un fait acquis par la Tradition (donc bien avant le récit de MV), dès les origines de l’Église, que la tentation au désert a eu lieu au tout début du ministère de Jésus, en période hivernale. Voici que la vision commence… Maria Valtorta découvre les lieux…" - Ensuite, est-ce qu'on peut expliquer que Jésus se protégeait sous la pierre du "soleil brûlant", parce que même en hiver, le soleil direct tape dur ? Même chose pour les tornades de vent sec et brûlant : " (...) une terre tellement brûlée qu’elle en est réduite à l’état de poussière jaunâtre qu’à chaque instant le vent soulève en petits tourbillons. On dirait le souffle d’une bouche fiévreuse tant ils sont secs et brûlants, et la poussière qui pénètre dans le nez et la gorge est une vraie torture. " JFL : " Nous sommes le 24 février 1944 ! Maria n’a alors reçu que quelques visions, elle ignore encore où et quand se déroule la vision qui débute, et elle écrit ce qu’elle « voit » et « ressent »… - Brûlant : parce que le soleil chauffe le sol même en hiver, je suppose ?... JFL : " Pourquoi pas ? L’étude chronologique montre que le dernier jour des 40 jours de jeûne, c’est le vendredi 5 mars 27. Et si je compare avec le climat actuel en France, que ce soit une journée chaude et ensoleillée ne me trouble pas… Même cette année, en jardinant en début d’après midi, en mars (plantation des pommes de terre et taille de la vigne obligent), j’ai pu constater que le soleil pouvait être vraiment « brûlant » ! " - Cependant, voici telle qu'elle la question exacte de l'objectant : "Dans le désert de Judée, la température moyenne maximale le jour est de 22,5 degrés en décembre, avec une température moyenne la nuit de 12 degrés. JFL : " J’ignore d’où l’objectant détient ces sources ? Pour ma part je n’ai pas pu trouver d’informations climatiques sur le désert de Judée, et encore moins au premier siècle. Et ici il n’est pas question de décembre, mais de début mars ! Faut-il rappeler à l’objectant que la tentation au désert n’a pas eu lieu au début du jeûne, mais à la fin !…" - "Bon, un pic de chaleur n'est pas impossible. Mais pourquoi MV parle de soleil "presque au zenith" alors qu'en hiver, le soleil monte beaucoup moins haut qu'au zénith ? " JFL : " Maria Valtorta n’est pas astrophysicienne. Pour elle le zénith ne s’oppose pas au nadir ! « Le zénith ne devrait pas être confondu avec le point le plus élevé de la trajectoire d'un astre dans le ciel (par exemple le Soleil), appelé point de culmination, car le Soleil ne passe au zénith que les jours où sa déclinaison est égale à la latitude du lieu, soit deux fois par an entre les tropiques et une fois par an sur les tropiques (en dehors de la zone intertropicale, le soleil ne passe jamais au zénith ») Quand on dit qu’un astre est au zénith, « dans le langage courant », c’est pour dire qu’il est au plus haut de sa trajectoire, et donc que c’est le milieu de la journée. À 16 jours de l’équinoxe de printemps, et à la latitude de Jérusalem, le soleil passe déjà assez haut dans le ciel ! (Je laisse à l’objectant le soin de le vérifier). Ici clairement MV, couchée dans sa chambrette fin février, nous fait part de ses impressions… Tout ce dont je peux témoigner, c’est que dans leur étude très détaillée sur la climatologie en Israël, ces savants italiens n’ont pas été troublés par ce détail. " - Cela fait référence à ce passage : " De temps à autre il lève les yeux et promène son regard alentour et observe le soleil presque au zénith dans le ciel bleu. " JFL : " Bon, d’accord, la vision débute vers midi… Le moniteur intérieur de MV lui indique que Jésus « quand il prend quelques heures de repos, enroulé dans son manteau, à la lueur des étoiles et dans l’air froid de la nuit ». Et à midi Satan est « enroulé dans son manteau », preuve qu’il ne doit pas faire si chaud que cela ! « Déjà le vent se lève », ce qui justifie « la poussière jaunâtre, que de temps à autre le vent soulève en petits tourbillons ». La tentation a dû durer quelques heures, puisque qu’ensuite Satan parle des pierres « dorées sous les rayons du soleil couchant ». Et l’objectant serait sans doute aussi troublé s’il avait lu ensuite que les anges viennent ventiler « la chaleur étouffante de la grotte, la purifiant et la rafraîchissant » ? Plutôt que de s’attarder sur des détails finalement futiles, ne vaudrait-il pas mieux méditer les paroles de Jésus, comme celles par exemple qui suivent immédiatement, au § 46.12, et qui résolvent, semble-t-il, mieux que toutes nos élucubrations, les quelques interrogations que pourraient susciter la lecture de ce chapitre. Voici la note de bas de page que j’ai placée en fin de ce chapitre : Évagre le Pontique, un Père du désert affirme : « Que les pensées mauvaises troublent l’âme ou ne la troublent pas, cela ne dépend pas de nous ; mais qu’elles s’attardent ou ne s’attardent pas, qu’elles déclenchent les passions ou ne les déclenchent pas, voilà qui dépend de nous ». N’est-ce point là un sage conseil devant les très rares détails qui pourraient nous troubler dans cette œuvre, au risque de nous détourner des merveilles innombrables qu’elle contient ? Donc encore une fois cher monsieur, votre objection est recalée.
Ok, j'ai été trompé par la note en bas de la page du chapitre 80 qui indiquait que Jésus s'était rendu au désert fin décembre. Si la scène a lieu le 5 mars, ce n'est plus si incroyable, effectivement, je vais pas chipoter.
Les Écrits de Maria Valtorta sont authentiques. Le Pape Benoît XVI a autorisé l'impression de ces écrits.Un jour quelq'un est venu demander à Padre Pio en disant :" Me conseillez vous de lire Maria Valtorta ?". Et Notre Saint Padre Pio lui répondit :" Je ne vous conseille pas de lire Maria Valtorta mais je vous ordonne de lire Maria Valtorta". L'évangile tel qu'il m'a été révélé produit une masse de conversion( prêtres, laïcs,etc...) Ce qui ose dire que ces écrits ne sont que des impostures, J'offre le Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus Christ au Père Eternel pour sa conversion. Que La Miséricorde Divine soit avec lui
@jawatusken Dieu connaît les siens. Dieu donne aux siens de la Vertu de prudence, de l'esprit de discernement. Grâce à Dieu, ses enfants, connaissent tout esprit qui vient de Notre Pere Céleste. Padre Pio est le transparent de Dieu. Jésus ouvrait le livre de vie à Padre Pio. Padre Pio avait le don de connaître si une âme est en enfer, au purgatoire ou au Ciel. Dieu lui a donné des dons innombrables ( lire dans les âmes, rescussiter les morts, redonner la vue aux aveugles, faire gabandet les boiteux, discerner les esprits etc... Si Padre Pio confirmait qu'il n'y a aucune imposture dans les écrits de Maria Valtorta, il n'y a aucune raison d'en douter. Padre Pio fait parti de l'un des grands Saints des millenaires
@ZhaWena Je ne remets pas en question le discernement de Padre Pio, je questionne votre discernement à vous : Qui vous dit que Padre Pio a recommandé Maria Valtorta ? Il s'agit très probablement d'un faux témoignage, et vous l'avez gobé. Voilà.
@jawatusken si tu ne crois pas à la vie des Saints alors je ne sais plus comment te le dire. Nous,les catholiques nous avons la grace d'avoir les Histoires et la vie et les enseignants de nos Saints catholiques. Ce n'est pas du faux témoignage mais c'est écrit dans l'histoire de la vie du Saint Padre Pio. Croyez vous que c'est un faux tel que Saint Padre Pio portait des stigmates pendant 50 ans? Croyez vous que c'est un faux témoignage que Saint Padre Pio lisait dans les âmes des personnes ? Croyez vous que c'est un faux témoignage que Padre Pio a rendu la vue à un aveugle? Croyez vous que c'est un faux témoignage que Padre Pio a ordonné à un de ses fils spirituels de lire Maria Valtorta ? . Je prie le Père Eternel pour qu'il verse le Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus Christ sur ton ames pour te délivrer de toute confusion semée par Satan et ses demons pour aveugler l'humanité et pour vous delivrer des embûches et des tentations des demons, au nom de Notre Seigneur Jésus Christ.Amen. Saint Michel Archange défendez nous.Amen
Soumettons notre intelligence à Dieu humblement et constamment. Maria Valtorta est une des Voix que Dieu s'est choisie pour tous ces enfants. À nous de répondre à Dieu ou à l'eternel condamné
Ou la la grâce à cette vidéo je crois que je peut voir à quel point les fabuleux écrits de Maria valtorta sont vrais très vrais dommage aux cœur qui ne veulent pas voir 😢
En effet cher ami, c'est très dommage, mais c'est une belle occasion de rétablir la vérité, qui est l'authenticité de l'oeuvre révélée à Maria Valtorta par le Christ. Que Dieu vous bénisse et vous garde +
@@SalveRegina225 je comprend que vous disiez ça on pourr is en parler longtemps dans Maria valtorta a un momment jesus parle de la divination alors il précise a moins que la personne suivent les lois de Dieu et cherche dieu ce qui est mon ca s en même temps je fais vraiment le bien au mieux j aide les personnes le prie j avoue que j y pense et c est la vie j ai pas vraiment le choix mais je m en remet à Dieu dans les prières
@@Debickipatricia Vous ne marchez pas droit sous le regard de Dieu, vous commettez le mal, quand bien même cela soit sans bien le savoir. Ce à quoi vous faites référence dans l'EMV est la science des mages, à qui l'étoile fut envoyée pour les conduire jusqu'à Jésus Nouveau Né. Mais ces Mages ne tiraient pas profit d'un quelconque pouvoir qui leur avait été donné : ils ne faisaient que chercher humblement la Vérité, et Dieu la leur révéla, car cela leur était utile. Mais il est absolument inutile de savoir l'avenir dans la pluspart des cas, et condamnable de vouloir le savoir et d'en tirer profit. De plus, du moment que les mages trouvèrent le Christ, le but de toute leur science était atteint, et ils quittèrent tout cela pour Jésus seul, leur vrai Dieu, sans devenir comme vous des diseurs de bonne aventure ( pour quel motif ? ) Ils n'avaient rien d'autre à transmettre desormais au monde que la Bonne Nouvelle de l'Incarlation et du salut qu'elle apportait. Judas, au contraire, alla chez la cartomancienne pour acquérir un pouvoir occulte, car il en avait soif. Les démons connaissent un peu l'avenir, et sont capables d'en révéler certains aspects, en y mélangeant l'erreur sournoisement. Ce sont eux seuls qui travaillent avec vous. Dieu, en effet, ne veut pas du tout que l'homme se préoccupe fievreusement de savoir son propre avenir, meme ( et surtout ) dans les situations de détresse, mais que l'homme s'abandonne à Lui avec une entière confiance, sans se preoccuper de rien, sauf de son devoir d'état. Et si jamais Dieu veut quand même révéler d'avance à quelqu'un un ou plusieurs éléments de son avenir, alors Il le révèle directement ( et c'est extrêmement rare, très peu courant ) à cette personne, sans que celle-ci ait besoin de payer les services de quelque pseudo voyant que ce soit. Les seuls pouvoirs bons et valides qui ne soient pas reçus du démon, et qui soient utiles à l'humanité, sont ceux qui sont reçus de l’Église elle-même : ce sont les pouvoirs des prêtres, qui distribuent les sacrements. Faire de la voyance coupe vous-même et vos clients de la réception des sacrements du salut, car faire de la voyance est un péché grave. Ce n'est ni un évêque, ni un prêtre, ni même un pieux laïc, qui vous a transmis ce pseudo pouvoir de voyance : il est donc mauvais, et il faut vous en débarrasser à tout prix. Relisez pour vous en persuader la biographie de saint Antoine le Grand, écrit par saint Athanase.
"COMMENT CELA SE FERA-T-IL, PUISQUE JE SUIS VIERGE ?" Cette demande de la Vierge Marie serait loufoque, si elle savait qu'en réalité, le Messie devait naître miraculeusement d'une vierge qui resterait vierge pendant et après l'enfantement : quand on sait, on ne demande pas ce que l'on sait déjà ! Ça parait plutôt logique. Et là, on est éberlué de la manière dont vous tirez la conclusion que Marie savait parfaitement tout cela d'après les prophéties, en particulier celle d'Isaïe : "Voici que la vierge concevra et enfantera un Fils, et on l'appelera "Emmanuel", "Dieu avec nous" ". Je cite les étapes de ce qui vous sert de "raisonnement" : 1 ) "Bon, bien sûr on peut penser que dans Isaïe, la femme est déclarée "vierge", car c'est son tout premier enfant... ( sous entendu : ce n’est pas clair au sujet d'une conception miraculeuse ). Vous commencez donc par l'admettre. Et juste après : 2 ) "Donc, si Marie savait cela ( ??? ), ce serait ridicule qu'elle demande à l'ange des précisions quelle aurait déjà su ! " .... ok, mais vous venez justement de dire que c'était très loin d'être évident ! Et finalement, vous ajoutez : 3 ) " VOUS ENTENDEZ ? MARIE SAVAIT TOUT D'AVANCE ( ????? ) ET POURTANT, ELLE DEMANDE DES PRÉCISIONS À L'ANGE, CE QUI EST PARFAITEMENT RIDICULE !!! " Oui oui oui oui oui...... Enfin ce qui est ridicule ici, mon très cher monsieur, c'est votre "raisonnement" qui n'en est pas un ! Vous passez en effet de l'hypothèse ( absurde ) à la certitude, on ne sait vraiment pas comment ! Ça sort de votre chapeau, comme ça, hop ! C'est magique :))) Flop.... En réalité : Marie ne savait QUE ce que disait la prophétie d'Isaïe et rien de plus, elle ne savait pas que la Vierge ( elle ! ) concevrait miraculeusement sans connaître d'homme. Tout Israël était comme elle - et également de nos jours, c'est ainsi chez les juifs - et attendait le Messie en chaque nouveau-né d'une jeune mariée vierge, de la lignée de David ! Or que fit Marie, dans sa sublime humilité ? ELLE RENONÇA PAR AVANCE À L'HONNEUR D'ÊTRE L'HEUREUSE ÉLUE : car en faisant voeu de virginité perpétuelle - comme elle s'en ouvrit à l'archange Gabriel -, elle était sûr et certaine de ne jamais pouvoir porter un enfant. Mais voilà : son humilité fut préférée à tout par le Maître de l'impossible, qui choisit de s'incarner en son sein virginal de préférence à n'importe quel autre ! Oui, désormais tous les âges la disent bienheureuse, car Dieu son Sauveur s'est abaissé sur son humble servante, le Saint, le Tout Puissant fit pour elle de grandes choses. Je pense que le terme "ridicule" est passablement inadapté pour parler de ce sublime mystère mariale de l'Incarnation du Verbe en elle... Encore une fois : l'EMV est inattaquable, et votre objection passe aux oubliettes, car elle est nulle et non avenue.
En réalité, Marie ne connaissait que la prophétie d'Isaïe et rien de plus, elle ne savait probablement pas que la Vierge concevrait miraculeusement sans connaître d'homme. En effet. Mais dans l'EMV (je l'explique pourtant clairement dans la vidéo), Marie a l'air persuadée qu'il s'agira d'une conception miraculeuse puisqu'elle dit "on entendra vagir le Fils d'une Vierge", et désigne le messie par l'expression "celui qui naîtra de Dieu et d'une Vierge". D'ailleurs, au moment de l'Annonciation, l'ange Gabriel lui dit : "Toi, la sainte Vierge bien-aimée du Seigneur, sa fille bénie, toi qui es appelée à être la mère de son Fils, comprends quel Fils tu vas engendrer". Eh bah non, elle comprend pas, car elle dit : "Comment cela peut-il se faire puisque je ne connais pas d'homme ?" (Notez que la forme de cette question sous-entend d'ailleurs un doute de la part de Marie, contrairement à la question du véritable évangile : "comment cela se fera-t-il, car je ne connais point d'homme ?") Mais le pire c'est qu'elle demande ensuite : "Est-ce que le Seigneur Dieu (...) ne veut pas que je sois vierge par amour de lui ?" C'est ridicule parce que ça montre qu'elle est devenue soudain stupide, et ne se souvient plus (alors qu'elle savait) que le messie doit naître miraculeusement d'une Vierge. C'est une contradiction qui prouve que la Vierge Marie de Valtorta est un personnage de fiction.
@@jawatusken Pardon, Marie n'est pas un personnage de fiction dans l'EMV : c'est à vous que convient ce titre qui sort de votre bouche, à savoir "commentateur fictif". Toutes vos accusations sont en effet fictives, elles ne reposent que sur votre volonté ultra procédurière de trouver coûte que coûte au moins un motif d'accusation. Mais une fausse accusation, plus une autre, plus une autre, n'aboutira jamais à une seule vraie. Vous niez ici l'évidence même ( et on verra plus tard, dans d'autres de vos objections, que vous procédez toujours ainsi ) : Marie avait choisi par humilité, non pas seulement d'être vierge - ce qui lui aurait permis d'être une candidate potentielle pour être la vierge élue de Dieu dont parlait Isaïe - , mais de ne connaître JAMAIS d'hommes. Pourquoi cela, si elle avait su que le Messie naîtrait de manière miraculeuse, sans père humain ? Ceci est bien confirmé par le fait que Marie pressent fortement qu'elle verra le Messie de ses yeux, mais jamais qu'elle puisse en devenir la mère, en raison de son voeu : elle se rêve en servante de l'heureuse vierge, qui par un heureux mariage et une conception naturelle, enfanterait le Sauveur attendu, ce qui prouve qu'elle ne savait pas le mode miraculeux de sa conception. Elle se consolait en pressentant que son voeu à la virginité perpétuelle plaisait beaucoup à Dieu : et elle ne se doutait pas à quel point son intuition était juste ! C'est également confirmé par saint Bernard, dans les "Louanges de la Vierge Mère". - Qu'elle parle encore une fois du "fils de la vierge" n'indique pas du tout autre chose dans son esprit que le "premier né de la vierge choisie de Dieu", et vous en avez d'ailleurs convenu vous-même ! - et que ce Fils soit le Fils de Dieu et le fils de la Vierge : cela, elle le savait, car toutes les prophéties de l'Ancien Testament ne cessent de parler de la Divinité du Messie attendu, de manière voilée ou non, que ce soit dans les psaumes, dans Daniel, Ezechiel, Isaïe, ce que Marie connaissait par cœur, et avait étudié comme personne ne l'avait jamais fait avant elle. Seulement, le Secret du Roi était bien gardé. Et ce secret ne lui fut révélé qu'au moment de l'Annonciation. - Pas plus de doute de la part de la Vierge dans l'EMV que dans saint Luc : Marie est désorientée, et ne sait pas encore que Dieu va rendre son sein fécond sans semence d'homme. Écoutons ce que dit saint Bernard à ce sujet, dans ses "Louanges de la Vierge Mère" : (...) " Étant donc rassurée, la confiance chassant la crainte et la joie écartant la timidité, elle répondit à l'ange : "Comment cela se fera-t-il, puisque je garde la virginité ?" Elle ne doute pas du fait, elle s'enquiert simplement du mode des événements. Elle ne demande pas : Cela se fera-t-il ? mais COMMENT cela se fera-t-il ? Elle veut dire : Mon Seigneur, témoin de ma conscience, connaît bien le voeu de sa servante de rester vierge ; dans quelles conditions et par quelles dispositions lui plaira-t-il que cela se fasse ? S'il faut enfreindre mon voeu pour mettre au monde un tel fils, ma joie sera d'avoir ce fils, MA DOULEUR, DE DEVOIR RENONCER À MON PROPOS : pourtant que sa volonté soit faite ! Mais au contraire, si vierge je conçois, si vierge j'enfante - chose que son bon plaisir, certes, ne trouvera pas impossible - alors je suis certaine qu'il a jeté les yeux sur l'humilité de sa servante. Comment donc cela se fera-t-il puisque je garde la virginité ? (...) " Ce commentaire est parfaitement corroboré par l'EMV : Marie y exprime avec une simplicité désarmante sa douleur si son voeu devait être rompu sur ordre de Dieu, mais ne remet aucunement en cause la faisabilité de l'événement, et ne s'y oppose pas. La question ne porte que sur le "comment", le reste est question de traduction. La réplique de Marie ne fait qu'exprimer sa parfaite ingénuité, ce qui est à mille lieu de la stupidité ( sauf pour les stupides, évidemment). Elle était tout de même juste un peu concernée, la très sainte et très pure jeune fille, et on lui parlait ni plus ni moins d'avoir un enfant ! La moindre des choses qu'elle était en droit d'avoir, c'était une petite explication sur la modalité, cela paraît plus qu'honnête ( sauf aux malhonnêtes, précisément). D'autant plus que, comme le rappelle saint Bernard, elle savait que Dieu connaissait son voeu si particulier en Israël, qui aurait du normalement la priver de la joie d'avoir un enfant.
Tome 1 chap 7 ( nouvelle édition) (...) " Cela veut dire ne pas connaître amour d'homme, mais seulement de Dieu. Cela veut dire n'avoir de pensée que pour le Seigneur. Cela veut dire rester enfant dans sa chair et ange dans son cœur. Cela veut dire n'avoir d'yeux que pour regarder Dieu, d'oreille que pour l'écouter, de bouche que pour le louer, de mains que pour s'offrir en hostie, des pieds que pour le suivre rapide, de cœur et de vie que pour les Lui donner." "Bénie toi ! Mais alors, tu n'auras jamais d'enfants, toi qui aimes tant les petits, et les agneaux et les petites tourterelles... Sais- tu ? Un enfant pour une femme est comme un petit agneau blanc et frisé, ou comme une petite colombe au plumage de soie et au bec de corail que l'on peut aimer, couvrir de baisers et qu'on entend vous dire : "Maman". "N'importe. Je serai de Dieu. Au Temple, je prierai. Et peut-être, un jour, je verrai l'Emmanuel. La Vierge qui doit être sa mère, comme dit le grand Prophète, doit être déjà née et elle est au Temple... Je lui serai compagne... et servante. Oh ! oui, si je pouvais la connaître, par lumière divine, je voudrais la servir, cette bienheureuse ! Et puis, elle me porterait son Fils, m'emmènerait à son Fils et je le servirais, Lui aussi, Pense, maman !... servir le Messie !..." -----> Ni sainte Anne, ni sa fille Immaculée, ne sont décrites dans l'EMV comme sachant d'avance que la naissance du Messie se ferait miraculeusement, sans intervention humaine. C'est vous seul qui faites cette fausse interprétation, sortie de nul part.
@@SalveRegina225 Au chapitre 7 il n'y a rien qui l'indique, en effet. Mais les citations que j'ai faites ne laissent pas l'ombre d'un doute et proviennent du chapitre 10.
@@jawatusken Les citations que vous faites font au contraire tellement l'ombre d'un doute, que c'est vous-même, dans votre exposé, qui doutez premièrement de la validité de votre hypothèse, avant de tout soudain la tenir pour certaine ! Vous êtes incroyable.
Une simple comparaison ( par JF Lavère ) : une image a jailli dans mon esprit, en forme de parabole. Il y avait dix coffres remplis de toutes sortes de trésors : de l’or, des diamants, des perles rares, des pierres précieuses, des pièces de joaillerie, etc. Une vraie caverne d’Ali Baba ! Et même pas besoin d’un « sésame ouvre-toi », car ces coffres étaient ouverts et laissés en libre-service, à la porté de tous... Il suffisait à chacun d’y puiser à sa guise… Une vraie merveille inépuisable pour combler les plus exigeants ! Et voici que s’affairant, agité, passant fébrilement d’un coffre à l’autre, un pauvre hère en guenilles, vraiment misérable, passe par là. Il voit ces dix coffres… Il se précipite, farfouille avec avidité, dans l’espoir vain d’y découvrir… deux ou trois vieux clous rouillés ! Toute ressemblance avec un personnage existant serait bien entendu purement fortuite… 😊
Sauf que les clous rouillés prouvent que les coffres aux trésors ne sont pas en or mais en toc et que les pièces et les pierres qu'ils contiennent sont volées et doivent être remises à leur légitime propriétaire.
Votre déduction est aussi intelligente que de dire : "(...)Sauf que le fait que cet homme ait une dent en or prouve qu'il n'est pas un homme, mais un reptilien, et qu'il doit être mis en cage ! ". Puisqu'on parle d'or, je trouve votre raisonnement... particulièrement brillant ! 😅😅 😅
@@MrMirville Et autrement, Sherlock, juste pour votre petite gouverne : les clous d'un coffre ne sont jamais en or. Autrement, au lieu de s'en servir pour transporter une quelconque marchandise, son propriétaire serait tenté à chaque instant de le désosser pour récupérer les clous, ou bien de tenir son coffre caché... dans un autre coffre ! Et donc ensuite : de cacher également le fameux coffre caché dans un coffre, dans un troisième coffre ! Et ainsi de suite. Vous me suivez, Sherlock ? 😂 De la même manière, c'est relativement qu'un roi ait l'idée de paver les routes avec des pierres précieuses, et on comprend facilement pourquoi. Capito ? Au moins, ce fut amusant de vous répondre ;)) PS : Vous aimez la voyance, MrMirville ? Vous êtes abonné à "Madi voyance" et "Taikan voyance"... Vous pensez qu'on devrait vous en féliciter ?
@@SalveRegina225 Enfin pas besoin de vous faire une dessin pour vous signifier que la révélation du message de Jésus s'arrête avec le départ de ce monde de son dernier apôtre et que désormais c'est par l'ensemble de son église et non par aucune sorte de communication directe de particuliers avec l'au-delà que le message se précise et se détaille. Maria Valtorta est au mieux une romancière et le roman n'a pas sa place en tant que source du dogme. Il suffit d'une hérésie manifeste pour enlever toute valeur théologique à un ouvrage ou un auteur or l'idée que le péché originel fut sexuel est une hérésie parmi les toutes premières que l'église dut anathématiser.
@@MrMirville Vous venez de nous révéler toute la profondeur de votre incapacité à vous exprimer en choisissant une image sensée. Donc effectivement : pas besoin dans ces conditions de me faire encore un dessin. Vous êtes parfaitement inapt(e) à accueillir ce que l'Église reçoit de la part du Ciel depuis 2000 ans, et je ne suis même pas sûr que vous soyez capable de poser un quelconque raisonnement, même simple. En effet : vous confondez allègrement la Révélation catholique qui est close depuis la mort du dernier apôtre, et les révélations privées dont le statut est fort bien explicité dans le catéchisme, que vous feriez bien de consulter. Le Seigneur avait déjà donné à Anne Catherine Emmerich et encore avant à Maria d'Agreda des révélations privées sur l'Évangile, cela n'a rien de nouveau ( sans parler de celles données par exemple à sainte Marguerite Marie ). Les visions de MV n'apporte strictement aucun nouveau dogme, et n'en modifie aucun. Votre accusation est frelatée, car basée : - sur une incompréhension fondamentale du texte de l'œuvre, - ainsi que sur l'ignorance du texte, où Jésus explicite avec pourtant beaucoup de clarté le fait que le premier péché d'Eve fut L'ORGUEIL, celui de devenir par elle-même égale à Dieu, avec son époux. Le péché de luxure suivit seulement celui d'orgueil. Je n'y peux rien, si vous ne voulez pas lire, et je comprends qu'avec votre niveau très faible, la seule chose qui vous soit accessible soit d'accuser sans savoir. Continuez donc dans votre funeste opinion qui vous prive de ce cadeau céleste, ainsi que du mérite consistant à en favoriser la diffusion, si utile de nos jours pour la conversion des âmes. Il vous restera vos yeux pour pleurer après la mort, et j'espère aussi : un petit lot de consolation, malgré cette erreur irrémédiable de votre part.
Il est vrais que les modernistes détestent l'oeuvre dite faussement de Maria Valtorta alors qu'elle est de Jésus (avec d'autres interventions Saintes), car elle s'oppose à eux. Toujours vérifier quel avantage a celui qui critique. Mais aussi des sedevacantistes critiquent outrageusement l'oeuvre car ils estiment que l'église et ses papes sont plus véritables que des paroles d'un "Jésus". Ils suivent la lettre des Saintes écritures mais, semble t il non l'Esprit. Pour avoir étudié de nombreuses critiques, dont celle de Lesage, elles me semblent toutes invalides et je suis pret à en débattre. Pour moi, la lecture de l'oeuvre m'a amené par la raison à la foi , au Nouveau Testament et à la religion catholique traditionnelle et à l'Amour de la Sainte Trinité, Marie et des Saints véritables.
CARACTÉRISTIQUES DU DÉSERT : Le climat est extrêmement chaud et sec. Le passat est un vent très sec qui souffle quasi continuellement toute l'année. Les températures extrêmes de la journée pouvant grimper jusqu'à 60°C, ainsi que l'amplitude de température pouvant atteindre 30°C entre le jour et la nuit contribuent entre autre à la formation du désert. En hiver, la température peut descendre jusqu'à -10°C durant la nuit. La moyenne annuelle de précipitations se situe à 45,5mm. Néanmoins, certaines années ne reçoivent pas du tout de pluie. Un désert n'est pas une région comme une autre. En plein hiver, la température peut descendre très bas durant la nuit, et rester étouffante durant le jour. Vous êtes recalé par la science, et l'EMV justifiée. SOIT-DISANT FAUSSE PROPHÉTIE SUR CAPHARNAÜM Les trois pharisiens entrent. Ils regardent tout autour avec un rire méchant et vont parler. Mais Jésus, qui s'est levé et est allé à leur rencontre avec Matthieu, les devance. Il met une main sur l'épaule de Matthieu et dit : "O vrais fils d'Israël, je vous salue et vous donne une grande nouvelle qui certainement comblera de joie votre cœur de parfaits Israélites, qui soupire après l'observance de la Loi par tous les cœurs, pour donner gloire à Dieu. Voici : Matthieu fils d'Alphée, n'est plus, à partir d'aujourd'hui, le pécheur, le scandale de Capharnaüm. Une brebis galeuse d'Israël est guérie. Réjouissez-vous ! Après lui, d'autres brebis pécheresses redeviendront saines et votre cité, à la sainteté de laquelle vous vous intéressez tant, deviendra par sa sainteté agréable au Seigneur. Lui laisse tout pour servir Dieu. Donnez le baiser de paix à l'Israélite égaré qui revient dans le sein d'Abraham." "Et y revient avec les publicains ? Dans un gai banquet ? Oh ! vraiment, c'est une conversion avantageuse ! Tiens, regarde-là, Élie c'est Josias, le souteneur." "Et celui-ci Simon d'Isaac, l'adultère." "Et celui-là ? C'est Azarias, le tenancier du tripot, où Romain et Juifs vont jouer, se quereller, s'enivrer et se livrer à la débauche." "Mais, Maître, sais-tu au moins qui sont ces gens-là ? Le savais-tu ?" "Je le savais." "Et vous, alors, vous de Capharnaüm, vous disciples, pourquoi avez-vous permis la chose ? Tu me stupéfies, Simon de Jonas !" "Et toi, Philippe, bien connu ici, et toi, Nathanaël ! Mais j'en suis fort stupéfait ! Comment as-tu pu supporter que ton Maître mange avec des publicains et des pécheurs ?" "Mais, il n'y a donc plus de retenue en Israël ?" Les trois sont tout à fait scandalisés. Jésus dit : "Laissez en paix mes disciples. C'est Moi qui l'ai voulu. Moi seul." (...) ----> Donc, le comble de l'ironie très cher monsieur, c'est que vous choisissez de conspuer précisément le passage où Jésus reçoit pacifiquement les pharisiens qui viennent lui chercher noise à Capharnaüm, pour s'être attablé avec des hommes à la mauvaise réputation, que sont Matthieu et ses amis. Et à votre tour, vous cherchez de quoi accuser, mais bien en vain. Quoi d'étonnant à ce que le Christ, ayant sauvé Matthieu à Capharnaüm, désire ne pas s'arrêter en si bon chemin et faire de cette ville entière une des gloires de son apostolat ? "Après lui, d'autres brebis pécheresses redeviendront saines et votre cité, à la sainteté de laquelle vous vous intéressez tant ( ndm : comment ne pas déceler ici une légère pointe d'ironie bien justifiée, adressée à des hommes sans cœur, froids comme la glace ! ), deviendra par sa sainteté agréable au Seigneur." ( sous-entendu : " si Je trouve sa libre coopération ! " ) Est-ce que peut-être la sainte Vierge n'était pas apparue au Portugal à Fatima, pour nous prévenir contre le double fléau de la révolution russe entraînant l'humanité dans l'égarement du communisme, et de la seconde guerre mondiale ? N'avait-elle pas donné le moyen d'éviter tout cela, comme de consacrer la Russie à son Coeur Immaculé, ce qui ne fut pas fait, de se convertir et de faire pénitence, ce qui ne fut pas non plus entendu ? Rien de nouveau sous le soleil à ce que les désirs de Dieu au sujet de notre sainteté ne soient pas suivis d'effet, et entraîne pour beaucoup un châtiment mérité ! Dieu n'est pas Celui que vous croyez, c'est-à-dire un Dieu de malheur, se plaisant à asséner ses malédictions avec la dernière des sévérités. Mais lorsqu'il envisage de bénir une ville ou bien quelqu'un, si ensuite le sujet refuse sa bénédiction, et bien c'est sa malédiction qu'il se trouve obligé de lui envoyer, comme ici sur Capharnaüm. Cette fameuse prophétie que vous citez dans l'Évangile n'a tellement pas le don de s'opposer aux paroles du Christ dans l'EMV, qu'elle se trouve intégralement dans l'oeuvre, telle qu'elle, un peu plus loin, à cause de la persévérance des habitants de Capharnaüm à refuser son Message de Paix et de Salut. La malédiction est d'autant plus grande, que le désir du Christ de sauver cette ville était plein et entier ! " Ils respecteront mon Fils", se disait le Père, envoyant son Fils aux vignerons homicides. Dieu veut toujours espérer dans les hommes, avant de décider de les châtier en toute justice. Et COMMENT est-ce que Jésus aurait pu vouloir autre chose que de rendre sainte et pure Capharnaüm, et de le lui dire clairement ? La preuve irréfutable en est le nombre de miracles qu'Il y fit ! Ce n'était pas au départ pour les maudire, il faudrait peut-être avoir l'honnêteté d'en convenir. Les jugements de Dieu peuvent changer d'ailleurs dans les deux sens : à Ninive, ce fut l'inverse qu'à Capharnaüm. Les hommes coupables, à qui Jonas fut envoyé pour leur prédire leur destruction prochaine, obtinrent de Dieu l'annulation de sa malédiction prophétique, par leurs sincères efforts de pénitence. Dieu est bien un Dieu de tendresse et de pitié, LENT À LA COLÈRE, plein d'amour et de vérité. Si Capharnaüm mérita à la fin d'être ainsi fustigée par le Christ, c'est qu'elle l'avait longuement, patiemment et obstinément cherché. Et cependant, ce n'est pas sans miséricorde que le Christ lui adresse sa malédiction dans l'EMV comme dans les Evangiles : " (...) Et toi, Capharnaüm, crois-tu que tu seras élevée jusqu’au Ciel uniquement pour m’avoir accordé l’hospitalité ? Tu descendras jusqu’en enfer ! Car si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, elle serait encore florissante, parce qu’elle aurait cru en moi et se serait convertie. On montrera donc plus de clémence pour Sodome au jour du jugement dernier - comme elle n’a pas connu le Sauveur et sa Parole, sa faute est moins grande - que pour toi qui as connu le Messie et entendu sa parole, mais ne t’es pas convertie. CEPENDANT, puisque Dieu est juste, il sera fait preuve d’une grande miséricorde pour les habitants de Capharnaüm, de Bethsaïde et de Chorazeïn qui ont cru et se sanctifient en obéissant à ma parole. Car il n’est pas juste que les justes soient mêlés à la ruine des pécheurs. (…) Votre objection est recalée, encore une fois.
1) Dans le désert de Judée, la température moyenne maximale le jour est de 22,5 degrés en décembre, avec une température moyenne la nuit de 12 degrés. Bon, un pic de chaleur c'est pas impossible, mais pourquoi Valtorta parle-t-elle de "soleil presque au zénith" alors qu'en hiver le soleil monte beaucoup moins haut qu'au zénith ? 2) Le Jésus de Valtorta ne fait pas une bénédiction, il ne fait que donner une information sans condition sur l'avenir : "votre cité deviendra par sa sainteté agréable au Seigneur". Il n'a pas posé de condition du genre "si beaucoup d'entre vous se convertissent". Au contraire, il affirme que "d'autres brebis redeviendront saines". Seulement voilà, cette cité deviendra tellement désagréable au Seigneur qu'il la maudira.
@@jawatusken 1 ) C'est une question à poser à des plus spécialistes que moi, et je vais le faire. 2 ) La répartie de Jésus devance les remarques acerbes des pharisiens, qui ne se préoccupent qu'en figure de la sainteté de leur cité Capharnaüm. Mais Jésus fait comme si ils s'en preoccupaient réellement, il les prend au sérieux, et leur fait donc une prédiction qui aurait du normalement leur plaire, et les mettre de son côté ! Or il n'en fut rien, on pouvait s'en douter. Ce qu'il dit est d'ailleurs vrai : d'autres âmes de cette ville viendront par la suite à la Vie selon le Christ, et si les pharisiens avaient saisi leur chance et suivi l'invitation du Christ de marcher avec Lui, alors sa bonne prophétie se serait à coup sûr réalisée. Et encore une fois, l'existence de cette bonne prophétie optimiste du Christ est attestée dans l'Évangile par le fait qu'Il accomplit en ce lieu bien des miracles : ce qui prouve qu'au départ, Il en espérait bien de bon fruits. En réalité, vous vous trompez en prenant ces Paroles pour des prophéties certaines et arrêtées, sans prendre en compte la liberté humaine qui les conditionne. Il s'agit bien plutôt : - d'une espérance enthousiaste que Jésus voudrait ( par impossible ! ) communiquer aux pharisiens barricadés dans leur sentiment d'être supérieurs aux autres, et très peu intéressés par la sainteté de Capharnaüm. - et ensuite, d'une très juste colère face à la persévérance de cette fermeture d'esprit, même face aux miracles. Cette seconde parole, d'une grande sévérité, pouvait elle-aussi être annulée, dans le cas où Capharnaüm aurait réagi comme les habitants de Ninive, en entendant la proclamation de Jonas. C'est très récurent, le Ciel ne cesse d'agir ainsi. Par exemple, la saine Vierge était apparue à un humble et pieux paysan se rendant à Niedermorschwihr au marché, tenant dans sa main droite trois épis de blé, et dans la gauche un gros glaçon. L'abondance des récoltes serait venue si les gens écoutaient son appel à la pénitence, la grêle dévastatrice dans l'autre cas. Grâce à un miracle étonnant, le message fut entendu et suivi. Mais Dieu commence toujours par espérer que les hommes vont l'écouter et lui obéir, même lorsque c'est l'inverse qui se profile à l'évidence. "Ils respecteront mon Fils ! " avait prophétisé le Père : est-ce que les vignerons accomplirent ensuite la prophétie ? Non, bien au contraire, ils tuèrent l'héritier pour avoir l'héritage. Que leur advint-il ? Le malheur au lieu du bonheur, ils furent passés au fil de l'épée. Cessez donc d'être procédurier, et devenez croyant.
Vous voulez du vrai mépris ? Regardez le mépris pour la Vérité (c'est à dire pour le Christ lui-même) des propagandistes valtortistes sur la position de Benoît XVI concernant "l'Evangile selon Ste Valtorta". Ça suffit pour signer l'esprit profondément diabolique qui anime ce mouvement. qui tente par tous les moyens de justifier la désobéissance que l'on doit au magistére et qui est digne d'une secte, pas de l'Eglise fondée par NSJC.
"Je devais, par un sacrifice total, réparer la Faute et les fautes de toutes l'humanité" "C'est avec le sacrifice consommé que je vous ai racheté de cette tâche. Si sur le seuil de ma vie, un miracle divin de ma part m'avait fait descendre de la croix, je vous dis en vérité qu'à cause du sang répandu j'aurais purifié les fautes, mais non pas "la faute". Pour elle, il était necessaire que mon sacrifice soit totalement consumé (...)" Versus : "Une seule goutte du Sang de Jésus-Christ aurait pu suffire à effacer le péché originel ainsi que les autres péchés, et à racheter tous les hommes." Très piètre mise en opposition, car en réalité, vous voudriez monter contre elle-même pour qu'elle se contredise la théologie catholique traditionnelle ( mais c'est vrai que vous n'y connaissez rien ). En effet, qu'une seule goutte de Sang du Christ aurait suffit à annuler toute notre dette est un article de foi développé par saint Thomas d'Aquin dans sa somme. Soutenir l'inverse voudrait dire que ce Sang n'était pas divin, et possédait donc une puissance limitée, ce qui aurait nécessité forcément son abondante effusion, pour pallier à sa faible puissance. Or le Bon Dieu n'a pas voulu que son Fils se contente d'un sacrifice si facile, sans aller jusqu'à mourir sur la croix. Et ce que Dieu veut, ce n'est jamais sans une cause dont la sagesse est infinie. - En effet : s'il n'y avait pas de cause réelle et compréhensible pour que le Père demande à son Fils son sacrifice totalement consommé, si verser une seule goutte de son Sang avait produit exactement la même Rédemption que le sacrifice de la Croix, alors il faudrait conclure à la cruauté de Dieu envers son propre Fils. Cela est inconcevable. En effet, il y eut l'arbre de la tentation et le fruit défendu pourtant cueilli et consommé par Ève et son mari, pour leur perte : il fallait donc lui opposer l'arbre de la Croix, et son doux Fruit de Vie offert cette fois gratuitement à tous, pour leur donner la Vie éternelle. Certes oui : une goutte de Sang du Christ aurait théoriquement suffit pour la Rédemption du monde entier, mais très peu d'hommes en auraient bénéficié, car très peu auraient été attirés vers un tel Sauveur si réservé, si peu généreux, si peu démonstratif de son Amour pour les pécheurs ! Et donc : est-ce que finalement, la victoire sur la faute originelle aurait été si totale que ça ? Bien sûr que non : car le Christ n'est pas venu racheter quelques hommes et femmes, mais une très grande multitude d'entre eux ! Leur montrer toute l'étendue de son Amour était bien plus efficace pour les sauver que de compter le nombre exact de gouttes de Sang nécessaire ( une ! ), à ne pas dépasser. Voilà encore une fois retoquée votre objection légaliste, qui n'a pas lieu d'être.
"Je vous dis en vérité qu'à cause du sang répandu j'aurais purifié les fautes, mais non pas la Faute. Pour elle, il était nécessaire que mon sacrifice soit totalement consumé." Ça veut bien dire ce que ça veut dire : le péché originel n'aurait pas pu être réparé si le sacrifice n'avait pas été total. Le Jésus de Valtorta contredit donc bien la doctrine catholique.
il y a beaucoup de messages .nous pouvons être choqué et épuisé et effrayé ou ne pas pouvoir suivre et ne rien comprendre . Mais il faut fair un effort et écouter . C'est pas facile, mais il faut le fair .encore hier après des centaine s d'heures et de lectures et de recherches je craque sur des paroles . mais je vous en prie faite un effort et vous découvrirez des merveilles et des joies perdu réparatrice et inspirante .c'est pas facile pour moi qui est des problèmes du comportement . mais je découvre des trésors et mes lacunes et ma mémoire me fait des cadeaux ou bien souffrir . Alors je m'interroge profondément, l'amour doit être redonné et partagée . aidez nous aussi .svp
LE VOYAGE SOIT-DISANT "INCROYABLE" DE JONATHAS, ACCOMPAGNANT JEANNE DE CHOUZA MALADE Puisqu'ici vous remettez carrément en cause l'excellent travail de JF Lavère au sujet de la vérification des déplacements divers des personnages dans l'EMV, je ne résiste pas au plaisir de lui donner la parole pour vous répondre en direct : " Enfin nous tenons le Lucky-Luke de la critique. Il critique plus vite que sa réflexion ! C’est ce qui peut arriver lorsqu’on part du postulat que cette œuvre est bourrée d’erreurs, et que leur recherche devient le seul objectif de la lecture. Finalement il vaut mieux faire comme les censeurs du Vatican, qui ont émis l’hypothèse que cette œuvre devait être bourrée d’erreurs, mais se sont bien gardés d’en découvrir une seule… Eux au moins ont évité de montrer leur incapacité à émettre plusieurs hypothèses et sélectionner la plus plausible, au lieu de s’en tenir à la seule qui convienne à leur « a priori » de rejet de cette œuvre. Je n’ai vraiment pas envie de relire minutieusement les chapitres évoquant le voyage aller et retour vers le Liban, que j’ai analysé en détail il y a une dizaine d’années, et qui m’était apparu alors pleinement plausible… Voici seulement quelques clés de lecture pour envisager les faits positivement et non négativement : 1/ Jeanne a quitté Tibériade le lundi 2 août 27. En période d’extrêmes chaleurs. (Elle n’avait pas installé de climatisation dans son palais). Il lui fallait chercher en montagne la fraîcheur pour la soulager. Son état de santé, et les fortes chaleurs ne permettaient pas de forcer l’allure, ni de voyager de longues heures (à 4 km/h, environ, 6h de nuit (104.4), difficile de parcourir plus de 25km par jour. Atteindre le Liban leur a pris 3 jours (102.4). Voici la note de bas de page que j’ai mise pour cet aller : De Bethsaïda à Césarée Philippe, il y 40 km par la route directe, et environ 50 km en passant à l'ouest du lac de Méron, soit deux ou trois jours de voyage à très faible allure et de nuit. 2/ Quand Jésus passe à Tibériade le jeudi 5 août 27, il décide d’aller 6 jours à Nazareth (99.4) 3/ 6 jours plus tard, le jeudi 12 août 27, Jonathas arrive à Nazareth (102.3) et relate son voyage. 4/ le retour fut bien plus éprouvant que l’aller. Jeanne était mourante, ne trouvait de repos qu’entre midi et 15h, juste pendant les très fortes chaleurs, et même à très faible allure compte tenu de l’état de santé de Jeanne, 3 heures en plein soleil d’août était très éprouvant pour les chevaux, qui ne pouvaient parcourir plus de 10/12 km sans être « crevés ». Il ont atteint Tibériade à 15h (none). Voici les notes de bas de page que j’ai mises pour ce retour : 1/ Au retour, à partir du jeudi 5 août 27, l'état de santé de Jeanne a dû nécessiter une allure plus réduite (2 à 3 km/h ?) d'où un retour en 6 ou 7 jours (y compris la journée de repos sabbatique !). Ils sont arrivés à Bethsaïda dans la matinée, et ont parcouru le lac en début d’après-midi. 2/ La reconstitution du trajet de Tibériade vers Nazareth est remarquable de précision : le char a donc parcouru, à la moyenne de 3 km/h, environ 10/12 km en 3 heures 30. Si Jeanne a envoyé Jonathas en avant au bout de 3 heures 30, (soit vers 18 h 30), il a parcouru les 18 ou 20 km restant en 2 heures, et vient de retrouver Jésus à 20 h 30. En considérant que Maria Valtorta était « forcement » ignorante des heures hébraïques et romaines, et voulant à tout prix « prouver » un incohérence monumentale », l’objectant prouve simplement son étroitesse d’esprit. Allez savoir pourquoi, cette attitude mentale me fait songer aux paroles de Jésus à ses apôtres en Mt 13,13-15 et Mt 7,6. Tout ceci est consternant, et plutôt que de perdre notre temps dans des argumentations que de toutes façons n’accepteront pas ceux qui refusent la Lumière, prions pour qu’ils finissent par l’accepter sans méfiance excessive (comme des enfants).
1) Jonathas ne dit pas qu'au retour il "crevé les chevaux, à la longue", mais qu'il a "crevé les chevaux pour aller plus vite". Et en fin de compte, ils sont allés deux fois moins vite au retour qu'à l'aller. 2) Faire moins de 20 km par jour, ça n'épuise pas des chevaux, même s'il fait chaud (ils peuvent d'ailleurs faire beaucoup plus de 20 km en une nuit). 3) C'est pas entre midi et 15h qu'ils prenaient du repos, mais "entre la troisième et la sixième heure" (c'est-à-dire en fin de matinée, jusqu'à midi environ), donc ils continuaient à se déplacer quand même aux heures les plus chaudes, ces boulets ! 4) Ainsi, ils ont parcouru environ 1km par heure, alors qu'ils étaient pressés. C'est ridicule. 5) "la neuvième heure" ça correspond à environ 15h00, donc c'est pas "le matin" comme l'affirme Jonathas, mais l'après-midi (erreur indéniable).
@@jawatusken Je suis particulièrement ravi de votre réponse, cher boulet, car elle met vraiment bien en lumière votre esprit de chicane : 1 ) ni dans votre vidéo, ni dans votre réponse, vous ne tenez le moindre compte de : - la lourdeur du chariot qui ne devait pas être spécialement dernier cri turbo V6 4 roues motrices, si vous me suivez, - de l'état douloureux de la malade mourrante, alors que c'est le sujet CENTRALE de l'action, état qui NÉCESSITAIT une extrême lenteur : pour ce qui est de vous débarrasser du contexte, vous ne le faites vraiment pas à moitié ! "Rien à faire de cette malade, elle n'avait qu'à mourir après tout. Tout ça pour cette pauvre femme ! " ( j'ai honte pour vous ) - du relief, de l'état des routes - et surtout du fait que traîner un lourd chariot sous un soleil de plomb, c'était "crevant" MÊME À TRÈS FAIBLE ALLURE et peut-être même À CAUSE de cette très faible allure, pour des chevaux ! Avez-vous la moindre expérience en ce domaine ? À l'évidence, vous n'en avez pas la moindre, mais cela ne vous empêche pas d'en parler. 2 ) Je note que vous pouffez de rire lorsque la pauvre Jeanne mourrante reçoit a Césarée la motion intérieure en provenance du Seigneur, l'invitant à Le rejoindre au plus vite pour recevoir de Lui la guérison. Quel genre de païen êtes-vous donc pour oser ainsi pisser sur les étoiles, sans cependant pouvoir les atteindre ? Ici, vous n'êtes tout simplement plus dans l'analyse des faits, vous ne cherchez qu'à vous rendre odieux, c'est tout. Par contre, c'est réussi. 3 ) 3 jours pour aller de Tibériade à Césarée de Philippe en mode pépère : ben oui mais..... ça vous a échappé qu'ils avaient pris le bateau ? Il faut vous expliquer encore ça ? Avec le bateau on n'a pas besoin de faire du 2 à l'heure pour éviter les chocs : ça glisse sur l'eau, vous voyez ? Je ne sais pas si le but de cette "balade" vous échappe toujours : ce n'était pas de la plaisance, c'était un transport de malade. On y est ? Capiche ? 4 ) Retour en 7 jours : ben oui forcément, en se déplaçant à ultra faible allure, on risque toujours...... d'avoir besoin de plus de temps ! Enfin ça, ça semble assez logique, tout de même, mais bon : s'il faut le rappeler, et bien voilà c'est fait. 5 ) "J'ai crevé les chevaux". Allez je répèpète : tirer un lourd chariot à très faible allure, c'est crevant pour des chevaux. Cela aurait été beaucoup plus facile pour eux de tirer le chariot à vive allure. Si le chariot s'arrête tout le temps, il faut incessamment l'arracher à son inertie. Et si Jonathas leur a demandé ce travail de longues heures durant, afin d'arriver plus vite malgré la lenteur de ce convoi : il a bien mis à l'épreuve les pauvres bêtes, comme il le dit bien. 6 ) Pour la bonne compréhension des lecteurs, Jonathas parle bien évidemment dans le langage moderne en ce qui concerne l'horaire : ce qui est rendu évident par le fait qu'il parle tantôt en heures, tantôt par "l'heure de none " ( 3h de l'après-midi ). Vous n'avez rien ici à vous mettre sous la dent, sauf une pinaillerie sans importance aucune. Pas d'erreur à relever dans ce voyage, mais une cohérence parfaite. Vos objections sont recalées.
@@SalveRegina225 1) Les détails techniques on s'en fiche un peu. Ce qui compte, c'est qu'ils ont mis beaucoup plus de temps au retour, alors qu'ils voyageaient quasiment 20 heures sur 24 avec des chevaux poussés au max "pour aller plus vite" (et non "pour aller moins vite"). À l'aller, ils voyageaient apparemment la nuit, et "lentement". Jonathas n'a jamais dit qu'au retour ils ont avancé encore plus lentement pour éviter que la femme ne meure. Au contraire, Jonathas nous informe qu'ils ont réduit leur temps de repos, et qu'ils ont crevé les chevaux pour aller plus vite. 2) J'ai pouffé de rire parce que "je veux aller" c'est pas très français (c'est sûrement la faute du traducteur), et avec la voix que j'avais prise, c'était encore plus drôle. Oui, c'était assez amusant de lire ce récit de Jonathas, parce que le texte est très théâtral. 3) À l'aller, ils ont pris le bateau pour faire à peine un tiers du chemin. Et alors ? Même s'ils ont mis trois jours pour faire les 50 km restants, ça fait quand même presque 17 km par jour. Au retour, six jours pour faire 75 km, ça fait 12,5 km par jour. C'est pas avec 12,5 km par jour qu'on crève des chevaux. Ou alors les chevaux ont trente ans et la charrette pèse dix tonnes (Jonathas l'a pourtant "équipée de son mieux"). Mais ça ne suffit pas à rendre cohérent le "pour aller plus vite" de Jonathas. Le scénario que vous essayez d'imaginer n'est pas compatible avec le texte. 4) Quand on fait tout "pour aller plus vite", c'est pas logique d'aller moins vite. 5) Avec une charette tirée par des chevaux, même au pas (et plus le pas est lent, moins c'est fatiguant pour les chevaux), c'est pas possible de mettre plus d'une heure pour parcourir 1 km, à moins que la charge soit complètement excessive, ou de s'arrêter pour faire des pauses. Mais ils ne se reposent qu'entre la troisième et la sixième heure, donc ils ne sont pas censés s'arrêter le reste du temps. En plus, qui dit redémarrages fréquents dit secousses supplémentaires ; alors que vitesse constante = confort. 6) Quand on dit "la neuvième heure", on ne parle pas en langage moderne. Cela ne désigne donc pas "9 heures du matin" mais "l'heure de none" (=environ 15h). Donc les mots "ce matin" sont incohérents avec "la neuvième heure" (grossière erreur).
@@jawatusken "Les détails techniques, on s'en fiche un peu." Attendez : vous vous moquez du monde ou quoi ?? C'est comme si vous étiez enquêteur sur une affaire criminelle, et que vous déclariez : "Bon, les détails techniques de l'affaire, on s'en moque : de toute façon nous tenons le suspect, et nous le déclarons coupable, peu importe les indices ! " Si c'est une plaisanterie, elle ne fait rire que vous. ... et pourtant vous ne semblez pas fou, ou bien incohérent ! Mais non, vous continuez cependant à scuter ce voyage, sans tenir le moindre compte de son but : l'état de la malade, ni de l'ardeur du soleil, du possible dénivelé, de l'état des routes, de la pesanteur du char... Mais c'est sûr que, puisque cela mettrait vos arguments à plat, je comprends que vous préfériez ne pas trop y penser. 1 ) C'est vous qui inventez qu'ils ont voyagé 20h sur 24 , c'est d'ailleurs tellement loufoque que cela ne devrait tout simplement pas traverser l'esprit d'un lecteur, même pointilleux : en réalité, Jonathas précise que Jeanne a pu se reposer de 3h à 6h, pour bien indiquer qu'ils n'ont pas voyagé dans ce créneau horaire. Cela ne veut évidemment pas dire qu'ils ont voyagé non stop le reste du temps. "POUR ALLER PLUS VITE" a deux significations et non une seule, et vous prenez soin de sélectionner uniquement celle qui vous arrange le mieux pour discréditer l'oeuvre. Cela peut vouloir dire : - pour atteindre une plus grande vitesse pure ( faire du 20km/h au lieu de 10km/h, par exemple ) ou bien : - pour atteindre plus rapidement la destination, quelle que soit par ailleurs la vitesse pure durant le trajet : si cette vitesse est minime comme ici, il faut alors des plages de trajet quotidien plus longues. Et cette seconde hypothèse est évidemment la bonne, et rend le récit parfaitement cohérent. 2 ) Jeanne est une princesse royale (Tome 2, chapitre 74 et Tome 8, chapitre 23), descendante des "preux de David" qui rallièrent le roi en lutte contre Saül[1] et des Assidéens ralliés aux Macchabées lors de la lutte d'indépendance[2]. Jeanne est née à Béther (Beitar), en Judée. Elle y possède le château de sa naissance. Sur plusieurs collines, il est entouré de grandes roseraies qui servent à faire du parfum (Tome 3, chapitre 86). Des centaines d’employés y travaillent sous les directives de Jeanne. Et donc, si vous connaissiez un peu les personnages, cela vous aurait évité de vous gausser sans raison. Jeanne de Chouza s'adresse à Jonathas comme à un serviteur, ce qui nous est aujourd'hui inconnu ( à moins que vous n'ayez peut-être encore vous-même des serviteurs, mais moi pas ). C'est donc quelqu'un qui a l'habitude de commander et de se faire obéir. Ce qui justifie sa manière de parler quelque peu théâtrale, Maria Valtorta ne fait là-dessus aucune erreur. Et puis quoi ? Elle ne demande tout de même pas à Jonathas : "Voiturez-moi les commodités de la conversation ! " comme les précieuses ridicules de Moliere... 3 ) Il est bien décrit dans le récit que Jeanne de Chouza se sentit très mal à son arrivée à Césarée de Philippe. Et donc il est parfaitement cohérent de penser que si le voyage aller put se faire à une certaine allure ( 17km/jour ), le retour dut se faire avec beaucoup plus de précautions ( environ 12,5 km/jour), car Jeanne crachait le sang. Ce qui crève les chevaux, c'est : - le soleil ardent associé à la durée du trajet ( et non pas forcément à sa longueur ) - l'escarpement du terrain, les côtes à monter en tirant, les descentes où il faut retenir la charge, ce qui est plus pénible à faible lentement qu'à vive allure. Or il devait y avoir sur ce trajet un large quotas de montées et de descentes. Mon analyse de l'action est pleinement compatible avec le texte, la géographie et le contexte. La votre est volontairement la pire envisageable, afin de pouvoir discréditer l'EMV, sans même envisager la possibilité d'une autre interprétation. 4 ) "Quand on fait tout pour aller plus vite, c'est pas cohérent d'aller moins vite". EXIT DONC LA MALADE ! Elle n'avait qu'à crever. Encore une fois : "aller plus vite" peut être une façon de dire "atteindre plus vite la destination". 5 ) Votre hypothèse d'un voyage 20h/24 est fausse, et on ne peut plus grotesque. Elle ne repose sur aucun élément probant du texte. Vous prenez Jonathas pour un tortionnaire, alors qu'il accompagne une malade qui a un grand besoin de repos, et qui doit donc multiplier les pauses forcées. Dans les intervales de temps où ils pouvaient voyager, Jonathas malmena les chevaux en prolongeant au maximum le temps de voyage. Reprenez tous les paramètres de mon hypothèse, qui est d'abord celle de JF Lavère, et si vous êtes un tant soit peu honnête vous verrez que tout colle parfaitement. 6 ) Quand on dit d'une part "la neuvième heure" , et d'autre part "l'heure de none", il est évident qu'on parle en deux systèmes de comptage distincts. Sinon, Jonathas n'aurait pas dit "l'heure de none", mais également : "la neuvième heure". Ce langage est une adaptation, afin que le lecteur non averti n'en soit pas perturbé, et rien de plus. Il ne s'agit donc pas d'une grossière erreur. Votre objection est recalée.
@@SalveRegina225 Bof, on peut imaginer des mini pauses mais au final ça fera quand même 18 ou 19 heures sur 24, sinon ce serait une fausse information que nous donnerait là Jonathas, qui précise qu'ils ne se reposaient QUE pendant ce créneau (qui ne contient d'ailleurs pas les heures les plus chaudes, donc ils voyageaient en plein cagnard). Et ils n'ont pas atteint plus rapidement la destination puisqu'ils ont mis plus de jours qu'à l'aller. D'ailleurs "aller plus vite" signifie "se déplacer plus vite". Vous confondez avec "arriver plus vite". On a donc plusieurs incohérences : 1) Ils ont mis plus de temps au retour qu'à l'aller, alors qu'ils ont crevé les chevaux pour aller plus vite. 2) C'est complètement irréaliste de parcourir moins de 15 km par jour quand on voyage 18 h par jour avec une charrette tirée par des chevaux, même s'il y a des montées et des descentes et qu'il fait très chaud. 3) "La neuvième heure" n'est pas une façon de parler moderne, c'est au contraire la façon de compter des temps antiques. Ça ne peut pas signifier "neuf heures du matin", même s'il y a un synonyme dans la même phrase. C'est donc une erreur.
Pour Dieu, le péché est le péché. Il n'y a pas pour Lui d'un côté : "le péché qui compte pour du beurre" - celui qui ne l'offenserait pas ( !!! ) - et le péché mortel - le seul qui l'offenserait vraiment ( !!! ). Bien sûr, il y a des saints comme Thérèse de Lisieux, qui ont commis très peu de péchés, et semble-t-il aucun péché mortel. Mais si cette distinction est importante du côté de l'homme - car notamment, on ne peut pas communier en état de péché mortel, alors que la sainte Communion efface les péchés veniels dont nous nous repentons ( et c'est donc important pour nous de connaître cette distinction et de s'y plier ), du côté de Dieu, même le plus petit péché l'offense d'autant plus gravement que son Amour et sa pureté à Lui sont infinis. Si vous offensez modérément quelqu'un de vulgaire, il est possible qu'il ne s'en apercoive même pas.... Mais si vous faites la même offense à quelqu'un dont la sensibilité et la pureté sont infinies, alors cette offense devient elle-aussi infinie, en quelque sorte. Par exemple, ce n'est pas du tout la même gravité d'offense d'injurier un ennemi qui vous provoque en duel, et d'injurier de la même façon un petit enfant qui passe en vous souriant, je crois qu'il n'est pas besoin d'avoir bac + 25 pour le comprendre. Mais le Seigneur sait que nous savons faire ce genre de distinctions. Si Dieu n'était pas dans les créatures, avec son signe ineffacable, avec ses droits de Père, d'Epoux, de Roi, si l'âme n'était pas son trône, et le corps son Temple, alors il faudrait dire qu'il n'y a plus de différence entre l'homme et l'animal. Et dans ce cas, il serait par exemple permis de tuer sans aucun scrupule toute personne du moment qu'elle ne serait pas baptisée. Or Dieu n'a jamais commandé : "Tu ne tueras pas ceux de ton peuple que J'ai choisis", mais "Tu ne tueras pas." Et s'il est vrai, comme nous le dit sainte Thérèse au début de son autobiographie, que même le pauvre homme "sauvage" obtiendra justice auprès de Dieu, c'est bien que s'il obéit à sa conscience en etant bon pour autrui, il pourra, en des conditions connues de Dieu seul, obtenir un baptême de désir et être sauvé ? Et qu'est-ce qu'est donc la conscience, sinon ce premier degré de demeurance de Dieu en tout homme, non suffisant cependant depuis la chute pour en faire d'emblée son Fils, mais suffisant pour lui en donner le désir ? "Celui qui n'aime pas Dieu qui est parfait, ne pourra pas non plus aimer son prochain qui a des défauts." Est-ce que ce n'est peut-être pas : - exactement ce que nous constatons en ce triste monde, parmi ceux qui ne daignent même pas se tourner parfois vers Dieu, du fond de leur matérialisme effréné ? Ces gens peuvent-ils faire le plus ( aimer leur prochain malgré ses défauts) , quand ils n'ont même pas réussi à faire le plus facile ( aimer Dieu qui est infiniment bon, infiniment aimable ) ? Tout ce que ces gens savent faire, c'est de consommer autrui avant de le jeter comme un vieux cleanex usagé, n'est-ce pas tout le drame de la banalisation des divorces ? De la violence conjugale ? De l'avortement ?... - c'est egalement ce que dit saint Jean dans son épître, car pour lui, si quelqu'un aime authentiquement Dieu de tout son coeur, alors c'est lui qui aura la force d'aimer son prochain malgré ses défauts. Aimer Dieu est en effet non seulement facile et désirable, mais cela donne la force de tout surmonter, de tout supporter avec douceur. Mais qu'avons-nous donc à "supporter de la part de Dieu" qui ne nous offense jamais ? Qui peut dire en vérité qu'il ne peut pas aimer Dieu car "Celui-ci n'a jamais fait attention à lui", ou bien l'a trompé en quoi que ce soit ? Personne. Le signe donc que quelqu'un aime Dieu ( ce qui est le plus facile et la source interieur de la force d'aimer ) , c'est qu'il fait egalement ce qu'il y a de plus difficile : aimer son prochain avec tous ses défauts. Bim. L'EMV a raison comme toujours, et vous avez tort comme toujours. Vous osez bien dire : "Qui n'aime pas Dieu peut très bien aimer son prochain, rien ne l'empêche" !!!? Cette phrase est monstrueuse. Elle revient à dire : "Celui qui se coupe volontairement de l'Amour peut très bien aimer par soi-même, en étant sa propre source. Or : même "ceux qui aiment ceux qui les aiment" comme dit Jésus - et "qui ne font en cela rien d'extraordinaire" - ne peuvent le faire que dans la mesure où ils aiment Dieu. Ils ne sont pas de grands saints héroïques pour autant, mais au moins, ils ne sont pas comme la bête autrichienne de 1933 : incapable d'aimer qui que ce soit, faute d'avoir eu en lui le moindre reste d'amour pour le Créateur. Pardon, l'ami : vous n'avez pas saisie la métaphore valorisante du Christ vis-à-vis de sa créature qui, pour rivaliser avec les poissons les plus rapides, a réussi à se construire des bolides en fait de bateaux ? Qui pour rivaliser avec l'oiseau, a réussi à découvrir comment voler comme lui dans les airs à l'aide d'un avion ? Êtes-vous donc obtu à ce point ? Ne daignez-vous jamais laisser un sage employer un langage de sagesse, qui soit quelque peu différent de votre rationalité sèche et stérile ?
1 ) En écrivant que Dieu "ne fait pas de différence entre péché et péché mortel", Valtorta incite à croire qu'on peut perdre l'état de grâce à cause d'un péché véniel ; ou bien qu'on n'a pas besoin de confesser tous ses péchés mortels, du moment qu'on s'en repent. Bref, ça peut induire les ignorants à faire des confusions dangereuses. En outre, il est bien évident qu'un péché grave comme la torture d'enfants afflige davantage Dieu qu'un petit bobard, par exemple. Par conséquent, la punition due au péché ne sera pas la même, selon la gravité du péché. 2 ) Le Jésus de Valtorta semble faire référence à la doctrine de l'inhabitation de la Sainte Trinité dans l'âme puisqu'il dit "l'âme est son trône, le corps est son temple". Ce privilège est normalement réservé aux baptisés en état de grâce. Le péché mortel prive l'âme de la grâce sanctifiante et de la présence divine. 3 ) "Celui qui n'aime pas Dieu ne peut pas aimer le prochain". Oui c'est aberrant, car il n'est pas question ici d'aimer "à la perfection" ni "jusqu'à la fin", mais d'aimer "tout court", point barre. Or il est bien évident qu'il y a des tas de gens sur terre qui s'aiment beaucoup, bien qu'ils ne croient pas en Dieu. Nul besoin, donc, de connaître ni d'aimer Dieu pour aimer son prochain. Quand on aime Dieu, on peut plus facilement et plus parfaitement aimer son prochain, bien entendu, mais à la base c'est pas indispensable. 4 ) "L'homme est si agile qu'il rivalise avec l'oiseau, et si rapide à la nage qu'on dirait un poisson". Il est évidemment question ici des capacités naturelles de l'homme, et non de ses performances améliorées par des machines. Je vous rappelle que le Jésus de Valtorta s'adresse dans EMV 126.2 à des contemporains du premier siècle. Il s'agit donc bien d'une bêtise lamentable.
@@jawatusken 1 ) C'est précisément l'inverse que ce que vous insinuez : l'EMV incite le pécheur à ne pas se rassurer indûment sur le fait qu'il n'a "pas beaucoup offensé le Bon Dieu", puisque ses péchés ne seraient que veniels. Globalement, je pense que vous êtes suffisamment intelligent pour comprendre la parfaite conformité de l'EMV avec la doctrine catholique, c'est uniquement votre parti pris de départ qui vous en empêche. 2 ) Que ce temple et ce trône soient consacrés ou non par le baptême, Dieu a bien créé l'âme pour être son trône, et le corps pour être son temple, aucun état extérieur, même deviant au niveau religieux, ne peut totalelent l'effacer. L'homme, quelles que soient ses errances, appartient à Celui qui l'a créé, et Ce Dernier fait tout ce qui est en son pouvoir pour s'en conserver le titre de propriété : ce qui peut se faire sans le baptême sacramentel, dans certains cas le seul baptême de désir suffit. 3 ) Vous l'avouez très bien vous-même : certains s'aiment vraiment sans CROIRE en Dieu. Cependant, s'ils aiment vraiment leur prochain ( comme l'un de ces aborigènes auquel pensait sainte Thérèse de l'Enfant Jésus), c'est forcément que sciemment ou non, ils aiment Dieu, qui est la Source et l'Origine de tout amour ici-bas. Vous faites de plus une grossière erreur de logique. En effet : saint Jean l'évangéliste dit bien dans son épître : "Si quelqu'un dit qu'il aime Dieu alors qu'il n'aime pas son prochain : c'est un menteur, et la vérité n'est pas en lui." ( 1 Jean 4,20 ). Ce qui montre bien que : - si quelqu'un aime vraiment Dieu, alors nécessairement il aimera aussi son prochain ( ce que dit Jésus dans l'EMV ) - et que si par contre il n'aime pas Dieu en vérité ( quoi qu'il puisse prétendre par ailleurs ) , alors il est normal qu'il ne puisse pas non plus aimer son frère ( ce que dit Jésus dans l'EMV ). Le passage que vous condamnez comme faux dans l'EMV est donc une simple redite de 1 Jean 4, et c'est donc saint Jean Lui-même que vous condamnez comme faux. Évidemment, il ne s'agit pas ici d' "aimer" au sens large : alors, même un lezard peut aimer une mouche, ou le soleil. Il ne s'agit bien évidemment pas de cet "amour" ici. Votre objection est retoquée. 4 ) Il s'agit ici d'un langage métaphorique de sagesse, et non bien évidemment d'une comparaison formel de l'homme avec les oiseaux ou bien les poissons, les lecteurs de 7 à 99 ans l'auront tous très bien compris d'eux-mêmes. De plus, qui sait comment sautait et nageait Adam, lorsqu'il était en pleine possession de ses moyens physiques, avant la chute ? Et on est forcé d'avouer que ses descendants ont de beaux restes. Désolé : il n'y a ici aucune incongruité à relever.
@@SalveRegina225 1) Dire qu'il n'y a "pas de différence", c'est faire une confusion. C'est même déclarer quelque chose de directement faux, puisque Dieu et l'Eglise font bien la différence entre péché véniel et péché mortel. 2) Le Jésus de MV ne dit pas seulement que l'âme est son trône mais d'abord que "Dieu est dans les créatures", sans distinction. Ça revient à transformer la doctrine catholique en une doctrine panthéiste. 3) Certains s'aiment sans croire en Dieu, et sont même athées jusqu'à la moelle, c'est-à-dire qu'ils rejettent toute idée de Dieu et sont parfois anticléricaux. Donc ne me dites pas qu'ils aiment Dieu sans le savoir. Il y a beaucoup de gens qui n'aiment pas l'Eglise et qui détestent les prières, les messes et toutes les sortes de bondieuseries, et qui pourtant aiment leur prochain. L'extrapolation que vous faites à partir de la citation de Saint Jean est un sophisme du genre : "celui qui n'aime pas les étrangers n'aime pas les nigériens, donc celui qui n'aime pas les nigériens n'aime aucun étranger." Et dans le cas qui nous intéresse, le Jésus de Valtorta parle d'aimer, sans précision, ça veut donc dire : peu importe le degré. Quand il dit que si on n'aime pas Dieu on ne peut certainement pas aimer le prochain, ça veut dire qu'on ne peut pas aimer le prochain ne serait-ce qu'un peu. Ce qui est absurde. 4) Donc si je dis : "l'homme est si costaud qu'il rivalise avec l'ours, et ses dents sont si acérées qu'on dirait un requin", vous trouverez sans doute que c'est là un langage métaphorique de sagesse.
@@jawatusken 1 ) Continuez à ne pas comprendre, votre erreur est pertinace : Dieu n'est pas le sujet de la Loi, c'est l'homme qui doit s'y soumettre. Par exemple : c'est à l'homme et à lui seul qu'il est dit : "Tu ne tueras pas". Dieu, Lui, est Maître de la vie et de la mort, tout ce qu'il fait est juste et bon, et s'Il veut que demain quelqu'un lui rende son âme, qui pourra l'accuser de l'avoir tué ? Ses actes sont infiniment élevés au-dessus des nôtres, ses pensées également. Donc, si de notre côté, il nous est commandé de nous préserver au moins du péché mortel pour pouvoir communier ( ce qui implique que nous comme Dieu sachions faire cette distinction ), du côté purement de Dieu, comme je vous l'ai déjà expliqué et comme vous ne l'avez toujours pas compris car vous n'êtes pas théologien, le péché, c'est l'offense à son infinie Majesté, son infinie Bonté, et même la plus petite faute est une offense infinie, car elle blesse son Amour sans limite : c'est pourquoi les grands saints se confessent, non pas de moins en moins comme les pécheurs enténébrés, mais de plus en plus, chaque jour s'ils le peuvent, car ils comprennent de plus en plus la gravité des petites offenses, et craignent d'offenser par elles le Bon Dieu. Je ne m'attends pas à ce que vous le compreniez, car cela invaliderait votre critique acerbe de l'EMV, or vous semblez vivre pour cela... Un esprit occidental cartésien ne peut pas comprendre qu'on puisse considérer un même sujet de deux points de vue apparemment opposés. Alors qu'un esprit oriental l'accepte sans difficulté : il sait qu'on peut voir une même montagne par deux versants différents et complémentaires. 2 ) L'EMV ne délivre pas un message en une phrase, comme : "Dieu est dans les créatures". Son message est infiniment plus complet, encore faudrait-il faire ce que visiblement vous n'avez pas fait : lire cette œuvre de bout en bout. Mais si vous vous contentez d'en sortir ainsi des petits tronçons sans plus de réflexion, vous en arrivez aux contre-sens que vous insinuez. Mais à ce jeu là, on peut discréditer l'Évangile en deux phrases ! " Et Judas alla se pendre." " Va, et toi aussi, fais de même ! " 3 ) Vous butez sur la Pierre d'angle, qui est le message même de tout l'Evangile : l'Amour. Il est burlesque de penser que Dieu se serait incarné pour nous prêcher autre chose que le véritable amour de charité, celui que seul Dieu peut inspirer aux hommes par grâce. C'est vous seul qui extrapolez en prétextant que Jésus parle également sans distinction de l'amour qui se trouve chez les athées : cet amour n'a rien de méritoire s'il ne trouve pas sa source en Dieu, au moins de manière cachée. La plupart du temps, lorsque quelqu'un n'aime vraiment pas Dieu ( et seul Dieu peut savoir ce genre de secret ) , son "amour" du prochain est purement naturel, et ne mérite aucune récompense. Ce n'est pas pour nous parler de cet amour que Dieu a pris la peine de s'incarner. Votre exemple est un bide total, puisqu'il n'y a aucune différence de nature entre les nigeriens d'une part, et les étrangers d'autre part ! Et je ne vois pas que ce soit spécialement "l'amour des nigeriens" qui soit Source de l'Amour pour les étrangers. Aucun rapport avec ce que prêche saint Jean, distinguant deux amours dont l'Un est clairement la Source de l'autre, car il est plus élevé : l'amour de Dieu, et l'amour du prochain. Mais si vous niez saint Jean et le fait que l'amour pour Dieu soit bien la Source de tout autre amour authentique sur terre, alors c'est votre problème. 4 ) Il ne reste pas à Adam les forces qu'il avait avant la chute, et il est assez vain d'essayer de se les figurer. Cependant : le saut, la course, la nage, je ne sais pas si vous l'ignorez et dans ce cas je suis ravi de vous l'apprendre, sont toutes des disciplines olympiques. Et je ne pense pas spécialement que le Bon Dieu puisse l'ignorer, vu qu'Il est quand même un tout petit peu notre Créateur.
@@SalveRegina225 1) Je ne peux que vous conseiller de retourner aux cours de catéchisme, et d'annoncer à un prêtre que Dieu ne fait pas de différence entre péché véniel et péché mortel, et vous verrez bien ce qu'il vous répondra. 2) Vous ne pouvez pas vous servir du contexte pour défendre cette bêtise du Jésus de Valtorta ("Dieu est dans les créatures"), car le contexte appuie justement l'idée d'une présence spirituelle divine dans toutes les créatures sans distinction. 3) Encore une fois, le Jésus de Valtorta ne dit pas "aimer surnaturellement" ni "aimer de façon méritoire" mais "aimer" tout court. Il oublie donc de faire une nuance (et de taille !) dans sa petite phrase "celui qui...", et ce faisant, il dit... une absurdité. L'exemple des nigériens ne servait qu'à montrer le genre de faux raisonnement que vous faites. J'aurais pu me contenter de dire : "c'est pas parce que ça marche dans un sens que ça marche forcément dans l'autre sens." 4) Je me répète encore mais, dans le discours du Jésus de Valtorta, il ne s'agit pas d'Adam mais de l'homme en général. Ensuite, le saut et la course à pied ont beau être des disciplines olympiques, si je dis que l'homme saute si bien qu'il rivalise avec le springbok, ou qu'il est si rapide à la course à pied qu'on dirait un guépard, vous allez me prendre pour un abruti. Ben c'est pareil pour moi avec le faux Jésus de Valtorta.
J'avoue n'avoir jamais connu les évangiles autrement que par la Messe. Depuis quatre ans que je lis Maria Valtorta, j'ai appris à connaitre Jésus et aimer la sainte Eglise catholique comme jamais auparavant, ainsi que ma femme et mes enfants. Nous sommes devenus petit à petit au fil des chapitres beaucoup plus attentifs et assidus aux sacrements de l'Eglise catholique et nous sommes apparemment si nombreux ! : des conversions profondes et irréversibles. Quels bons fruits du Saint-Esprit ! Satan serait il donc devenu le plus grand apôtre de Jésus Christ, lui qui ramènerait tant de gens à la belle foi catholique, à l''encontre de ses propres intérêts diaboliques ? C'est stupide. Ces vidéos et ces critiques sont justes incohérentes. Les pauvres détracteurs qui ne se sont pas convertis à l'Amour du Christ en lisant ce magnifique évangile qu'est l'EMV ne sont ils tout simplement pas ceux qui sont complètement dans l'erreur et si bien trompés par leur propre intelligence malveillante ? C'est plutôt cette version qui ressemblerait à la manière donc le grand Orgueilleux réussit à tromper les "superbes" justement là par où ils pèchent. Parceque çà, pour le coup, c'est indiscutablement dans les quatre Evangiles, au sujet des "savants" et des orgueilleux. A bon entendeur... du Magnificat de la Sainte Vierge Marie qui rabaisse les superbes détracteurs et élève les humbles lecteurs de Maria Valtorta. Il n'y a pas à hésiter pas une seconde : lisez Maria Valtorta et découvrez la bonne odeur de Jésus Christ !
C'est justement parce que vous ne connaissez pas bien les évangiles que vous avez été berné par Maria Valtorta, sinon vous auriez vu tout de suite que le chapitre 47 de l'EMV n'est pas compatible avec le chapitre 1 de l'évangile de Saint Jean. Et le B.A-BA de l'humilité, quand on est catholique, c'est de s'en remettre au jugement de l'Eglise. Or l'Eglise a refusé de donner l'imprimatur puis, lorsque les promoteurs de l'œuvre l'ont publiée malgré tout, l'Eglise l'a mise à l'index (pour désobéissance grave, mais aussi pour d'autres raisons spécifiées dans un article de l'Osservatore romano du 6 janvier 1960, qu'on peut lire en Annexe 1 du livre de René Gounon, pages 62-63).
@@jawatusken Bien sûr qu'il y a quelqu'un qui ne connaît rien aux Evangiles ici, et c'est vous, l'ami. Il y a une caractéristique commune aux quatre Evangiles canoniques, c'est qu'ils sont compendieux, c'est-à-dire qu'ils ignorent volontairement une multitude de détails, opèrent une multitude de simplifications par rapport au récit exhaustif de la Vie de Jésus. Car leur but à eux n'est pas d'être exhaustifs, mais de tout rapporter dans les grandes lignes, afin que par ce moyen, la foi en Jésus-Christ puisse être transmise. Le chapitre 47 de l'EMV est compatible avec Jean 1, et Jésus explique Lui-même comment dans l'oeuvre.
« Satan serait il donc devenu le plus grand apôtre de Jésus Christ » Vous êtes littéralement en train de dire que Maria Valtorta est la plus grande apôtre de Jésus. 🤨 Son œuvre de fiction profane peut certainement aider des gens, soit. Cependant, les seules lectures absolument nécessaires sont les Évangiles du Nouveau Testament. Maria ne fait certainement pas partie des plus grands apôtres ; il suffit de voir comment la foi chrétienne s'est propagée dans l'histoire pour le savoir, et Maria ne représente même pas 0.01% de tout cela (et encore je suis gentil). J'ajouterais que, si son œuvre vient vraiment de Dieu, c'est inquiétant. Car le Dieu de Maria n'est certainement pas le Dieu que Jésus nous a révélé. Il suffit simplement de lire le "Carnets de dictée du 23 décembre 1948, à 11 heures." pour comprendre. C'est dans ce carnet que Maria prétend recevoir du "Père Éternel" un long message destiné à Pie XII, qu'elle s'engage à lui transmettre. Dans cette lettre, le "Père Éternel" va jusqu'à menacer le Pape du "sort de Pilate" s'il ne se soumet pas et n'édite pas l'œuvre de Maria. Ceux qui liront (cet "dictée") comprendront. Pie XII a lu, et il a compris. Il a compris que tout cela n'était pas crédible, et s'il avait eu quelques doutes auparavant, il n'en a plus. Malgré la réception de ce message menaçant pour son salut éternel, il n'a rien fait pour imposer la publication de l'œuvre. Ceci n'est pas une blague, allez lire cette dictée...
@@jawatuskenDonc selon vous, l'humilité consisterait par obéissance au "jugement de l'Eglise" (en fait d'un certain prélat autonome d'une époque) à refuser de lire "1984" d'Orwel, mais aussi Balsac, Faubert, Zola, Copernic, ...mais encore le petit journal de Ste Faustine (canonisée et qualifiée par Jésus de secrétaire de sa Miséricorde), et aussi de Padre Pio condamné durant 10 ans au silence et à des messes sans public et qualifié par sa "sainte hiérarchie" de mystificateur à cause de ses stigmates soit disant auto mutilés...(et j'en passe...) C'est de ce "jugement très sûr de l'Eglise" que vous vous référez pour rejeter les écrits de Maria Valtorta pourtant vérifiés par des théologiens reconnus et recommandés par des papes et des saints canonisés ? C'est bien cela votre jugement très sûr et très humble ?...
"TU AS BIEN FAIS DE T'ABSTENIR DE PÊCHER LA NUIT DERNIÈRE, CAR LE SABBAT N'ÉTAIT PAS ENCORE FINI" : serait-ce là "la boulette" qui ENFIN décrédibiliserait l'EMV ? Ben non, voyons, certainement pas. Cher monsieur, vous nous faites méticuleusement toute une analyse de la situation, mais était-ce bien nécessaire ? : - 1er soir : vendredi, Pierre s'abstient de pécher car c'est le Sabbat. - 2e jour, samedi : c'est encore le Sabbat jusqu'au soir. Puis Jésus et Pierre se mettent en marche pour arriver le lendemain matin près des autes disciples, donc le dimanche. - Jésus prend la parole, et introduit son sermon en évoquant le fait que Pierre se soit avec raison abstenu de pêcher "la nuit dernière". Bingo ! Oh la boulette ! "La nuit dernière", c'était samedi soir, et non pas le Sabbat : nous pouvons enfin nous en rendre compte grâce à votre remarquable sens de l'observation, car jusque là, ce détail saugrenu avait échappé à tous les fins limiers pour ou contre l'EMV ! Le samedi soir : C'ÉTAIT PERMIS DE PÊCHER ! Bravo, félicitations ! Vous vous êtes fait la peau de l'oeuvre, youpi !!! Ah oui... ah oui mais non ... Mince, caramba, encore raté sur ce coup là, décidément... pas de chance pour vous : je compatis. Exemples : - "Tu te souviens de la dernière fois où nous avons mangé ensemble ? " - "Ce dernier jour, tu te souviens de ceci ?" - " Te souviens-tu de cette dernière nuit où tu me disais ceci... ? " Dans ces trois exemples, "dernier" ne fait pas spécialement référence au "jour(nuit) précédent(e)", c'est simplement l'évocation d'un fait survenu auparavant, "la dernière fois", "ce(tte) dernier(e) jour(nuit)". Mais pas forcément LA VEILLE. Et ici, c'est exactement en ce sens que Jésus emploie les termes "cette nuit dernière" : en effet, Pierre n'a évoqué qu'une et une seule nuit où il s'est volontairement abstenu de pêcher pour respecter le Sabbat : la nuit du VENDREDI SOIR. Et donc lorsque Jésus évoque "la nuit dernière", c'est bien évidemment à cette nuit qu'il fait référence, et non à celle de la veille : "cette nuit dernière, celle dont tu m'as parlée, Pierre". Non pas la nuit PRÉCÉDENTE ( du samedi au dimanche ), mais "la nuit dernière", celle dont Pierre avait parlé à Jésus, CELLE DU VENDREDI AU SAMEDI, DURANT LE SABBAT. Cher monsieur, votre objection est recalée, comme toutes les précédentes. Bien cordialement.
"La nuit dernière" ça signifie toujours "la nuit qui vient de s'écouler" (c'est-à-dire celle qui précède immédiatement le jour où l'on parle au moment présent), car l'adjectif est placé après le mot "nuit", et non avant. Cela relève de la sémantique la plus élémentaire.
@@jawatusken Pardon, mais c'est amusant de vous entendre parler comme si vous aviez le pouvoir de définir vous-même toute chose : en réalité, comme je vous l'avais déjà dit, vous préféreriez vous faire arracher une dent, plutôt que de renoncer à votre accusation sans queue ni tête, qui est un peu "votre bébé", la prunelle de vos yeux, le gage de votre future et tant espérée célébrité... Et si on consent à redescendre deux secondes sur terre, "la nuit dernière" peut avoir plusieurs significations suivant le contexte : 1 ) Ce que vous dites, c'est-à-dire la nuit qui précède immédiatement le jour où l'on parle 2 ) la nuit dernière, c'est-à-dire "cette nuit dernière dont tu me parlais" : et c'est bien ici le sens à retenir, puisque Pierre n'a parlé à Jésus que de la nuit "dernière" du vendredi au samedi, qui est bien LA nuit sabbatique. Non, franchement, vous devriez lâcher l'affaire, votre argument ne tient pas la route, le bien fondé de ce passage est évident. Cordialement.
@@SalveRegina225 C'est pas moi qui décide du sens, c'est juste un principe de linguistique. C'est un peu le même principe avec "l'année dernière" : c'est l'année précédente par rapport à celle où l'on parle. Cela ne peut pas vouloir dire "la dernière année dont tu me parlais". En plus, le Jésus de Valtorta n'a pas parlé à Pierre de la nuit du sabbat avant cette phrase, et Pierre disait juste qu'il allait pêcher "cette nuit" (celle qui s'apprêtait à tomber).
@@jawatusken Votre esprit procédurier vient de trouver dans ses ressources linguistiques ce qui pourrait vous permettre encore de faire survivre coûte que coûte votre objection, mais elle est bel et bien recalée : ce n'est pas en effet l'exception qui annule la règle ! Quand on parle de "l'année dernière", effectivement c'est toujours de l'année précédente dont il s'agit, car l'année est une longue durée. Mais "la fois dernière", ou "ce jour dernier", que vous ayez ou non décidé du contraire, peut avoir plusieurs sens en fonction du contexte. Votre insistance est risible : il s'agit ici de manière obvie de "la nuit dernière : celle dont tu m'avais parlée, Pierre, en me signalant ne pas avoir pécher". C'est d'autant plus clair que Jésus n'aurait pas parlé publiquement à Pierre d'une nuit ( celle du samedi au dimanche) dont il ne fut jamais question entre eux. En évoquant "une nuit dernière où Pierre n'avait pas été pécher", Jésus a un propos entendu, qui sous entend que le sujet a déjà été abordé entre Lui et Pierre : or nous le savons, ils n'ont parlé ensemble QUE de la nuit du vendredi au samedi, c'est donc bien d'elle dont ils parlent. Vous avez juste un petit problème de logique. Objection recalée.
@@SalveRegina225 "la nuit dernière" ça fonctionne pareil que pour "l'année dernière". Allez donc demander à un prof de français ! Par ailleurs, le Jésus de Valtorta n'a jamais parlé de la nuit du sabbat à Pierre avant de prononcer cette phrase : "tu as bien fait de ne pas pêcher la nuit dernière". Il ne peut donc pas faire référence à une nuit dont il n'a pas parlé auparavant. Vous avez donc doublement tort.
Le péché originel : un péché sexuel, dans Maria Valtorta ? Rendre un ton ridicule comme vous le faites pour lire l'œuvre ne nuit pas à celle-ci, mais seulement à vous-même et à votre compréhension personnelle. Je pourrais tout aussi bien lire à voix haute l'un de vos articles sur un pareil ton, pour que l'auditoire pense par principe qu'il est bourré d'incohérences, c'est assez facile, et cela évite la rude tâche.... de réfléchir. Mais passons au fait incriminé : Le péché originel serait décrit dans l'EMV comme un simple péché sexuel ! " Bingo, ça y est, cette fois c'est la bonne ! Jamais l'oeuvre ne pourra s'en relever, cette fois :))) touchée, coulée, yesss !!! " Ah oui, sauf que non, en fait... " Oh non, mince, quoi encore !?? J'ai pas tout bon, là ?? Ça devient énervant, vos contre arguments à la noix ! Zut à la fin !! " Ben non. En fait, sans vouloir du tout vous offenser : ... vous avez tout faux. Et voilà pourquoi. Vous ne vous êtes même pas demandé quel était le sujet, ici : cela vous aurait évité ainsi qu'à Gounon cette attaque si déplacée. De quoi est-il question précisément, dans le passage que vous lisez sur ce ton tellement "déglingo" ? Réponse : de la sexualité. Et des conséquence de la chute originelle sur la sexualité humaine. C'est le sujet abordé par le Christ ici, et non le péché originel en tant que tel : ce sujet est abordé ailleurs, et je peux même vous le citer, dans le commentaire de l'épître aux Romains. Il est évident pour tous le monde que le péché originel a eu notamment pour conséquence un profond dérèglement de la sexualité chez l'homme et la femme, et en cela l'EMV n'apporte aucune nouveauté, quoi que vous vouliez le laisser entendre. Et si nos sens sont flattés par les tentations de l'Ennemi qui veut nous pousser à la luxure, combien d'avantage cela fut vrai dans le cas d'Eve, la malheureuse tombée par orgueil ! Le Seigneur sait très bien ici, et donc Il présuppose que nous connaissons la Bible et en particulier la Genèse, et c'est pour cette raison qu'il ne redit pas tout le détail du dialogue qui s'instaura entre Eve et le serpent. Et puisque le sujet abordé ici par Jésus avec une rare franchise est la sexualité, pourquoi s'en offenser comme s'Il faisait l'amalgame entre la sexualité d'une part, et le péché originel d'autre part ? C'est l'absurdité de votre commentaire. Vous accusez le Christ de parler de la sexualité humaine blessée par le péché ( oh là là là là, oooooh c'est pas possiiiible, mais quel scandaaale !! Mais Dieu ne peut pas parler de celaaa !! - ben si...), en déformant la perspective de ce discours, qui n'est pas ici de nous parler du péché originel en général. Ainsi, l'objet de votre accusation est inexistant, mais vous faites comme si de rien n'était, peut-être pour mieux vous flatter de savoir dire ( quelle sagesse hors du commun ! ) que le péché originel est d'abord une faute d'orgueil, qui consista pour Adam et Ève à vouloir se faire égal à Dieu et se passer de Lui. Mais peu vous importe finalement d'accuser à tort : du moment que cela alimente votre machination contre cette oeuvre de Dieu, le reste vous importe peu. "Accusons, accusons, il en restera toujours quelque-chose"... Oui mais voilà. On ne dit pas n'importe quoi sur les oeuvres de Dieu. Cela ne se fait pas, cher monsieur. Voilà ce que dit l'EMV du péché originel, en parfaite harmonie avec la doctrine catholique : Leçon no 23, Commentaire de l'épître de saint Paul aux Romains : Le premier acte contre l'amour a été commis par l'orgueil, la désobéissance, la méfiance, le doute, la rébellion et la concupiscence spirituelle. En dernier, il a été achevé par la concupiscence de la chair. J'ai bien dit: en dernier. Plusieurs pensent le contraire : que l'acte de concupiscence de la chair ait été le premier. Non. Dieu est ordre en toutes choses. Même dans ses rapports avec la loi divine, l'homme a péché premièrement contre Dieu. Il a voulu être semblable à Dieu. Il a voulu être "dieu" dans la connaissance du Bien et du Mal. Il a voulu une liberté d'agir absolue, donc illicite. Il a voulu la liberté d'agir selon son bon vouloir et plaisir, contre tout conseil ou prescription divine. Deuxièmement, il a péché contre l'amour. Il s'est aimé de façon abusive, en niant à Dieu l'amour révérenciel qui lui revient, en mettant son propre moi à la place de Dieu, et en témoignant de la haine pour son prochain à venir: à sa propre race il a transmis l'héritage de la faute et de la condamnation. En dernier lieu, il a péché contre sa dignité de créature royale, créature qui avait reçu le don de la parfaite maîtrise sur ses propres sens. Le péché de la chair ne pouvait pas avoir lieu tant que l'état de Grâce et les autres états conséquents étaient encore présents et actifs. Tant que persistait l'innocence, et donc la domination de la raison sur les sens, la tentation sensuelle aurait pu survenir, mais l'homme n'aurait pas consommé la faute sensuelle. maria.valtorta.free.fr/Romains7.htm Votre objection est donc retoquée : l'EMV est ( malheureusement pour vous ? ) totalement conforme à la doctrine catholique, comme l'avait bien compris S.S.Pie XII, Mgr Roschini, Mgr Carinci, le bienheureux dom Allegra, et tant d'éminents théologiens. Mais eux, ne mélangeaient pas tout, comme vous et Gounon... Ils savaient faire ce qu'on appelle en terme technique : des distinctions.
Quel plaidoyer pour satan 👏 Il serait peut être bon d'apprendre à lire la parole de Dieu sans la déformer et en demandant le discernement spirituel à Dieu. Les premiers et vrais chrétiens c'est ceux dans le livre des Actes, qui se baptisaient au nom de Jésus par immersion, avec repentance. Qui chassez les démons, guérissaient les malades, développaient leurs dons spirituels et qui n'ajoutaient rien à la parole de Dieu qui est complète. Les catholiques sont arrivés après avec Constantin qui s'est fait passer pour un chrétien alors qu'il a mélanger la bible avec les cultes idolâtres romains, sont apparus toutes les traditions anti bibliques, comme le dimanche au lieu du samedi comme jour saint, comme la prière à Marie, la fabrication de statues, chapelet et j'en passe. L'église catholique n'est pas l'église universelle du Christ mais la grande prostituée de l'apocalypse. Une oeuvre démoniaque pour perdre les âmes. Tout comme l'islam. Et tous les sois disant miracles que les catholiques reçoivent, textes, guérisons, images, vierge qui apparaît ou pleure, c'est satan qui se joue de vous pour lier votre âme à lui.
Ce ton était nécessaire pour désacraliser un personnage qui n'est en réalité que le fruit de l'imagination de MV, et non Dieu en personne. Au sujet du péché originel, vous passez à côté du problème. Cet extrait de la leçon N°23 n'est certes pas contraire à la doctrine catholique, mais l'EMV (dont le propre est de prêcher tantôt le faux, tantôt le vrai) contredit et remplace le péché originel tel qu'il est décrit dans la Genèse. En effet, dans l'EMV, Eve devient rapidement avide de luxure (cf EMV 17.5 et 174.9), ce qui n'est pas le cas dans la Bible. En outre, dans la Bible, Eve mange le fruit défendu afin de connaître le biej et le mal "comme Dieu", alors que dans l'EMV Eve mange le fruit défendu pour être libre de procréer à sa guise, et de savourer le plaisir de s'accoupler (cf EMV 17.12). Comment ensuite ne pas rire quand on lit le Jésus de Valtorta prétendant à la fin de l'oeuvre n'avoir "rien ajouté à la Révélation" ?
@@jawatusken Ce ton parfaitement idiot, rendant le sens inaudible et votre exposé forcément biaisé, puisque vous faites la conclusion avant même que l'auditeur n'ait pu analyser par lui-même le sens et être d'accord ou non avec vous ( et ainsi : vous stupidifiez volontairement votre auditeur ) vous dessert particulièrement. " Le fruit de l'imagination de Maria Valtorta", dites-vous ? Voilà qui rend définitivement caduque votre analyse, puisque les faits montrent de manière scientifique qu'il était impossible à Maria Valtorta d'avoir inventer quelques 20 000 détails de tous ordres dans son oeuvre ! Or : soit elle a inventé, soit elle n'a pas inventé, mais cela ne peut pas être les deux en même temps. Vous vous êtes reposé par mégarde sur les conclusions de l'ex saint office qui depuis, se sont avérées être fausses. Pour ce qui est du péché originel, la sainte Eglise a toujours cru ce que l'EMV avance, à savoir que le péché originel ne fut pas pour l'homme et la femme une faute qui se réfugia dans la sphère purement spirituelle, ce qui aurait correspondu alors à la faute, non pas d'une créature incarnée, mais d'une créature angélique. Et en faisant exclusivement référence à Adam et Ève et à leur faute originelle dans le jardin d'Eden, l'Eglise enseigne bien : - que la totalité de la faute fut consommée dans le jardin, avant qu'Adam et Ève soient chassés du Paradis terrestre, - que ce ne fut donc pas simplement "les prémices" de la faute en sa globalité ( prémices qui seraient purement spirituels ) - et que donc il n'y eut aucun autre être humain après la chute et l'exclusion du Paradis terrestre, devant être dénoncé comme "le premier luxurieux", ce qui aurait été le cas si Adam et Ève n'avaient pas également péché de la sorte dans le jardin, ce qui est suggéré par le fait que "EVE DONNA DU FRUIT À SON MARI, ET IL MANGEA". La faute, premièrement d'orgueil, se propagea immédiatement dans les membres des premiers parents dépourvus désormais de l'aide de la Grâce divine, et ils cederent à leurs passions charnelles. Le passage de l'EMV qui parle de la sexualité humaine blessée par la faute est donc bien conforme à celui qui parle avec justesse du péché originel en tant que tel, et conforme à la Genèse. Le seul problème est que vous n'êtes pas théologien : et vous n'avez jamais appris que la Bible est compendieuse, en particulier la Genèse. Ce n'est certainement pas une invention de circonstance de ma part, puisque lorsque Dieu dit : "Que la Lumière soit ! " et la Lumière fut, les Pères voient dans ce passage : la création des anges ( ce qui n'est donc pas dit explicitement). Et lorsque Dieu sépara la Lumière et les ténèbres, ils voient la lutte entre les bons et les mauvais anges qui furent précipités loin de Dieu en enfer ( idem ! ). C'est donc bien que le langage de la Genèse n'est pas entièrement descriptif ( comme peut l'être l'EMV ), mais très largement suggestif, et compendieux, chose encore une fois dont vous ne savez tenir aucunement compte car vous n'êtes pas théologien, et ce qui fausse toute votre analyse.
@@SalveRegina225 Les 20000 détails on s'en fiche puisqu'il suffit d'un détail erroné comme le voyage incohérent de jonathas pour que tout s'écroule. Et puis, vous prenez vos désirs pour la réalité, l'Eglise n'a jamais enseigné que le péché originel avait consisté à commettre tous les types de péchés possibles. Et c'est pas parce que Caïn est présenté comme le premier assassin, que l'Ecriture devait forcément mentionner le number one pour chaque sorte de péché. Eve a donné du fruit de l'arbre à Adam pour qu'il en mange, et vous voyez là-dedans une allusion à quelque chose de sexuel. C'est vraiment tordu, d'autant plus que l'Eglise n'a jamais interprété ce verset dans ce sens-là. Rien ne suggère qu'Adam et Eve cédèrent immédiatement à leurs passions charnelles. C'est même le contraire : lorsqu'ils se rendent compte qu'ils sont nus, ils se cachent, et ensuite ils sont punis et chassés du paradis avant d'avoir pu commettre un quelconque acte sexuel.
@@jawatusken Non, vous affabulez, en niant l'évidence qui vous dérange : vu que plus de 20 000 détails sont absolument : - avérés - hors du champ de connaissance de Maria Valtorta, c'est donc totalement puéril de votre part de considérer que l'EMV puisse être le fruit de l'imagination de Maria Valtorta : car ce n'est tout simplement pas possible. Il faudrait que le hasard en soit responsable : Maria Valtorta aurait dit n'importe quoi, avec 1 chance sur 10 puissance 80 que tout tombe juste, et hop ! comme par magie, cela se serait produit ? C'est rigoureusement impossible. Vous vous laissez aller dans votre mauvaise foi, qui ne peut tromper personne. Il n'y a pas eu de "voyage incohérent de Jonathas" dans l'oeuvre, ni rien d'autre d'incohérent, c'est tout le contraire : chaque déplacement des personnages correspond dans sa durée au nombre de jour qu'il aurait fallu pour l'accomplir, en fonction du mode de déplacement utilisé et des distances mesurées sur le terrain. Tout a été duement vérifié par des spécialistes internationaux, vous vous dépatouillerez donc avec eux. C'est vous qui êtes obnubilé, comme paniqué par le côté sexuel de la faute, et qui voulez à tout prix que cela ne soit pas, sans vraiment nous donner le motif de votre hantise. Vous ne pouvez pas même vous imaginer que la faute d'Adam et d'Eve puisse avoir dégénérer en luxure, et que le fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal puisse symboliser bien plus qu'un simple fruit physique, poussant sur un arbre comme n'importe quelle pomme ou poire. Comme déjà expliqué ailleurs : Jésus aussi est le Fruit de l'arbre de la Croix, mais cela n'implique pas que Jésus était devenu subitement un fruit après avoir été crucifié, sauf de manière symbolique, ni que la croix était elle-aussi subitement devenu un arbre avec branches et racines, sauf de manière symbolique. En rejetant l'interprétation symbolique du récit de la Genèse, vous rejetez par la même occasion toute exégèse solide de ce texte biblique, et toute possibilité d'en accueillir le message de vérité.
Que savez-vous précisément du mode de la sexualité entre Adam et Ève avant la chute ? Réponse : rien de concret. Sinon que : - cette sexualité existait, vu que Dieu créa l'humain homme et femme, avec l'altérité sexuelle présente dès le commencement, et donc déclarée "bonne" par Dieu - que le mode d'exercice de cette sexualité etait dépourvu de toute luxure, de tout péché - et la dernière chose certaine que nous sachions au sujet de la sexualité humaine : c'est que c'est LE domaine par excellence qui a été le plus impacté par la chute originelle dans le péché ( même si ce n'est qu'une consequence de l'orgueil ), que c'est devenu LE domaine d'action par excellence de Satan pour nuire à la race humaine. On sait que toute la création a été très puissamment impactée par la faute, qu'elle a subit les conséquences morales et physiques de la chute originelle : toutes les cartes ont été rebattues, nous ne savons plus du tout nous imaginer ce que pouvait être l'Eden terrestre, la Parole divine le suggère juste en évoquant "l'apparition des epines et des ronces comme fruit de la terre", et en général l'apparition de la penibilité du travail, ainsi que de la mort pour l'homme. Mais si d'incroyables changements dans la création sont à induire, aucun domaine n'a du subir plus d'impact, et donc de changements, que la sexualité humaine ! Vous retorquerez que j'affabule, et vous aurez tort, l'ami. Car par exemples : le fait que la femme doive souffrir intensément désormais, lorsqu'elle doit mettre au monde un enfant, en est seulement la partie émergée. Mais l'iceberg est bien plus grand. Et si vous vouliez appliquer deux secondes votre intelligence au sujet, plutôt que d'imiter assez bien comme vous le faites les intonations du démon ( ce qui me donne l'impression que vous n'êtes en réalité qu'une sorte d'amuseur de vous même, qu'on surnomme généralement un "troll", et non un chercheur de la vérité ), vous concluriez aussi que les règles menstruelles féminines, avec leur cortège d'hémorragies et souvent de dysménorrhées ( douleurs ) ne peut pas correspondre à la condition physiologique féminine d'avant la chute : cette situation correspond de manière évidente au châtiment plus dur infligé à la femme, première à avoir péché et ayant entraîné la chute d'Adam ( sans absence de responsabilité de la part de celui-ci, évidement ). Voilà ce que vous concluriez si seulement vous cherchiez vraiment : la connaissance de la sexualité d'avant la chute est tout simplement hors de portée de notre imagination. Mais est-ce vraiment une surprise ? Adam et Ève, dans leur état de pureté originelle, étaient invulnérables, que ce soit au feu, à l'eau, au froid, à la faim et la soif, et à n'importe quel élément, leurs corps étaient imputrescibles et ne devaient jamais connaître la mort, mais seulement une assention vers une spiritualisation parfaite, et en tout cas sans jamais finir dans la tombe. Est-ce que vous connaissez quelqu'un qui soit en mesure d'imaginer ce que cette condition physique et spirituelle puisse être dans le concret ? Vous n'en trouverez pas un seul. Car notre esprit blessé, embrumé par la faute, est désormais tout simplement inapte à s'imaginer quoi que ce soit à ce sujet. Nous vivons sur terre, et nous sommes incapable de décrire : - ce que sera le Ciel - et ce qu'était le Paradis terrestre, et la condition humaine avant la chute. Votre moquerie des écrits de Maria Valtorta est donc d'une rare stupidité : les éclairages qu'ils nous donne sont volontairement partiels, car nous n'avons pas à tout savoir sur tout ( et c'est ce qui vous frustre vraissemblablement ). Et cependant, vous vous dressez contre, comme quelqu'un qui saurait tout ( ??? ), et surement on le comprend, que Adam et Ève etaient... comme nous ! (???) et consommaient l'acte conjugal.... comme nous ! ( ??? ) dans le mode que nous connaissons ( ??? ) D'où vous sortez cela... on ne le saura jamais : surement de "révélations privées" dont vous cachez au monde l'existence, car elles vous serait exclusivement réservées par le "ciel" ? Plutôt bizarre. Et même : très bizarre. Autant que le ton que vous prenez par pure moquerie, vous êtes franchement louche, je vous le dis carrément. Et en tout les cas, votre discours n'a rien d'un discours théologique, capable de s'opposer de près ou de loin avec l'EMV. "Soyez féconds et multipliez-vous" n'indique en rien l'autonomisation du premier couple vis-à-vis de la Volonté Divine, puisque bien au contraire, on constate que l'homme se soumet sur tous les plans materiels et affectifs à tous les decrets de Dieu, qui veille constamment sur lui comme un Père. Bien au contraire : si c'est Dieu qui ordonne "soyez féconds et multipliez-vous", cela indique que cette action le concerne hautement. Il aurait très bien pu ne rien dire, et penser : "Bon, et bien maintenant laissons-les prendre du bon temps l'un avec l'autre ! Puisque de toute façon, Je ne declarerai la fornication comme etant un péché QUE après la chute ! Pour le moment : forniquez, forniquez mes enfants ! Il n'y a pas de mal à se faire du bien ! " C'est grotesque. Dieu regissait de très prêt tous les actes des hommes, et ceux-ci oneissaient sans aucune peine, puisqu'il s'agissait d'un rapport d'amour infini entre des enfants saints avec leur Père Saint ! Et dans l'amour, il n'y a pas de contrainte. Qu'Adam "quitte son père et sa mère pour ne faire plus qu'une seule chair avec sa femme" équivaut donc pour vous à ce qu'Adam quitte Dieu, et l'obéissance qu'Il lui devait en chacun de ses actes, même les plus intimes ??? Vous êtes sérieux, ou bien vous le faites exprès, de dire de semblables stupidités ? Vous ne pensez même pas que, même devenu l'épouse d'un homme, une femme n'en restait pas moins avant toute chose la créature de Dieu, obéissante à Dieu ? Vous pensez vraiment que Dieu, Celui qui avait créé l'homme, puisse être un trouble-fête s'Il faisait valoir ses droits à gouverner avec justice la vie de ses propres créatures, sans pour autant violer leur liberté ? Vous pensez donc vraiment qu'avant la chute, Adam et Ève obeissaient moins à Dieu leur Père, qu'un moine n'obéit en tout à son superieur dans un monastère ? On a envie de vous demander de vous réveiller de votre sommeil profond, l'ami... Vous dormez, c'est pas possible ! Quelle pauvre idée vous vous faites de l'obéissance !
Voilà ce que dit l'EMV du péché originel, en parfaite harmonie avec la doctrine catholique : Leçon no 23, Commentaire de l'épître de saint Paul aux Romains : Le premier acte contre l'amour a été commis par l'orgueil, la désobéissance, la méfiance, le doute, la rébellion et la concupiscence spirituelle. En dernier, il a été achevé par la concupiscence de la chair. J'ai bien dit: en dernier. Plusieurs pensent le contraire : que l'acte de concupiscence de la chair ait été le premier. Non. Dieu est ordre en toutes choses. Même dans ses rapports avec la loi divine, l'homme a péché premièrement contre Dieu. Il a voulu être semblable à Dieu. Il a voulu être "dieu" dans la connaissance du Bien et du Mal. Il a voulu une liberté d'agir absolue, donc illicite. Il a voulu la liberté d'agir selon son bon vouloir et plaisir, contre tout conseil ou prescription divine. Deuxièmement, il a péché contre l'amour. Il s'est aimé de façon abusive, en niant à Dieu l'amour révérenciel qui lui revient, en mettant son propre moi à la place de Dieu, et en témoignant de la haine pour son prochain à venir: à sa propre race il a transmis l'héritage de la faute et de la condamnation. En dernier lieu, il a péché contre sa dignité de créature royale, créature qui avait reçu le don de la parfaite maîtrise sur ses propres sens. Le péché de la chair ne pouvait pas avoir lieu tant que l'état de Grâce et les autres états conséquents étaient encore présents et actifs. Tant que persistait l'innocence, et donc la domination de la raison sur les sens, la tentation sensuelle aurait pu survenir, mais l'homme n'aurait pas consommé la faute sensuelle. maria.valtorta.free.fr/Romains7.htm Votre objection est donc retoquée : l'EMV est ( malheureusement pour vous ? ) totalement conforme à la doctrine catholique, comme l'avait bien compris S.S.Pie XII, Mgr Roschini, Mgr Carinci, le bienheureux dom Allegra, et tant d'éminents théologiens. Mais eux, ne mélangeaient pas tout, comme vous et Gounon... Ils savaient faire ce qu'on appelle en terme technique : des distinctions.
1 ) Si Adam couchait avec Ève, ça ne pouvait pas être de la fornication (union illégitime) puisqu'elle était sa femme. 2 ) L'EMV insinue qu'ils n'étaient pas libres de procréer (peu importe le mode) sans autorisation expresse du Père au cas par cas. Ce qui est, au minimum, contre-intuitif *. En tout cas, dans la Bible, c'est pas pour obtenir cette liberté que Ève a croqué le fruit de l'arbre interdit. * Quand Dieu dit "aimez-vous les uns les autres" ou "faites du bien à ceux qui vous haïssent", c'est pas "seulement au moment où je vous en donnerai l'ordre". Donc on peut logiquement penser qu'il en va de même pour "soyez féconds et multipliez-vous".
@@jawatusken 1 ) indécrottablement, vous ne pouvez même pas vous imaginer que le mode de la sexualité avant la faute puisse avoir été différent du nôtre. On le comprend bien : puisque pour vous, "coucher avec une femme" est tout ce que l'homme peut desirer de plus haut en terme de volupté, puisque vous ne pouvez rien concevoir d'autre, c'est pour vous la preuve absolue que c'était cela, en substance, qui se passait avant la faute, entre l'homme et la femme. Votre propre concupiscence charnelle est donc votre unique référence théologique, la seule référence valable à vos yeux. 2 ) Vous prenez également votre propre désir d'autonomie vis-à-vis de Dieu comme seule et unique étalon de ce qu'est "la liberté" : la notion d'obéissance vous passe à trente six mille lieu au-dessus de la tête, et certainement que pour vous, un moine qui obéit à son superieur est une sorte d'esclave. Il n'en est pas ainsi, dans l'économie divine, et j'ose le dire : fort heureusement ! L'obeissance libère au contraire de sa volonté propre, et jamais personne n'est plus libre que celui qui est dans un véritable lien d'obéissance à Dieu. Jésus est la Personne libre par excellence : et Il ne fait cependant RIEN qu'il ne voit faire par son Père ( cf Ev selon saint Jean ) Il fait toujours la Volonté du Père ( idem ). Et ainsi, pour vous, Jésus fut l'être le moins libre qui ait jamais existé sur terre, si l'on adopte votre manière de penser, ce qui confine au plus profond ridicule. Comment Celui qui nous libère par sa Parole pourrait-Il en effet ne pas être Lui-même soyverainement libre ? Mais il est évident que la théologie et vous : ça fait deux. Dans ces conditions, il est parfaitement vain de vous dresser comme vous le faite contre une Oeuvre, dans laquelle il ne se trouve aucune erreur théologique : vous êtes totalement incapable de vous en rendre compte.
@@SalveRegina225 1) Peu importe quel était le mode de procréation avant le péché originel (d'ailleurs ça ne me pose pas de problème d'en imaginer un autre), c'est pas le sujet. Je prends note cependant que vous ne pouvez pas envisager que leur mode de procréation eût été le même que le nôtre, alors qu'il n'y a pourtant pas d'obstacle. 2) Alors comment avez-vous pu manger un gâteau sans attendre l'autorisation explicite de Dieu ? C'est scandaleux !
@@jawatusken 1 ) La réforme profonde de toute la sexualité humaine depuis la chute est rendu évidente par les faits : la femme doit subir les douleurs de l'enfantement, les aménorrhées et flux de sang des règles, l'accouchement ne se fait plus dans un flot de lumière surnaturel, comme le décrivent unaniment Maria Valtorta et sainte Brigitte de Suède dans leurs écrits, les corps engendrés ne sont plus invulnérables aux éléments, mais peuvent subir la mort à tout moment. Il y a donc un abîme indescriptible entre nous et nos premiers parents, que l'imagination est incapable de franchir désormais. 2 ) Je ne vois pas Dieu face à face comme nos premiers parents Le voyait chaque jour : c'est donc en vain que vous me comparez à eux. Mais dans un monastère effectivement, un moine ne devrait pas faire un pas sans la permission de son abbé ! ( selon saint Barsanuphe, peu importe : vous ne le connaissez pas, c'est un Père du désert ). Et au moins, il ne doit rien manger sans obéissance à son supérieur. Votre exemple est donc involontairement pertinent.
Cette vidéo ignore l'essentiel, les informations géographiques et astronomiques ont été vérifiées et sont indiscutables. Or, cette dame en 1943 ne pouvait pas avoir ces informations. Tout est cohérent y compris le respect des calendriers en vigueur à l'epoque. Je m'attendais à une critique intelligente, etant hesitant, et je ne trouve chez vous que des critiques ignare d'un gars qui ne comprends et surtout ne connaît pas le sujet qu'il traite.
@@jawatusken Pour ma part de vous invite à lire "confirmation par la science" et d'essayer de réfuter ces preuves...ce que vous ne ferez pas bien sûr. Ainsi que de lire cette œuvre de 10 tomes avant de la critiquer bêtement, avec des arguments qui n'en sont pas. Je ne suis ni athée, ni un fanatique religieux, j'essaie juste d'être factuel et objectif. Est ce que les informations données par Maria Valtorta tant en astronomie, au niveau calendaire et archéologique sont exacts? Réponse : oui. Est-ce qu'une dame handicapée et alitée pouvait avoir accès à ces informations en 1943 : réponse : non. Après avoir fait ce constat, vos affirmations et celle de votre 'René' sont sans intérêt.
RELATIVISATION DU BAPTÊME ? VRAIMENT ? Voici le passage incriminé : 1 ) Un homme ouvre à Jésus toute la noirceur de sa vie passée, dont il se repend, tout en larmes. (...) " Tu ne me maudis pas ?" "Non. Je pleure et je prends sur Moi ton péché !... Comme il est lourd ! Il me brise les membres, mais je le serre étroitement, pour le consumer à ta place... et à toi, je donne le pardon. Oui. Je te remets ton grand péché." Il étend les mains sur la tête de l'homme qui sanglote et le prie : "Père, pour lui aussi mon sang sera versé. En attendant voici mes larmes et ma prière. Père, pardonne car il s'est repenti. Ton Fils, au jugement duquel tout est remis le veut !..." Il reste encore quelques minutes ainsi, puis il se penche, relève l'homme et lui dit : "La faute est remise, À toi, maintenant d'expier par une vie de pénitence ce qui reste de ton délit." (...) " Une âme est revenue au Seigneur. Bénie soit sa toute puissance qui arrache à l'enlacement du démon les âmes qu'Il a créées et les remet sur le chemin du Ciel. Pourquoi cette âme s'était-elle perdue ? Parce qu'elle avait perdu de vue la Loi." (...) On voit ici Jésus administrer le pardon sacramentel à quelqu'un pourtant non baptisé, comme Il l'avait fait pour le paralytique descendu devant Lui par le toit. Et dans l'Évangile, on ne remarque pas non plus que Jésus baptise aussitôt toute personne qu'Il vient de guérir ou de pardonner. Il n'y a donc rien d'incohérent ici. Dans la vie catéchuménale en effet, il y a pour certains un grand profit à se préparer longuement à recevoir ce sacrement, parfois de longues années, ou toute une vie, quand pour d'autres le baptême peut être administré quasi immédiatement : cela dépend de l'état spirituel de chaque catéchumène. Preuve s'il en est : Jésus baptise de nombreuses personnes aussitôt après avoir entendu ce pauvre homme. (...) "Moi aussi, le baptême de tes mains !" crient-ils, nombreux. Jésus, qui est déjà à mi-chemin, se retourne : "Demain. Maintenant partez et soyez bons. La paix soit avec vous." Tout se termine et Jésus revient à la maison dans la cuisine déjà sombre bien que ce ne soient encore que les premières heures de l'après-midi. - Les disciples s'empressent autour de Lui. Et Pierre demande : "Cet homme que tu as emmené derrière la maison, qu'est-ce qu'il avait ?" Besoin de purification." "Il n'est pourtant pas revenu et n'a pas demandé le baptême." "Il est allé où je l'ai envoyé." "Où ?" "À l'expiation, Pierre." "En prison ?" "Non, à la pénitence pour le reste de sa vie." "Alors ce n'est pas avec l'eau qu'on purifie ?" "Les larmes aussi, c'est de l'eau." - "C'est vrai. Maintenant que tu as fait un miracle, qui sait combien viendront !… Ils étaient déjà le double aujourd'hui..." C'est bizarre, pour quelqu'un qui relativise l'importance du baptême, de baptiser comme ceci autant de monde ! Je dirais même que c'est curieux, très curieux, et pour tout dire : bizarre. En réalité, le Christ parle ici à propos de cet homme, de ce que l'Eglise désigne depuis déjà plus de 2000 ans comme le "baptême des larmes". Tous les grands saints en ont parlé, à commencer par les évangélistes en parlant de saint Pierre, de Sainte Marie Magdeleine, mais tous les chrétiens n'ont cependant pas bien entendu. Lisons ce qu'en disent les saints : " Dans l’Évangile, à quelques heures de la Passion et de sa mort, Jésus annonce à Pierre son reniement. Pierre se croyait si fort qu’il annonça à Jésus qu’il le défendrait jusqu’au bout, et que la mort ne saurait donc atteindre son maître et ami. Jésus lui dit pourtant : « Cette nuit même, avant que le coq chante, tu m’auras renié trois fois. » De fait, voici ce qui arriva. Saint Augustin déclare dans ses Sermons, comme l’écrit Martine Dulaey : « En reniant, Pierre est mort, mais en pleurant, il est ressuscité. […] Pierre a lavé sa faute dans les larmes, il a fait couler l’eau de ses yeux et baptisé sa conscience. […] Il fallait à Pierre le baptême des larmes pour laver le péché du reniement. » ( ndm : est-ce donc là une relativisation du baptême sacramentel ? Sûrement pas. Les deux jaillissements d'eau sont importants, et l'un ne va pas sans l'autre.) " Le même Augustin se souviendra, dans Les Confessions, que Monique, sa mère, avait beaucoup pleuré sa mort spirituelle : « Elle me pleurait comme un mort que tu allais ressusciter. » Il parlait ainsi à Jésus. Un beau rapprochement avec une pécheresse ( sainte Marie Magdeleine ) apparaît ici, à l’évidence, dans l’Évangile. Ainsi, la voyons-nous arroser de ses larmes les pieds de Jésus, et les essuyer avec ses cheveux. On se souvient qu’un jour, lors de son dernier repas, donc juste avant de vivre sa Passion, Jésus lavera les pieds de ses disciples. Jésus fait l’éloge de cette femme devant un pharisien qui a invité Jésus à manger et ne comprend pas l’absence de réaction de Jésus devant ce geste osé. Jésus va lui déclarer : « Je te le dis, ses péchés, ses nombreux péchés, lui sont remis parce qu’elle a montré beaucoup d’amour. » Elle vit dans son corps, comme Augustin, le baptême des larmes pour être lavée de son mal. " " Lorsque les larmes coulent, elles coulent d’une merveilleuse source secrète. Elles ne sauraient mentir et révèlent quelque chose de notre humanité, de notre sensibilité avec les peines, les regrets et les hontes dont elles découlent. Mais il suffit de quelqu’un, avec le grâce de Dieu, qui agisse dans le secret du cœur, pour consoler et vous faire repartir de l’avant comme un bienheureux. Il est des larmes de joie qui manifestent une dépossession de soi et l’irruption d’une merveilleuse histoire, une nouvelle naissance. " L'EMV met donc merveilleusement en valeur la pédagogie que Dieu emploie différemment pour chacun, et rappelle simplement dans ce passage que les larmes ont le pouvoir d'effacer elles aussi toutes nos fautes passées. Aucun doute que cet homme, d'abord assassin et luxurieux, puis grand pénitent, tout comme sainte Marie Magdeleine le fut à la Sainte Baume jusqu'à sa mort ( et pour quel intérêt, si le baptême sacramentel suffisait ? ), reçut avant de mourir le baptême sacramentel. Pas de trace d'une quelconque relativisation du sacrement dans l'EMV, mais un enseignement de très grande valeur, reprenant celui de la célèbre "Imitation de Jésus-Christ" si chère à la petite Thérèse de Lisieux, et contenant cette prière : " Nourissez-moi, Seigneur, du pain des larmes, abreuvez-moi au calices des pleurs."
DIEU EST DANS L'HOMME. IL N'EST PERMIS QU'AUX DAMNÉS DE SE SEPARER DE DIEU. "Je suis le Seigneur ton Dieu", le Compagnon qui ne t'abandonne pas, l'Hôte que tu ne peux chasser. Es-tu bon ? Voici que l'hôte et compagnon est le bon Ami. Es-tu pervers et coupable ? Voilà que l'hôte et compagnon devient le Roi irrité et ne donne pas la paix. Mais Il ne quitte pas, ne quitte pas, ne quitte pas. Il n'est permis qu'aux damnés de se séparer de Dieu. Mais la séparation est le tourment inapaisable et éternel.
@@SalveRegina225 1) Le problème n'est pas que "Jésus" pardonne les péchés d'un non baptisé, mais qu'il réponde "les larmes aussi, c'est de l'eau", sous-entendant par là que les larmes de repentance peuvent dispenser du baptême d'eau (ce qui est faux, évidemment). En outre, non seulement "Jésus" ne dit pas que le gars en question sera baptisé "plus tard, quand il sera prêt", mais en plus il affirme qu'il est parti faire pénitence "pour le reste de sa vie", laissant ainsi entendre que cet homme ne recevra jamais le baptême (ce qui est nécessaire pour laver la tache du péché originel et entrer au Ciel). 2) Vous vous tirez une balle dans le pied avec ce passage de EMV 119.5 que vous citez : "[...] Il n'est permis qu'aux damnés de se séparer de Dieu". Car ceci vient confirmer l'hérésie que le Jésus de Valtorta enseigne en EMV 444.4 : "Dieu est dans les créatures [...] L'âme est son trône, le corps est son temple". En effet, selon l'Eglise, c'est le baptême qui rend "enfant de Dieu" et qui permet d'avoir la présence de Dieu dans l'âme par la vie de la grâce. Cette présence disparaît lorsqu'on perd la vie de la grâce à cause d'un péché mortel (qui sépare l'âme d'avec Dieu).
@@jawatusken 1 ) Il n'y a pas de problème dans ce que dit Jésus "les larmes aussi c'est de l'eau", mais uniquement une instruction qui est pleinement catholique. Vous seriez prêt à contester saint Augustin, pourvu d'avoir l'impression d'arriver à vos fins. En fait, vous n'osez pas avouer que vous n'aviez jamais entendu parler du baptême des larmes, car il n'y a pas que la théologie qui vous est étrangère : il y a la vie spirituelle tout court. Quelle pitié : je vous sers les preuves indubitables que vous pourriez accueillir avec gratitude, et cependant vous préférez vous ridiculiser à contestouiller. Ça devient risible. Le baptême efface bien tous les péchés, mais bien entendu, cela ne dispense pas le chrétien de rechercher le pardon de Dieu par tous les moyens mis à sa disposition. - la confession est le moyen privilégier, mais il nécessite la contrition, même seulement imparfaite. - plus le repentir est sincère, plus la contrition sera parfaite, plus nos fautes seront intégralement remises, car nous en serons réellement détachés. Vous apprendrez cela dans votre paysage vers l'autre monde, lorsque vous devrez subir la purification par le feu du purgatoire. Mais il ne sera plus temps alors de penser à l'éviter. - Mais vous avez ici-bas un moyen d'échapper complètement à ce feu redoutable, qui est la contrition parfaite. - celle-ci ne s'obtient que par les larmes abondantes d'un sincère et pur repentir, ce que la Tradition a toujours su lire dans l'Evangile et a nommé "le baptême des larmes" ( pour saint Pierre et sainte Marie Magdeleine notamment ). - Oui, il y a un point commun entre ces deux baptêmes : tous deux purifient par l'eau, d'où la réplique de Jésus. - Si vous le contestez, c'est tout bonnement l'enseignement des Pères de l'Eglise que vous contestez. Et c'est bien ce que vous semblez faire, sans y voir aucun danger pour votre foi. - Vous faites souvent ce genre de sophisme, en inventant un motif d'accusation : ici, vous inventez le postulat comme quoi "les larmes aussi, c'est de l'eau" indiquerait que pour Jésus, le baptême des larmes dispenserait du baptême sacramentel : ce qui est on ne peut plus faux. - Très drôle : comme si le fait de "faire pénitence pour le reste de sa vie" était en soit un empêchement pour rencontrer un prêtre, ou bien un autre chrétien ! N'importe quoi, vous en êtes réduit à ça ... - J'ai déjà répondu précédemment à cette objection de papier : ce pauvre homme, qui avait commis des homicides et mené une vie de débauche, devait d'abord partir à l'expiation, afin de préparer son âme par la pénitence à recevoir le saint baptême dont Jésus ne l'avait certainement pas dispensé : c'est seulement là votre fausse interprétation de l'épisode. Des interprétations fausses : les pharisiens qui poursuivaient le Christ en faisaient à la pelle ( il mange avec les pécheurs ! Il fréquente les prostituées ! C'est un glouton et un ivrogne ! Il ne respecte pas le sabbat ! Etc ... ) - De même qu'on peut différer de donner à quelqu'un l'absolution lorsqu'il y a une offense très grave, de même pour le baptême : la durée du catéchuménat est différente pour chacun, surtout pour les adultes. 2 ) C'est vous qui venez de vous tirer une balle dans le pied, vous êtes tombé la tête la première dans le piège que vous m'aviez tendu ( comme le dit le psaume 56 : "Ils ont creusé un trou devant moi, ils y sont tombés ") Car c'est précisément ce qu'affirme la théologie catholique que vous niez ici : la séparation complète de l'âme avec Dieu, c'est pour elle la peine du damn. OR CETTE PEINE N'EXISTE PAS ICI-BAS, MAIS SEULEMENT EN ENFER, ET DANS LE PURGATOIRE QUI LUI EST SIMILAIRE SAUF PAR LA DURÉE. Car Dieu ne sépare jamais complètement ici-bas une âme de Lui, sauf peut-être dans le cas extrême de Judas. Aïe ! ça y est, vous avez saisi ? En réalité, l'EMV n'a rien inventé, mais elle ne fait que rappeler la doctrine catholique. Même si la vie de la Grâce est amoindrie ou bien disparaît dans le fond de l'âme à cause du péché, non cher monsieur, l'âme du pécheur n'est pas encore séparée de Dieu ici-bas. Et si elle n'est pas séparée de Dieu, c'est que Dieu y demeure d'une certaine manière. La preuve en est que sa conscience est toujours là, et cette conscience est signe de la présence de Dieu. Vous avez étudié à la va-vite le catéchisme catholique, et sur un mode ultra binaire, sans la moindre finesse : ce qui vous conduit malheureusement à faire des erreurs monumentales, comme ici. La présence de Dieu investie effectivement le cœur profond du baptisé, de sorte que Dieu n'y est plus simplement présent, Il y règne comme le Roi : l'âme est devenue son Ciel. Sans le baptême, sa présence à l'âme est contrariée, Dieu ne règne pas dans le cœur profond qu'Il ne peut investir à cause de la tâche originelle qui Lui fait horreur. Pourtant, la bonne volonté à suivre amoureusement sa conscience peut conduire à Dieu qui est déjà là, frappant à la porte du coeur profond, et au baptême de désir, qui ouvre également les portes du salut. Tel est l'enseignement catholique, que vous rejetez donc.
@@SalveRegina225 1) Le baptême des larmes est une expression utilisée dans le cas de la contrition parfaite, qui rappelle la purification reçue par l'eau baptismale (Je l'ignorais, mais peu importe). Cependant, la contrition parfaite ne dispense pas des sacrements (sauf en cas de force majeure ou d'ignorance invincible). Voyons maintenant le contexte : Jésus vient de baptiser quelqu'un dans le fleuve, puis, après être entré dans la maison, Pierre se demande pourquoi l'homme que Jésus avait consolé et pardonné derrière la maison n'a pas demandé le baptême. Jésus répond que c'est parce qu'il l'a envoyé à la pénitence pour le reste de sa vie (ça veut dire jusqu'à la fin de sa vie, donc rien à voir avec les quelques années de catéchuménat). Pierre s'étonne : "Alors ce n'est pas avec l'eau qu'on purifie ?" (Référence au baptême que Jésus est en train de leur apprendre à faire). Réponse de Jésus : "Les larmes aussi, c'est de l'eau" (en clair : les larmes ou le Baptême, c'est du pareil au même). Le Jésus de Valtorta induit donc Pierre en erreur en lui faisant croire par omission que le pénitent n'aura pas besoin du baptême puisqu'il a été purifié par les larmes qui sont aussi de l'eau. 2) La conscience n'implique pas la présence divine. L'homme en état de péché mortel est privé de la grâce (et donc de la présence de Dieu dans son âme). La séparation ne devient définitive que lorsque le corps meurt : l'âme séparée du corps (elle était déjà séparée de Dieu) est immédiatement précipitée en enfer. Dieu n'habite pas dans l'âme de ceux qui sont en état de péché mortel (vous avez le droit de trouver ça binaire mais c'est la doctrine catholique), contrairement à ce que dit le Jésus de Valtorta, à savoir que Dieu reste "l'hôte et le compagnon" de tels pécheurs, et ne les "quitte pas".
@@jawatusken Votre erreur est de manière previsible pertinace, cela n'a absolument pas le don de m'étonner. Je vous est rectifié uniquement pour que vous ne puissiez pas un jour invoquer le prétexte de ne pas avoir été corrigé en temps et en heure, mais non pas dans un quelconque espoir de vous récupérer. Donc effectivement : vous ne connaissiez rien au baptême des larmes.... mais ce n'est pas grave, selon vous, qu'est-ce que ça change ? Tout, en réalité, que vous refusiez ou non d'en convenir. Cela vous est inutile de rappeler une fois de plus le contexte, puisque je l'avais déjà fait : vous n'en tenez pas plus compte que les autres fois, puisque rien ( sauf ce que vous persistez à inventer ) n'y montre que le Christ - dispenserait cet homme de recevoir un jour le baptême - declarerait que le baptême sacramentel et celui des larmes, c'est "kif kif bourricot". Vous ne lisez pas ce que ce disent Jésus et Pierre : " Alors, ce n'est pas avec l'eau qu'on purifie ? " ----> Par cette question, Pierre sous entend que, soit tu reçois le baptême et alors son eau te purifie, soit il y aurait autre chose que l'eau pour purifier, mais il se demande bien quoi ! " Les larmes aussi, c'est de l'eau". ----> Jésus ne dit pas : "Il suffit d'eau pour être purifié, peu importe que ce soit l'eau du baptême ou non" ou bien "Puisque l'eau du baptême et les larmes, c'est de l'eau, alors c'est pareil". Ce sens que vous retenez est particulièrement ridicule et idiot, car il impliquerait aussi que n'importe quel "détenteur d'eau" pourrait se la verser sur la tête, les mains ou les pieds au lieu de la boire, et être ainsi sauvé ! "Heureux celui qui a de l'eau, car il sera sauvé " (!!!) Ce n'est pas ce qu'a voulu dire Jésus. Jésus voulait seulement dire, tout comme le dit saint Augustin, Docteur et Père de l'Église ( et on ne s'en fiche donc pas de saint Augustin, cher monsieur ! ) , que l'eau des larmes a le pouvoir aussi de purifier. En effet, pour purifier, DIEU SE SERT DE L'EAU, et voilà tout ce que Jésus a dit ici : les larmes ne remplacent pas le baptême, mais dans tous les cas, Dieu se sert d"eau pour purifier le cœur de l'homme, c'est un fait. - Vous niez de manière pertinace que cet homme pouvait recevoir ensuite le baptême : mais c'est une pure erreur de votre part, car cet homme avait bien vu que beaucoup le recevaient des mains de son Bienfaiteur : c'est donc qu'il en eut lui-aussi le désir ardent ! Il n'y a qu'à entendre avec quelle force ces gens le demandaient. Mais comme l'EMV ne raconte pas 100% de tout ce qui concerne tous les personnages rencontrés ( et quoi de plus compréhensible), on ne peut que supposer avec raison qu'il reçut le baptême ENSUITE. Que son cas soit extrêmement distinct et exceptionnel, c'est aussi une évidence : on ne voit pas en effet que toute la multitude de ceux qui avaient été convertis par le Christ finirent dans une pénitence à vie, dans l'érémitisme ! Ce fut le cas de très grands pécheurs, comme Marie Magdeleine notamment. Et on pourrait se demander dans quel intérêt, vu qu'elle avait sans doute déjà beaucoup pleuré, beaucoup été pardonnée, déjà été baptisée, et était donc déjà devenue sainte ? Mais c'est que nos vues à nous sont toutes humaines. Et les vues de Dieu nous échappent, car nous avons bien peu de discernement. Et oui, Marie Magdeleine eut soif de s'immoler dans un dur repentir, qui ne prit fin qu'à sa mort d'épuisement au fond de la sainte Baume, un lieu d'une surnaturelle beauté... Pour cet homme, la pénitence devait commencer tout de suite, et il devait désormais échapper aux regards curieux et accusateurs, désapprobateurs, incompréhensifs, apeurés d'autrui ( c'était un grand criminel, même pardonné ), pour trouver Dieu dans la solitude, se laissant purifier par son regard, dans la pénitence. Lisez saint Bruno et les écrits des chartreux, pour comprendre ce que la solitude est seule capable d'offrir à l'âme, en matière de pureté. Peut-être qu'alors, vous cesserez de critiquer l'incriticable. Mais ce n'est qu'un voeu pieux de ma part, rien d'autre. Et pour finir, votre objection est particulièrement déplacée, en ce sens que si cet homme ne reçut pas immédiatement le baptême après sa conversion, c'est également le cas dans les Evangiles canoniques d'une foule de gens guéris, ou enseignés, convertis, pardonnés, que Jésus ne baptise pas immédiatement Lui-même. Pourquoi réserve-t-il la systématisation du baptême des croyants par ses apôtres à après sa Mort-Resurrection ? La réponse est évidente : pour le moment, durant les trois années de sa Vie publique, personne ne recevait encore le Sacrement de son Corps et de son Sang, car Il ne l'avait pas encore institué. Le recevoir aurait impliqué d'avoir déjà auparavant reçu le baptême, condition incontournable pour faire un avec Lui. Et donc, si le Christ avait institué l'Eucharistie dès le début de sa Vie Publique, on l'aurait vu devoir consacrer tout son temps à baptiser tout le monde au lieu d'enseigner les foules, et à envoyer partout ses apôtres célébrer la Sainte Cène au lieu de les garder toujours auprès de Lui pour qu'ils soient ses témoins. Un beau cafouillage, et rien de constructif. Car avant de savoir, il faut être enseigné, et avant d'être envoyé par Lui, il faut avoir vécu avec le Maître afin de devenir son disciple. Voilà pourquoi il n'y a strictement rien d'incongru à ce que beaucoup de convertis n'aient reçu le baptême sacramentel que bien plus tard, des mains des apôtres ou de disciples devenus prêtres. Ce que l'EMV confirme bien, et en particulier dans cet épisode : en attendant, il y avait d'autres moyen de se purifier, sans que cela remplace le baptême. Sans parler du baptême de sang réservé aux Martyrs du Christ ! ( encore un autre liquide purificateur : le sang ). Les saints Innocents furent les premiers à en bénéficier. Votre objection est recalée.
Je pense qu'il suffit simplement de lire le "Carnets de dictée du 23 décembre 1948, à 11 heures." pour comprendre que c'est du bullshit total. Maria prétend recevoir du "Père Éternel" un long message destiné à Pie XII, qu'elle s'engage à lui transmettre. Dans cette lettre, le "Père Éternel" va jusqu'à menacer le Pape du "sort de Pilate" s'il ne se soumet pas et n'édite pas l'œuvre de Maria. Ceux qui liront (cet "dictée") comprendront. Pie XII a lu, et il a compris. Il a compris que tout cela n'était pas crédible, et s'il avait eu quelques doutes auparavant, il n'en a plus. Malgré la réception de ce message menaçant pour son salut éternel, il n'a rien fait pour imposer la publication de l'œuvre. Ceci n'est pas une blague, allez lire cette dictée... 😐
@edmerobert7645 Oui, le pape a dit ça avant de recevoir une lettre de menace de "Dieu". 😂 Il était tellement persuadé qu'il n'a rien fait.. Je pense que vous n'avez pas lu mon commentaire.
Cet acharnement doit alerter tous ceux qui voudraient voir Dieu prendre Possession de leur Être pour leur Salut! Aucune intelligence humaine ne peut être capable de décrire les lieux, les scènes, les personnes, l'habillement, les astres, les temps... Comme c'est fait dans ces livres. Si Maria valtorta était une menteuse, elle en aurait tiré abondamment profit matériellement, ce qu'elle n'a pas fait.
Très intéressante vidéo. Merci. La seule chose qui m'agace un petit peu ce sont les tons comiques que vous prenez quand vous imitez les voix des protagonistes du livre. Ça n'ajoute rien car cela n'est pas très réussi, et ne peut que braquer les gens qui croient que Jésus s'exprime vraiment à travers les écrits de Valtorta. Un ton neutre aurait été plus efficace pour les convaincre je pense. Moi ce qui m'a toujours gêné dans les écrits de Valtorta (que je connais très mal je le reconnais) c'est ce que vous relevez au début : le style ampoulé, daté et très lourd qui est censé être celui de Jésus ! Quand on a un tout petit peu l'oreille littéraire, c'est très difficile de croire que Jésus s'exprime de cette façon. Quand au contenu lui même, il est incroyablement ennuyeux, vraiment, ça tombe des mains, Jésus est vraiment un très mauvais biographe de lui-même... Quand on compare ça avec la densité et la force spirituelle des Dialogues avec l'Ange par exemple, c'est vraiment sans commune mesure. Valtorta c'est du très mauvais roman des années 1920-1930, horriblement ennuyeux, très daté, d'une abominable niaiserie. Bref, je ne comprends pas le succès de ce qui est très probablement une supercherie d'une mythomane graphomaniaque.
Bonjour Monsieur, je viens de découvrir votre vidéo dont je vais vue que 2 minutes, je suis allé voir les contradictions et hérésies. Permettez moi de vous dire que le ton sarcastique de celle-ci dessert probablement votre cause. A titre personnel, j'aime certaines choses chez Maria Valtorta, je lisais encore hier et ce jour, la vision et dictée sur les Rois Mages (tome 1, p. 203-217, 1ère édition) et bien que je regrette le ton condescendant et dédaigneux du faux Jésus de Maria Valtorta, il y a des éléments qui me semblent bons et utilisables pour mieux faire méditer cette scène évangélique. Il faudrait une édition de EMV avec imprimatur car dépouillée des sacrilèges (Vierge Marie "qui délire presque", "vieille croulante", Jésus qui embrasse des hommes sur la bouche, Jésus qui trompe saint Pierre pour faire une blague), hérésies (péché originel sensuel, le démon qui caresse les membres d'Eve, La Vierge Marie qui aurait vu des choses en Dieu avant sa création, Satan qui se serait "incarné" en Judas, Judas qui serait le plus grand de tous les pécheurs, refus de la régulation des naissances par l'usage des périodes infécondes de l'épouse, Révélation privée qui revendique l'impeccabilité et profère des malédictions et des menaces contre toute personne osant la critiquer) et offenses à l’Église (qui aurait failli à transmettre le "désormais" de Jean 2,4, Eglise qui serait incapable d'expliquer adéquatement les Evangiles). Je crois comprendre que votre point de vue est qu'il faudrait tout mettre à la corbeille. Ce point de vue n'est pas le mien.
Bonjour monsieur, le ton sarcastique m'est venu naturellement, sans que ce soit un objectif réellement choisi. Les incohérences de Valtorta, vaut mieux en rire qu'en pleurer. Je me serais franchement ennuyé si j'avais réalisé cette vidéo sur un ton sérieux. Oui, selon moi il faut tout mettre à la poubelle. La simple malhonnêteté dont a fait preuve MV en se faisant passer pour Dieu me révulse. Et puis il y a tellement d'erreurs (vous en faites vous-même une liste conséquente) que c'est une simple mesure de prudence que de rejeter toute son œuvre (de peur d'être contaminé par quelque faux enseignement, ou de croire vrais des évènements qui ne sont qu'imaginaires, ou de confondre des éléments de l'EMV avec les évangiles canoniques, qui finiraient par se mélanger dans notre mémoire). Débarrasser l'EMV de ses contradictions et de ses éléments dérangeants demanderait trop de travail. Er je ne crois pas que l'Eglise encourage la lecture des bons aspects des ouvrages hérétiques qu'elle mettait à l'index. Il y aurait quand même des risques d'acquérir une mauvaise façon de penser, une fausse vision des choses... Bref ! Faites ce que vous voulez, mais vous connaissez mon point de vue.
@@jawatusken il est exact que l'Eglise ne recommande pas la lecture des bons aspects des ouvrages hérétiques. Néanmoins, une édition expurgée des erreurs me semble plus efficace pour faire progresser la cause de Dieu compte tenu de la diffusion importante de ces écrits et de la séduction qu'ils opèrent sur certains. Je connais plusieurs bons catholiques qui aiment Valtorta, je ne veux pas leur manquer de respect. La réponse argumentée aux erreurs de Valtorta peut être l'occasion de progresser dans une meilleure connaissance de notre foi et de notre morale.
@@musulmansdevenuscatholiques Mais qui éditerait une version expurgée des erreurs ? Votre idée me paraît irréaliste. Il faut plutôt se servir des erreurs de Valtorta pour faire comprendre à ses fans qu'ils ont été dupés et que ces visions et dictées ne viennent pas de Dieu.
@@jawatusken je connais un éditeur qui est partant. Il faut juste une nouvelle traduction française et un imprimatur diocésain : cette édition approuvée car expurgée éclipsera l'édition interdite qui actuellement la seule éditée. Sans doute le premier volume piochera dans diverses scènes évangéliques
@@musulmansdevenuscatholiques Mais en faisant cela, n'avez vous pas peur que d'autres gens se mettent à croire que les visions de Valtorta viennent de Dieu alors que ce n'est pas le cas ? Je ne pense pas que tromper ainsi les gens soit une bonne chose, même si vous pensez que c'est pour une bonne cause.
Vous faites fausse route : votre ton lors de la lecture du texte de Maria Valtorta vous discrédite complètement. Par ailleurs vous ne mentionnez pas que plusieurs Papes et non des moindres, ont recommandés la lecture de cet ouvrage. De plus, la science n’a jamais pu invalidé ce document malgré le grand nombre détudes passées ou actuelles. Un conseil en toute humilité : vous devriez ,sans aucun doute, changer de voie et mettre votre personne au service d'études plus pressantes.
Oui Pie XII à bien lu son œuvre et pas que.. 😅 Je vous recommande de lire le "Carnets de dictée du 23 décembre 1948, à 11 heures." Où Maria prétend recevoir du "Père Éternel" un long message destiné à Pie XII, qu'elle s'engage à lui transmettre. Dans cette lettre, le "Père Éternel" va jusqu'à menacer le Pape du "sort de Pilate" s'il ne se soumet pas et n'édite pas l'œuvre de Maria. Ceux qui liront (cet "dictée") comprendront. Pie XII a lu, et il a compris. Il a compris que tout cela n'était pas crédible, et s'il avait eu quelques doutes auparavant, il n'en a plus. Malgré la réception de ce message menaçant pour son salut éternel, il n'a rien fait pour imposer la publication de l'œuvre. Ceci n'est pas une blague, allez lire cette dictée... 😐
Dernière accusation de l'EMV de votre part, en matière de sexualité : Selon vous, Adam et Ève ne se "jetèrent pas l'un sur l'autre avec appétit", mais au contraire, juste après la consommation de la faute, leurs yeux s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, et ils se firent des pagnes. Et ce ne fut que bien après qu'ils conçurent des enfants, ce qui prouverait encore plus selon vous le non rapport entre sexualité et péché originel. Esprit sans intelligence. Bougre d'âne. IL Y A UN RAPPORT DIRECT entre le péché originel d'orgueil et la faute sexuelle. Mais pour vous faire plaisir : imaginons qu'il n'y en ait pas eu, lorsqu'Adam et Ève croquerent le fruit défendu. Aucun péché de la chair, mais une faute purement spirituel. Première dissonance : - cela laisserait entendre qu'Adam et Ève étaient de purs esprits et non des créatures incarnées : s'ils avaient été tels ( et ils l'étaient ! ), alors leur péché ne se serait pas réfugié dans la sphère purement spirituelle, car telle est la condition des êtres incarnés de pécher également avec leur corps, et non comme les esprits angéliques dont la faute est un pur orgueil incorporel. Deuxième dissonance : - L'acte d'Adam et Ève de se faire des pagnes juste après la faute, alors qu'ils n'avaient jamais commis ensemble de péché charnel, apparaît donc bien selon vous comme... un acte vertueux, ni plus ni moins ! C'est donc quasiment que Adam et Ève, choqués dans leur "extrême pureté de cœur", juste après s'être rebellés contre Dieu ( !!! ), firent leur premier geste de vertu corporelle ( se vêtir), alors qu'avant, leur cécité en ce domaine les dispensait de le pratiquer : On en vient donc à votre conclusion atomique dans l'ubuesque, tenons-nous bien : LE PÉCHÉ ORIGINEL FUT POUR ADAM ET ÈVE L'OCCASION DE PRATIQUER LA VERTU !!! Alors là je vous dis : bravo ! Chapeau bas, on ne me l'avait encore jamais faite. Quel grand théologien vous êtes, cela tient du prodige ! D'autant que la suite va se révéler savoureuse : Troisième dissonance : En effet, pour vous, la faute charnelle ne fut consommée que bien plus tard, Adam et Ève étant de grands abstinents qui se seraient "mis au travail" que longtemps après. Et voilà pourtant dans la Bible la preuve que l'homme pèche désormais par les désordres sexuels : le déluge. Celui-ci eut lieu notamment pour purifier le monde de la luxure qui y proliférait. Mais alors ? Dieu aurait chassé du Paradis terrestres deux êtes humains pour une faute qu'ils n'auraient pas consommée jusqu'au bout, mais qui serait apparue sous sa forme charnelle que bien plus tard ? C'est la négation du péché originel que vous énoncez donc là : en réalité, pour vous, Adam et Ève ne furent chassés du Paradis terrestre QUE POUR AVOIR COMMIS LES PRÉMICES DE LA FAUTE QUI CONTAMINERAIT TOUS LES HOMMES, et non pas la faute dans son intégralité ! En aucun cas il ne faudrait donc parler du "péché originel", mais bien plutôt selon vous DES PRÉMICES DU PÉCHÉ ORIGINEL, commis dans le jardin par Adam et Ève ! Aucun théologien digne de ce nom n'a fait semblable erreur, vous pouvez donc vous féliciter d'être le premier ! Ah mais non, j'oubliais : vous n'êtes pas théologien, et cela explique tout. Trêve de balivernes : le péché originel fut avant toute chose un péché d'orgueil, certes, mais il communiqua immédiatement aux membres charnels de l'homme et de la femme son suc empoisonné, qui les conduisit à y ajouter la faute charnelle, car privés de la Grâce divine, ils ne pouvaient plus dominer sur leurs passions, comme auparavant. Il est donc naturel que, toutes leurs mauvaises passions assouvies, l'innocence de leurs regards l'un sur l'autre en fut renversée, et la gêne physique liée à la nudité apparut comme un châtiment bien mérité, lié aussi à l'absence de Lumière pour les recouvrir. De dignes, ils étaient devenus indignes, même du regard de leur conjoint. On voit bien d'autre part que Dieu avait l'habitude de venir les trouver pour s'entretenir avec eux "à la brise du soir ", alors même qu'ils étaient mariés ! Vous en connaissez beaucoup, des couples à qui Dieu a coutume d'apparaître chaque jour pour parler avec eux ? C'est normal, il n'y en a plus, depuis la chute. Quelle intolérable intrusion dans la liberté d'un couple, mon Dieu !!! Un coin prière, d'accord, ça peut encore aller ! Mais la visitr du Bon Dieu en Personne !? Ah non, ça commence à devenir lourd, quand-même ! Et si Satan avait caressé les sens d'Eve, afin de l'amener à consommer charnellement son autonomisation d'avec Dieu, et de partager cela avec Adam, c'est encore une fois que ni Ève, ni Adam n'étaient de purs esprits comme lui : leur faute s'incarna donc, en ayant une dimension corporelle d'autonomisation d'avec Dieu. Adam et Ève, contrairement à votre fausse insinuation, furent chassés du Paradis après avoir commis l'intégralité de la faute, d'abord spirituelle par l'orgueil, et aussi charnelle par la convoitise des sens produisant chez eux la luxure. De fait, ils ne pouvaient pas avoir été chassés d'un Paradis TERRESTRE pour avoir commis comme les anges un péché purement SPIRITUEL, ne concernant nullement leur dimension corporelle : Si en effet, Adam et Ève avaient péché comme les anges déchus, uniquement par orgueil, alors en toute justice, ils auraient du être précipités comme eux immédiatement et pour toujours en enfer ! Si tel n'avait pas été le cas, alors il aurait été tout simplement injuste d'être créé "ange" par Dieu ! - si tu es un ange, tu n'as pas de seconde chance - si tu es un homme, tu as une seconde chance, même si ton péché est en tout point semblable à celui des anges ( purement spirituel ). On dirait que votre haine du surnaturel vous a donc quelque peu égaré ( et le mot est faible )...
1 ) Dans la Genèse, il y a aussi une attirance "charnelle" puisque Ève voit que le fruit est "bon à manger et agréable à la vue". Elle pèche ensuite avec son corps dans le fait qu'elle mange le fruit. Rien de sexuel cependant. 2 ) Se couvrir de feuilles quand on se retrouve à poil, je sais pas si c'est un acte vertueux, disons plutôt un réflexe défensif. Mais quand on meurt d'envie de faire des enfants et de faire l'amour avec son conjoint, et que mari et femme se retrouvent nus l'un et l'autre, ben en général ça fait crac-crac. 3 ) Je ne parle pas de la luxure des humains de l'époque du déluge, je parle de la concupiscence d'Adam et Ève en particulier. 4 ) Je constate que vous prenez tellement l'EMV pour la vérité que vous êtes persuadé que le péché originel consiste dans le péché sexuel consommé. En vérité, Adam et Ève ont été chassés seulement pour avoir mangé le fruit malgré l'interdiction, sans qu'il soit question de péché sexuel. C'est pas parce que le premier péché est "ze péché originel" qu'il doit forcément cumuler tous les péchés capitaux.
@@jawatusken 1 ) Dans la Genèse, avouez-vous finalement comme à contrecœur, il y a bien une attirance charnelle SUGGÉRÉE, car la Genèse est compendieuse, il faut savoir la lire comme le fait l'Église, c'est-à-dire entre les lignes, et avec sagesse. Comme vous n'avez reçu aucune formation sérieuse en théologie et encore moins en exégèse, vous pensez que la Genèse est la description littérale et exhaustive de ce qui s'est passé lors de la Création et lors de la chute. Mais votre réflexion se casse la figure toute seule ! En effet, vous dites qu'il y avait bien eu "une attirance charnelle" dans le jardin, mais "rien de sexuel" : mais à ce compte là, il n'y avait rien eu du tout en matière de faute, si l'on considère que tout nous est décrit scrupuleusement, sans que rien ne soit seulement suggéré, comme la création et la chute des anges ( suggérée sans aucun détail dans le récit de la création ) : car il y eut juste la consommation d'un fruit, peut-être avec la peau et les pépins, allez savoir ! Et il aurait été puéril de condamner Ève pour la consommation d'un fruit, même bon et appétissant, comme si c'était un péché grave ! Dieu n'a jamais joué à ce pauvre jeu misérable, de surveiller si Ève mangeait une pomme au lieu d'une poire, un kiwi plutôt qu'une banane ou une fraise ! Un peu de sens spirituel, tout de même, il ne s'agissait pas de cela : le sort de l'humanité ne s'est pas joué sur le crocage d'une pomme plutôt que d'une poire, comme si manger une pomme était infiniment différent que de manger n'importe quel autre fruit comestible. Donc : lorsque vous dites qu'il n'y a "rien ici de sexuel", c'est que vous êtes complètement prisonnier du sens littéral du texte, et en refusez la moindre exégèse possible, que pourtant l'Eglise a toujours fait. 2 ) Couvrir sa nudité est un acte de vertu. La femme doit se couvrir devant l'homme, et l'homme devant la femme. On résume donc. Pour vous, la "chute" est : - un repas, composé d'une pomme, alors que le Grand Père Fouettard avait formellement défendu de consommer des pommes ( !!! Pourquoi ??? ) - un acte de pudique vertu, de la part d'Adam et Ève. Ouuuuuuh là là mais c'est terrible, ça !!! Dehors, rauss !!! Et schneil !!! Pas Te çaaa Tans mon ParraTisss !!! Pardon, mais on en a les larmes aux yeux, tellement c'est risible. 3 ) Moi également. 4 ) Vous refusez tellement de voir l'inanité de vos accusations, que vous vous en tirez par un mensonge : jamais je n'ai dit que le péché originel fut un péché sexuel, mais la vérité, c'est qu'il provoqua ce dernier, car l'orgueil humain s'incarna dans une autonomisation des passions, qui dominerent l'homme orgueilleux désormais privé de la Grace divine. C'est malheureusement votre seule issue : rendre un faux témoignage, sur moi comme sur l'EMV.
@@SalveRegina225 1) Je n'aurais pas dû employer le mot "charnel" car je vois que dans votre esprit mal tourné ça veut obligatoirement dire "sexuel". J'aurais donc dû dire : il y a eu une attirance "corporelle", c'est-à-dire une certaine convoitise gustative ("le fruit était bon à manger"), mais qui ne s'étend pas au domaine sexuel. Adam et Eve ont donc bien péché avec leur esprit et leur corps, mais pas avec leur sexe. Eh oui, Adam et Ève ont été condamnés pour la consommation d'un fruit, ce qui constituait un péché grave puisque Dieu avait expressément interdit de manger du fruit de cet arbre-là. Le péché originel est donc un péché de désobéissance grave commis à cause de l'orgueil de vouloir être comme Dieu dans la connaissance du bien et du mal. Et la beauté du fruit et son goût apparent (le serpent en a probablement fait la promotion en en mangeant sous les yeux d'Eve : "Miam ! Quel régal !") ont joué un rôle en ce sens qu'ils ont aussi incité Ève à en manger. Mais encore une fois, rien de sexuel. 2) L'acte de pudeur d'Adam et Ève fait suite au péché originel, il n'en fait pas partie. Et le péché originel ne les a pas rendus incapables de faire aucun bien, donc je ne vois pas le problème. 3) Vous avez pris l'exemple des hommes du déluge pour insinuer que s'ils étaient luxurieux, c'est que forcément Adam et Ève l'avaient été avant eux, et notamment lorsqu'ils ont commis le péché originel. Ce qui est une fausse déduction. 4) Vous avez dit que Adam et Ève n'auraient pas commis l'intégralité de la Faute s'ils n'avaient pas désiré pécher sexuellement. Donc pour vous, le péché sexuel fait partie intégrante du péché originel, même si l'acte n'a pas été commis immédiatement. Mais l'Église n'est pas de votre avis.
centripète : adjectif Qui tend à rapprocher du centre. littéralement la gravitation mais en utilisant un autre mot, ensuite 1 carat = 0,20 gramme. Vous entendrez aussi parler de « points » : 1 carat est divisé en 100 points : ainsi, un diamant qui pèse 0,25 carats est égal à 25 points ou encore 1/4 de carat. et je ne vais pas ici faire la liste de tout ce qui ne vas pas dans cette critique mon frère en Christ parce que je peine a écouter autant de condescendance, et ce n'est pas pour être insultant je suis vraiment sincère, méfiez vous des conclusions hâtives, et surtout méfiez vous quand on est mue dans une anti-charité évidente dans la critique, ça ne crédibilise pas votre critique et ça ne vous aide pas a y voir clair, en espérant être utile
Force centripète ne signifie pas force de gravitation. Parler de "la" force centripète est aussi absurde que de dire "grâce à LA force de tension, la corde de mon arc est tendue" comme s'il s'agissait d'une interaction fondamentale. Les carats ne sont une unité de masse que pour les pierres précieuses. Pour l'or, cela désigne toujours le degré de pureté, et non le poids, comme expliqué dans la vidéo. Je vous suggère de regarder plutôt la partie de la vidéo qui traite des incompatibilités avec l'évangile de Jean, ce sera plus facile. Mais si le ton de la vidéo vous déplaît, allez plutôt lire le livret de René Gounon qui est différent mais pointe suffisamment d'erreurs rédhibitoires pour comprendre que le Jésus de Maria Valtorta n'est pas Dieu.
@@jawatusken les critiques théologiques sont systématiquement des points de détails sujet a interprétation, la force centripète est littéralement une force quelconque, elle peut vouloir dire gravitation, le carat peut vouloir dire un poids, ce n'est donc pas une critique légitime. dans le cahier du 23 novembre 1943 Jésus parle de "l'univers que j'ai créé de rien" demandez vous si du point de vu de la théorie du big bang il est possible en 1943 de parler avec assurance d'un univers crée de rien.Et pour ce qui est des critiques de Gounon c'est encore une fois de la même hauteur que la condamnation de Sainte Faustine, de Padre Pio, de Marie d'Agreda, Jeanne D'Arc comme toujours au sein de l'Eglise il y a l'inquisition, le Saint Office et des personnalités qui se font les garants des vérités révélées, et la balance de la justice divine fini toujours par pencher du côté de ces mystiques combattus avec force,regardé plutôt le zéle et le poids des défenseurs de Maria dans l'Eglise qui sont aussi nombreuse qu'elle sont éclatante et a la fois parmi les prêtres, évêques, cardinaux, saints, papes et bienheureux
@@Cr0mwell Vos arguments ne sont pas probants. En revanche, l'oeuvre de Maria Valtorta a été mise échec et mat de multiples manières. Voyez par exemple cette vidéo du Dr Giraud sur le linceul de Turin : ua-cam.com/video/gy7i5TOIuWk/v-deo.html
"Les 9/10e d'entre vous." Nous y voilà. Monsieur est blagueur. Et Il aurait pu citer le Christ énonçant tout ce qui sort de mauvais du coeur de l'homme blessé par le péché, pour s'en régaler par un putride tournage en dérision. On dirait qu'on pourrait servir n'importe quel propos à ce monsieur, il serait capable d'en faire un sketch salace vaguement grassement hilarant. Dieu n'a selon lui même pas le droit d'être un Medecin pour l'humanité, c'est-à-dire celui : - qui connaît sa maladie - et seul capable de l'énoncer avec profit, puisque Lui seul est egalement capable de la guérir. Non, ce monsieur s'indigne que le Bon Dieu ne nous flatte pas ainsi : "Oh mes enfants que vous êtes bons ! Que vous êtes beaux ! Mis à part deux ou trois parmi vous, c'est presque parfait, dire que c'est Moi qui ait fait tout ça... Même pas besoin de les purifier, ah ! Quels amours !!! " On se demande de quelle planète il vient, et s'il a jamais entendu parlé de la douloureuse Redemption que le Christ a du accomplir sur la croix, EN RAISON DE NOS FAUTES ! Je voudrais bien, perso, que plus de 1/10e d'entre nous se comportent avec pureté... mais malheureusement, c'est sûrement pour ne pas trop nous accabler que le Seigneur parle ainsi. Y a-t-il 1 homme sur 10 000 qui mérite vraiment, comme saint Joseph, d'être appelé "juste" ? Qu'on me permette d'en douter, et de trouver l'estimation de notre Seigneur extrêmement charitable à notre égard. Et pourquoi le Seigneur peut nous parler ainsi sans tomber dans le mépris ? Et bien c'est parce que Lui, voyez-vous, Il met la main à la pâte, Il dit le mal, mais aussi Il souffre le martyr pour nous en délivrer. Cela Lui donne quelques droits à la franchise, voyez-vous ? Je crois qu'on aura beau vous le dire, vous ne le verrez pas. "Vous haissez, et votre esprit est si lourd que vous ne vous rendez même pas compte que votre esprit est plein de hargne et d'égoïsme envers tous". Mais comment ne pensez-vous pas à vous appliquez à vous-même ces paroles qui vous vont comme un gant, pauvre sot ? Et vous n'avez jamais entendu les paroles plutôt... difficiles de saint Jean le Précurseur, lorsqu'il s'adresse ainsi aux foules qui venaient se faire baptiser par lui : "ENGEANCE DE VIPÈRE !!! " "Bon ok, moi : j'arrête tout de suite, je ne suis pas venu pour me faire insulter ni mépriser ainsi ! Qu'on lui coupe la chique, à ce facho ! " - mais restez donc, nigaud !!! C'est le Precurseur du Christ ! Et vous n'aurez d'ailleurs pas à patienter très longtemps avant qu'on lui coupe la tête, puisque c'est ce que vous désirez. Reprenons : "ENGEANCE DE VIPÈRE !!! ( il s'adresse à la foule, à la cantonade, c'est-à-dire à nous tous ! ), QUI VOUS A SUGGÉRÉ D'ECHAPPER À LA COLÈRE DIVINE ??! " ok, alors si déjà le Précurseur lit ainsi dans les coeurs, je vous laisse deviner comment le peut le Christ en personne, et le résultat n'est pas fameux fameux pour les foules... Et je vais m'arrêter là pour ne pas devenir désagréable pour ce monsieur, qui a le droit à son fort interne. Par contre, de quel droit se croit-il autorisé à minimiser le péché ? Si ses bijoux lui démangent, et bien que cela lui plaise ou non, il lui faudra le confesser à un prêtre, avant de pouvoir de nouveau communier. Et notre "expert en carats" ne va pas prétendre qu'il ignore que seule la pureté absolue de l'âme ( 24 carats ) peut entrer dans le Royaume des cieux. C'est sévère ? "Dura lex, sed lex." "Si vous ne redevenez pas comme les petits enfants, vous n'entrerez PAS dans le Royaume des cieux". Mais peut-être que monsieur est un meilleur expert du Royaume des cieux que notre Seigneur Lui-même ? Sauf qu'à ceux qui se croient de meilleurs "experts" que Lui, le Christ n'hésite pas à leur dire : " Passe derrière moi, Satan ! Tu me fais obstacle. Car tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes ! " Ainsi, se faire rabrouer n'est pas du tout la même chose que de se faire mépriser, et saint Paul l'avait parfaitement compris, et l'explique ainsi en Hebreux 12 : "Quand le Seigneur aime quelqu’un, il lui donne de bonnes leçons ; il corrige tous ceux qu’il accueille comme ses fils. Ce que vous endurez est une leçon. Dieu se comporte envers vous comme envers des fils ; et quel est le fils auquel son père ne donne pas des leçons ? Si vous êtes privés des leçons que tous les autres reçoivent, c’est que vous êtes des bâtards et non des fils. D’ailleurs, nos parents selon la chair nous faisaient la leçon, et nous les respections. Ne devons-nous pas d’autant plus nous soumettre au Père de nos esprits pour avoir la vie ? Les leçons que nos parents nous donnaient en croyant bien faire n’avaient qu’un effet passager. Mais celles de Dieu sont vraiment pour notre bien : il veut nous faire partager sa sainteté. Quand on vient de recevoir une leçon, on n’éprouve pas de la joie mais plutôt de la tristesse. Mais plus tard, quand on s’est repris grâce à la leçon, celle-ci produit un fruit de paix et de justice. C’est pourquoi, redressez les mains inertes et les genoux qui fléchissent, et rendez droits pour vos pieds les sentiers tortueux. Ainsi, celui qui boite ne se fera pas d’entorse ; bien plus, il sera guéri." Bon, après : je peux comprendre, vu comment monsieur se moque de l'EMV, que ce soit la toute première fois qu'il lise ces passages du Nouveau Testament ? Cela expliquerait bien des choses.
Le problème n'est pas tant le mépris et l'insulte, mais surtout la contrevérité de cette statistique. Croyez-vous sérieusement que 9 personnes sur 10 vivent POUR la débauche ? (c'est-à-dire que le principal objectif de leur vie serait la jouissance sexuelle). Je peux encore l'envisager pour les athées de 15 à 25 ans, mais pour le reste de la population c'est clairement du délire. Je vous suggère au passage d'apprendre au plus vite la politesse, avant que je ne me décide à supprimer vos commentaires.
@@jawatusken Mais mon cher monsieur, comme vous êtes finalement contraint d'en convenir vous-même, le problème n'est certainement pas l'absence d'insulte et de mépris dans ce passage ( puisqu'il n'y en a pas plus que dans les Evangiles ). Et le problème n'est certainement pas non plus dans une quelconque exagération, et de me demander, à moi, "ce que j'en pense vraiment" ( qu'est-ce qu'on en a à faire ? ) : cela tombe assez mal pour vous, mais les statistiques sont là pour le confirmer, en 2023, environ 92% des hommes adultes consomment régulièrement de la pornographie. Ce qui, selon mon mode de calcul à moi, équivaut donc à environ 9 sur 10. C'est affligeant, mais c'est ainsi, et je ne pense pas que ce soit une très grande nouveauté par rapport à l'état des cœurs à l'époque de Maria Valtorta. Et si vous voulez traquer à ce point les éventuelles exagérations, je vous conseille d'ouvrir les Evangiles : vous y découvrirez un Christ, osant bien s'adresser en ces termes aux hommes de son temps : "VOUS QUI ÊTES MAUVAIS", "CETTE GÉNÉRATION EST UNE GÉNÉRATION MAUVAISE". Comme généralisation, je crois qu'on ne peut guère faire mieux. Il est sûr et certain que ce n'est pas à Dieu de s'humilier devant les hommes pécheurs afin d'être sauvé par eux, mais précisément l'inverse ! Or "il faut beaucoup d'humiliations pour un peu d'humilité", selon sainte Bernadette Soubirous. Pardon si vous vous êtes senti traité avec impolitesse : peut-être y réfléchirez-vous désormais à deux fois, avant de traiter un Don du Ciel comme si c'était le dernier des déchets. Oui, quand on désire légitimement comme vous, être traité poliment, on commence généralement par essayer d'avoir soit-même une conduite respectueuse, sinon irréprochable. Bien cordialement.
@@jawatusken D'où sortez-vous que cette statistique soit archi-fausse ??? Vous êtes vraiment impressionnant. Dans quel monde croyez-vous vivre, sauf votre respect ? Si vous la déclarez archie fausse d'emblée, savoir d'où elle vient ne changera pas d'un poil votre premier jugement. Et vous ne répondez pas à l'exagération du Christ, impensable selon vous : "VOUS QUI ÊTES MAUVAIS" ( et ici, Jésus ne s'adresse pas aux pharisiens, mais à tous ). Ce n'est donc pas là 1 homme sur 10 qui est bon, pour notre Seigneur, mais 0 sur 10 ! Comment ne bondissez-vous pas de votre siège, piqué par une telle "injure" et un tel "mépris" ?? Comment ne condamnez vous pas l'Evangile lui-même ??
@@SalveRegina225 Pas besoin d'être spécialiste pour deviner que votre statistique est archi fausse. C'est du simple bon sens, il suffit d'y réfléchir deux secondes. Bon, j'en ai profité pour faire une rapide recherche et je suis tombé sur cette stat relativement crédible : 40 millions d'Américains regardent régulièrement du porno. Ça fait environ 12% de la population états-unienne. C'est déjà énorme mais ça n'a rien à voir avec vos 92%. "Vous qui êtes mauvais"... oui nous sommes tous mauvais à un certain degré. Mais de toute façon, cette citation n'est pas comparable pour des raisons évidentes.
1 carat = 0,0002 kilogramme 😂😂😂 Pas même fichu de sortir de vos chicanes de pacotille, pauvre de vous. Vous n'êtes pas orfèvre en matière de théologie, vous n'êtes pas non plus orfèvre tout court. Si une balance d'orfèvre peut servir à peser de l'or pur ( vous n'avez probablement pas besoin que je vous rappelle ce qu'est de l'or pur à 24 carats ? ) , et à determiner le nombre de carats en fonction du poids de métal, en quoi pouvez-vous vous y opposer ? Et ni la Bible, ni l'EMV, ne se veut être un ouvrage de sciences, si quelqu'un ne sait pas ce qu'est un carat, ce n'est pas en lisant l'EMV qu'il peut exiger de l'apprendre. Par contre : vous venez d'apprendre quelque-chose de simple, on dirait bien : le poids d'un carat. L'eau régale éprouve l'or : cela ne veut pas dire que ce n'est pas en le dissolvant ! Vous n'êtes pas non plus orfèvre en matière de littérature, on dirait bien. Mais il y a plus ! "L'eau régale est avant tout utilisée dans la production d'acide chloraurique, l'électrolyte utilisé dans le procédé Wohlwill. Ce procédé est utilisé pour le raffinage d'or de très grande pureté (99,999 %)." Donc on dirait bien que vous racontez des sornettes, et que le Seigneur en sait bien plus que vous et moi sur n'importe quel sujet, ce qui est manifeste dans l'EMV ! Et bien passons à la suite de vos badinages ! 😊 PS : pardon, j'ai dit précédemment que votre imitation du ton diabolique était pas mal, en fait elle est à c****. Elle empêche l'auditeur de bien vous comprendre, ce qui rajoute à la nullité de votre exposé. Désolé de devoir vous le signaler.
Il ne faut pas confondre le carat-indice de pureté des métaux précieux, avec le carat-unité de masse des gemmes. Pour l'or, on ne parle donc jamais de poids "en carats". Quant à l'eau régale (mélange d'acide chlorhydrique et d'acide nitrique), elle ne s'utilise pas pour tester/éprouver l'or, elle sert à le dissoudre pour récupérer ensuite l'or pur.
@@jawatusken Comme vous l'avouez enfin vous-même à contrecœur : le "carat" ne désigne pas forcément une unité de pureté ( bien que cela demeure le sens principal ), mais désigne - lorsque par exemple : on pèse de l'or à 24 carats - une unité de masse ( 0,0002kg ). Or ici : Jésus, qui manifestement ne fait pas un cour complet d'orfèvrerie à ses auditeursmais un discours de sagesse, désigne bien cette deuxième possibilité, à savoir le "carats-unité de poids", et les lecteurs un tant soit peu avertis comme vous et moi auront tout de suite compris. Pour les autres : il est vrai qu'une édition avec notes sera du plus grand profit, et cela arrive à grands pas. Pour l'eau régale, vous faites une grossière erreur de logique. En effet : l'or est bien éprouvé par le feu, c'est à dire qu'il change d'état sous son action ( état solide --> état liquide ), et cela sert ensuite à le purifier. C'est exactement la même action avec l'eau régale, sauf que celle-ci ne fait pas FONDRE l'or, mais le DISSOUD, ce qui a également pour effet de le purifier. L'eau régale et le feu ont donc une fonction similaire vis-à-vis de l'or : l'éprouver, le terme est bien choisi par le Christ dans l'EMV, ce que les lecteurs de 7 à 99 ans comprendront aisément par eux-mêmes avec ou sans l'aide des notes. Vos deux remarques sont nulles et non avenues.
Éprouver et purifier signifient deux choses différentes, mais c'est là une subtilité qui vous échappe. Éprouver signifie vérifier la qualité ou la valeur de qqch. Ainsi, on peut vérifier qu'on a bien affaire à de l'or en observant sa température de fusion. L'eau régale peut servir à purifier l'or mais elle ne sert pas à tester l'or. De même, le poids de l'or ne se compte pas en carats, ça ne s'utilise que pour les gemmes (pierres précieuses, diamants, etc). Vous ne verrez jamais quelqu'un dire "je possède 1300 carats d'or". On parle de bijoux en or à 18 carats par exemple, mais ça désigne la pureté de l'or, pas le poids. Pour parler du poids de l'or, on dit "je possède 500 grammes d'or" par exemple. Bref, j'espère que cette fois vous aurez compris.
@@jawatusken COMPTOIR NATIONNAL DE L'OR ( professionnels de l'or depuis 1976 ) "A l'origine, le Carat était l'unité de poids basée sur la graine de Caroube en circulation jadis au Moyen-Orient. Aujourd'hui, le carat est utilisé pour mesurer la pureté de l'or. Il sert aussi dans la mesure des pierres précieuses (1 carat équivaudrait à 200 mg). L'or à 24 carats représente l'or le plus pur." Il y a eut donc vraissemblablement une évolution dans le système de pesé de l'or. Ce détail que vous avez relevé dans l'oeuvre, loin donc de discréditer son authenticité, en prouve la fiabilité de manière éclatante ! Comment en effet Maria Valtorta, qui n'avait jamais entendu parler de cette évolution, ni des graines de caroube initialement utilisées pour la pesée de l'or au Moyen-Orient, aurait-elle pu inventer cela toute seule, et "par hasard", dire quelque-chose d'aussi exact !? Je ne peux donc que vous remercier pour cette nouvelle preuve de l'authenticité de l'Oeuve, dont je ne manquerai pas désormais de parler :)) Le test à l’acide nitrique Une autre méthode consiste à se munir d’une pierre de touche, ou touchau, utilisée par les professionnels qui travaillent l’or. Comment procéder ? Il suffit alors de frotter la pièce, la bague ou tout autre objet à la surface de la pierre, puis d’y déposer quelques gouttes d’acide nitrique (disponible en plusieurs carats). Si aucune réaction ne se produit, le métal est de l’or, contenant le même nombre de carats que l’acide. Si une trace rouge apparaît, alors l’objet contient de l’or, mais avec un nombre de carats inférieur à celui de l’acide nitrique. Et si la trace disparaît, vous êtes alors face à un bijou ou un objet plaqué or. On éprouve donc bien l'or, cher monsieur, à l'aide de l'acide nitrique. Or l'eau régale ou "royale" est un mélange d'acide chlorhydrique et d'acide nitrique. Est-ce que le Christ a voulu parler de l'acide nitrique qui permet d'éprouver l'or, en le nommant "eau régale" par simple généralisation ? C'est tout à fait possible, et très loin d'être choquant. Vos objections sont toutes deux retoquées.
@@SalveRegina225 L'acide nitrique seul, c'est pas l'eau régale. L'eau régale est un mélange, et il contient d'ailleurs plus d'acide chlorhydrique que d'acide nitrique. Dans l'ancien temps, on utilisait des graines de caroube pour peser les pierres précieuses, c'est pourquoi le carat-unité de masse est spécifique aux pierres précieuses. Dans le cas de l'or, le carat sert de mesure de la pureté, c'est différent. Pour mesurer le poids de l'or, on utilise en général l'once (= 31,104g). J'ajoute qu'en EMV 17.16 le Jésus de Valtorta s'adresse directement aux lecteurs de l'oeuvre, donc ça n'aurait aucun sens de parler d'un système de pesée ancien. En plus il emploie le présent lorsqu'il dit que "la balance de l'orfèvre en donne le poids en carats".
Coucou, bravo pour cette video que je vais regarder plusieurs fois pour prendre des notes et me documenter encore plus. Si vous en faites une sur Marthe Robin aussi ça serait super intéressant!!! Merci aussi pour les livres que je vais m’empresser de décortiquer! Dieu vous bénisse ✝️
N'hésitez pas aussi à consulter les réponses que j'envoie à ce monsieur, dont la vidéo n'est ni plus ni moins qu'un tissu d'âneries - pardon pour mes frères les ânes, dont je viens d'insulter l'intelligence, en les rabaissant aux moqueries salaces de ce monsieur - À moins que vous soyez une seule personne avec lui, pour tenter de meubler le vide ? Qui sait... En ce cas, lisez également. Cordialement.
@@SalveRegina225 Heu non, je ne connais pas l'auteur. Soyez plus charitable, et donc moins complotiste. Car le complotisme procède de la paranoïa. Lancer une accusation sans preuve, être agressif, c'est mal. Et si ce n'est pas de la paranoïa, ce n'est même pas drôle.
@@alcides4720 Il faut malheureusement laisser cette personne dire tout et le contraire de tout. Elle fait la même chose avec tout le monde: répondre à des hommes de paille, ne pas répondre aux vraies questions, inverser l'accusation.
Jesus est merveilleux. Par contre moi j'ai un argument supplementaire pour dire que maria valtorta n'est pas sous la dictee de jesus ou de l'esprit saint. Et ma critique vient de ma propre exerience. Si je suis sous l'influenve de l'esprit saint dans mes paroled non seulement mes pensées on tendance à me préceder ( j'apprends en meme temps que jesus enseigne à travers moi ) mais en plus, ma syntaxe se modifie legerement et mon langage se remplit d'images de comparaisons , bref de paraboles . Et du coup , je ne reconnais pas le langage de l'esprit saint dans les ecrits de Maria Valtorta. J'aurai bien aimé pourtant.
Tous les arguments sont pertinents, mais ils n'ont pas tous la même valeur probante, c'est pourquoi la vidéo dure plus d'une heure, même si certains courts passages comme 44:57-47:45 sont suffisants pour démontrer que l'œuvre de Maria Valtorta ne vient pas de Dieu.
"Sauf qu'on peut jouer à ce jeu puéril avec n'importe quel nom, ou presque". Vous ne saisissez pas tout le caractère puéril de votre remarque ? 😂 Non seulement puéril, mais exprimant carrément votre jalousie ! Vous êtes tellement jaloux, que vous ne comprenez même pas que le Christ ne cherche pas ici à prouver quoique ce soit avec les lettres de son Nom, comme s'il s'agissait d'un code ou d'une preuve scientifique quelconque. Vous ne savez pas QUI vous traitez ainsi de "mégalo", mon pauvre, mon pauvre, pauvre, pauvre ami... : autant vous pointer nez à nez avec un lion, et lui dire en lui tirant les moustaches : "Ouais c'est ça, tu te prends pour qui à rugir comme ça ? Pour un gros chat ? Espèce de carpette, va ! " Perso, je ne voudrais pas être là pour voir... Le Christ est glorieux ! Il a vaincu la mort par sa mort, pauvre fou, blasphémateur, imitateur de Satan voulant concurrencer Dieu. Il peut, Lui, se glorifier en toute justice, car Il reçoit sa gloire de son Père, et qui Le glorifie, glorifie le Père qui l'a envoyé. Mais vous, si vous vous amusiez à faire la même chose avec votre nom à vous, est-ce que vous croyez vraiment que cela pourrait tromper quelqu'un sur la noirceur de votre âme, ne méritant aucune louange ? Vous pensez vraiment que, comme vous le faites en vrai bouffon, le Roi du Ciel, Lui, s'amuse ? Je vais vous en apprendre une bonne. Je connais une prière qui commence par cette demande : "Que ton nom soit sanctifié". Or le Nom de Jésus que vous OSEZ deshonnorer, c'est le Nom du Père, c'est le Nom du Saint-Esprit, c'est le propre Nom de Dieu. J'arrête là, sinon vous allez me trouver étrangement désagréable à votre égard.
Allez, je vais faire grâce à mes lecteurs des passages où vous vous indignez que Jésus n'emploie pas les termes "force de gravitation" au lieu de "force centripete", tout le monde aura parfaitement compris son propos, comme du fait qu'il OSE courcicuiter tout le processus de la fabrication du sang - donc dans la moelle osseuse - en affirmant que les aliments deviendraient du sang dans notre estomac. Cher monsieur, ce processus s'appelle la "digestion", et la digestion n'a pas pour but premier de vous mettre du caca dans les yeux ( bien que vous en ayez ) ou dans les intestins, mais de.... "produire du sang", simplification facilement compréhensible, puisque c'est le sang qui est en quelque sorte "l'aliment du corps", vu qu'il en est le véhicule, le liquide nourricier. C'est une simplification ? Mais cher monsieur, le Christ parle, ne vous en déplaise, en prenant des images, et parfois même des paraboles, afin de nous amener à un sens spirituel, et non en vue de nous faire passer l'agrégation de médecine ou de n'importe quelle autre discipline scientifique. Votre pique contre l'oeuvre vaut donc ce qu'elle vaut, c'est-à-dire : rien. C'est du bruit. De la vantardise. Rien d'autre.
Le problème n'est pas tant que le Jésus de MV "se la pète" (alors qu'il est censé être humble), si vous voulez, il pourrait légitimement le faire. Le problème est surtout qu'il présente ça comme un secret extraordinaire "dont il est le seul à connaître le sens", alors qu'on peut donner n'importe quel sens à n'importe laquelle des lettres qui constituent son nom. On pourrait changer ses attributs à notre guise, en inventer d'autres (ça me démange... non je rigole ^^). Bref, c'est un jeu stupide que n'importe qui pourrait reproduire avec son propre nom, dans n'importe quelle langue.
@@SalveRegina225 Vous êtes manifestement incapable de comprendre pourquoi c'est absurde de parler de "LA force centripète" et de déclarer qu'il y a des "organes" producteurs de sang distincts des moelles osseuses, et que la nourriture "devient du sang DANS l'estomac".
@@jawatusken Vous illustrez sans bien le savoir un processus psychologique bien connu, qui s'appelle le complexe de supériorité, et d'une manière stupéfiante. Quelqu'un par exemple, qui comme vous va oser ridiculiser le Roi lui-même, en osant tourner en dérision ce qui met Celui-ci en valeur, va espérer ainsi s'attribuer en retour la gloire qu'il prétend rabaisser chez Lui, en se faisant passer pour plus grand, même que la Personne royale ! Mais c'est gros comme un éléphant dans un couloir, et ne peut échapper à personne : car Celui que vous tentez ici de ridiculiser, c'est le même qui se glorifie en toute justice dans l'Apocalypse ! ( un livre de la Bible que vous n'avez semble-t-il jamais lu, pour en arriver là). Car le Christ a beau être humble, Il n'en est pas moins le Roi, l'Alpha et l'Omega, le Dominateur des Nations qui reviendra, glorieux, faire de ses ennemis l'escabeau de ses pieds. À Lui force, domination, gloire, honneur et louanges pour les siècles ! Amen ! Car Il est digne, l'Agneau Immolé, de prendre le Livre et d'en ouvrir les sceaux. De cela aussi, vous vous moquez comme d'une vaine gloriole, car en réalité, du haut de votre petit tas de fumier, vous crevez littéralement de jalousie, et vraiment : ça fait pitié. Vous ne savez pas du tout qui est le Christ, ni la gloire infinie que sa Résurrection Lui a valu pour toujours, et j'espère que vous ne serez pas réduit à crier : "Jésus-Christ est Seigneur ! " depuis l'enfer, mais seulement depuis le purgatoire que vous méritez en parlant ainsi du Seigneur de gloire... Votre attitude est abominable, vraiment digne en tout point de celle des romains qui couronnerent d'épines le Christ en se moquant de sa royauté ! Et vous prolongez cela en déclarant qu'on pourrait donner n'importe quelle signification aux lettres de son Nom sacré ?? Vous seriez donc près à tourner une nouvelle fois en dérision de Christ ? Vraiment ? Pauvre de vous ! Non, il ne s'agit pas d'un jeu, ou bien du déchiffrage d'un code secret : il s'agit uniquement d'un Nom qui est tellement précieux, comme aucune pierre n'est précieuse sur la terre et comme rien n'est précieux au Ciel, qu'aucun attribut n'est assez glorieux pour le décrire, et que chacune de ses lettres ruisselle de gloire et de vertu. Comment pourrait-Il en être autrement, puisque ce Nom est au-dessus de tout nom, et seul capable de sauver l'homme ? En faisant mine de réduire tout cela à un simple et puéril "jeu de code", et en comparant votre nom à Celui de Jésus, vous commettez sans trop peut-être le savoir ce qui permet de vous identifier comme un des plus orgueilleux et des plus stupides personnes qu'il m'ait été donné de rencontrer. "QUE VOTRE NOM SOIT SANCTIFIÉ" : le Nom de Jésus, c'est le Nom même de Dieu : et il eut été "humble", selon vous, que le Christ ne sanctifie pas le Nom de Dieu qui est le sien ? Vous êtes un nain qui fait des grimaces et des galipettes, et qui croit que ce cirque va deshonnorer le Roi ! Mais attention, attention à vous. Le Roi est Miséricorde, mais on ne se moque pas impunément trop longtemps du Roi des rois... Reprenez-vous, c'est un conseil d'ami. Je ne suis certainement pas au-dessus de vous, mais j'honnore mon Sauveur, sans Lui refuser la gloire, c'est la moindre des choses. C'est le Seigneur qui sait ce que veulent éventuellement dire les lettres de votre nom : et pas vous, qui ne pensez qu'à jouer. Et méfiez-vous qu'au lieu de vous trouver des vertus, Il ne trouve pour vous des épithètes comme : "faux, menteur" , et d'autres encore que je ne voudrais pas vous voir attribuer... Bien cordialement
@@jawatusken LA FORCE CENTRIPÈTE Trouvé dans "allo prof", sur le net ( simple copié collé ) : " La force centripète est la force qui maintient un objet dans un mouvement circulaire. L'accélération centripète est l'accélération qui provoque le changement d'orientation du vecteur vitesse dans une situation de mouvement circulaire uniforme. Dans un mouvement circulaire uniforme, la vitesse est constante." " On peut prendre l'exemple d'un poids attaché à une corde ( PRÉCISÉMENT L'EXEMPLE PRIS PAR JÉSUS, DANS LE PASSAGE QUE VOUS INCRIMINEZ ) Si la personne se met à tourner sur elle-même en tenant la corde, la force centripète ( LA !!! ) est dirigée vers le centre de rotation, soit la personne. Cette force maintiendra le poids dans un mouvement circulaire. Si la personne lâche la corde, la force centripète disparaîtra et le poids se déplacera dans une trajectoire rectiligne." Votre objection est donc retoquée par "allo prof" :))) Un comble, pour quelqu'un qui voudrait jouer au prof de Dieu Lui-même ! C'est vous qui vous tournez tout seul en ridicule, en refusant un langage de vulgarisation scientifique, rendant parfaitement compréhensible ce que le Seigneur veut dire. Dans votre fatitude, vous prétendez imposer à Dieu de nous faire à chaque phrase un précis de science, alors qu'Il n'a même pas voulu que la Bible le soit. À vous entendre, il faudrait donc déclarer que "la Bible est fausse, parce qu'elle n'explique pas en détail la théorie de la relativité d'Enstein, ou le théorème de Pythagore ! Et si Dieu connaissait tout cela : pourquoi ne l'expliquerait-il pas dans la Bible ??? " Décidément : vous et la théologie, ça fait bien deux. Jésus sait tout, mais Il met à la portée de tous ce qu'il veut dire, dans un langage simple, dépourvu d'artifices.
@oiseaudeminerve1478 cadeau pour toi . Il est important de trouver pour pouvoir juger sans aprioris.cette oeuvre déplaît au diable car ses fruits de conversions sont immenses. Mais les pharisiens modernes continuent leur travail de sape comme il y a deux milles ans 😔 ua-cam.com/video/1b4RKkh1qNY/v-deo.htmlsi=c3BFgZOgnrTFzD8r
SVP faites un livre et envoyez le à Olivier Bonassies, Pierre Barneirias, M. lavère et quelques autres. Un livre en PDF gratuit sur internet serait idéal mais sinon un beau livre dans le commerce serait très utile.
N'hésitez pas aussi à consulter les réponses que j'envoie à ce monsieur, dont la vidéo n'est ni plus ni moins qu'un tissu d'âneries - pardon pour mes frères les ânes, dont je viens d'insulter l'intelligence, en les rabaissant aux moqueries salaces de ce monsieur - À moins que vous soyez une seule personne avec lui, pour tenter de meubler le vide ? Qui sait... En ce cas, lisez également. Cordialement.
Les fruits de cette oeuvre sont colossaux.
Dans ma paroisse tous ceux qui la lisent sont devenus de fervents chrétiens. Ils essaient de participer dans l'humilité, prennent maintenant la communion a genoux et sur la langue etc.
Cette œuvre c'est simplement la Bible mais en 3 d.
Indispensable ❤❤❤❤❤
Maria Valtorta n'a jamais été invalidé par la science, pourquoi cet acharnement ?
L'œuvre de Maria Valtorta a été validée scientifiquement par de nombreux travaux : ua-cam.com/video/0DPUDnVMN5s/v-deo.htmlsi=9C-JvctI0VT9GVWn
LA TENTATION AU DÉSERT EN HIVER :
Je vous avais dit devoir demander son avis à quelqu'un de plus qualifié que moi sur cette question : c'est chose faite en la personne de JF Lavère.
Voici donc ce qu'il vous répond en passant par moi :
JFL :
" Je commence par une remarque préliminaire, que je m’efforce de toujours garder à l’esprit en abordant les révélations privées en général, et donc bien sûr celle de Maria Valtorta :
Il importe, il me semble, d’établir une hiérarchie dans les données transmises.
1/ En tout premier lieu, ces données sont-elles compatibles avec ce qui résulte directement des textes évangéliques, et plus généralement, de ce qui constitue le dépôt de la Foi.
2/ Sont-elles conformes à l’opinion unanime des Pères de l’Église ?
3/ Sont-elles en accord avec ce que nous enseigne de façon véridique les données scientifiques : la physique, la chimie, la géographie, l’histoire, l’archéologie, etc. (Comme par exemple le mouvement des astres, les reliefs, les distances à parcourir, le cycle des saisons…)
4/ Si ces données sont attribuées à Jésus ou à Marie, elles doivent être véridiques, car ils ne peuvent ni se tromper, ni nous tromper.
5/ Si elles émanent de la personne elle-même qui « reçoit » les révélations, toujours garder à l’esprit qu’il s’agit d’un être humain faillible comme nous tous, et que ce qu’il décrit, surtout quand il s’agit d’impressions personnelles, ne doit pas être pris comme « parole d’évangile ». Le prince du mensonge peut toujours semer l’erreur, et même les plus grands saints n’ont pas échappé à ses coups de griffe…
6/ Et avant toute étude, ne jamais oublier d’invoquer le Saint-Esprit, qu’Il nous éclaire et nous guide sur la voie étroite de la Vérité…"
- On voit mal un être humain, même Jésus, rester 40 jours dans un désert toride en plein été ! Cela aurait été mortel pour lui.
JFL : "Oui, et c’est un fait acquis par la Tradition (donc bien avant le récit de MV), dès les origines de l’Église, que la tentation au désert a eu lieu au tout début du ministère de Jésus, en période hivernale.
Voici que la vision commence… Maria Valtorta découvre les lieux…"
- Ensuite, est-ce qu'on peut expliquer que Jésus se protégeait sous la pierre du "soleil brûlant", parce que même en hiver, le soleil direct tape dur ? Même chose pour les tornades de vent sec et brûlant :
" (...) une terre tellement brûlée qu’elle en est réduite à l’état de poussière jaunâtre qu’à chaque instant le vent soulève en petits tourbillons. On dirait le souffle d’une bouche fiévreuse tant ils sont secs et brûlants, et la poussière qui pénètre dans le nez et la gorge est une vraie torture. "
JFL :
" Nous sommes le 24 février 1944 ! Maria n’a alors reçu que quelques visions, elle ignore encore où et quand se déroule la vision qui débute, et elle écrit ce qu’elle « voit » et « ressent »…
- Brûlant : parce que le soleil chauffe le sol même en hiver, je suppose ?...
JFL :
" Pourquoi pas ? L’étude chronologique montre que le dernier jour des 40 jours de jeûne, c’est le vendredi 5 mars 27. Et si je compare avec le climat actuel en France, que ce soit une journée chaude et ensoleillée ne me trouble pas… Même cette année, en jardinant en début d’après midi, en mars (plantation des pommes de terre et taille de la vigne obligent), j’ai pu constater que le soleil pouvait être vraiment « brûlant » ! "
- Cependant, voici telle qu'elle la question exacte de l'objectant :
"Dans le désert de Judée, la température moyenne maximale le jour est de 22,5 degrés en décembre, avec une température moyenne la nuit de 12 degrés.
JFL :
" J’ignore d’où l’objectant détient ces sources ? Pour ma part je n’ai pas pu trouver d’informations climatiques sur le désert de Judée, et encore moins au premier siècle. Et ici il n’est pas question de décembre, mais de début mars ! Faut-il rappeler à l’objectant que la tentation au désert n’a pas eu lieu au début du jeûne, mais à la fin !…"
- "Bon, un pic de chaleur n'est pas impossible. Mais pourquoi MV parle de soleil "presque au zenith" alors qu'en hiver, le soleil monte beaucoup moins haut qu'au zénith ? "
JFL :
" Maria Valtorta n’est pas astrophysicienne. Pour elle le zénith ne s’oppose pas au nadir !
« Le zénith ne devrait pas être confondu avec le point le plus élevé de la trajectoire d'un astre dans le ciel (par exemple le Soleil), appelé point de culmination, car le Soleil ne passe au zénith que les jours où sa déclinaison est égale à la latitude du lieu, soit deux fois par an entre les tropiques et une fois par an sur les tropiques (en dehors de la zone intertropicale, le soleil ne passe jamais au zénith »)
Quand on dit qu’un astre est au zénith, « dans le langage courant », c’est pour dire qu’il est au plus haut de sa trajectoire, et donc que c’est le milieu de la journée. À 16 jours de l’équinoxe de printemps, et à la latitude de Jérusalem, le soleil passe déjà assez haut dans le ciel ! (Je laisse à l’objectant le soin de le vérifier).
Ici clairement MV, couchée dans sa chambrette fin février, nous fait part de ses impressions…
Tout ce dont je peux témoigner, c’est que dans leur étude très détaillée sur la climatologie en Israël, ces savants italiens n’ont pas été troublés par ce détail. "
- Cela fait référence à ce passage : " De temps à autre il lève les yeux et promène son regard alentour et observe le soleil presque au zénith dans le ciel bleu. "
JFL :
" Bon, d’accord, la vision débute vers midi… Le moniteur intérieur de MV lui indique que Jésus « quand il prend quelques heures de repos, enroulé dans son manteau, à la lueur des étoiles et dans l’air froid de la nuit ». Et à midi Satan est « enroulé dans son manteau », preuve qu’il ne doit pas faire si chaud que cela ! « Déjà le vent se lève », ce qui justifie « la poussière jaunâtre, que de temps à autre le vent soulève en petits tourbillons ».
La tentation a dû durer quelques heures, puisque qu’ensuite Satan parle des pierres « dorées sous les rayons du soleil couchant ». Et l’objectant serait sans doute aussi troublé s’il avait lu ensuite que les anges viennent ventiler « la chaleur étouffante de la grotte, la purifiant et la rafraîchissant » ?
Plutôt que de s’attarder sur des détails finalement futiles, ne vaudrait-il pas mieux méditer les paroles de Jésus, comme celles par exemple qui suivent immédiatement, au § 46.12, et qui résolvent, semble-t-il, mieux que toutes nos élucubrations, les quelques interrogations que pourraient susciter la lecture de ce chapitre.
Voici la note de bas de page que j’ai placée en fin de ce chapitre :
Évagre le Pontique, un Père du désert affirme : « Que les pensées mauvaises troublent l’âme ou ne la troublent pas, cela ne dépend pas de nous ; mais qu’elles s’attardent ou ne s’attardent pas, qu’elles déclenchent les passions ou ne les déclenchent pas, voilà qui dépend de nous ».
N’est-ce point là un sage conseil devant les très rares détails qui pourraient nous troubler dans cette œuvre, au risque de nous détourner des merveilles innombrables qu’elle contient ?
Donc encore une fois cher monsieur, votre objection est recalée.
Ok, j'ai été trompé par la note en bas de la page du chapitre 80 qui indiquait que Jésus s'était rendu au désert fin décembre. Si la scène a lieu le 5 mars, ce n'est plus si incroyable, effectivement, je vais pas chipoter.
Les Écrits de Maria Valtorta sont authentiques. Le Pape Benoît XVI a autorisé l'impression de ces écrits.Un jour quelq'un est venu demander à Padre Pio en disant :" Me conseillez vous de lire Maria Valtorta ?". Et Notre Saint Padre Pio lui répondit :" Je ne vous conseille pas de lire Maria Valtorta mais je vous ordonne de lire Maria Valtorta". L'évangile tel qu'il m'a été révélé produit une masse de conversion( prêtres, laïcs,etc...)
Ce qui ose dire que ces écrits ne sont que des impostures, J'offre le Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus Christ au Père Eternel pour sa conversion. Que La Miséricorde Divine soit avec lui
@@ZhaWena Gober toutes les rumeurs est un péché contre la vertu de prudence.
@jawatusken Dieu connaît les siens. Dieu donne aux siens de la Vertu de prudence, de l'esprit de discernement. Grâce à Dieu, ses enfants, connaissent tout esprit qui vient de Notre Pere Céleste. Padre Pio est le transparent de Dieu. Jésus ouvrait le livre de vie à Padre Pio. Padre Pio avait le don de connaître si une âme est en enfer, au purgatoire ou au Ciel. Dieu lui a donné des dons innombrables ( lire dans les âmes, rescussiter les morts, redonner la vue aux aveugles, faire gabandet les boiteux, discerner les esprits etc... Si Padre Pio confirmait qu'il n'y a aucune imposture dans les écrits de Maria Valtorta, il n'y a aucune raison d'en douter. Padre Pio fait parti de l'un des grands Saints des millenaires
@ZhaWena Je ne remets pas en question le discernement de Padre Pio, je questionne votre discernement à vous : Qui vous dit que Padre Pio a recommandé Maria Valtorta ? Il s'agit très probablement d'un faux témoignage, et vous l'avez gobé. Voilà.
@jawatusken si tu ne crois pas à la vie des Saints alors je ne sais plus comment te le dire. Nous,les catholiques nous avons la grace d'avoir les Histoires et la vie et les enseignants de nos Saints catholiques. Ce n'est pas du faux témoignage mais c'est écrit dans l'histoire de la vie du Saint Padre Pio.
Croyez vous que c'est un faux tel que Saint Padre Pio portait des stigmates pendant 50 ans? Croyez vous que c'est un faux témoignage que Saint Padre Pio lisait dans les âmes des personnes ? Croyez vous que c'est un faux témoignage que Padre Pio a rendu la vue à un aveugle? Croyez vous que c'est un faux témoignage que Padre Pio a ordonné à un de ses fils spirituels de lire Maria Valtorta ?
. Je prie le Père Eternel pour qu'il verse le Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus Christ sur ton ames pour te délivrer de toute confusion semée par Satan et ses demons pour aveugler l'humanité et pour vous delivrer des embûches et des tentations des demons, au nom de Notre Seigneur Jésus Christ.Amen.
Saint Michel Archange défendez nous.Amen
Soumettons notre intelligence à Dieu humblement et constamment. Maria Valtorta est une des Voix que Dieu s'est choisie pour tous ces enfants. À nous de répondre à Dieu ou à l'eternel condamné
Ou la la grâce à cette vidéo je crois que je peut voir à quel point les fabuleux écrits de Maria valtorta sont vrais très vrais dommage aux cœur qui ne veulent pas voir 😢
En effet cher ami, c'est très dommage, mais c'est une belle occasion de rétablir la vérité, qui est l'authenticité de l'oeuvre révélée à Maria Valtorta par le Christ. Que Dieu vous bénisse et vous garde +
@@SalveRegina225vous n avez pas la vérité
Barbara, il faudrait arrêter la voyance, c'est l'œuvre des démons.
@@SalveRegina225 je comprend que vous disiez ça on pourr is en parler longtemps dans Maria valtorta a un momment jesus parle de la divination alors il précise a moins que la personne suivent les lois de Dieu et cherche dieu ce qui est mon ca s en même temps je fais vraiment le bien au mieux j aide les personnes le prie j avoue que j y pense et c est la vie j ai pas vraiment le choix mais je m en remet à Dieu dans les prières
@@Debickipatricia Vous ne marchez pas droit sous le regard de Dieu, vous commettez le mal, quand bien même cela soit sans bien le savoir. Ce à quoi vous faites référence dans l'EMV est la science des mages, à qui l'étoile fut envoyée pour les conduire jusqu'à Jésus Nouveau Né. Mais ces Mages ne tiraient pas profit d'un quelconque pouvoir qui leur avait été donné : ils ne faisaient que chercher humblement la Vérité, et Dieu la leur révéla, car cela leur était utile. Mais il est absolument inutile de savoir l'avenir dans la pluspart des cas, et condamnable de vouloir le savoir et d'en tirer profit. De plus, du moment que les mages trouvèrent le Christ, le but de toute leur science était atteint, et ils quittèrent tout cela pour Jésus seul, leur vrai Dieu, sans devenir comme vous des diseurs de bonne aventure ( pour quel motif ? ) Ils n'avaient rien d'autre à transmettre desormais au monde que la Bonne Nouvelle de l'Incarlation et du salut qu'elle apportait.
Judas, au contraire, alla chez la cartomancienne pour acquérir un pouvoir occulte, car il en avait soif.
Les démons connaissent un peu l'avenir, et sont capables d'en révéler certains aspects, en y mélangeant l'erreur sournoisement. Ce sont eux seuls qui travaillent avec vous.
Dieu, en effet, ne veut pas du tout que l'homme se préoccupe fievreusement de savoir son propre avenir, meme ( et surtout ) dans les situations de détresse, mais que l'homme s'abandonne à Lui avec une entière confiance, sans se preoccuper de rien, sauf de son devoir d'état. Et si jamais Dieu veut quand même révéler d'avance à quelqu'un un ou plusieurs éléments de son avenir, alors Il le révèle directement ( et c'est extrêmement rare, très peu courant ) à cette personne, sans que celle-ci ait besoin de payer les services de quelque pseudo voyant que ce soit.
Les seuls pouvoirs bons et valides qui ne soient pas reçus du démon, et qui soient utiles à l'humanité, sont ceux qui sont reçus de l’Église elle-même : ce sont les pouvoirs des prêtres, qui distribuent les sacrements. Faire de la voyance coupe vous-même et vos clients de la réception des sacrements du salut, car faire de la voyance est un péché grave.
Ce n'est ni un évêque, ni un prêtre, ni même un pieux laïc, qui vous a transmis ce pseudo pouvoir de voyance : il est donc mauvais, et il faut vous en débarrasser à tout prix.
Relisez pour vous en persuader la biographie de saint Antoine le Grand, écrit par saint Athanase.
"COMMENT CELA SE FERA-T-IL, PUISQUE JE SUIS VIERGE ?"
Cette demande de la Vierge Marie serait loufoque, si elle savait qu'en réalité, le Messie devait naître miraculeusement d'une vierge qui resterait vierge pendant et après l'enfantement : quand on sait, on ne demande pas ce que l'on sait déjà ! Ça parait plutôt logique.
Et là, on est éberlué de la manière dont vous tirez la conclusion que Marie savait parfaitement tout cela d'après les prophéties, en particulier celle d'Isaïe : "Voici que la vierge concevra et enfantera un Fils, et on l'appelera "Emmanuel", "Dieu avec nous" ".
Je cite les étapes de ce qui vous sert de "raisonnement" :
1 ) "Bon, bien sûr on peut penser que dans Isaïe, la femme est déclarée "vierge", car c'est son tout premier enfant... ( sous entendu : ce n’est pas clair au sujet d'une conception miraculeuse ). Vous commencez donc par l'admettre. Et juste après :
2 ) "Donc, si Marie savait cela ( ??? ), ce serait ridicule qu'elle demande à l'ange des précisions quelle aurait déjà su ! " .... ok, mais vous venez justement de dire que c'était très loin d'être évident !
Et finalement, vous ajoutez :
3 ) " VOUS ENTENDEZ ? MARIE SAVAIT TOUT D'AVANCE ( ????? ) ET POURTANT, ELLE DEMANDE DES PRÉCISIONS À L'ANGE, CE QUI EST PARFAITEMENT RIDICULE !!! "
Oui oui oui oui oui...... Enfin ce qui est ridicule ici, mon très cher monsieur, c'est votre "raisonnement" qui n'en est pas un ! Vous passez en effet de l'hypothèse ( absurde ) à la certitude, on ne sait vraiment pas comment ! Ça sort de votre chapeau, comme ça, hop ! C'est magique :)))
Flop....
En réalité : Marie ne savait QUE ce que disait la prophétie d'Isaïe et rien de plus, elle ne savait pas que la Vierge ( elle ! ) concevrait miraculeusement sans connaître d'homme. Tout Israël était comme elle - et également de nos jours, c'est ainsi chez les juifs - et attendait le Messie en chaque nouveau-né d'une jeune mariée vierge, de la lignée de David !
Or que fit Marie, dans sa sublime humilité ?
ELLE RENONÇA PAR AVANCE À L'HONNEUR D'ÊTRE L'HEUREUSE ÉLUE : car en faisant voeu de virginité perpétuelle - comme elle s'en ouvrit à l'archange Gabriel -, elle était sûr et certaine de ne jamais pouvoir porter un enfant.
Mais voilà : son humilité fut préférée à tout par le Maître de l'impossible, qui choisit de s'incarner en son sein virginal de préférence à n'importe quel autre ! Oui, désormais tous les âges la disent bienheureuse, car Dieu son Sauveur s'est abaissé sur son humble servante, le Saint, le Tout Puissant fit pour elle de grandes choses.
Je pense que le terme "ridicule" est passablement inadapté pour parler de ce sublime mystère mariale de l'Incarnation du Verbe en elle...
Encore une fois : l'EMV est inattaquable, et votre objection passe aux oubliettes, car elle est nulle et non avenue.
En réalité, Marie ne connaissait que la prophétie d'Isaïe et rien de plus, elle ne savait probablement pas que la Vierge concevrait miraculeusement sans connaître d'homme. En effet.
Mais dans l'EMV (je l'explique pourtant clairement dans la vidéo), Marie a l'air persuadée qu'il s'agira d'une conception miraculeuse puisqu'elle dit "on entendra vagir le Fils d'une Vierge", et désigne le messie par l'expression "celui qui naîtra de Dieu et d'une Vierge". D'ailleurs, au moment de l'Annonciation, l'ange Gabriel lui dit : "Toi, la sainte Vierge bien-aimée du Seigneur, sa fille bénie, toi qui es appelée à être la mère de son Fils, comprends quel Fils tu vas engendrer".
Eh bah non, elle comprend pas, car elle dit : "Comment cela peut-il se faire puisque je ne connais pas d'homme ?" (Notez que la forme de cette question sous-entend d'ailleurs un doute de la part de Marie, contrairement à la question du véritable évangile : "comment cela se fera-t-il, car je ne connais point d'homme ?")
Mais le pire c'est qu'elle demande ensuite : "Est-ce que le Seigneur Dieu (...) ne veut pas que je sois vierge par amour de lui ?"
C'est ridicule parce que ça montre qu'elle est devenue soudain stupide, et ne se souvient plus (alors qu'elle savait) que le messie doit naître miraculeusement d'une Vierge.
C'est une contradiction qui prouve que la Vierge Marie de Valtorta est un personnage de fiction.
@@jawatusken
Pardon, Marie n'est pas un personnage de fiction dans l'EMV : c'est à vous que convient ce titre qui sort de votre bouche, à savoir "commentateur fictif". Toutes vos accusations sont en effet fictives, elles ne reposent que sur votre volonté ultra procédurière de trouver coûte que coûte au moins un motif d'accusation. Mais une fausse accusation, plus une autre, plus une autre, n'aboutira jamais à une seule vraie.
Vous niez ici l'évidence même ( et on verra plus tard, dans d'autres de vos objections, que vous procédez toujours ainsi ) : Marie avait choisi par humilité, non pas seulement d'être vierge - ce qui lui aurait permis d'être une candidate potentielle pour être la vierge élue de Dieu dont parlait Isaïe - , mais de ne connaître JAMAIS d'hommes.
Pourquoi cela, si elle avait su que le Messie naîtrait de manière miraculeuse, sans père humain ?
Ceci est bien confirmé par le fait que Marie pressent fortement qu'elle verra le Messie de ses yeux, mais jamais qu'elle puisse en devenir la mère, en raison de son voeu : elle se rêve en servante de l'heureuse vierge, qui par un heureux mariage et une conception naturelle, enfanterait le Sauveur attendu, ce qui prouve qu'elle ne savait pas le mode miraculeux de sa conception.
Elle se consolait en pressentant que son voeu à la virginité perpétuelle plaisait beaucoup à Dieu : et elle ne se doutait pas à quel point son intuition était juste !
C'est également confirmé par saint Bernard, dans les "Louanges de la Vierge Mère".
- Qu'elle parle encore une fois du "fils de la vierge" n'indique pas du tout autre chose dans son esprit que le "premier né de la vierge choisie de Dieu", et vous en avez d'ailleurs convenu vous-même !
- et que ce Fils soit le Fils de Dieu et le fils de la Vierge : cela, elle le savait, car toutes les prophéties de l'Ancien Testament ne cessent de parler de la Divinité du Messie attendu, de manière voilée ou non, que ce soit dans les psaumes, dans Daniel, Ezechiel, Isaïe, ce que Marie connaissait par cœur, et avait étudié comme personne ne l'avait jamais fait avant elle.
Seulement, le Secret du Roi était bien gardé. Et ce secret ne lui fut révélé qu'au moment de l'Annonciation.
- Pas plus de doute de la part de la Vierge dans l'EMV que dans saint Luc : Marie est désorientée, et ne sait pas encore que Dieu va rendre son sein fécond sans semence d'homme.
Écoutons ce que dit saint Bernard à ce sujet, dans ses "Louanges de la Vierge Mère" :
(...) " Étant donc rassurée, la confiance chassant la crainte et la joie écartant la timidité, elle répondit à l'ange : "Comment cela se fera-t-il, puisque je garde la virginité ?" Elle ne doute pas du fait, elle s'enquiert simplement du mode des événements. Elle ne demande pas : Cela se fera-t-il ? mais COMMENT cela se fera-t-il ? Elle veut dire : Mon Seigneur, témoin de ma conscience, connaît bien le voeu de sa servante de rester vierge ; dans quelles conditions et par quelles dispositions lui plaira-t-il que cela se fasse ?
S'il faut enfreindre mon voeu pour mettre au monde un tel fils, ma joie sera d'avoir ce fils, MA DOULEUR, DE DEVOIR RENONCER À MON PROPOS : pourtant que sa volonté soit faite ! Mais au contraire, si vierge je conçois, si vierge j'enfante - chose que son bon plaisir, certes, ne trouvera pas impossible - alors je suis certaine qu'il a jeté les yeux sur l'humilité de sa servante. Comment donc cela se fera-t-il puisque je garde la virginité ? (...) "
Ce commentaire est parfaitement corroboré par l'EMV : Marie y exprime avec une simplicité désarmante sa douleur si son voeu devait être rompu sur ordre de Dieu, mais ne remet aucunement en cause la faisabilité de l'événement, et ne s'y oppose pas.
La question ne porte que sur le "comment", le reste est question de traduction.
La réplique de Marie ne fait qu'exprimer sa parfaite ingénuité, ce qui est à mille lieu de la stupidité ( sauf pour les stupides, évidemment). Elle était tout de même juste un peu concernée, la très sainte et très pure jeune fille, et on lui parlait ni plus ni moins d'avoir un enfant ! La moindre des choses qu'elle était en droit d'avoir, c'était une petite explication sur la modalité, cela paraît plus qu'honnête ( sauf aux malhonnêtes, précisément).
D'autant plus que, comme le rappelle saint Bernard, elle savait que Dieu connaissait son voeu si particulier en Israël, qui aurait du normalement la priver de la joie d'avoir un enfant.
Tome 1 chap 7 ( nouvelle édition)
(...)
" Cela veut dire ne pas connaître amour d'homme, mais seulement de Dieu. Cela veut dire n'avoir de pensée que pour le Seigneur. Cela veut dire rester enfant dans sa chair et ange dans son cœur. Cela veut dire n'avoir d'yeux que pour regarder Dieu, d'oreille que pour l'écouter, de bouche que pour le louer, de mains que pour s'offrir en hostie, des pieds que pour le suivre rapide, de cœur et de vie que pour les Lui donner."
"Bénie toi ! Mais alors, tu n'auras jamais d'enfants, toi qui aimes tant les petits, et les agneaux et les petites tourterelles... Sais- tu ? Un enfant pour une femme est comme un petit agneau blanc et frisé, ou comme une petite colombe au plumage de soie et au bec de corail que l'on peut aimer, couvrir de baisers et qu'on entend vous dire : "Maman".
"N'importe. Je serai de Dieu. Au Temple, je prierai. Et peut-être, un jour, je verrai l'Emmanuel. La Vierge qui doit être sa mère, comme dit le grand Prophète, doit être déjà née et elle est au Temple... Je lui serai compagne... et servante. Oh ! oui, si je pouvais la connaître, par lumière divine, je voudrais la servir, cette bienheureuse ! Et puis, elle me porterait son Fils, m'emmènerait à son Fils et je le servirais, Lui aussi, Pense, maman !... servir le Messie !..."
-----> Ni sainte Anne, ni sa fille Immaculée, ne sont décrites dans l'EMV comme sachant d'avance que la naissance du Messie se ferait miraculeusement, sans intervention humaine.
C'est vous seul qui faites cette fausse interprétation, sortie de nul part.
@@SalveRegina225 Au chapitre 7 il n'y a rien qui l'indique, en effet. Mais les citations que j'ai faites ne laissent pas l'ombre d'un doute et proviennent du chapitre 10.
@@jawatusken
Les citations que vous faites font au contraire tellement l'ombre d'un doute, que c'est vous-même, dans votre exposé, qui doutez premièrement de la validité de votre hypothèse, avant de tout soudain la tenir pour certaine ! Vous êtes incroyable.
Une simple comparaison ( par JF Lavère ) :
une image a jailli dans mon esprit, en forme de parabole.
Il y avait dix coffres remplis de toutes sortes de trésors : de l’or, des diamants, des perles rares, des pierres précieuses, des pièces de joaillerie, etc.
Une vraie caverne d’Ali Baba ! Et même pas besoin d’un « sésame ouvre-toi », car ces coffres étaient ouverts et laissés en libre-service, à la porté de tous...
Il suffisait à chacun d’y puiser à sa guise…
Une vraie merveille inépuisable pour combler les plus exigeants !
Et voici que s’affairant, agité, passant fébrilement d’un coffre à l’autre, un pauvre hère en guenilles, vraiment misérable, passe par là.
Il voit ces dix coffres… Il se précipite, farfouille avec avidité, dans l’espoir vain d’y découvrir… deux ou trois vieux clous rouillés !
Toute ressemblance avec un personnage existant serait bien entendu purement fortuite…
😊
Sauf que les clous rouillés prouvent que les coffres aux trésors ne sont pas en or mais en toc et que les pièces et les pierres qu'ils contiennent sont volées et doivent être remises à leur légitime propriétaire.
Votre déduction est aussi intelligente que de dire : "(...)Sauf que le fait que cet homme ait une dent en or prouve qu'il n'est pas un homme, mais un reptilien, et qu'il doit être mis en cage ! ".
Puisqu'on parle d'or, je trouve votre raisonnement... particulièrement brillant ! 😅😅 😅
@@MrMirville Et autrement, Sherlock, juste pour votre petite gouverne : les clous d'un coffre ne sont jamais en or. Autrement, au lieu de s'en servir pour transporter une quelconque marchandise, son propriétaire serait tenté à chaque instant de le désosser pour récupérer les clous, ou bien de tenir son coffre caché... dans un autre coffre ! Et donc ensuite : de cacher également le fameux coffre caché dans un coffre, dans un troisième coffre ! Et ainsi de suite. Vous me suivez, Sherlock ? 😂
De la même manière, c'est relativement qu'un roi ait l'idée de paver les routes avec des pierres précieuses, et on comprend facilement pourquoi. Capito ?
Au moins, ce fut amusant de vous répondre ;))
PS : Vous aimez la voyance, MrMirville ? Vous êtes abonné à "Madi voyance" et "Taikan voyance"... Vous pensez qu'on devrait vous en féliciter ?
@@SalveRegina225 Enfin pas besoin de vous faire une dessin pour vous signifier que la révélation du message de Jésus s'arrête avec le départ de ce monde de son dernier apôtre et que désormais c'est par l'ensemble de son église et non par aucune sorte de communication directe de particuliers avec l'au-delà que le message se précise et se détaille. Maria Valtorta est au mieux une romancière et le roman n'a pas sa place en tant que source du dogme. Il suffit d'une hérésie manifeste pour enlever toute valeur théologique à un ouvrage ou un auteur or l'idée que le péché originel fut sexuel est une hérésie parmi les toutes premières que l'église dut anathématiser.
@@MrMirville
Vous venez de nous révéler toute la profondeur de votre incapacité à vous exprimer en choisissant une image sensée. Donc effectivement : pas besoin dans ces conditions de me faire encore un dessin. Vous êtes parfaitement inapt(e) à accueillir ce que l'Église reçoit de la part du Ciel depuis 2000 ans, et je ne suis même pas sûr que vous soyez capable de poser un quelconque raisonnement, même simple. En effet : vous confondez allègrement la Révélation catholique qui est close depuis la mort du dernier apôtre, et les révélations privées dont le statut est fort bien explicité dans le catéchisme, que vous feriez bien de consulter.
Le Seigneur avait déjà donné à Anne Catherine Emmerich et encore avant à Maria d'Agreda des révélations privées sur l'Évangile, cela n'a rien de nouveau ( sans parler de celles données par exemple à sainte Marguerite Marie ).
Les visions de MV n'apporte strictement aucun nouveau dogme, et n'en modifie aucun. Votre accusation est frelatée, car basée :
- sur une incompréhension fondamentale du texte de l'œuvre,
- ainsi que sur l'ignorance du texte, où Jésus explicite avec pourtant beaucoup de clarté le fait que le premier péché d'Eve fut L'ORGUEIL, celui de devenir par elle-même égale à Dieu, avec son époux. Le péché de luxure suivit seulement celui d'orgueil. Je n'y peux rien, si vous ne voulez pas lire, et je comprends qu'avec votre niveau très faible, la seule chose qui vous soit accessible soit d'accuser sans savoir. Continuez donc dans votre funeste opinion qui vous prive de ce cadeau céleste, ainsi que du mérite consistant à en favoriser la diffusion, si utile de nos jours pour la conversion des âmes. Il vous restera vos yeux pour pleurer après la mort, et j'espère aussi : un petit lot de consolation, malgré cette erreur irrémédiable de votre part.
Vous ne l avez pas lu très certainement vous n avez aucun argument et ce qui est écrit les argument contre sont faux
Il est vrais que les modernistes détestent l'oeuvre dite faussement de Maria Valtorta alors qu'elle est de Jésus (avec d'autres interventions Saintes), car elle s'oppose à eux. Toujours vérifier quel avantage a celui qui critique. Mais aussi des sedevacantistes critiquent outrageusement l'oeuvre car ils estiment que l'église et ses papes sont plus véritables que des paroles d'un "Jésus". Ils suivent la lettre des Saintes écritures mais, semble t il non l'Esprit. Pour avoir étudié de nombreuses critiques, dont celle de Lesage, elles me semblent toutes invalides et je suis pret à en débattre. Pour moi, la lecture de l'oeuvre m'a amené par la raison à la foi , au Nouveau Testament et à la religion catholique traditionnelle et à l'Amour de la Sainte Trinité, Marie et des Saints véritables.
Moi cette oeuvre m'éloignerait plutôt de la foi. Je ne veux pas croire à un Dieu qui écrit avec les pieds...
CARACTÉRISTIQUES DU DÉSERT :
Le climat est extrêmement chaud et sec. Le passat est un vent très sec qui souffle quasi continuellement toute l'année. Les températures extrêmes de la journée pouvant grimper jusqu'à 60°C, ainsi que l'amplitude de température pouvant atteindre 30°C entre le jour et la nuit contribuent entre autre à la formation du désert. En hiver, la température peut descendre jusqu'à -10°C durant la nuit. La moyenne annuelle de précipitations se situe à 45,5mm. Néanmoins, certaines années ne reçoivent pas du tout de pluie.
Un désert n'est pas une région comme une autre. En plein hiver, la température peut descendre très bas durant la nuit, et rester étouffante durant le jour.
Vous êtes recalé par la science, et l'EMV justifiée.
SOIT-DISANT FAUSSE PROPHÉTIE SUR CAPHARNAÜM
Les trois pharisiens entrent. Ils regardent tout autour avec un rire méchant et vont parler. Mais Jésus, qui s'est levé et est allé à leur rencontre avec Matthieu, les devance. Il met une main sur l'épaule de Matthieu et dit : "O vrais fils d'Israël, je vous salue et vous donne une grande nouvelle qui certainement comblera de joie votre cœur de parfaits Israélites, qui soupire après l'observance de la Loi par tous les cœurs, pour donner gloire à Dieu. Voici : Matthieu fils d'Alphée, n'est plus, à partir d'aujourd'hui, le pécheur, le scandale de Capharnaüm. Une brebis galeuse d'Israël est guérie. Réjouissez-vous !
Après lui, d'autres brebis pécheresses redeviendront saines et votre cité, à la sainteté de laquelle vous vous intéressez tant, deviendra par sa sainteté agréable au Seigneur. Lui laisse tout pour servir Dieu. Donnez le baiser de paix à l'Israélite égaré qui revient dans le sein d'Abraham."
"Et y revient avec les publicains ? Dans un gai banquet ? Oh ! vraiment, c'est une conversion avantageuse ! Tiens, regarde-là, Élie c'est Josias, le souteneur."
"Et celui-ci Simon d'Isaac, l'adultère."
"Et celui-là ? C'est Azarias, le tenancier du tripot, où Romain et Juifs vont jouer, se quereller, s'enivrer et se livrer à la débauche."
"Mais, Maître, sais-tu au moins qui sont ces gens-là ? Le savais-tu ?"
"Je le savais."
"Et vous, alors, vous de Capharnaüm, vous disciples, pourquoi avez-vous permis la chose ? Tu me stupéfies, Simon de Jonas !"
"Et toi, Philippe, bien connu ici, et toi, Nathanaël ! Mais j'en suis fort stupéfait ! Comment as-tu pu supporter que ton Maître mange avec des publicains et des pécheurs ?"
"Mais, il n'y a donc plus de retenue en Israël ?" Les trois sont tout à fait scandalisés.
Jésus dit :
"Laissez en paix mes disciples. C'est Moi qui l'ai voulu. Moi seul."
(...)
----> Donc, le comble de l'ironie très cher monsieur, c'est que vous choisissez de conspuer précisément le passage où Jésus reçoit pacifiquement les pharisiens qui viennent lui chercher noise à Capharnaüm, pour s'être attablé avec des hommes à la mauvaise réputation, que sont Matthieu et ses amis.
Et à votre tour, vous cherchez de quoi accuser, mais bien en vain.
Quoi d'étonnant à ce que le Christ, ayant sauvé Matthieu à Capharnaüm, désire ne pas s'arrêter en si bon chemin et faire de cette ville entière une des gloires de son apostolat ?
"Après lui, d'autres brebis pécheresses redeviendront saines et votre cité, à la sainteté de laquelle vous vous intéressez tant
( ndm : comment ne pas déceler ici une légère pointe d'ironie bien justifiée, adressée à des hommes sans cœur, froids comme la glace ! ),
deviendra par sa sainteté agréable au Seigneur." ( sous-entendu : " si Je trouve sa libre coopération ! " )
Est-ce que peut-être la sainte Vierge n'était pas apparue au Portugal à Fatima, pour nous prévenir contre le double fléau de la révolution russe entraînant l'humanité dans l'égarement du communisme, et de la seconde guerre mondiale ? N'avait-elle pas donné le moyen d'éviter tout cela, comme de consacrer la Russie à son Coeur Immaculé, ce qui ne fut pas fait, de se convertir et de faire pénitence, ce qui ne fut pas non plus entendu ? Rien de nouveau sous le soleil à ce que les désirs de Dieu au sujet de notre sainteté ne soient pas suivis d'effet, et entraîne pour beaucoup un châtiment mérité !
Dieu n'est pas Celui que vous croyez, c'est-à-dire un Dieu de malheur, se plaisant à asséner ses malédictions avec la dernière des sévérités.
Mais lorsqu'il envisage de bénir une ville ou bien quelqu'un, si ensuite le sujet refuse sa bénédiction, et bien c'est sa malédiction qu'il se trouve obligé de lui envoyer, comme ici sur Capharnaüm.
Cette fameuse prophétie que vous citez dans l'Évangile n'a tellement pas le don de s'opposer aux paroles du Christ dans l'EMV, qu'elle se trouve intégralement dans l'oeuvre, telle qu'elle, un peu plus loin, à cause de la persévérance des habitants de Capharnaüm à refuser son Message de Paix et de Salut.
La malédiction est d'autant plus grande, que le désir du Christ de sauver cette ville était plein et entier !
" Ils respecteront mon Fils", se disait le Père, envoyant son Fils aux vignerons homicides. Dieu veut toujours espérer dans les hommes, avant de décider de les châtier en toute justice.
Et COMMENT est-ce que Jésus aurait pu vouloir autre chose que de rendre sainte et pure Capharnaüm, et de le lui dire clairement ? La preuve irréfutable en est le nombre de miracles qu'Il y fit ! Ce n'était pas au départ pour les maudire, il faudrait peut-être avoir l'honnêteté d'en convenir.
Les jugements de Dieu peuvent changer d'ailleurs dans les deux sens : à Ninive, ce fut l'inverse qu'à Capharnaüm. Les hommes coupables, à qui Jonas fut envoyé pour leur prédire leur destruction prochaine, obtinrent de Dieu l'annulation de sa malédiction prophétique, par leurs sincères efforts de pénitence.
Dieu est bien un Dieu de tendresse et de pitié, LENT À LA COLÈRE, plein d'amour et de vérité.
Si Capharnaüm mérita à la fin d'être ainsi fustigée par le Christ, c'est qu'elle l'avait longuement, patiemment et obstinément cherché.
Et cependant, ce n'est pas sans miséricorde que le Christ lui adresse sa malédiction dans l'EMV comme dans les Evangiles :
" (...) Et toi, Capharnaüm, crois-tu que tu seras élevée jusqu’au Ciel uniquement pour m’avoir accordé l’hospitalité ? Tu descendras jusqu’en enfer ! Car si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, elle serait encore florissante, parce qu’elle aurait cru en moi et se serait convertie. On montrera donc plus de clémence pour Sodome au jour du jugement dernier - comme elle n’a pas connu le Sauveur et sa Parole, sa faute est moins grande - que pour toi qui as connu le Messie et entendu sa parole, mais ne t’es pas convertie.
CEPENDANT, puisque Dieu est juste, il sera fait preuve d’une grande miséricorde pour les habitants de Capharnaüm, de Bethsaïde et de Chorazeïn qui ont cru et se sanctifient en obéissant à ma parole. Car il n’est pas juste que les justes soient mêlés à la ruine des pécheurs. (…)
Votre objection est recalée, encore une fois.
1) Dans le désert de Judée, la température moyenne maximale le jour est de 22,5 degrés en décembre, avec une température moyenne la nuit de 12 degrés.
Bon, un pic de chaleur c'est pas impossible, mais pourquoi Valtorta parle-t-elle de "soleil presque au zénith" alors qu'en hiver le soleil monte beaucoup moins haut qu'au zénith ?
2) Le Jésus de Valtorta ne fait pas une bénédiction, il ne fait que donner une information sans condition sur l'avenir : "votre cité deviendra par sa sainteté agréable au Seigneur". Il n'a pas posé de condition du genre "si beaucoup d'entre vous se convertissent". Au contraire, il affirme que "d'autres brebis redeviendront saines". Seulement voilà, cette cité deviendra tellement désagréable au Seigneur qu'il la maudira.
@@jawatusken
1 ) C'est une question à poser à des plus spécialistes que moi, et je vais le faire.
2 ) La répartie de Jésus devance les remarques acerbes des pharisiens, qui ne se préoccupent qu'en figure de la sainteté de leur cité Capharnaüm. Mais Jésus fait comme si ils s'en preoccupaient réellement, il les prend au sérieux, et leur fait donc une prédiction qui aurait du normalement leur plaire, et les mettre de son côté ! Or il n'en fut rien, on pouvait s'en douter.
Ce qu'il dit est d'ailleurs vrai : d'autres âmes de cette ville viendront par la suite à la Vie selon le Christ, et si les pharisiens avaient saisi leur chance et suivi l'invitation du Christ de marcher avec Lui, alors sa bonne prophétie se serait à coup sûr réalisée. Et encore une fois, l'existence de cette bonne prophétie optimiste du Christ est attestée dans l'Évangile par le fait qu'Il accomplit en ce lieu bien des miracles : ce qui prouve qu'au départ, Il en espérait bien de bon fruits.
En réalité, vous vous trompez en prenant ces Paroles pour des prophéties certaines et arrêtées, sans prendre en compte la liberté humaine qui les conditionne. Il s'agit bien plutôt :
- d'une espérance enthousiaste que Jésus voudrait ( par impossible ! ) communiquer aux pharisiens barricadés dans leur sentiment d'être supérieurs aux autres, et très peu intéressés par la sainteté de Capharnaüm.
- et ensuite, d'une très juste colère face à la persévérance de cette fermeture d'esprit, même face aux miracles.
Cette seconde parole, d'une grande sévérité, pouvait elle-aussi être annulée, dans le cas où Capharnaüm aurait réagi comme les habitants de Ninive, en entendant la proclamation de Jonas.
C'est très récurent, le Ciel ne cesse d'agir ainsi. Par exemple, la saine Vierge était apparue à un humble et pieux paysan se rendant à Niedermorschwihr au marché, tenant dans sa main droite trois épis de blé, et dans la gauche un gros glaçon. L'abondance des récoltes serait venue si les gens écoutaient son appel à la pénitence, la grêle dévastatrice dans l'autre cas. Grâce à un miracle étonnant, le message fut entendu et suivi.
Mais Dieu commence toujours par espérer que les hommes vont l'écouter et lui obéir, même lorsque c'est l'inverse qui se profile à l'évidence. "Ils respecteront mon Fils ! " avait prophétisé le Père : est-ce que les vignerons accomplirent ensuite la prophétie ? Non, bien au contraire, ils tuèrent l'héritier pour avoir l'héritage.
Que leur advint-il ? Le malheur au lieu du bonheur, ils furent passés au fil de l'épée.
Cessez donc d'être procédurier, et devenez croyant.
Votre mépris cinglant et dégoulinant vous discrédite, monsieur !
Vous voulez du vrai mépris ? Regardez le mépris pour la Vérité (c'est à dire pour le Christ lui-même) des propagandistes valtortistes sur la position de Benoît XVI concernant "l'Evangile selon Ste Valtorta". Ça suffit pour signer l'esprit profondément diabolique qui anime ce mouvement. qui tente par tous les moyens de justifier la désobéissance que l'on doit au magistére et qui est digne d'une secte, pas de l'Eglise fondée par NSJC.
La lecture du texte de Valtorta en effet, ne plaide pas pour l'objectivité. Il serait aisé de lire de la même manière la "critique". 😂
@@paydretz bravo mon ami tu as parlé avec le coeur ❤️
"Je devais, par un sacrifice total, réparer la Faute et les fautes de toutes l'humanité"
"C'est avec le sacrifice consommé que je vous ai racheté de cette tâche. Si sur le seuil de ma vie, un miracle divin de ma part m'avait fait descendre de la croix, je vous dis en vérité qu'à cause du sang répandu j'aurais purifié les fautes, mais non pas "la faute". Pour elle, il était necessaire que mon sacrifice soit totalement consumé (...)"
Versus :
"Une seule goutte du Sang de Jésus-Christ aurait pu suffire à effacer le péché originel ainsi que les autres péchés, et à racheter tous les hommes."
Très piètre mise en opposition, car en réalité, vous voudriez monter contre elle-même pour qu'elle se contredise la théologie catholique traditionnelle ( mais c'est vrai que vous n'y connaissez rien ).
En effet, qu'une seule goutte de Sang du Christ aurait suffit à annuler toute notre dette est un article de foi développé par saint Thomas d'Aquin dans sa somme. Soutenir l'inverse voudrait dire que ce Sang n'était pas divin, et possédait donc une puissance limitée, ce qui aurait nécessité forcément son abondante effusion, pour pallier à sa faible puissance.
Or le Bon Dieu n'a pas voulu que son Fils se contente d'un sacrifice si facile, sans aller jusqu'à mourir sur la croix. Et ce que Dieu veut, ce n'est jamais sans une cause dont la sagesse est infinie.
- En effet : s'il n'y avait pas de cause réelle et compréhensible pour que le Père demande à son Fils son sacrifice totalement consommé, si verser une seule goutte de son Sang avait produit exactement la même Rédemption que le sacrifice de la Croix, alors il faudrait conclure à la cruauté de Dieu envers son propre Fils. Cela est inconcevable.
En effet, il y eut l'arbre de la tentation et le fruit défendu pourtant cueilli et consommé par Ève et son mari, pour leur perte : il fallait donc lui opposer l'arbre de la Croix, et son doux Fruit de Vie offert cette fois gratuitement à tous, pour leur donner la Vie éternelle.
Certes oui : une goutte de Sang du Christ aurait théoriquement suffit pour la Rédemption du monde entier, mais très peu d'hommes en auraient bénéficié, car très peu auraient été attirés vers un tel Sauveur si réservé, si peu généreux, si peu démonstratif de son Amour pour les pécheurs !
Et donc : est-ce que finalement, la victoire sur la faute originelle aurait été si totale que ça ?
Bien sûr que non : car le Christ n'est pas venu racheter quelques hommes et femmes, mais une très grande multitude d'entre eux ! Leur montrer toute l'étendue de son Amour était bien plus efficace pour les sauver que de compter le nombre exact de gouttes de Sang nécessaire ( une ! ), à ne pas dépasser.
Voilà encore une fois retoquée votre objection légaliste, qui n'a pas lieu d'être.
"Je vous dis en vérité qu'à cause du sang répandu j'aurais purifié les fautes, mais non pas la Faute. Pour elle, il était nécessaire que mon sacrifice soit totalement consumé."
Ça veut bien dire ce que ça veut dire : le péché originel n'aurait pas pu être réparé si le sacrifice n'avait pas été total. Le Jésus de Valtorta contredit donc bien la doctrine catholique.
il y a beaucoup de messages .nous pouvons être choqué et épuisé et effrayé ou ne pas pouvoir suivre et ne rien comprendre . Mais il faut fair un effort et écouter . C'est pas facile, mais il faut le fair .encore hier après des centaine s d'heures et de lectures et de recherches je craque sur des paroles . mais je vous en prie faite un effort et vous découvrirez des merveilles et des joies perdu réparatrice et inspirante .c'est pas facile pour moi qui est des problèmes du comportement . mais je découvre des trésors et mes lacunes et ma mémoire me fait des cadeaux ou bien souffrir . Alors je m'interroge profondément, l'amour doit être redonné et partagée . aidez nous aussi .svp
LE VOYAGE SOIT-DISANT "INCROYABLE" DE JONATHAS, ACCOMPAGNANT JEANNE DE CHOUZA MALADE
Puisqu'ici vous remettez carrément en cause l'excellent travail de JF Lavère au sujet de la vérification des déplacements divers des personnages dans l'EMV, je ne résiste pas au plaisir de lui donner la parole pour vous répondre en direct :
" Enfin nous tenons le Lucky-Luke de la critique. Il critique plus vite que sa réflexion ! C’est ce qui peut arriver lorsqu’on part du postulat que cette œuvre est bourrée d’erreurs, et que leur recherche devient le seul objectif de la lecture. Finalement il vaut mieux faire comme les censeurs du Vatican, qui ont émis l’hypothèse que cette œuvre devait être bourrée d’erreurs, mais se sont bien gardés d’en découvrir une seule… Eux au moins ont évité de montrer leur incapacité à émettre plusieurs hypothèses et sélectionner la plus plausible, au lieu de s’en tenir à la seule qui convienne à leur « a priori » de rejet de cette œuvre.
Je n’ai vraiment pas envie de relire minutieusement les chapitres évoquant le voyage aller et retour vers le Liban, que j’ai analysé en détail il y a une dizaine d’années, et qui m’était apparu alors pleinement plausible…
Voici seulement quelques clés de lecture pour envisager les faits positivement et non négativement :
1/ Jeanne a quitté Tibériade le lundi 2 août 27. En période d’extrêmes chaleurs. (Elle n’avait pas installé de climatisation dans son palais). Il lui fallait chercher en montagne la fraîcheur pour la soulager. Son état de santé, et les fortes chaleurs ne permettaient pas de forcer l’allure, ni de voyager de longues heures (à 4 km/h, environ, 6h de nuit (104.4), difficile de parcourir plus de 25km par jour. Atteindre le Liban leur a pris 3 jours (102.4).
Voici la note de bas de page que j’ai mise pour cet aller :
De Bethsaïda à Césarée Philippe, il y 40 km par la route directe, et environ 50 km en passant à l'ouest du lac de Méron, soit deux ou trois jours de voyage à très faible allure et de nuit.
2/ Quand Jésus passe à Tibériade le jeudi 5 août 27, il décide d’aller 6 jours à Nazareth (99.4)
3/ 6 jours plus tard, le jeudi 12 août 27, Jonathas arrive à Nazareth (102.3) et relate son voyage.
4/ le retour fut bien plus éprouvant que l’aller. Jeanne était mourante, ne trouvait de repos qu’entre midi et 15h, juste pendant les très fortes chaleurs, et même à très faible allure compte tenu de l’état de santé de Jeanne, 3 heures en plein soleil d’août était très éprouvant pour les chevaux, qui ne pouvaient parcourir plus de 10/12 km sans être « crevés ». Il ont atteint Tibériade à 15h (none).
Voici les notes de bas de page que j’ai mises pour ce retour :
1/ Au retour, à partir du jeudi 5 août 27, l'état de santé de Jeanne a dû nécessiter une allure plus réduite (2 à 3 km/h ?) d'où un retour en 6 ou 7 jours (y compris la journée de repos sabbatique !). Ils sont arrivés à Bethsaïda dans la matinée, et ont parcouru le lac en début d’après-midi.
2/ La reconstitution du trajet de Tibériade vers Nazareth est remarquable de précision : le char a donc parcouru, à la moyenne de 3 km/h, environ 10/12 km en 3 heures 30. Si Jeanne a envoyé Jonathas en avant au bout de 3 heures 30, (soit vers 18 h 30), il a parcouru les 18 ou 20 km restant en 2 heures, et vient de retrouver Jésus à 20 h 30.
En considérant que Maria Valtorta était « forcement » ignorante des heures hébraïques et romaines, et voulant à tout prix « prouver » un incohérence monumentale », l’objectant prouve simplement son étroitesse d’esprit. Allez savoir pourquoi, cette attitude mentale me fait songer aux paroles de Jésus à ses apôtres en Mt 13,13-15 et Mt 7,6.
Tout ceci est consternant, et plutôt que de perdre notre temps dans des argumentations que de toutes façons n’accepteront pas ceux qui refusent la Lumière, prions pour qu’ils finissent par l’accepter sans méfiance excessive (comme des enfants).
1) Jonathas ne dit pas qu'au retour il "crevé les chevaux, à la longue", mais qu'il a "crevé les chevaux pour aller plus vite". Et en fin de compte, ils sont allés deux fois moins vite au retour qu'à l'aller.
2) Faire moins de 20 km par jour, ça n'épuise pas des chevaux, même s'il fait chaud (ils peuvent d'ailleurs faire beaucoup plus de 20 km en une nuit).
3) C'est pas entre midi et 15h qu'ils prenaient du repos, mais "entre la troisième et la sixième heure" (c'est-à-dire en fin de matinée, jusqu'à midi environ), donc ils continuaient à se déplacer quand même aux heures les plus chaudes, ces boulets !
4) Ainsi, ils ont parcouru environ 1km par heure, alors qu'ils étaient pressés. C'est ridicule.
5) "la neuvième heure" ça correspond à environ 15h00, donc c'est pas "le matin" comme l'affirme Jonathas, mais l'après-midi (erreur indéniable).
@@jawatusken
Je suis particulièrement ravi de votre réponse, cher boulet, car elle met vraiment bien en lumière votre esprit de chicane :
1 ) ni dans votre vidéo, ni dans votre réponse, vous ne tenez le moindre compte de :
- la lourdeur du chariot qui ne devait pas être spécialement dernier cri turbo V6 4 roues motrices, si vous me suivez,
- de l'état douloureux de la malade mourrante, alors que c'est le sujet CENTRALE de l'action, état qui NÉCESSITAIT une extrême lenteur : pour ce qui est de vous débarrasser du contexte, vous ne le faites vraiment pas à moitié ! "Rien à faire de cette malade, elle n'avait qu'à mourir après tout. Tout ça pour cette pauvre femme ! " ( j'ai honte pour vous )
- du relief, de l'état des routes
- et surtout du fait que traîner un lourd chariot sous un soleil de plomb, c'était "crevant" MÊME À TRÈS FAIBLE ALLURE et peut-être même À CAUSE de cette très faible allure, pour des chevaux ! Avez-vous la moindre expérience en ce domaine ? À l'évidence, vous n'en avez pas la moindre, mais cela ne vous empêche pas d'en parler.
2 ) Je note que vous pouffez de rire lorsque la pauvre Jeanne mourrante reçoit a Césarée la motion intérieure en provenance du Seigneur, l'invitant à Le rejoindre au plus vite pour recevoir de Lui la guérison. Quel genre de païen êtes-vous donc pour oser ainsi pisser sur les étoiles, sans cependant pouvoir les atteindre ? Ici, vous n'êtes tout simplement plus dans l'analyse des faits, vous ne cherchez qu'à vous rendre odieux, c'est tout. Par contre, c'est réussi.
3 ) 3 jours pour aller de Tibériade à Césarée de Philippe en mode pépère : ben oui mais..... ça vous a échappé qu'ils avaient pris le bateau ? Il faut vous expliquer encore ça ? Avec le bateau on n'a pas besoin de faire du 2 à l'heure pour éviter les chocs : ça glisse sur l'eau, vous voyez ?
Je ne sais pas si le but de cette "balade" vous échappe toujours : ce n'était pas de la plaisance, c'était un transport de malade. On y est ? Capiche ?
4 ) Retour en 7 jours : ben oui forcément, en se déplaçant à ultra faible allure, on risque toujours...... d'avoir besoin de plus de temps ! Enfin ça, ça semble assez logique, tout de même, mais bon : s'il faut le rappeler, et bien voilà c'est fait.
5 ) "J'ai crevé les chevaux". Allez je répèpète : tirer un lourd chariot à très faible allure, c'est crevant pour des chevaux. Cela aurait été beaucoup plus facile pour eux de tirer le chariot à vive allure. Si le chariot s'arrête tout le temps, il faut incessamment l'arracher à son inertie. Et si Jonathas leur a demandé ce travail de longues heures durant, afin d'arriver plus vite malgré la lenteur de ce convoi : il a bien mis à l'épreuve les pauvres bêtes, comme il le dit bien.
6 ) Pour la bonne compréhension des lecteurs, Jonathas parle bien évidemment dans le langage moderne en ce qui concerne l'horaire : ce qui est rendu évident par le fait qu'il parle tantôt en heures, tantôt par "l'heure de none " ( 3h de l'après-midi ).
Vous n'avez rien ici à vous mettre sous la dent, sauf une pinaillerie sans importance aucune.
Pas d'erreur à relever dans ce voyage, mais une cohérence parfaite.
Vos objections sont recalées.
@@SalveRegina225 1) Les détails techniques on s'en fiche un peu. Ce qui compte, c'est qu'ils ont mis beaucoup plus de temps au retour, alors qu'ils voyageaient quasiment 20 heures sur 24 avec des chevaux poussés au max "pour aller plus vite" (et non "pour aller moins vite"). À l'aller, ils voyageaient apparemment la nuit, et "lentement". Jonathas n'a jamais dit qu'au retour ils ont avancé encore plus lentement pour éviter que la femme ne meure. Au contraire, Jonathas nous informe qu'ils ont réduit leur temps de repos, et qu'ils ont crevé les chevaux pour aller plus vite.
2) J'ai pouffé de rire parce que "je veux aller" c'est pas très français (c'est sûrement la faute du traducteur), et avec la voix que j'avais prise, c'était encore plus drôle. Oui, c'était assez amusant de lire ce récit de Jonathas, parce que le texte est très théâtral.
3) À l'aller, ils ont pris le bateau pour faire à peine un tiers du chemin. Et alors ? Même s'ils ont mis trois jours pour faire les 50 km restants, ça fait quand même presque 17 km par jour. Au retour, six jours pour faire 75 km, ça fait 12,5 km par jour. C'est pas avec 12,5 km par jour qu'on crève des chevaux. Ou alors les chevaux ont trente ans et la charrette pèse dix tonnes (Jonathas l'a pourtant "équipée de son mieux"). Mais ça ne suffit pas à rendre cohérent le "pour aller plus vite" de Jonathas. Le scénario que vous essayez d'imaginer n'est pas compatible avec le texte.
4) Quand on fait tout "pour aller plus vite", c'est pas logique d'aller moins vite.
5) Avec une charette tirée par des chevaux, même au pas (et plus le pas est lent, moins c'est fatiguant pour les chevaux), c'est pas possible de mettre plus d'une heure pour parcourir 1 km, à moins que la charge soit complètement excessive, ou de s'arrêter pour faire des pauses. Mais ils ne se reposent qu'entre la troisième et la sixième heure, donc ils ne sont pas censés s'arrêter le reste du temps. En plus, qui dit redémarrages fréquents dit secousses supplémentaires ; alors que vitesse constante = confort.
6) Quand on dit "la neuvième heure", on ne parle pas en langage moderne. Cela ne désigne donc pas "9 heures du matin" mais "l'heure de none" (=environ 15h). Donc les mots "ce matin" sont incohérents avec "la neuvième heure" (grossière erreur).
@@jawatusken
"Les détails techniques, on s'en fiche un peu." Attendez : vous vous moquez du monde ou quoi ??
C'est comme si vous étiez enquêteur sur une affaire criminelle, et que vous déclariez : "Bon, les détails techniques de l'affaire, on s'en moque : de toute façon nous tenons le suspect, et nous le déclarons coupable, peu importe les indices ! " Si c'est une plaisanterie, elle ne fait rire que vous.
... et pourtant vous ne semblez pas fou, ou bien incohérent ! Mais non, vous continuez cependant à scuter ce voyage, sans tenir le moindre compte de son but : l'état de la malade, ni de l'ardeur du soleil, du possible dénivelé, de l'état des routes, de la pesanteur du char... Mais c'est sûr que, puisque cela mettrait vos arguments à plat, je comprends que vous préfériez ne pas trop y penser.
1 ) C'est vous qui inventez qu'ils ont voyagé 20h sur 24 , c'est d'ailleurs tellement loufoque que cela ne devrait tout simplement pas traverser l'esprit d'un lecteur, même pointilleux : en réalité, Jonathas précise que Jeanne a pu se reposer de 3h à 6h, pour bien indiquer qu'ils n'ont pas voyagé dans ce créneau horaire. Cela ne veut évidemment pas dire qu'ils ont voyagé non stop le reste du temps.
"POUR ALLER PLUS VITE" a deux significations et non une seule, et vous prenez soin de sélectionner uniquement celle qui vous arrange le mieux pour discréditer l'oeuvre.
Cela peut vouloir dire :
- pour atteindre une plus grande vitesse pure ( faire du 20km/h au lieu de 10km/h, par exemple )
ou bien :
- pour atteindre plus rapidement la destination, quelle que soit par ailleurs la vitesse pure durant le trajet : si cette vitesse est minime comme ici, il faut alors des plages de trajet quotidien plus longues.
Et cette seconde hypothèse est évidemment la bonne, et rend le récit parfaitement cohérent.
2 ) Jeanne est une princesse royale (Tome 2, chapitre 74 et Tome 8, chapitre 23), descendante des "preux de David" qui rallièrent le roi en lutte contre Saül[1] et des Assidéens ralliés aux Macchabées lors de la lutte d'indépendance[2].
Jeanne est née à Béther (Beitar), en Judée. Elle y possède le château de sa naissance. Sur plusieurs collines, il est entouré de grandes roseraies qui servent à faire du parfum (Tome 3, chapitre 86). Des centaines d’employés y travaillent sous les directives de Jeanne.
Et donc, si vous connaissiez un peu les personnages, cela vous aurait évité de vous gausser sans raison.
Jeanne de Chouza s'adresse à Jonathas comme à un serviteur, ce qui nous est aujourd'hui inconnu ( à moins que vous n'ayez peut-être encore vous-même des serviteurs, mais moi pas ). C'est donc quelqu'un qui a l'habitude de commander et de se faire obéir. Ce qui justifie sa manière de parler quelque peu théâtrale, Maria Valtorta ne fait là-dessus aucune erreur.
Et puis quoi ? Elle ne demande tout de même pas à Jonathas : "Voiturez-moi les commodités de la conversation ! " comme les précieuses ridicules de Moliere...
3 ) Il est bien décrit dans le récit que Jeanne de Chouza se sentit très mal à son arrivée à Césarée de Philippe. Et donc il est parfaitement cohérent de penser que si le voyage aller put se faire à une certaine allure ( 17km/jour ), le retour dut se faire avec beaucoup plus de précautions ( environ 12,5 km/jour), car Jeanne crachait le sang.
Ce qui crève les chevaux, c'est :
- le soleil ardent associé à la durée du trajet ( et non pas forcément à sa longueur )
- l'escarpement du terrain, les côtes à monter en tirant, les descentes où il faut retenir la charge, ce qui est plus pénible à faible lentement qu'à vive allure.
Or il devait y avoir sur ce trajet un large quotas de montées et de descentes.
Mon analyse de l'action est pleinement compatible avec le texte, la géographie et le contexte. La votre est volontairement la pire envisageable, afin de pouvoir discréditer l'EMV, sans même envisager la possibilité d'une autre interprétation.
4 ) "Quand on fait tout pour aller plus vite, c'est pas cohérent d'aller moins vite". EXIT DONC LA MALADE ! Elle n'avait qu'à crever.
Encore une fois : "aller plus vite" peut être une façon de dire "atteindre plus vite la destination".
5 ) Votre hypothèse d'un voyage 20h/24 est fausse, et on ne peut plus grotesque. Elle ne repose sur aucun élément probant du texte. Vous prenez Jonathas pour un tortionnaire, alors qu'il accompagne une malade qui a un grand besoin de repos, et qui doit donc multiplier les pauses forcées.
Dans les intervales de temps où ils pouvaient voyager, Jonathas malmena les chevaux en prolongeant au maximum le temps de voyage. Reprenez tous les paramètres de mon hypothèse, qui est d'abord celle de JF Lavère, et si vous êtes un tant soit peu honnête vous verrez que tout colle parfaitement.
6 ) Quand on dit d'une part "la neuvième heure" , et d'autre part "l'heure de none", il est évident qu'on parle en deux systèmes de comptage distincts. Sinon, Jonathas n'aurait pas dit "l'heure de none", mais également : "la neuvième heure".
Ce langage est une adaptation, afin que le lecteur non averti n'en soit pas perturbé, et rien de plus.
Il ne s'agit donc pas d'une grossière erreur. Votre objection est recalée.
@@SalveRegina225 Bof, on peut imaginer des mini pauses mais au final ça fera quand même 18 ou 19 heures sur 24, sinon ce serait une fausse information que nous donnerait là Jonathas, qui précise qu'ils ne se reposaient QUE pendant ce créneau (qui ne contient d'ailleurs pas les heures les plus chaudes, donc ils voyageaient en plein cagnard).
Et ils n'ont pas atteint plus rapidement la destination puisqu'ils ont mis plus de jours qu'à l'aller. D'ailleurs "aller plus vite" signifie "se déplacer plus vite". Vous confondez avec "arriver plus vite".
On a donc plusieurs incohérences :
1) Ils ont mis plus de temps au retour qu'à l'aller, alors qu'ils ont crevé les chevaux pour aller plus vite.
2) C'est complètement irréaliste de parcourir moins de 15 km par jour quand on voyage 18 h par jour avec une charrette tirée par des chevaux, même s'il y a des montées et des descentes et qu'il fait très chaud.
3) "La neuvième heure" n'est pas une façon de parler moderne, c'est au contraire la façon de compter des temps antiques. Ça ne peut pas signifier "neuf heures du matin", même s'il y a un synonyme dans la même phrase. C'est donc une erreur.
Pour Dieu, le péché est le péché. Il n'y a pas pour Lui d'un côté : "le péché qui compte pour du beurre" - celui qui ne l'offenserait pas ( !!! ) - et le péché mortel - le seul qui l'offenserait vraiment ( !!! ).
Bien sûr, il y a des saints comme Thérèse de Lisieux, qui ont commis très peu de péchés, et semble-t-il aucun péché mortel.
Mais si cette distinction est importante du côté de l'homme - car notamment, on ne peut pas communier en état de péché mortel, alors que la sainte Communion efface les péchés veniels dont nous nous repentons ( et c'est donc important pour nous de connaître cette distinction et de s'y plier ), du côté de Dieu, même le plus petit péché l'offense d'autant plus gravement que son Amour et sa pureté à Lui sont infinis.
Si vous offensez modérément quelqu'un de vulgaire, il est possible qu'il ne s'en apercoive même pas.... Mais si vous faites la même offense à quelqu'un dont la sensibilité et la pureté sont infinies, alors cette offense devient elle-aussi infinie, en quelque sorte.
Par exemple, ce n'est pas du tout la même gravité d'offense d'injurier un ennemi qui vous provoque en duel, et d'injurier de la même façon un petit enfant qui passe en vous souriant, je crois qu'il n'est pas besoin d'avoir bac + 25 pour le comprendre.
Mais le Seigneur sait que nous savons faire ce genre de distinctions.
Si Dieu n'était pas dans les créatures, avec son signe ineffacable, avec ses droits de Père, d'Epoux, de Roi, si l'âme n'était pas son trône, et le corps son Temple, alors il faudrait dire qu'il n'y a plus de différence entre l'homme et l'animal.
Et dans ce cas, il serait par exemple permis de tuer sans aucun scrupule toute personne du moment qu'elle ne serait pas baptisée.
Or Dieu n'a jamais commandé : "Tu ne tueras pas ceux de ton peuple que J'ai choisis", mais "Tu ne tueras pas."
Et s'il est vrai, comme nous le dit sainte Thérèse au début de son autobiographie, que même le pauvre homme "sauvage" obtiendra justice auprès de Dieu, c'est bien que s'il obéit à sa conscience en etant bon pour autrui, il pourra, en des conditions connues de Dieu seul, obtenir un baptême de désir et être sauvé ?
Et qu'est-ce qu'est donc la conscience, sinon ce premier degré de demeurance de Dieu en tout homme, non suffisant cependant depuis la chute pour en faire d'emblée son Fils, mais suffisant pour lui en donner le désir ?
"Celui qui n'aime pas Dieu qui est parfait, ne pourra pas non plus aimer son prochain qui a des défauts."
Est-ce que ce n'est peut-être pas :
- exactement ce que nous constatons en ce triste monde, parmi ceux qui ne daignent même pas se tourner parfois vers Dieu, du fond de leur matérialisme effréné ? Ces gens peuvent-ils faire le plus ( aimer leur prochain malgré ses défauts) , quand ils n'ont même pas réussi à faire le plus facile ( aimer Dieu qui est infiniment bon, infiniment aimable ) ? Tout ce que ces gens savent faire, c'est de consommer autrui avant de le jeter comme un vieux cleanex usagé, n'est-ce pas tout le drame de la banalisation des divorces ? De la violence conjugale ? De l'avortement ?...
- c'est egalement ce que dit saint Jean dans son épître, car pour lui, si quelqu'un aime authentiquement Dieu de tout son coeur, alors c'est lui qui aura la force d'aimer son prochain malgré ses défauts. Aimer Dieu est en effet non seulement facile et désirable, mais cela donne la force de tout surmonter, de tout supporter avec douceur. Mais qu'avons-nous donc à "supporter de la part de Dieu" qui ne nous offense jamais ? Qui peut dire en vérité qu'il ne peut pas aimer Dieu car "Celui-ci n'a jamais fait attention à lui", ou bien l'a trompé en quoi que ce soit ? Personne.
Le signe donc que quelqu'un aime Dieu ( ce qui est le plus facile et la source interieur de la force d'aimer ) , c'est qu'il fait egalement ce qu'il y a de plus difficile : aimer son prochain avec tous ses défauts.
Bim. L'EMV a raison comme toujours, et vous avez tort comme toujours.
Vous osez bien dire :
"Qui n'aime pas Dieu peut très bien aimer son prochain, rien ne l'empêche" !!!?
Cette phrase est monstrueuse. Elle revient à dire : "Celui qui se coupe volontairement de l'Amour peut très bien aimer par soi-même, en étant sa propre source.
Or : même "ceux qui aiment ceux qui les aiment" comme dit Jésus - et "qui ne font en cela rien d'extraordinaire" - ne peuvent le faire que dans la mesure où ils aiment Dieu. Ils ne sont pas de grands saints héroïques pour autant, mais au moins, ils ne sont pas comme la bête autrichienne de 1933 : incapable d'aimer qui que ce soit, faute d'avoir eu en lui le moindre reste d'amour pour le Créateur.
Pardon, l'ami : vous n'avez pas saisie la métaphore valorisante du Christ vis-à-vis de sa créature qui, pour rivaliser avec les poissons les plus rapides, a réussi à se construire des bolides en fait de bateaux ? Qui pour rivaliser avec l'oiseau, a réussi à découvrir comment voler comme lui dans les airs à l'aide d'un avion ? Êtes-vous donc obtu à ce point ? Ne daignez-vous jamais laisser un sage employer un langage de sagesse, qui soit quelque peu différent de votre rationalité sèche et stérile ?
1 ) En écrivant que Dieu "ne fait pas de différence entre péché et péché mortel", Valtorta incite à croire qu'on peut perdre l'état de grâce à cause d'un péché véniel ; ou bien qu'on n'a pas besoin de confesser tous ses péchés mortels, du moment qu'on s'en repent. Bref, ça peut induire les ignorants à faire des confusions dangereuses.
En outre, il est bien évident qu'un péché grave comme la torture d'enfants afflige davantage Dieu qu'un petit bobard, par exemple. Par conséquent, la punition due au péché ne sera pas la même, selon la gravité du péché.
2 ) Le Jésus de Valtorta semble faire référence à la doctrine de l'inhabitation de la Sainte Trinité dans l'âme puisqu'il dit "l'âme est son trône, le corps est son temple". Ce privilège est normalement réservé aux baptisés en état de grâce. Le péché mortel prive l'âme de la grâce sanctifiante et de la présence divine.
3 ) "Celui qui n'aime pas Dieu ne peut pas aimer le prochain".
Oui c'est aberrant, car il n'est pas question ici d'aimer "à la perfection" ni "jusqu'à la fin", mais d'aimer "tout court", point barre. Or il est bien évident qu'il y a des tas de gens sur terre qui s'aiment beaucoup, bien qu'ils ne croient pas en Dieu. Nul besoin, donc, de connaître ni d'aimer Dieu pour aimer son prochain. Quand on aime Dieu, on peut plus facilement et plus parfaitement aimer son prochain, bien entendu, mais à la base c'est pas indispensable.
4 ) "L'homme est si agile qu'il rivalise avec l'oiseau, et si rapide à la nage qu'on dirait un poisson".
Il est évidemment question ici des capacités naturelles de l'homme, et non de ses performances améliorées par des machines. Je vous rappelle que le Jésus de Valtorta s'adresse dans EMV 126.2 à des contemporains du premier siècle. Il s'agit donc bien d'une bêtise lamentable.
@@jawatusken
1 ) C'est précisément l'inverse que ce que vous insinuez : l'EMV incite le pécheur à ne pas se rassurer indûment sur le fait qu'il n'a "pas beaucoup offensé le Bon Dieu", puisque ses péchés ne seraient que veniels.
Globalement, je pense que vous êtes suffisamment intelligent pour comprendre la parfaite conformité de l'EMV avec la doctrine catholique, c'est uniquement votre parti pris de départ qui vous en empêche.
2 ) Que ce temple et ce trône soient consacrés ou non par le baptême, Dieu a bien créé l'âme pour être son trône, et le corps pour être son temple, aucun état extérieur, même deviant au niveau religieux, ne peut totalelent l'effacer. L'homme, quelles que soient ses errances, appartient à Celui qui l'a créé, et Ce Dernier fait tout ce qui est en son pouvoir pour s'en conserver le titre de propriété : ce qui peut se faire sans le baptême sacramentel, dans certains cas le seul baptême de désir suffit.
3 ) Vous l'avouez très bien vous-même : certains s'aiment vraiment sans CROIRE en Dieu. Cependant, s'ils aiment vraiment leur prochain ( comme l'un de ces aborigènes auquel pensait sainte Thérèse de l'Enfant Jésus), c'est forcément que sciemment ou non, ils aiment Dieu, qui est la Source et l'Origine de tout amour ici-bas.
Vous faites de plus une grossière erreur de logique. En effet : saint Jean l'évangéliste dit bien dans son épître :
"Si quelqu'un dit qu'il aime Dieu alors qu'il n'aime pas son prochain : c'est un menteur, et la vérité n'est pas en lui." ( 1 Jean 4,20 ).
Ce qui montre bien que :
- si quelqu'un aime vraiment Dieu, alors nécessairement il aimera aussi son prochain ( ce que dit Jésus dans l'EMV )
- et que si par contre il n'aime pas Dieu en vérité ( quoi qu'il puisse prétendre par ailleurs ) , alors il est normal qu'il ne puisse pas non plus aimer son frère ( ce que dit Jésus dans l'EMV ).
Le passage que vous condamnez comme faux dans l'EMV est donc une simple redite de 1 Jean 4, et c'est donc saint Jean Lui-même que vous condamnez comme faux.
Évidemment, il ne s'agit pas ici d' "aimer" au sens large : alors, même un lezard peut aimer une mouche, ou le soleil. Il ne s'agit bien évidemment pas de cet "amour" ici.
Votre objection est retoquée.
4 ) Il s'agit ici d'un langage métaphorique de sagesse, et non bien évidemment d'une comparaison formel de l'homme avec les oiseaux ou bien les poissons, les lecteurs de 7 à 99 ans l'auront tous très bien compris d'eux-mêmes.
De plus, qui sait comment sautait et nageait Adam, lorsqu'il était en pleine possession de ses moyens physiques, avant la chute ? Et on est forcé d'avouer que ses descendants ont de beaux restes.
Désolé : il n'y a ici aucune incongruité à relever.
@@SalveRegina225 1) Dire qu'il n'y a "pas de différence", c'est faire une confusion. C'est même déclarer quelque chose de directement faux, puisque Dieu et l'Eglise font bien la différence entre péché véniel et péché mortel.
2) Le Jésus de MV ne dit pas seulement que l'âme est son trône mais d'abord que "Dieu est dans les créatures", sans distinction. Ça revient à transformer la doctrine catholique en une doctrine panthéiste.
3) Certains s'aiment sans croire en Dieu, et sont même athées jusqu'à la moelle, c'est-à-dire qu'ils rejettent toute idée de Dieu et sont parfois anticléricaux. Donc ne me dites pas qu'ils aiment Dieu sans le savoir. Il y a beaucoup de gens qui n'aiment pas l'Eglise et qui détestent les prières, les messes et toutes les sortes de bondieuseries, et qui pourtant aiment leur prochain.
L'extrapolation que vous faites à partir de la citation de Saint Jean est un sophisme du genre : "celui qui n'aime pas les étrangers n'aime pas les nigériens, donc celui qui n'aime pas les nigériens n'aime aucun étranger."
Et dans le cas qui nous intéresse, le Jésus de Valtorta parle d'aimer, sans précision, ça veut donc dire : peu importe le degré. Quand il dit que si on n'aime pas Dieu on ne peut certainement pas aimer le prochain, ça veut dire qu'on ne peut pas aimer le prochain ne serait-ce qu'un peu. Ce qui est absurde.
4) Donc si je dis : "l'homme est si costaud qu'il rivalise avec l'ours, et ses dents sont si acérées qu'on dirait un requin", vous trouverez sans doute que c'est là un langage métaphorique de sagesse.
@@jawatusken
1 ) Continuez à ne pas comprendre, votre erreur est pertinace : Dieu n'est pas le sujet de la Loi, c'est l'homme qui doit s'y soumettre. Par exemple : c'est à l'homme et à lui seul qu'il est dit : "Tu ne tueras pas". Dieu, Lui, est Maître de la vie et de la mort, tout ce qu'il fait est juste et bon, et s'Il veut que demain quelqu'un lui rende son âme, qui pourra l'accuser de l'avoir tué ? Ses actes sont infiniment élevés au-dessus des nôtres, ses pensées également.
Donc, si de notre côté, il nous est commandé de nous préserver au moins du péché mortel pour pouvoir communier ( ce qui implique que nous comme Dieu sachions faire cette distinction ), du côté purement de Dieu, comme je vous l'ai déjà expliqué et comme vous ne l'avez toujours pas compris car vous n'êtes pas théologien, le péché, c'est l'offense à son infinie Majesté, son infinie Bonté, et même la plus petite faute est une offense infinie, car elle blesse son Amour sans limite : c'est pourquoi les grands saints se confessent, non pas de moins en moins comme les pécheurs enténébrés, mais de plus en plus, chaque jour s'ils le peuvent, car ils comprennent de plus en plus la gravité des petites offenses, et craignent d'offenser par elles le Bon Dieu. Je ne m'attends pas à ce que vous le compreniez, car cela invaliderait votre critique acerbe de l'EMV, or vous semblez vivre pour cela...
Un esprit occidental cartésien ne peut pas comprendre qu'on puisse considérer un même sujet de deux points de vue apparemment opposés. Alors qu'un esprit oriental l'accepte sans difficulté : il sait qu'on peut voir une même montagne par deux versants différents et complémentaires.
2 ) L'EMV ne délivre pas un message en une phrase, comme : "Dieu est dans les créatures". Son message est infiniment plus complet, encore faudrait-il faire ce que visiblement vous n'avez pas fait : lire cette œuvre de bout en bout. Mais si vous vous contentez d'en sortir ainsi des petits tronçons sans plus de réflexion, vous en arrivez aux contre-sens que vous insinuez. Mais à ce jeu là, on peut discréditer l'Évangile en deux phrases !
" Et Judas alla se pendre."
" Va, et toi aussi, fais de même ! "
3 ) Vous butez sur la Pierre d'angle, qui est le message même de tout l'Evangile : l'Amour. Il est burlesque de penser que Dieu se serait incarné pour nous prêcher autre chose que le véritable amour de charité, celui que seul Dieu peut inspirer aux hommes par grâce. C'est vous seul qui extrapolez en prétextant que Jésus parle également sans distinction de l'amour qui se trouve chez les athées : cet amour n'a rien de méritoire s'il ne trouve pas sa source en Dieu, au moins de manière cachée. La plupart du temps, lorsque quelqu'un n'aime vraiment pas Dieu ( et seul Dieu peut savoir ce genre de secret ) , son "amour" du prochain est purement naturel, et ne mérite aucune récompense. Ce n'est pas pour nous parler de cet amour que Dieu a pris la peine de s'incarner.
Votre exemple est un bide total, puisqu'il n'y a aucune différence de nature entre les nigeriens d'une part, et les étrangers d'autre part ! Et je ne vois pas que ce soit spécialement "l'amour des nigeriens" qui soit Source de l'Amour pour les étrangers.
Aucun rapport avec ce que prêche saint Jean, distinguant deux amours dont l'Un est clairement la Source de l'autre, car il est plus élevé : l'amour de Dieu, et l'amour du prochain.
Mais si vous niez saint Jean et le fait que l'amour pour Dieu soit bien la Source de tout autre amour authentique sur terre, alors c'est votre problème.
4 ) Il ne reste pas à Adam les forces qu'il avait avant la chute, et il est assez vain d'essayer de se les figurer. Cependant : le saut, la course, la nage, je ne sais pas si vous l'ignorez et dans ce cas je suis ravi de vous l'apprendre, sont toutes des disciplines olympiques. Et je ne pense pas spécialement que le Bon Dieu puisse l'ignorer, vu qu'Il est quand même un tout petit peu notre Créateur.
@@SalveRegina225 1) Je ne peux que vous conseiller de retourner aux cours de catéchisme, et d'annoncer à un prêtre que Dieu ne fait pas de différence entre péché véniel et péché mortel, et vous verrez bien ce qu'il vous répondra.
2) Vous ne pouvez pas vous servir du contexte pour défendre cette bêtise du Jésus de Valtorta ("Dieu est dans les créatures"), car le contexte appuie justement l'idée d'une présence spirituelle divine dans toutes les créatures sans distinction.
3) Encore une fois, le Jésus de Valtorta ne dit pas "aimer surnaturellement" ni "aimer de façon méritoire" mais "aimer" tout court. Il oublie donc de faire une nuance (et de taille !) dans sa petite phrase "celui qui...", et ce faisant, il dit... une absurdité.
L'exemple des nigériens ne servait qu'à montrer le genre de faux raisonnement que vous faites. J'aurais pu me contenter de dire : "c'est pas parce que ça marche dans un sens que ça marche forcément dans l'autre sens."
4) Je me répète encore mais, dans le discours du Jésus de Valtorta, il ne s'agit pas d'Adam mais de l'homme en général. Ensuite, le saut et la course à pied ont beau être des disciplines olympiques, si je dis que l'homme saute si bien qu'il rivalise avec le springbok, ou qu'il est si rapide à la course à pied qu'on dirait un guépard, vous allez me prendre pour un abruti. Ben c'est pareil pour moi avec le faux Jésus de Valtorta.
J'avoue n'avoir jamais connu les évangiles autrement que par la Messe.
Depuis quatre ans que je lis Maria Valtorta, j'ai appris à connaitre Jésus et aimer la sainte Eglise catholique comme jamais auparavant, ainsi que ma femme et mes enfants. Nous sommes devenus petit à petit au fil des chapitres beaucoup plus attentifs et assidus aux sacrements de l'Eglise catholique et nous sommes apparemment si nombreux ! : des conversions profondes et irréversibles. Quels bons fruits du Saint-Esprit !
Satan serait il donc devenu le plus grand apôtre de Jésus Christ, lui qui ramènerait tant de gens à la belle foi catholique, à l''encontre de ses propres intérêts diaboliques ? C'est stupide. Ces vidéos et ces critiques sont justes incohérentes.
Les pauvres détracteurs qui ne se sont pas convertis à l'Amour du Christ en lisant ce magnifique évangile qu'est l'EMV ne sont ils tout simplement pas ceux qui sont complètement dans l'erreur et si bien trompés par leur propre intelligence malveillante ?
C'est plutôt cette version qui ressemblerait à la manière donc le grand Orgueilleux réussit à tromper les "superbes" justement là par où ils pèchent.
Parceque çà, pour le coup, c'est indiscutablement dans les quatre Evangiles, au sujet des "savants" et des orgueilleux.
A bon entendeur... du Magnificat de la Sainte Vierge Marie qui rabaisse les superbes détracteurs et élève les humbles lecteurs de Maria Valtorta.
Il n'y a pas à hésiter pas une seconde : lisez Maria Valtorta et découvrez la bonne odeur de Jésus Christ !
C'est justement parce que vous ne connaissez pas bien les évangiles que vous avez été berné par Maria Valtorta, sinon vous auriez vu tout de suite que le chapitre 47 de l'EMV n'est pas compatible avec le chapitre 1 de l'évangile de Saint Jean.
Et le B.A-BA de l'humilité, quand on est catholique, c'est de s'en remettre au jugement de l'Eglise. Or l'Eglise a refusé de donner l'imprimatur puis, lorsque les promoteurs de l'œuvre l'ont publiée malgré tout, l'Eglise l'a mise à l'index (pour désobéissance grave, mais aussi pour d'autres raisons spécifiées dans un article de l'Osservatore romano du 6 janvier 1960, qu'on peut lire en Annexe 1 du livre de René Gounon, pages 62-63).
@@jawatusken
Bien sûr qu'il y a quelqu'un qui ne connaît rien aux Evangiles ici, et c'est vous, l'ami. Il y a une caractéristique commune aux quatre Evangiles canoniques, c'est qu'ils sont compendieux, c'est-à-dire qu'ils ignorent volontairement une multitude de détails, opèrent une multitude de simplifications par rapport au récit exhaustif de la Vie de Jésus. Car leur but à eux n'est pas d'être exhaustifs, mais de tout rapporter dans les grandes lignes, afin que par ce moyen, la foi en Jésus-Christ puisse être transmise.
Le chapitre 47 de l'EMV est compatible avec Jean 1, et Jésus explique Lui-même comment dans l'oeuvre.
« Satan serait il donc devenu le plus grand apôtre de Jésus Christ » Vous êtes littéralement en train de dire que Maria Valtorta est la plus grande apôtre de Jésus. 🤨
Son œuvre de fiction profane peut certainement aider des gens, soit. Cependant, les seules lectures absolument nécessaires sont les Évangiles du Nouveau Testament. Maria ne fait certainement pas partie des plus grands apôtres ; il suffit de voir comment la foi chrétienne s'est propagée dans l'histoire pour le savoir, et Maria ne représente même pas 0.01% de tout cela (et encore je suis gentil).
J'ajouterais que, si son œuvre vient vraiment de Dieu, c'est inquiétant. Car le Dieu de Maria n'est certainement pas le Dieu que Jésus nous a révélé. Il suffit simplement de lire le "Carnets de dictée du 23 décembre 1948, à 11 heures." pour comprendre.
C'est dans ce carnet que Maria prétend recevoir du "Père Éternel" un long message destiné à Pie XII, qu'elle s'engage à lui transmettre. Dans cette lettre, le "Père Éternel" va jusqu'à menacer le Pape du "sort de Pilate" s'il ne se soumet pas et n'édite pas l'œuvre de Maria. Ceux qui liront (cet "dictée") comprendront.
Pie XII a lu, et il a compris. Il a compris que tout cela n'était pas crédible, et s'il avait eu quelques doutes auparavant, il n'en a plus. Malgré la réception de ce message menaçant pour son salut éternel, il n'a rien fait pour imposer la publication de l'œuvre.
Ceci n'est pas une blague, allez lire cette dictée...
@@jawatuskenDonc selon vous, l'humilité consisterait par obéissance au "jugement de l'Eglise" (en fait d'un certain prélat autonome d'une époque) à refuser de lire "1984" d'Orwel, mais aussi Balsac, Faubert, Zola, Copernic, ...mais encore le petit journal de Ste Faustine (canonisée et qualifiée par Jésus de secrétaire de sa Miséricorde), et aussi de Padre Pio condamné durant 10 ans au silence et à des messes sans public et qualifié par sa "sainte hiérarchie" de mystificateur à cause de ses stigmates soit disant auto mutilés...(et j'en passe...)
C'est de ce "jugement très sûr de l'Eglise" que vous vous référez pour rejeter les écrits de Maria Valtorta pourtant vérifiés par des théologiens reconnus et recommandés par des papes et des saints canonisés ? C'est bien cela votre jugement très sûr et très humble ?...
"TU AS BIEN FAIS DE T'ABSTENIR DE PÊCHER LA NUIT DERNIÈRE, CAR LE SABBAT N'ÉTAIT PAS ENCORE FINI" : serait-ce là "la boulette" qui ENFIN décrédibiliserait l'EMV ?
Ben non, voyons, certainement pas.
Cher monsieur, vous nous faites méticuleusement toute une analyse de la situation, mais était-ce bien nécessaire ? :
- 1er soir : vendredi, Pierre s'abstient de pécher car c'est le Sabbat.
- 2e jour, samedi : c'est encore le Sabbat jusqu'au soir. Puis Jésus et Pierre se mettent en marche pour arriver le lendemain matin près des autes disciples, donc le dimanche.
- Jésus prend la parole, et introduit son sermon en évoquant le fait que Pierre se soit avec raison abstenu de pêcher "la nuit dernière".
Bingo ! Oh la boulette ! "La nuit dernière", c'était samedi soir, et non pas le Sabbat : nous pouvons enfin nous en rendre compte grâce à votre remarquable sens de l'observation, car jusque là, ce détail saugrenu avait échappé à tous les fins limiers pour ou contre l'EMV ! Le samedi soir : C'ÉTAIT PERMIS DE PÊCHER !
Bravo, félicitations ! Vous vous êtes fait la peau de l'oeuvre, youpi !!!
Ah oui... ah oui mais non ... Mince, caramba, encore raté sur ce coup là, décidément... pas de chance pour vous : je compatis.
Exemples :
- "Tu te souviens de la dernière fois où nous avons mangé ensemble ? "
- "Ce dernier jour, tu te souviens de ceci ?"
- " Te souviens-tu de cette dernière nuit où tu me disais ceci... ? "
Dans ces trois exemples, "dernier" ne fait pas spécialement référence au "jour(nuit) précédent(e)", c'est simplement l'évocation d'un fait survenu auparavant, "la dernière fois", "ce(tte) dernier(e) jour(nuit)". Mais pas forcément LA VEILLE.
Et ici, c'est exactement en ce sens que Jésus emploie les termes "cette nuit dernière" : en effet, Pierre n'a évoqué qu'une et une seule nuit où il s'est volontairement abstenu de pêcher pour respecter le Sabbat : la nuit du VENDREDI SOIR.
Et donc lorsque Jésus évoque "la nuit dernière", c'est bien évidemment à cette nuit qu'il fait référence, et non à celle de la veille : "cette nuit dernière, celle dont tu m'as parlée, Pierre".
Non pas la nuit PRÉCÉDENTE ( du samedi au dimanche ), mais "la nuit dernière", celle dont Pierre avait parlé à Jésus, CELLE DU VENDREDI AU SAMEDI, DURANT LE SABBAT.
Cher monsieur, votre objection est recalée, comme toutes les précédentes.
Bien cordialement.
"La nuit dernière" ça signifie toujours "la nuit qui vient de s'écouler" (c'est-à-dire celle qui précède immédiatement le jour où l'on parle au moment présent), car l'adjectif est placé après le mot "nuit", et non avant. Cela relève de la sémantique la plus élémentaire.
@@jawatusken
Pardon, mais c'est amusant de vous entendre parler comme si vous aviez le pouvoir de définir vous-même toute chose : en réalité, comme je vous l'avais déjà dit, vous préféreriez vous faire arracher une dent, plutôt que de renoncer à votre accusation sans queue ni tête, qui est un peu "votre bébé", la prunelle de vos yeux, le gage de votre future et tant espérée célébrité...
Et si on consent à redescendre deux secondes sur terre, "la nuit dernière" peut avoir plusieurs significations suivant le contexte :
1 ) Ce que vous dites, c'est-à-dire la nuit qui précède immédiatement le jour où l'on parle
2 ) la nuit dernière, c'est-à-dire "cette nuit dernière dont tu me parlais" : et c'est bien ici le sens à retenir, puisque Pierre n'a parlé à Jésus que de la nuit "dernière" du vendredi au samedi, qui est bien LA nuit sabbatique.
Non, franchement, vous devriez lâcher l'affaire, votre argument ne tient pas la route, le bien fondé de ce passage est évident.
Cordialement.
@@SalveRegina225 C'est pas moi qui décide du sens, c'est juste un principe de linguistique. C'est un peu le même principe avec "l'année dernière" : c'est l'année précédente par rapport à celle où l'on parle. Cela ne peut pas vouloir dire "la dernière année dont tu me parlais".
En plus, le Jésus de Valtorta n'a pas parlé à Pierre de la nuit du sabbat avant cette phrase, et Pierre disait juste qu'il allait pêcher "cette nuit" (celle qui s'apprêtait à tomber).
@@jawatusken
Votre esprit procédurier vient de trouver dans ses ressources linguistiques ce qui pourrait vous permettre encore de faire survivre coûte que coûte votre objection, mais elle est bel et bien recalée :
ce n'est pas en effet l'exception qui annule la règle !
Quand on parle de "l'année dernière", effectivement c'est toujours de l'année précédente dont il s'agit, car l'année est une longue durée.
Mais "la fois dernière", ou "ce jour dernier", que vous ayez ou non décidé du contraire, peut avoir plusieurs sens en fonction du contexte.
Votre insistance est risible : il s'agit ici de manière obvie de "la nuit dernière : celle dont tu m'avais parlée, Pierre, en me signalant ne pas avoir pécher".
C'est d'autant plus clair que Jésus n'aurait pas parlé publiquement à Pierre d'une nuit ( celle du samedi au dimanche) dont il ne fut jamais question entre eux.
En évoquant "une nuit dernière où Pierre n'avait pas été pécher", Jésus a un propos entendu, qui sous entend que le sujet a déjà été abordé entre Lui et Pierre : or nous le savons, ils n'ont parlé ensemble QUE de la nuit du vendredi au samedi, c'est donc bien d'elle dont ils parlent.
Vous avez juste un petit problème de logique.
Objection recalée.
@@SalveRegina225 "la nuit dernière" ça fonctionne pareil que pour "l'année dernière". Allez donc demander à un prof de français !
Par ailleurs, le Jésus de Valtorta n'a jamais parlé de la nuit du sabbat à Pierre avant de prononcer cette phrase : "tu as bien fait de ne pas pêcher la nuit dernière". Il ne peut donc pas faire référence à une nuit dont il n'a pas parlé auparavant.
Vous avez donc doublement tort.
Le péché originel : un péché sexuel, dans Maria Valtorta ?
Rendre un ton ridicule comme vous le faites pour lire l'œuvre ne nuit pas à celle-ci, mais seulement à vous-même et à votre compréhension personnelle. Je pourrais tout aussi bien lire à voix haute l'un de vos articles sur un pareil ton, pour que l'auditoire pense par principe qu'il est bourré d'incohérences, c'est assez facile, et cela évite la rude tâche.... de réfléchir.
Mais passons au fait incriminé :
Le péché originel serait décrit dans l'EMV comme un simple péché sexuel !
" Bingo, ça y est, cette fois c'est la bonne ! Jamais l'oeuvre ne pourra s'en relever, cette fois :))) touchée, coulée, yesss !!! "
Ah oui, sauf que non, en fait...
" Oh non, mince, quoi encore !?? J'ai pas tout bon, là ?? Ça devient énervant, vos contre arguments à la noix ! Zut à la fin !! "
Ben non. En fait, sans vouloir du tout vous offenser : ... vous avez tout faux. Et voilà pourquoi.
Vous ne vous êtes même pas demandé quel était le sujet, ici : cela vous aurait évité ainsi qu'à Gounon cette attaque si déplacée.
De quoi est-il question précisément, dans le passage que vous lisez sur ce ton tellement "déglingo" ?
Réponse : de la sexualité.
Et des conséquence de la chute originelle sur la sexualité humaine. C'est le sujet abordé par le Christ ici, et non le péché originel en tant que tel : ce sujet est abordé ailleurs, et je peux même vous le citer, dans le commentaire de l'épître aux Romains.
Il est évident pour tous le monde que le péché originel a eu notamment pour conséquence un profond dérèglement de la sexualité chez l'homme et la femme, et en cela l'EMV n'apporte aucune nouveauté, quoi que vous vouliez le laisser entendre. Et si nos sens sont flattés par les tentations de l'Ennemi qui veut nous pousser à la luxure, combien d'avantage cela fut vrai dans le cas d'Eve, la malheureuse tombée par orgueil !
Le Seigneur sait très bien ici, et donc Il présuppose que nous connaissons la Bible et en particulier la Genèse, et c'est pour cette raison qu'il ne redit pas tout le détail du dialogue qui s'instaura entre Eve et le serpent.
Et puisque le sujet abordé ici par Jésus avec une rare franchise est la sexualité, pourquoi s'en offenser comme s'Il faisait l'amalgame entre la sexualité d'une part, et le péché originel d'autre part ?
C'est l'absurdité de votre commentaire. Vous accusez le Christ de parler de la sexualité humaine blessée par le péché ( oh là là là là, oooooh c'est pas possiiiible, mais quel scandaaale !! Mais Dieu ne peut pas parler de celaaa !! - ben si...), en déformant la perspective de ce discours, qui n'est pas ici de nous parler du péché originel en général.
Ainsi, l'objet de votre accusation est inexistant, mais vous faites comme si de rien n'était, peut-être pour mieux vous flatter de savoir dire ( quelle sagesse hors du commun ! ) que le péché originel est d'abord une faute d'orgueil, qui consista pour Adam et Ève à vouloir se faire égal à Dieu et se passer de Lui.
Mais peu vous importe finalement d'accuser à tort : du moment que cela alimente votre machination contre cette oeuvre de Dieu, le reste vous importe peu. "Accusons, accusons, il en restera toujours quelque-chose"...
Oui mais voilà. On ne dit pas n'importe quoi sur les oeuvres de Dieu. Cela ne se fait pas, cher monsieur.
Voilà ce que dit l'EMV du péché originel, en parfaite harmonie avec la doctrine catholique :
Leçon no 23, Commentaire de l'épître de saint Paul aux Romains :
Le premier acte contre l'amour a été commis par l'orgueil, la désobéissance, la méfiance, le doute, la rébellion et la concupiscence spirituelle. En dernier, il a été achevé par la concupiscence de la chair. J'ai bien dit: en dernier.
Plusieurs pensent le contraire : que l'acte de concupiscence de la chair ait été le premier. Non. Dieu est ordre en toutes choses.
Même dans ses rapports avec la loi divine, l'homme a péché premièrement contre Dieu. Il a voulu être semblable à Dieu. Il a voulu être "dieu" dans la connaissance du Bien et du Mal. Il a voulu une liberté d'agir absolue, donc illicite. Il a voulu la liberté d'agir selon son bon vouloir et plaisir, contre tout conseil ou prescription divine. Deuxièmement, il a péché contre l'amour. Il s'est aimé de façon abusive, en niant à Dieu l'amour révérenciel qui lui revient, en mettant son propre moi à la place de Dieu, et en témoignant de la haine pour son prochain à venir: à sa propre race il a transmis l'héritage de la faute et de la condamnation. En dernier lieu, il a péché contre sa dignité de créature royale, créature qui avait reçu le don de la parfaite maîtrise sur ses propres sens.
Le péché de la chair ne pouvait pas avoir lieu tant que l'état de Grâce et les autres états conséquents étaient encore présents et actifs. Tant que persistait l'innocence, et donc la domination de la raison sur les sens, la tentation sensuelle aurait pu survenir, mais l'homme n'aurait pas consommé la faute sensuelle.
maria.valtorta.free.fr/Romains7.htm
Votre objection est donc retoquée : l'EMV est ( malheureusement pour vous ? ) totalement conforme à la doctrine catholique, comme l'avait bien compris S.S.Pie XII, Mgr Roschini, Mgr Carinci, le bienheureux dom Allegra, et tant d'éminents théologiens.
Mais eux, ne mélangeaient pas tout, comme vous et Gounon... Ils savaient faire ce qu'on appelle en terme technique :
des distinctions.
Quel plaidoyer pour satan 👏
Il serait peut être bon d'apprendre à lire la parole de Dieu sans la déformer et en demandant le discernement spirituel à Dieu.
Les premiers et vrais chrétiens c'est ceux dans le livre des Actes, qui se baptisaient au nom de Jésus par immersion, avec repentance. Qui chassez les démons, guérissaient les malades, développaient leurs dons spirituels et qui n'ajoutaient rien à la parole de Dieu qui est complète.
Les catholiques sont arrivés après avec Constantin qui s'est fait passer pour un chrétien alors qu'il a mélanger la bible avec les cultes idolâtres romains, sont apparus toutes les traditions anti bibliques, comme le dimanche au lieu du samedi comme jour saint, comme la prière à Marie, la fabrication de statues, chapelet et j'en passe.
L'église catholique n'est pas l'église universelle du Christ mais la grande prostituée de l'apocalypse. Une oeuvre démoniaque pour perdre les âmes. Tout comme l'islam.
Et tous les sois disant miracles que les catholiques reçoivent, textes, guérisons, images, vierge qui apparaît ou pleure, c'est satan qui se joue de vous pour lier votre âme à lui.
Ce ton était nécessaire pour désacraliser un personnage qui n'est en réalité que le fruit de l'imagination de MV, et non Dieu en personne.
Au sujet du péché originel, vous passez à côté du problème. Cet extrait de la leçon N°23 n'est certes pas contraire à la doctrine catholique, mais l'EMV (dont le propre est de prêcher tantôt le faux, tantôt le vrai) contredit et remplace le péché originel tel qu'il est décrit dans la Genèse. En effet, dans l'EMV, Eve devient rapidement avide de luxure (cf EMV 17.5 et 174.9), ce qui n'est pas le cas dans la Bible. En outre, dans la Bible, Eve mange le fruit défendu afin de connaître le biej et le mal "comme Dieu", alors que dans l'EMV Eve mange le fruit défendu pour être libre de procréer à sa guise, et de savourer le plaisir de s'accoupler (cf EMV 17.12).
Comment ensuite ne pas rire quand on lit le Jésus de Valtorta prétendant à la fin de l'oeuvre n'avoir "rien ajouté à la Révélation" ?
@@jawatusken
Ce ton parfaitement idiot, rendant le sens inaudible et votre exposé forcément biaisé, puisque vous faites la conclusion avant même que l'auditeur n'ait pu analyser par lui-même le sens et être d'accord ou non avec vous ( et ainsi : vous stupidifiez volontairement votre auditeur ) vous dessert particulièrement.
" Le fruit de l'imagination de Maria Valtorta", dites-vous ? Voilà qui rend définitivement caduque votre analyse, puisque les faits montrent de manière scientifique qu'il était impossible à Maria Valtorta d'avoir inventer quelques 20 000 détails de tous ordres dans son oeuvre ! Or : soit elle a inventé, soit elle n'a pas inventé, mais cela ne peut pas être les deux en même temps. Vous vous êtes reposé par mégarde sur les conclusions de l'ex saint office qui depuis, se sont avérées être fausses.
Pour ce qui est du péché originel, la sainte Eglise a toujours cru ce que l'EMV avance, à savoir que le péché originel ne fut pas pour l'homme et la femme une faute qui se réfugia dans la sphère purement spirituelle, ce qui aurait correspondu alors à la faute, non pas d'une créature incarnée, mais d'une créature angélique.
Et en faisant exclusivement référence à Adam et Ève et à leur faute originelle dans le jardin d'Eden, l'Eglise enseigne bien :
- que la totalité de la faute fut consommée dans le jardin, avant qu'Adam et Ève soient chassés du Paradis terrestre,
- que ce ne fut donc pas simplement "les prémices" de la faute en sa globalité ( prémices qui seraient purement spirituels )
- et que donc il n'y eut aucun autre être humain après la chute et l'exclusion du Paradis terrestre, devant être dénoncé comme "le premier luxurieux", ce qui aurait été le cas si Adam et Ève n'avaient pas également péché de la sorte dans le jardin, ce qui est suggéré par le fait que "EVE DONNA DU FRUIT À SON MARI, ET IL MANGEA". La faute, premièrement d'orgueil, se propagea immédiatement dans les membres des premiers parents dépourvus désormais de l'aide de la Grâce divine, et ils cederent à leurs passions charnelles.
Le passage de l'EMV qui parle de la sexualité humaine blessée par la faute est donc bien conforme à celui qui parle avec justesse du péché originel en tant que tel, et conforme à la Genèse.
Le seul problème est que vous n'êtes pas théologien : et vous n'avez jamais appris que la Bible est compendieuse, en particulier la Genèse. Ce n'est certainement pas une invention de circonstance de ma part, puisque lorsque Dieu dit : "Que la Lumière soit ! " et la Lumière fut, les Pères voient dans ce passage : la création des anges ( ce qui n'est donc pas dit explicitement).
Et lorsque Dieu sépara la Lumière et les ténèbres, ils voient la lutte entre les bons et les mauvais anges qui furent précipités loin de Dieu en enfer ( idem ! ).
C'est donc bien que le langage de la Genèse n'est pas entièrement descriptif ( comme peut l'être l'EMV ), mais très largement suggestif, et compendieux, chose encore une fois dont vous ne savez tenir aucunement compte car vous n'êtes pas théologien, et ce qui fausse toute votre analyse.
@@SalveRegina225 Les 20000 détails on s'en fiche puisqu'il suffit d'un détail erroné comme le voyage incohérent de jonathas pour que tout s'écroule.
Et puis, vous prenez vos désirs pour la réalité, l'Eglise n'a jamais enseigné que le péché originel avait consisté à commettre tous les types de péchés possibles.
Et c'est pas parce que Caïn est présenté comme le premier assassin, que l'Ecriture devait forcément mentionner le number one pour chaque sorte de péché.
Eve a donné du fruit de l'arbre à Adam pour qu'il en mange, et vous voyez là-dedans une allusion à quelque chose de sexuel. C'est vraiment tordu, d'autant plus que l'Eglise n'a jamais interprété ce verset dans ce sens-là.
Rien ne suggère qu'Adam et Eve cédèrent immédiatement à leurs passions charnelles. C'est même le contraire : lorsqu'ils se rendent compte qu'ils sont nus, ils se cachent, et ensuite ils sont punis et chassés du paradis avant d'avoir pu commettre un quelconque acte sexuel.
@@jawatusken
Non, vous affabulez, en niant l'évidence qui vous dérange : vu que plus de 20 000 détails sont absolument :
- avérés
- hors du champ de connaissance de Maria Valtorta,
c'est donc totalement puéril de votre part de considérer que l'EMV puisse être le fruit de l'imagination de Maria Valtorta : car ce n'est tout simplement pas possible. Il faudrait que le hasard en soit responsable : Maria Valtorta aurait dit n'importe quoi, avec 1 chance sur 10 puissance 80 que tout tombe juste, et hop ! comme par magie, cela se serait produit ? C'est rigoureusement impossible. Vous vous laissez aller dans votre mauvaise foi, qui ne peut tromper personne.
Il n'y a pas eu de "voyage incohérent de Jonathas" dans l'oeuvre, ni rien d'autre d'incohérent, c'est tout le contraire : chaque déplacement des personnages correspond dans sa durée au nombre de jour qu'il aurait fallu pour l'accomplir, en fonction du mode de déplacement utilisé et des distances mesurées sur le terrain. Tout a été duement vérifié par des spécialistes internationaux, vous vous dépatouillerez donc avec eux.
C'est vous qui êtes obnubilé, comme paniqué par le côté sexuel de la faute, et qui voulez à tout prix que cela ne soit pas, sans vraiment nous donner le motif de votre hantise.
Vous ne pouvez pas même vous imaginer que la faute d'Adam et d'Eve puisse avoir dégénérer en luxure, et que le fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal puisse symboliser bien plus qu'un simple fruit physique, poussant sur un arbre comme n'importe quelle pomme ou poire.
Comme déjà expliqué ailleurs : Jésus aussi est le Fruit de l'arbre de la Croix, mais cela n'implique pas que Jésus était devenu subitement un fruit après avoir été crucifié, sauf de manière symbolique, ni que la croix était elle-aussi subitement devenu un arbre avec branches et racines, sauf de manière symbolique.
En rejetant l'interprétation symbolique du récit de la Genèse, vous rejetez par la même occasion toute exégèse solide de ce texte biblique, et toute possibilité d'en accueillir le message de vérité.
Que savez-vous précisément du mode de la sexualité entre Adam et Ève avant la chute ? Réponse : rien de concret. Sinon que :
- cette sexualité existait, vu que Dieu créa l'humain homme et femme, avec l'altérité sexuelle présente dès le commencement, et donc déclarée "bonne" par Dieu
- que le mode d'exercice de cette sexualité etait dépourvu de toute luxure, de tout péché
- et la dernière chose certaine que nous sachions au sujet de la sexualité humaine : c'est que c'est LE domaine par excellence qui a été le plus impacté par la chute originelle dans le péché ( même si ce n'est qu'une consequence de l'orgueil ), que c'est devenu LE domaine d'action par excellence de Satan pour nuire à la race humaine.
On sait que toute la création a été très puissamment impactée par la faute, qu'elle a subit les conséquences morales et physiques de la chute originelle : toutes les cartes ont été rebattues, nous ne savons plus du tout nous imaginer ce que pouvait être l'Eden terrestre, la Parole divine le suggère juste en évoquant "l'apparition des epines et des ronces comme fruit de la terre", et en général l'apparition de la penibilité du travail, ainsi que de la mort pour l'homme.
Mais si d'incroyables changements dans la création sont à induire, aucun domaine n'a du subir plus d'impact, et donc de changements, que la sexualité humaine !
Vous retorquerez que j'affabule, et vous aurez tort, l'ami. Car par exemples : le fait que la femme doive souffrir intensément désormais, lorsqu'elle doit mettre au monde un enfant, en est seulement la partie émergée. Mais l'iceberg est bien plus grand. Et si vous vouliez appliquer deux secondes votre intelligence au sujet, plutôt que d'imiter assez bien comme vous le faites les intonations du démon ( ce qui me donne l'impression que vous n'êtes en réalité qu'une sorte d'amuseur de vous même, qu'on surnomme généralement un "troll", et non un chercheur de la vérité ), vous concluriez aussi que les règles menstruelles féminines, avec leur cortège d'hémorragies et souvent de dysménorrhées ( douleurs ) ne peut pas correspondre à la condition physiologique féminine d'avant la chute : cette situation correspond de manière évidente au châtiment plus dur infligé à la femme, première à avoir péché et ayant entraîné la chute d'Adam ( sans absence de responsabilité de la part de celui-ci, évidement ).
Voilà ce que vous concluriez si seulement vous cherchiez vraiment : la connaissance de la sexualité d'avant la chute est tout simplement hors de portée de notre imagination.
Mais est-ce vraiment une surprise ? Adam et Ève, dans leur état de pureté originelle, étaient invulnérables, que ce soit au feu, à l'eau, au froid, à la faim et la soif, et à n'importe quel élément, leurs corps étaient imputrescibles et ne devaient jamais connaître la mort, mais seulement une assention vers une spiritualisation parfaite, et en tout cas sans jamais finir dans la tombe.
Est-ce que vous connaissez quelqu'un qui soit en mesure d'imaginer ce que cette condition physique et spirituelle puisse être dans le concret ? Vous n'en trouverez pas un seul. Car notre esprit blessé, embrumé par la faute, est désormais tout simplement inapte à s'imaginer quoi que ce soit à ce sujet. Nous vivons sur terre, et nous sommes incapable de décrire :
- ce que sera le Ciel
- et ce qu'était le Paradis terrestre, et la condition humaine avant la chute.
Votre moquerie des écrits de Maria Valtorta est donc d'une rare stupidité : les éclairages qu'ils nous donne sont volontairement partiels, car nous n'avons pas à tout savoir sur tout ( et c'est ce qui vous frustre vraissemblablement ).
Et cependant, vous vous dressez contre, comme quelqu'un qui saurait tout ( ??? ), et surement on le comprend, que Adam et Ève etaient... comme nous ! (???) et consommaient l'acte conjugal.... comme nous ! ( ??? ) dans le mode que nous connaissons ( ??? )
D'où vous sortez cela... on ne le saura jamais : surement de "révélations privées" dont vous cachez au monde l'existence, car elles vous serait exclusivement réservées par le "ciel" ? Plutôt bizarre. Et même : très bizarre. Autant que le ton que vous prenez par pure moquerie, vous êtes franchement louche, je vous le dis carrément. Et en tout les cas, votre discours n'a rien d'un discours théologique, capable de s'opposer de près ou de loin avec l'EMV.
"Soyez féconds et multipliez-vous" n'indique en rien l'autonomisation du premier couple vis-à-vis de la Volonté Divine, puisque bien au contraire, on constate que l'homme se soumet sur tous les plans materiels et affectifs à tous les decrets de Dieu, qui veille constamment sur lui comme un Père.
Bien au contraire : si c'est Dieu qui ordonne "soyez féconds et multipliez-vous", cela indique que cette action le concerne hautement. Il aurait très bien pu ne rien dire, et penser : "Bon, et bien maintenant laissons-les prendre du bon temps l'un avec l'autre ! Puisque de toute façon, Je ne declarerai la fornication comme etant un péché QUE après la chute ! Pour le moment : forniquez, forniquez mes enfants ! Il n'y a pas de mal à se faire du bien ! "
C'est grotesque. Dieu regissait de très prêt tous les actes des hommes, et ceux-ci oneissaient sans aucune peine, puisqu'il s'agissait d'un rapport d'amour infini entre des enfants saints avec leur Père Saint ! Et dans l'amour, il n'y a pas de contrainte.
Qu'Adam "quitte son père et sa mère pour ne faire plus qu'une seule chair avec sa femme" équivaut donc pour vous à ce qu'Adam quitte Dieu, et l'obéissance qu'Il lui devait en chacun de ses actes, même les plus intimes ??? Vous êtes sérieux, ou bien vous le faites exprès, de dire de semblables stupidités ?
Vous ne pensez même pas que, même devenu l'épouse d'un homme, une femme n'en restait pas moins avant toute chose la créature de Dieu, obéissante à Dieu ?
Vous pensez vraiment que Dieu, Celui qui avait créé l'homme, puisse être un trouble-fête s'Il faisait valoir ses droits à gouverner avec justice la vie de ses propres créatures, sans pour autant violer leur liberté ?
Vous pensez donc vraiment qu'avant la chute, Adam et Ève obeissaient moins à Dieu leur Père, qu'un moine n'obéit en tout à son superieur dans un monastère ?
On a envie de vous demander de vous réveiller de votre sommeil profond, l'ami... Vous dormez, c'est pas possible ! Quelle pauvre idée vous vous faites de l'obéissance !
Voilà ce que dit l'EMV du péché originel, en parfaite harmonie avec la doctrine catholique :
Leçon no 23, Commentaire de l'épître de saint Paul aux Romains :
Le premier acte contre l'amour a été commis par l'orgueil, la désobéissance, la méfiance, le doute, la rébellion et la concupiscence spirituelle. En dernier, il a été achevé par la concupiscence de la chair. J'ai bien dit: en dernier.
Plusieurs pensent le contraire : que l'acte de concupiscence de la chair ait été le premier. Non. Dieu est ordre en toutes choses.
Même dans ses rapports avec la loi divine, l'homme a péché premièrement contre Dieu. Il a voulu être semblable à Dieu. Il a voulu être "dieu" dans la connaissance du Bien et du Mal. Il a voulu une liberté d'agir absolue, donc illicite. Il a voulu la liberté d'agir selon son bon vouloir et plaisir, contre tout conseil ou prescription divine. Deuxièmement, il a péché contre l'amour. Il s'est aimé de façon abusive, en niant à Dieu l'amour révérenciel qui lui revient, en mettant son propre moi à la place de Dieu, et en témoignant de la haine pour son prochain à venir: à sa propre race il a transmis l'héritage de la faute et de la condamnation. En dernier lieu, il a péché contre sa dignité de créature royale, créature qui avait reçu le don de la parfaite maîtrise sur ses propres sens.
Le péché de la chair ne pouvait pas avoir lieu tant que l'état de Grâce et les autres états conséquents étaient encore présents et actifs. Tant que persistait l'innocence, et donc la domination de la raison sur les sens, la tentation sensuelle aurait pu survenir, mais l'homme n'aurait pas consommé la faute sensuelle.
maria.valtorta.free.fr/Romains7.htm
Votre objection est donc retoquée : l'EMV est ( malheureusement pour vous ? ) totalement conforme à la doctrine catholique, comme l'avait bien compris S.S.Pie XII, Mgr Roschini, Mgr Carinci, le bienheureux dom Allegra, et tant d'éminents théologiens.
Mais eux, ne mélangeaient pas tout, comme vous et Gounon... Ils savaient faire ce qu'on appelle en terme technique :
des distinctions.
1 ) Si Adam couchait avec Ève, ça ne pouvait pas être de la fornication (union illégitime) puisqu'elle était sa femme.
2 ) L'EMV insinue qu'ils n'étaient pas libres de procréer (peu importe le mode) sans autorisation expresse du Père au cas par cas. Ce qui est, au minimum, contre-intuitif *. En tout cas, dans la Bible, c'est pas pour obtenir cette liberté que Ève a croqué le fruit de l'arbre interdit.
* Quand Dieu dit "aimez-vous les uns les autres" ou "faites du bien à ceux qui vous haïssent", c'est pas "seulement au moment où je vous en donnerai l'ordre". Donc on peut logiquement penser qu'il en va de même pour "soyez féconds et multipliez-vous".
@@jawatusken
1 ) indécrottablement, vous ne pouvez même pas vous imaginer que le mode de la sexualité avant la faute puisse avoir été différent du nôtre. On le comprend bien : puisque pour vous, "coucher avec une femme" est tout ce que l'homme peut desirer de plus haut en terme de volupté, puisque vous ne pouvez rien concevoir d'autre, c'est pour vous la preuve absolue que c'était cela, en substance, qui se passait avant la faute, entre l'homme et la femme. Votre propre concupiscence charnelle est donc votre unique référence théologique, la seule référence valable à vos yeux.
2 ) Vous prenez également votre propre désir d'autonomie vis-à-vis de Dieu comme seule et unique étalon de ce qu'est "la liberté" : la notion d'obéissance vous passe à trente six mille lieu au-dessus de la tête, et certainement que pour vous, un moine qui obéit à son superieur est une sorte d'esclave.
Il n'en est pas ainsi, dans l'économie divine, et j'ose le dire : fort heureusement ! L'obeissance libère au contraire de sa volonté propre, et jamais personne n'est plus libre que celui qui est dans un véritable lien d'obéissance à Dieu.
Jésus est la Personne libre par excellence : et Il ne fait cependant RIEN qu'il ne voit faire par son Père ( cf Ev selon saint Jean ) Il fait toujours la Volonté du Père ( idem ).
Et ainsi, pour vous, Jésus fut l'être le moins libre qui ait jamais existé sur terre, si l'on adopte votre manière de penser, ce qui confine au plus profond ridicule. Comment Celui qui nous libère par sa Parole pourrait-Il en effet ne pas être Lui-même soyverainement libre ?
Mais il est évident que la théologie et vous : ça fait deux. Dans ces conditions, il est parfaitement vain de vous dresser comme vous le faite contre une Oeuvre, dans laquelle il ne se trouve aucune erreur théologique : vous êtes totalement incapable de vous en rendre compte.
@@SalveRegina225 1) Peu importe quel était le mode de procréation avant le péché originel (d'ailleurs ça ne me pose pas de problème d'en imaginer un autre), c'est pas le sujet. Je prends note cependant que vous ne pouvez pas envisager que leur mode de procréation eût été le même que le nôtre, alors qu'il n'y a pourtant pas d'obstacle.
2) Alors comment avez-vous pu manger un gâteau sans attendre l'autorisation explicite de Dieu ? C'est scandaleux !
@@jawatusken
1 ) La réforme profonde de toute la sexualité humaine depuis la chute est rendu évidente par les faits : la femme doit subir les douleurs de l'enfantement, les aménorrhées et flux de sang des règles, l'accouchement ne se fait plus dans un flot de lumière surnaturel, comme le décrivent unaniment Maria Valtorta et sainte Brigitte de Suède dans leurs écrits, les corps engendrés ne sont plus invulnérables aux éléments, mais peuvent subir la mort à tout moment. Il y a donc un abîme indescriptible entre nous et nos premiers parents, que l'imagination est incapable de franchir désormais.
2 ) Je ne vois pas Dieu face à face comme nos premiers parents Le voyait chaque jour : c'est donc en vain que vous me comparez à eux. Mais dans un monastère effectivement, un moine ne devrait pas faire un pas sans la permission de son abbé ! ( selon saint Barsanuphe, peu importe : vous ne le connaissez pas, c'est un Père du désert ). Et au moins, il ne doit rien manger sans obéissance à son supérieur. Votre exemple est donc involontairement pertinent.
Cette vidéo ignore l'essentiel, les informations géographiques et astronomiques ont été vérifiées et sont indiscutables. Or, cette dame en 1943 ne pouvait pas avoir ces informations. Tout est cohérent y compris le respect des calendriers en vigueur à l'epoque. Je m'attendais à une critique intelligente, etant hesitant, et je ne trouve chez vous que des critiques ignare d'un gars qui ne comprends et surtout ne connaît pas le sujet qu'il traite.
Je vous invite à lire le chapitre 6 du livre de René Gounon (pages 51 à 53).
@@jawatusken Pour ma part de vous invite à lire "confirmation par la science" et d'essayer de réfuter ces preuves...ce que vous ne ferez pas bien sûr. Ainsi que de lire cette œuvre de 10 tomes avant de la critiquer bêtement, avec des arguments qui n'en sont pas. Je ne suis ni athée, ni un fanatique religieux, j'essaie juste d'être factuel et objectif. Est ce que les informations données par Maria Valtorta tant en astronomie, au niveau calendaire et archéologique sont exacts? Réponse : oui. Est-ce qu'une dame handicapée et alitée pouvait avoir accès à ces informations en 1943 : réponse : non. Après avoir fait ce constat, vos affirmations et celle de votre 'René' sont sans intérêt.
RELATIVISATION DU BAPTÊME ? VRAIMENT ?
Voici le passage incriminé :
1 ) Un homme ouvre à Jésus toute la noirceur de sa vie passée, dont il se repend, tout en larmes.
(...)
" Tu ne me maudis pas ?"
"Non. Je pleure et je prends sur Moi ton péché !... Comme il est lourd ! Il me brise les membres, mais je le serre étroitement, pour le consumer à ta place... et à toi, je donne le pardon. Oui. Je te remets ton grand péché." Il étend les mains sur la tête de l'homme qui sanglote et le prie : "Père, pour lui aussi mon sang sera versé. En attendant voici mes larmes et ma prière. Père, pardonne car il s'est repenti. Ton Fils, au jugement duquel tout est remis le veut !..." Il reste encore quelques minutes ainsi, puis il se penche, relève l'homme et lui dit : "La faute est remise, À toi, maintenant d'expier par une vie de pénitence ce qui reste de ton délit."
(...)
" Une âme est revenue au Seigneur. Bénie soit sa toute puissance qui arrache à l'enlacement du démon les âmes qu'Il a créées et les remet sur le chemin du Ciel. Pourquoi cette âme s'était-elle perdue ? Parce qu'elle avait perdu de vue la Loi."
(...)
On voit ici Jésus administrer le pardon sacramentel à quelqu'un pourtant non baptisé, comme Il l'avait fait pour le paralytique descendu devant Lui par le toit.
Et dans l'Évangile, on ne remarque pas non plus que Jésus baptise aussitôt toute personne qu'Il vient de guérir ou de pardonner. Il n'y a donc rien d'incohérent ici.
Dans la vie catéchuménale en effet, il y a pour certains un grand profit à se préparer longuement à recevoir ce sacrement, parfois de longues années, ou toute une vie, quand pour d'autres le baptême peut être administré quasi immédiatement : cela dépend de l'état spirituel de chaque catéchumène.
Preuve s'il en est : Jésus baptise de nombreuses personnes aussitôt après avoir entendu ce pauvre homme.
(...)
"Moi aussi, le baptême de tes mains !" crient-ils, nombreux.
Jésus, qui est déjà à mi-chemin, se retourne :
"Demain. Maintenant partez et soyez bons. La paix soit avec vous."
Tout se termine et Jésus revient à la maison dans la cuisine déjà sombre bien que ce ne soient encore que les premières heures de l'après-midi.
- Les disciples s'empressent autour de Lui. Et Pierre demande :
"Cet homme que tu as emmené derrière la maison, qu'est-ce qu'il avait ?"
Besoin de purification."
"Il n'est pourtant pas revenu et n'a pas demandé le baptême."
"Il est allé où je l'ai envoyé."
"Où ?"
"À l'expiation, Pierre."
"En prison ?"
"Non, à la pénitence pour le reste de sa vie."
"Alors ce n'est pas avec l'eau qu'on purifie ?"
"Les larmes aussi, c'est de l'eau."
- "C'est vrai. Maintenant que tu as fait un miracle, qui sait combien viendront !… Ils étaient déjà le double aujourd'hui..."
C'est bizarre, pour quelqu'un qui relativise l'importance du baptême, de baptiser comme ceci autant de monde ! Je dirais même que c'est curieux, très curieux, et pour tout dire : bizarre.
En réalité, le Christ parle ici à propos de cet homme, de ce que l'Eglise désigne depuis déjà plus de 2000 ans comme le "baptême des larmes". Tous les grands saints en ont parlé, à commencer par les évangélistes en parlant de saint Pierre, de Sainte Marie Magdeleine, mais tous les chrétiens n'ont cependant pas bien entendu.
Lisons ce qu'en disent les saints :
" Dans l’Évangile, à quelques heures de la Passion et de sa mort, Jésus annonce à Pierre son reniement. Pierre se croyait si fort qu’il annonça à Jésus qu’il le défendrait jusqu’au bout, et que la mort ne saurait donc atteindre son maître et ami. Jésus lui dit pourtant : « Cette nuit même, avant que le coq chante, tu m’auras renié trois fois. »
De fait, voici ce qui arriva.
Saint Augustin déclare dans ses Sermons, comme l’écrit Martine Dulaey : « En reniant, Pierre est mort, mais en pleurant, il est ressuscité. […] Pierre a lavé sa faute dans les larmes, il a fait couler l’eau de ses yeux et baptisé sa conscience. […] Il fallait à Pierre le baptême des larmes pour laver le péché du reniement. »
( ndm : est-ce donc là une relativisation du baptême sacramentel ? Sûrement pas. Les deux jaillissements d'eau sont importants, et l'un ne va pas sans l'autre.)
" Le même Augustin se souviendra, dans Les Confessions, que Monique, sa mère, avait beaucoup pleuré sa mort spirituelle : « Elle me pleurait comme un mort que tu allais ressusciter. » Il parlait ainsi à Jésus.
Un beau rapprochement avec une pécheresse ( sainte Marie Magdeleine ) apparaît ici, à l’évidence, dans l’Évangile. Ainsi, la voyons-nous arroser de ses larmes les pieds de Jésus, et les essuyer avec ses cheveux. On se souvient qu’un jour, lors de son dernier repas, donc juste avant de vivre sa Passion, Jésus lavera les pieds de ses disciples.
Jésus fait l’éloge de cette femme devant un pharisien qui a invité Jésus à manger et ne comprend pas l’absence de réaction de Jésus devant ce geste osé. Jésus va lui déclarer : « Je te le dis, ses péchés, ses nombreux péchés, lui sont remis parce qu’elle a montré beaucoup d’amour. »
Elle vit dans son corps, comme Augustin, le baptême des larmes pour être lavée de son mal. "
" Lorsque les larmes coulent, elles coulent d’une merveilleuse source secrète. Elles ne sauraient mentir et révèlent quelque chose de notre humanité, de notre sensibilité avec les peines, les regrets et les hontes dont elles découlent. Mais il suffit de quelqu’un, avec le grâce de Dieu, qui agisse dans le secret du cœur, pour consoler et vous faire repartir de l’avant comme un bienheureux.
Il est des larmes de joie qui manifestent une dépossession de soi et l’irruption d’une merveilleuse histoire, une nouvelle naissance. "
L'EMV met donc merveilleusement en valeur la pédagogie que Dieu emploie différemment pour chacun, et rappelle simplement dans ce passage que les larmes ont le pouvoir d'effacer elles aussi toutes nos fautes passées.
Aucun doute que cet homme, d'abord assassin et luxurieux, puis grand pénitent, tout comme sainte Marie Magdeleine le fut à la Sainte Baume jusqu'à sa mort ( et pour quel intérêt, si le baptême sacramentel suffisait ? ), reçut avant de mourir le baptême sacramentel.
Pas de trace d'une quelconque relativisation du sacrement dans l'EMV, mais un enseignement de très grande valeur, reprenant celui de la célèbre "Imitation de Jésus-Christ" si chère à la petite Thérèse de Lisieux, et contenant cette prière :
" Nourissez-moi, Seigneur, du pain des larmes, abreuvez-moi au calices des pleurs."
DIEU EST DANS L'HOMME. IL N'EST PERMIS QU'AUX DAMNÉS DE SE SEPARER DE DIEU.
"Je suis le Seigneur ton Dieu", le Compagnon qui ne t'abandonne pas, l'Hôte que tu ne peux chasser. Es-tu bon ? Voici que l'hôte et compagnon est le bon Ami. Es-tu pervers et coupable ? Voilà que l'hôte et compagnon devient le Roi irrité et ne donne pas la paix. Mais Il ne quitte pas, ne quitte pas, ne quitte pas. Il n'est permis qu'aux damnés de se séparer de Dieu. Mais la séparation est le tourment inapaisable et éternel.
@@SalveRegina225 1) Le problème n'est pas que "Jésus" pardonne les péchés d'un non baptisé, mais qu'il réponde "les larmes aussi, c'est de l'eau", sous-entendant par là que les larmes de repentance peuvent dispenser du baptême d'eau (ce qui est faux, évidemment). En outre, non seulement "Jésus" ne dit pas que le gars en question sera baptisé "plus tard, quand il sera prêt", mais en plus il affirme qu'il est parti faire pénitence "pour le reste de sa vie", laissant ainsi entendre que cet homme ne recevra jamais le baptême (ce qui est nécessaire pour laver la tache du péché originel et entrer au Ciel).
2) Vous vous tirez une balle dans le pied avec ce passage de EMV 119.5 que vous citez : "[...] Il n'est permis qu'aux damnés de se séparer de Dieu".
Car ceci vient confirmer l'hérésie que le Jésus de Valtorta enseigne en EMV 444.4 : "Dieu est dans les créatures [...] L'âme est son trône, le corps est son temple".
En effet, selon l'Eglise, c'est le baptême qui rend "enfant de Dieu" et qui permet d'avoir la présence de Dieu dans l'âme par la vie de la grâce. Cette présence disparaît lorsqu'on perd la vie de la grâce à cause d'un péché mortel (qui sépare l'âme d'avec Dieu).
@@jawatusken
1 ) Il n'y a pas de problème dans ce que dit Jésus "les larmes aussi c'est de l'eau", mais uniquement une instruction qui est pleinement catholique. Vous seriez prêt à contester saint Augustin, pourvu d'avoir l'impression d'arriver à vos fins.
En fait, vous n'osez pas avouer que vous n'aviez jamais entendu parler du baptême des larmes, car il n'y a pas que la théologie qui vous est étrangère : il y a la vie spirituelle tout court. Quelle pitié : je vous sers les preuves indubitables que vous pourriez accueillir avec gratitude, et cependant vous préférez vous ridiculiser à contestouiller. Ça devient risible.
Le baptême efface bien tous les péchés, mais bien entendu, cela ne dispense pas le chrétien de rechercher le pardon de Dieu par tous les moyens mis à sa disposition.
- la confession est le moyen privilégier, mais il nécessite la contrition, même seulement imparfaite.
- plus le repentir est sincère, plus la contrition sera parfaite, plus nos fautes seront intégralement remises, car nous en serons réellement détachés. Vous apprendrez cela dans votre paysage vers l'autre monde, lorsque vous devrez subir la purification par le feu du purgatoire. Mais il ne sera plus temps alors de penser à l'éviter.
- Mais vous avez ici-bas un moyen d'échapper complètement à ce feu redoutable, qui est la contrition parfaite.
- celle-ci ne s'obtient que par les larmes abondantes d'un sincère et pur repentir, ce que la Tradition a toujours su lire dans l'Evangile et a nommé "le baptême des larmes" ( pour saint Pierre et sainte Marie Magdeleine notamment ).
- Oui, il y a un point commun entre ces deux baptêmes : tous deux purifient par l'eau, d'où la réplique de Jésus.
- Si vous le contestez, c'est tout bonnement l'enseignement des Pères de l'Eglise que vous contestez. Et c'est bien ce que vous semblez faire, sans y voir aucun danger pour votre foi.
- Vous faites souvent ce genre de sophisme, en inventant un motif d'accusation : ici, vous inventez le postulat comme quoi "les larmes aussi, c'est de l'eau" indiquerait que pour Jésus, le baptême des larmes dispenserait du baptême sacramentel : ce qui est on ne peut plus faux.
- Très drôle : comme si le fait de "faire pénitence pour le reste de sa vie" était en soit un empêchement pour rencontrer un prêtre, ou bien un autre chrétien ! N'importe quoi, vous en êtes réduit à ça ...
- J'ai déjà répondu précédemment à cette objection de papier : ce pauvre homme, qui avait commis des homicides et mené une vie de débauche, devait d'abord partir à l'expiation, afin de préparer son âme par la pénitence à recevoir le saint baptême dont Jésus ne l'avait certainement pas dispensé : c'est seulement là votre fausse interprétation de l'épisode. Des interprétations fausses : les pharisiens qui poursuivaient le Christ en faisaient à la pelle ( il mange avec les pécheurs ! Il fréquente les prostituées ! C'est un glouton et un ivrogne ! Il ne respecte pas le sabbat ! Etc ... )
- De même qu'on peut différer de donner à quelqu'un l'absolution lorsqu'il y a une offense très grave, de même pour le baptême : la durée du catéchuménat est différente pour chacun, surtout pour les adultes.
2 ) C'est vous qui venez de vous tirer une balle dans le pied, vous êtes tombé la tête la première dans le piège que vous m'aviez tendu ( comme le dit le psaume 56 : "Ils ont creusé un trou devant moi, ils y sont tombés ")
Car c'est précisément ce qu'affirme la théologie catholique que vous niez ici : la séparation complète de l'âme avec Dieu, c'est pour elle la peine du damn. OR CETTE PEINE N'EXISTE PAS ICI-BAS, MAIS SEULEMENT EN ENFER, ET DANS LE PURGATOIRE QUI LUI EST SIMILAIRE SAUF PAR LA DURÉE.
Car Dieu ne sépare jamais complètement ici-bas une âme de Lui, sauf peut-être dans le cas extrême de Judas.
Aïe ! ça y est, vous avez saisi ? En réalité, l'EMV n'a rien inventé, mais elle ne fait que rappeler la doctrine catholique.
Même si la vie de la Grâce est amoindrie ou bien disparaît dans le fond de l'âme à cause du péché, non cher monsieur, l'âme du pécheur n'est pas encore séparée de Dieu ici-bas. Et si elle n'est pas séparée de Dieu, c'est que Dieu y demeure d'une certaine manière. La preuve en est que sa conscience est toujours là, et cette conscience est signe de la présence de Dieu. Vous avez étudié à la va-vite le catéchisme catholique, et sur un mode ultra binaire, sans la moindre finesse : ce qui vous conduit malheureusement à faire des erreurs monumentales, comme ici.
La présence de Dieu investie effectivement le cœur profond du baptisé, de sorte que Dieu n'y est plus simplement présent, Il y règne comme le Roi : l'âme est devenue son Ciel.
Sans le baptême, sa présence à l'âme est contrariée, Dieu ne règne pas dans le cœur profond qu'Il ne peut investir à cause de la tâche originelle qui Lui fait horreur.
Pourtant, la bonne volonté à suivre amoureusement sa conscience peut conduire à Dieu qui est déjà là, frappant à la porte du coeur profond, et au baptême de désir, qui ouvre également les portes du salut.
Tel est l'enseignement catholique, que vous rejetez donc.
@@SalveRegina225 1) Le baptême des larmes est une expression utilisée dans le cas de la contrition parfaite, qui rappelle la purification reçue par l'eau baptismale (Je l'ignorais, mais peu importe). Cependant, la contrition parfaite ne dispense pas des sacrements (sauf en cas de force majeure ou d'ignorance invincible).
Voyons maintenant le contexte :
Jésus vient de baptiser quelqu'un dans le fleuve, puis, après être entré dans la maison, Pierre se demande pourquoi l'homme que Jésus avait consolé et pardonné derrière la maison n'a pas demandé le baptême. Jésus répond que c'est parce qu'il l'a envoyé à la pénitence pour le reste de sa vie (ça veut dire jusqu'à la fin de sa vie, donc rien à voir avec les quelques années de catéchuménat). Pierre s'étonne : "Alors ce n'est pas avec l'eau qu'on purifie ?" (Référence au baptême que Jésus est en train de leur apprendre à faire). Réponse de Jésus : "Les larmes aussi, c'est de l'eau" (en clair : les larmes ou le Baptême, c'est du pareil au même).
Le Jésus de Valtorta induit donc Pierre en erreur en lui faisant croire par omission que le pénitent n'aura pas besoin du baptême puisqu'il a été purifié par les larmes qui sont aussi de l'eau.
2) La conscience n'implique pas la présence divine. L'homme en état de péché mortel est privé de la grâce (et donc de la présence de Dieu dans son âme). La séparation ne devient définitive que lorsque le corps meurt : l'âme séparée du corps (elle était déjà séparée de Dieu) est immédiatement précipitée en enfer.
Dieu n'habite pas dans l'âme de ceux qui sont en état de péché mortel (vous avez le droit de trouver ça binaire mais c'est la doctrine catholique), contrairement à ce que dit le Jésus de Valtorta, à savoir que Dieu reste "l'hôte et le compagnon" de tels pécheurs, et ne les "quitte pas".
@@jawatusken
Votre erreur est de manière previsible pertinace, cela n'a absolument pas le don de m'étonner. Je vous est rectifié uniquement pour que vous ne puissiez pas un jour invoquer le prétexte de ne pas avoir été corrigé en temps et en heure, mais non pas dans un quelconque espoir de vous récupérer.
Donc effectivement : vous ne connaissiez rien au baptême des larmes.... mais ce n'est pas grave, selon vous, qu'est-ce que ça change ? Tout, en réalité, que vous refusiez ou non d'en convenir.
Cela vous est inutile de rappeler une fois de plus le contexte, puisque je l'avais déjà fait : vous n'en tenez pas plus compte que les autres fois, puisque rien ( sauf ce que vous persistez à inventer ) n'y montre que le Christ
- dispenserait cet homme de recevoir un jour le baptême
- declarerait que le baptême sacramentel et celui des larmes, c'est "kif kif bourricot".
Vous ne lisez pas ce que ce disent Jésus et Pierre :
" Alors, ce n'est pas avec l'eau qu'on purifie ? "
----> Par cette question, Pierre sous entend que, soit tu reçois le baptême et alors son eau te purifie, soit il y aurait autre chose que l'eau pour purifier, mais il se demande bien quoi !
" Les larmes aussi, c'est de l'eau".
----> Jésus ne dit pas : "Il suffit d'eau pour être purifié, peu importe que ce soit l'eau du baptême ou non" ou bien "Puisque l'eau du baptême et les larmes, c'est de l'eau, alors c'est pareil".
Ce sens que vous retenez est particulièrement ridicule et idiot, car il impliquerait aussi que n'importe quel "détenteur d'eau" pourrait se la verser sur la tête, les mains ou les pieds au lieu de la boire, et être ainsi sauvé ! "Heureux celui qui a de l'eau, car il sera sauvé " (!!!) Ce n'est pas ce qu'a voulu dire Jésus.
Jésus voulait seulement dire, tout comme le dit saint Augustin, Docteur et Père de l'Église ( et on ne s'en fiche donc pas de saint Augustin, cher monsieur ! ) , que l'eau des larmes a le pouvoir aussi de purifier.
En effet, pour purifier, DIEU SE SERT DE L'EAU, et voilà tout ce que Jésus a dit ici : les larmes ne remplacent pas le baptême, mais dans tous les cas, Dieu se sert d"eau pour purifier le cœur de l'homme, c'est un fait.
- Vous niez de manière pertinace que cet homme pouvait recevoir ensuite le baptême : mais c'est une pure erreur de votre part, car cet homme avait bien vu que beaucoup le recevaient des mains de son Bienfaiteur : c'est donc qu'il en eut lui-aussi le désir ardent ! Il n'y a qu'à entendre avec quelle force ces gens le demandaient.
Mais comme l'EMV ne raconte pas 100% de tout ce qui concerne tous les personnages rencontrés ( et quoi de plus compréhensible), on ne peut que supposer avec raison qu'il reçut le baptême ENSUITE.
Que son cas soit extrêmement distinct et exceptionnel, c'est aussi une évidence : on ne voit pas en effet que toute la multitude de ceux qui avaient été convertis par le Christ finirent dans une pénitence à vie, dans l'érémitisme !
Ce fut le cas de très grands pécheurs, comme Marie Magdeleine notamment. Et on pourrait se demander dans quel intérêt, vu qu'elle avait sans doute déjà beaucoup pleuré, beaucoup été pardonnée, déjà été baptisée, et était donc déjà devenue sainte ? Mais c'est que nos vues à nous sont toutes humaines. Et les vues de Dieu nous échappent, car nous avons bien peu de discernement. Et oui, Marie Magdeleine eut soif de s'immoler dans un dur repentir, qui ne prit fin qu'à sa mort d'épuisement au fond de la sainte Baume, un lieu d'une surnaturelle beauté...
Pour cet homme, la pénitence devait commencer tout de suite, et il devait désormais échapper aux regards curieux et accusateurs, désapprobateurs, incompréhensifs, apeurés d'autrui ( c'était un grand criminel, même pardonné ), pour trouver Dieu dans la solitude, se laissant purifier par son regard, dans la pénitence.
Lisez saint Bruno et les écrits des chartreux, pour comprendre ce que la solitude est seule capable d'offrir à l'âme, en matière de pureté. Peut-être qu'alors, vous cesserez de critiquer l'incriticable. Mais ce n'est qu'un voeu pieux de ma part, rien d'autre.
Et pour finir, votre objection est particulièrement déplacée, en ce sens que si cet homme ne reçut pas immédiatement le baptême après sa conversion, c'est également le cas dans les Evangiles canoniques d'une foule de gens guéris, ou enseignés, convertis, pardonnés, que Jésus ne baptise pas immédiatement Lui-même.
Pourquoi réserve-t-il la systématisation du baptême des croyants par ses apôtres à après sa Mort-Resurrection ? La réponse est évidente :
pour le moment, durant les trois années de sa Vie publique, personne ne recevait encore le Sacrement de son Corps et de son Sang, car Il ne l'avait pas encore institué. Le recevoir aurait impliqué d'avoir déjà auparavant reçu le baptême, condition incontournable pour faire un avec Lui. Et donc, si le Christ avait institué l'Eucharistie dès le début de sa Vie Publique, on l'aurait vu devoir consacrer tout son temps à baptiser tout le monde au lieu d'enseigner les foules, et à envoyer partout ses apôtres célébrer la Sainte Cène au lieu de les garder toujours auprès de Lui pour qu'ils soient ses témoins. Un beau cafouillage, et rien de constructif. Car avant de savoir, il faut être enseigné, et avant d'être envoyé par Lui, il faut avoir vécu avec le Maître afin de devenir son disciple.
Voilà pourquoi il n'y a strictement rien d'incongru à ce que beaucoup de convertis n'aient reçu le baptême sacramentel que bien plus tard, des mains des apôtres ou de disciples devenus prêtres. Ce que l'EMV confirme bien, et en particulier dans cet épisode : en attendant, il y avait d'autres moyen de se purifier, sans que cela remplace le baptême.
Sans parler du baptême de sang réservé aux Martyrs du Christ ! ( encore un autre liquide purificateur : le sang ). Les saints Innocents furent les premiers à en bénéficier.
Votre objection est recalée.
Je pense qu'il suffit simplement de lire le "Carnets de dictée du 23 décembre 1948, à 11 heures." pour comprendre que c'est du bullshit total.
Maria prétend recevoir du "Père Éternel" un long message destiné à Pie XII, qu'elle s'engage à lui transmettre. Dans cette lettre, le "Père Éternel" va jusqu'à menacer le Pape du "sort de Pilate" s'il ne se soumet pas et n'édite pas l'œuvre de Maria. Ceux qui liront (cet "dictée") comprendront.
Pie XII a lu, et il a compris. Il a compris que tout cela n'était pas crédible, et s'il avait eu quelques doutes auparavant, il n'en a plus. Malgré la réception de ce message menaçant pour son salut éternel, il n'a rien fait pour imposer la publication de l'œuvre.
Ceci n'est pas une blague, allez lire cette dictée... 😐
Le Pape a dit : lisez l'oeuvre. Contrairement à ce que vous dites. Le problème ultérieur fut le blocage d'ultra-modernistes.
@edmerobert7645 Oui, le pape a dit ça avant de recevoir une lettre de menace de "Dieu". 😂 Il était tellement persuadé qu'il n'a rien fait..
Je pense que vous n'avez pas lu mon commentaire.
Cet acharnement doit alerter tous ceux qui voudraient voir Dieu prendre Possession de leur Être pour leur Salut! Aucune intelligence humaine ne peut être capable de décrire les lieux, les scènes, les personnes, l'habillement, les astres, les temps... Comme c'est fait dans ces livres. Si Maria valtorta était une menteuse, elle en aurait tiré abondamment profit matériellement, ce qu'elle n'a pas fait.
La Voix qui attaque cette oeuvre me fait penser à la malice du serpent antique
Très intéressante vidéo. Merci. La seule chose qui m'agace un petit peu ce sont les tons comiques que vous prenez quand vous imitez les voix des protagonistes du livre. Ça n'ajoute rien car cela n'est pas très réussi, et ne peut que braquer les gens qui croient que Jésus s'exprime vraiment à travers les écrits de Valtorta. Un ton neutre aurait été plus efficace pour les convaincre je pense.
Moi ce qui m'a toujours gêné dans les écrits de Valtorta (que je connais très mal je le reconnais) c'est ce que vous relevez au début : le style ampoulé, daté et très lourd qui est censé être celui de Jésus ! Quand on a un tout petit peu l'oreille littéraire, c'est très difficile de croire que Jésus s'exprime de cette façon. Quand au contenu lui même, il est incroyablement ennuyeux, vraiment, ça tombe des mains, Jésus est vraiment un très mauvais biographe de lui-même...
Quand on compare ça avec la densité et la force spirituelle des Dialogues avec l'Ange par exemple, c'est vraiment sans commune mesure. Valtorta c'est du très mauvais roman des années 1920-1930, horriblement ennuyeux, très daté, d'une abominable niaiserie. Bref, je ne comprends pas le succès de ce qui est très probablement une supercherie d'une mythomane graphomaniaque.
Vous lisez en vous moquant c est horrible
Bonjour Monsieur, je viens de découvrir votre vidéo dont je vais vue que 2 minutes, je suis allé voir les contradictions et hérésies. Permettez moi de vous dire que le ton sarcastique de celle-ci dessert probablement votre cause. A titre personnel, j'aime certaines choses chez Maria Valtorta, je lisais encore hier et ce jour, la vision et dictée sur les Rois Mages (tome 1, p. 203-217, 1ère édition) et bien que je regrette le ton condescendant et dédaigneux du faux Jésus de Maria Valtorta, il y a des éléments qui me semblent bons et utilisables pour mieux faire méditer cette scène évangélique. Il faudrait une édition de EMV avec imprimatur car dépouillée des sacrilèges (Vierge Marie "qui délire presque", "vieille croulante", Jésus qui embrasse des hommes sur la bouche, Jésus qui trompe saint Pierre pour faire une blague), hérésies (péché originel sensuel, le démon qui caresse les membres d'Eve, La Vierge Marie qui aurait vu des choses en Dieu avant sa création, Satan qui se serait "incarné" en Judas, Judas qui serait le plus grand de tous les pécheurs, refus de la régulation des naissances par l'usage des périodes infécondes de l'épouse, Révélation privée qui revendique l'impeccabilité et profère des malédictions et des menaces contre toute personne osant la critiquer) et offenses à l’Église (qui aurait failli à transmettre le "désormais" de Jean 2,4, Eglise qui serait incapable d'expliquer adéquatement les Evangiles). Je crois comprendre que votre point de vue est qu'il faudrait tout mettre à la corbeille. Ce point de vue n'est pas le mien.
Bonjour monsieur, le ton sarcastique m'est venu naturellement, sans que ce soit un objectif réellement choisi. Les incohérences de Valtorta, vaut mieux en rire qu'en pleurer. Je me serais franchement ennuyé si j'avais réalisé cette vidéo sur un ton sérieux.
Oui, selon moi il faut tout mettre à la poubelle. La simple malhonnêteté dont a fait preuve MV en se faisant passer pour Dieu me révulse. Et puis il y a tellement d'erreurs (vous en faites vous-même une liste conséquente) que c'est une simple mesure de prudence que de rejeter toute son œuvre (de peur d'être contaminé par quelque faux enseignement, ou de croire vrais des évènements qui ne sont qu'imaginaires, ou de confondre des éléments de l'EMV avec les évangiles canoniques, qui finiraient par se mélanger dans notre mémoire). Débarrasser l'EMV de ses contradictions et de ses éléments dérangeants demanderait trop de travail. Er je ne crois pas que l'Eglise encourage la lecture des bons aspects des ouvrages hérétiques qu'elle mettait à l'index. Il y aurait quand même des risques d'acquérir une mauvaise façon de penser, une fausse vision des choses... Bref ! Faites ce que vous voulez, mais vous connaissez mon point de vue.
@@jawatusken il est exact que l'Eglise ne recommande pas la lecture des bons aspects des ouvrages hérétiques. Néanmoins, une édition expurgée des erreurs me semble plus efficace pour faire progresser la cause de Dieu compte tenu de la diffusion importante de ces écrits et de la séduction qu'ils opèrent sur certains. Je connais plusieurs bons catholiques qui aiment Valtorta, je ne veux pas leur manquer de respect. La réponse argumentée aux erreurs de Valtorta peut être l'occasion de progresser dans une meilleure connaissance de notre foi et de notre morale.
@@musulmansdevenuscatholiques Mais qui éditerait une version expurgée des erreurs ? Votre idée me paraît irréaliste. Il faut plutôt se servir des erreurs de Valtorta pour faire comprendre à ses fans qu'ils ont été dupés et que ces visions et dictées ne viennent pas de Dieu.
@@jawatusken je connais un éditeur qui est partant. Il faut juste une nouvelle traduction française et un imprimatur diocésain : cette édition approuvée car expurgée éclipsera l'édition interdite qui actuellement la seule éditée. Sans doute le premier volume piochera dans diverses scènes évangéliques
@@musulmansdevenuscatholiques Mais en faisant cela, n'avez vous pas peur que d'autres gens se mettent à croire que les visions de Valtorta viennent de Dieu alors que ce n'est pas le cas ? Je ne pense pas que tromper ainsi les gens soit une bonne chose, même si vous pensez que c'est pour une bonne cause.
Vous faites fausse route : votre ton lors de la lecture du texte de Maria Valtorta vous discrédite complètement. Par ailleurs vous ne mentionnez pas que plusieurs Papes et non des moindres, ont recommandés la lecture de cet ouvrage. De plus, la science n’a jamais pu invalidé ce document malgré le grand nombre détudes passées ou actuelles.
Un conseil en toute humilité : vous devriez ,sans aucun doute, changer de voie et mettre votre personne au service d'études plus pressantes.
@@franckcorniquet Je vous recommande la lecture des pages 10 à 18 de "Valtorta, l'évangile dévoyé".
Oui Pie XII à bien lu son œuvre et pas que.. 😅
Je vous recommande de lire le "Carnets de dictée du 23 décembre 1948, à 11 heures." Où Maria prétend recevoir du "Père Éternel" un long message destiné à Pie XII, qu'elle s'engage à lui transmettre. Dans cette lettre, le "Père Éternel" va jusqu'à menacer le Pape du "sort de Pilate" s'il ne se soumet pas et n'édite pas l'œuvre de Maria. Ceux qui liront (cet "dictée") comprendront.
Pie XII a lu, et il a compris. Il a compris que tout cela n'était pas crédible, et s'il avait eu quelques doutes auparavant, il n'en a plus. Malgré la réception de ce message menaçant pour son salut éternel, il n'a rien fait pour imposer la publication de l'œuvre.
Ceci n'est pas une blague, allez lire cette dictée... 😐
Dernière accusation de l'EMV de votre part, en matière de sexualité :
Selon vous, Adam et Ève ne se "jetèrent pas l'un sur l'autre avec appétit", mais au contraire, juste après la consommation de la faute, leurs yeux s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, et ils se firent des pagnes. Et ce ne fut que bien après qu'ils conçurent des enfants, ce qui prouverait encore plus selon vous le non rapport entre sexualité et péché originel.
Esprit sans intelligence. Bougre d'âne. IL Y A UN RAPPORT DIRECT entre le péché originel d'orgueil et la faute sexuelle.
Mais pour vous faire plaisir : imaginons qu'il n'y en ait pas eu, lorsqu'Adam et Ève croquerent le fruit défendu. Aucun péché de la chair, mais une faute purement spirituel.
Première dissonance :
- cela laisserait entendre qu'Adam et Ève étaient de purs esprits et non des créatures incarnées : s'ils avaient été tels ( et ils l'étaient ! ), alors leur péché ne se serait pas réfugié dans la sphère purement spirituelle, car telle est la condition des êtres incarnés de pécher également avec leur corps, et non comme les esprits angéliques dont la faute est un pur orgueil incorporel.
Deuxième dissonance :
- L'acte d'Adam et Ève de se faire des pagnes juste après la faute, alors qu'ils n'avaient jamais commis ensemble de péché charnel, apparaît donc bien selon vous comme... un acte vertueux, ni plus ni moins ! C'est donc quasiment que Adam et Ève, choqués dans leur "extrême pureté de cœur", juste après s'être rebellés contre Dieu ( !!! ), firent leur premier geste de vertu corporelle ( se vêtir), alors qu'avant, leur cécité en ce domaine les dispensait de le pratiquer :
On en vient donc à votre conclusion atomique dans l'ubuesque, tenons-nous bien :
LE PÉCHÉ ORIGINEL FUT POUR ADAM ET ÈVE L'OCCASION DE PRATIQUER LA VERTU !!!
Alors là je vous dis : bravo ! Chapeau bas, on ne me l'avait encore jamais faite. Quel grand théologien vous êtes, cela tient du prodige !
D'autant que la suite va se révéler savoureuse :
Troisième dissonance :
En effet, pour vous, la faute charnelle ne fut consommée que bien plus tard, Adam et Ève étant de grands abstinents qui se seraient "mis au travail" que longtemps après.
Et voilà pourtant dans la Bible la preuve que l'homme pèche désormais par les désordres sexuels : le déluge. Celui-ci eut lieu notamment pour purifier le monde de la luxure qui y proliférait.
Mais alors ? Dieu aurait chassé du Paradis terrestres deux êtes humains pour une faute qu'ils n'auraient pas consommée jusqu'au bout, mais qui serait apparue sous sa forme charnelle que bien plus tard ?
C'est la négation du péché originel que vous énoncez donc là : en réalité, pour vous, Adam et Ève ne furent chassés du Paradis terrestre QUE POUR AVOIR COMMIS LES PRÉMICES DE LA FAUTE QUI CONTAMINERAIT TOUS LES HOMMES, et non pas la faute dans son intégralité !
En aucun cas il ne faudrait donc parler du "péché originel", mais bien plutôt selon vous DES PRÉMICES DU PÉCHÉ ORIGINEL, commis dans le jardin par Adam et Ève !
Aucun théologien digne de ce nom n'a fait semblable erreur, vous pouvez donc vous féliciter d'être le premier ! Ah mais non, j'oubliais : vous n'êtes pas théologien, et cela explique tout.
Trêve de balivernes : le péché originel fut avant toute chose un péché d'orgueil, certes, mais il communiqua immédiatement aux membres charnels de l'homme et de la femme son suc empoisonné, qui les conduisit à y ajouter la faute charnelle, car privés de la Grâce divine, ils ne pouvaient plus dominer sur leurs passions, comme auparavant.
Il est donc naturel que, toutes leurs mauvaises passions assouvies, l'innocence de leurs regards l'un sur l'autre en fut renversée, et la gêne physique liée à la nudité apparut comme un châtiment bien mérité, lié aussi à l'absence de Lumière pour les recouvrir. De dignes, ils étaient devenus indignes, même du regard de leur conjoint.
On voit bien d'autre part que Dieu avait l'habitude de venir les trouver pour s'entretenir avec eux "à la brise du soir ", alors même qu'ils étaient mariés ! Vous en connaissez beaucoup, des couples à qui Dieu a coutume d'apparaître chaque jour pour parler avec eux ? C'est normal, il n'y en a plus, depuis la chute. Quelle intolérable intrusion dans la liberté d'un couple, mon Dieu !!! Un coin prière, d'accord, ça peut encore aller ! Mais la visitr du Bon Dieu en Personne !? Ah non, ça commence à devenir lourd, quand-même !
Et si Satan avait caressé les sens d'Eve, afin de l'amener à consommer charnellement son autonomisation d'avec Dieu, et de partager cela avec Adam, c'est encore une fois que ni Ève, ni Adam n'étaient de purs esprits comme lui : leur faute s'incarna donc, en ayant une dimension corporelle d'autonomisation d'avec Dieu.
Adam et Ève, contrairement à votre fausse insinuation, furent chassés du Paradis après avoir commis l'intégralité de la faute, d'abord spirituelle par l'orgueil, et aussi charnelle par la convoitise des sens produisant chez eux la luxure.
De fait, ils ne pouvaient pas avoir été chassés d'un Paradis TERRESTRE pour avoir commis comme les anges un péché purement SPIRITUEL, ne concernant nullement leur dimension corporelle :
Si en effet, Adam et Ève avaient péché comme les anges déchus, uniquement par orgueil, alors en toute justice, ils auraient du être précipités comme eux immédiatement et pour toujours en enfer !
Si tel n'avait pas été le cas, alors il aurait été tout simplement injuste d'être créé "ange" par Dieu !
- si tu es un ange, tu n'as pas de seconde chance
- si tu es un homme, tu as une seconde chance, même si ton péché est en tout point semblable à celui des anges ( purement spirituel ).
On dirait que votre haine du surnaturel vous a donc quelque peu égaré ( et le mot est faible )...
1 ) Dans la Genèse, il y a aussi une attirance "charnelle" puisque Ève voit que le fruit est "bon à manger et agréable à la vue". Elle pèche ensuite avec son corps dans le fait qu'elle mange le fruit. Rien de sexuel cependant.
2 ) Se couvrir de feuilles quand on se retrouve à poil, je sais pas si c'est un acte vertueux, disons plutôt un réflexe défensif.
Mais quand on meurt d'envie de faire des enfants et de faire l'amour avec son conjoint, et que mari et femme se retrouvent nus l'un et l'autre, ben en général ça fait crac-crac.
3 ) Je ne parle pas de la luxure des humains de l'époque du déluge, je parle de la concupiscence d'Adam et Ève en particulier.
4 ) Je constate que vous prenez tellement l'EMV pour la vérité que vous êtes persuadé que le péché originel consiste dans le péché sexuel consommé. En vérité, Adam et Ève ont été chassés seulement pour avoir mangé le fruit malgré l'interdiction, sans qu'il soit question de péché sexuel. C'est pas parce que le premier péché est "ze péché originel" qu'il doit forcément cumuler tous les péchés capitaux.
@@jawatusken
1 ) Dans la Genèse, avouez-vous finalement comme à contrecœur, il y a bien une attirance charnelle SUGGÉRÉE, car la Genèse est compendieuse, il faut savoir la lire comme le fait l'Église, c'est-à-dire entre les lignes, et avec sagesse.
Comme vous n'avez reçu aucune formation sérieuse en théologie et encore moins en exégèse, vous pensez que la Genèse est la description littérale et exhaustive de ce qui s'est passé lors de la Création et lors de la chute.
Mais votre réflexion se casse la figure toute seule ! En effet, vous dites qu'il y avait bien eu "une attirance charnelle" dans le jardin, mais "rien de sexuel" : mais à ce compte là, il n'y avait rien eu du tout en matière de faute, si l'on considère que tout nous est décrit scrupuleusement, sans que rien ne soit seulement suggéré, comme la création et la chute des anges ( suggérée sans aucun détail dans le récit de la création ) : car il y eut juste la consommation d'un fruit, peut-être avec la peau et les pépins, allez savoir !
Et il aurait été puéril de condamner Ève pour la consommation d'un fruit, même bon et appétissant, comme si c'était un péché grave ! Dieu n'a jamais joué à ce pauvre jeu misérable, de surveiller si Ève mangeait une pomme au lieu d'une poire, un kiwi plutôt qu'une banane ou une fraise ! Un peu de sens spirituel, tout de même, il ne s'agissait pas de cela : le sort de l'humanité ne s'est pas joué sur le crocage d'une pomme plutôt que d'une poire, comme si manger une pomme était infiniment différent que de manger n'importe quel autre fruit comestible.
Donc : lorsque vous dites qu'il n'y a "rien ici de sexuel", c'est que vous êtes complètement prisonnier du sens littéral du texte, et en refusez la moindre exégèse possible, que pourtant l'Eglise a toujours fait.
2 ) Couvrir sa nudité est un acte de vertu. La femme doit se couvrir devant l'homme, et l'homme devant la femme. On résume donc. Pour vous, la "chute" est :
- un repas, composé d'une pomme, alors que le Grand Père Fouettard avait formellement défendu de consommer des pommes ( !!! Pourquoi ??? )
- un acte de pudique vertu, de la part d'Adam et Ève.
Ouuuuuuh là là mais c'est terrible, ça !!! Dehors, rauss !!! Et schneil !!! Pas Te çaaa Tans mon ParraTisss !!!
Pardon, mais on en a les larmes aux yeux, tellement c'est risible.
3 ) Moi également.
4 ) Vous refusez tellement de voir l'inanité de vos accusations, que vous vous en tirez par un mensonge : jamais je n'ai dit que le péché originel fut un péché sexuel, mais la vérité, c'est qu'il provoqua ce dernier, car l'orgueil humain s'incarna dans une autonomisation des passions, qui dominerent l'homme orgueilleux désormais privé de la Grace divine.
C'est malheureusement votre seule issue : rendre un faux témoignage, sur moi comme sur l'EMV.
@@SalveRegina225 1) Je n'aurais pas dû employer le mot "charnel" car je vois que dans votre esprit mal tourné ça veut obligatoirement dire "sexuel". J'aurais donc dû dire : il y a eu une attirance "corporelle", c'est-à-dire une certaine convoitise gustative ("le fruit était bon à manger"), mais qui ne s'étend pas au domaine sexuel. Adam et Eve ont donc bien péché avec leur esprit et leur corps, mais pas avec leur sexe.
Eh oui, Adam et Ève ont été condamnés pour la consommation d'un fruit, ce qui constituait un péché grave puisque Dieu avait expressément interdit de manger du fruit de cet arbre-là. Le péché originel est donc un péché de désobéissance grave commis à cause de l'orgueil de vouloir être comme Dieu dans la connaissance du bien et du mal. Et la beauté du fruit et son goût apparent (le serpent en a probablement fait la promotion en en mangeant sous les yeux d'Eve : "Miam ! Quel régal !") ont joué un rôle en ce sens qu'ils ont aussi incité Ève à en manger. Mais encore une fois, rien de sexuel.
2) L'acte de pudeur d'Adam et Ève fait suite au péché originel, il n'en fait pas partie. Et le péché originel ne les a pas rendus incapables de faire aucun bien, donc je ne vois pas le problème.
3) Vous avez pris l'exemple des hommes du déluge pour insinuer que s'ils étaient luxurieux, c'est que forcément Adam et Ève l'avaient été avant eux, et notamment lorsqu'ils ont commis le péché originel. Ce qui est une fausse déduction.
4) Vous avez dit que Adam et Ève n'auraient pas commis l'intégralité de la Faute s'ils n'avaient pas désiré pécher sexuellement. Donc pour vous, le péché sexuel fait partie intégrante du péché originel, même si l'acte n'a pas été commis immédiatement. Mais l'Église n'est pas de votre avis.
Mdr un croyant en la bible qui parle de bévue scientifique 🤣🤣🤣🤡🤡🤡
centripète : adjectif Qui tend à rapprocher du centre. littéralement la gravitation mais en utilisant un autre mot, ensuite 1 carat = 0,20 gramme. Vous entendrez aussi parler de « points » : 1 carat est divisé en 100 points : ainsi, un diamant qui pèse 0,25 carats est égal à 25 points ou encore 1/4 de carat. et je ne vais pas ici faire la liste de tout ce qui ne vas pas dans cette critique mon frère en Christ parce que je peine a écouter autant de condescendance, et ce n'est pas pour être insultant je suis vraiment sincère, méfiez vous des conclusions hâtives, et surtout méfiez vous quand on est mue dans une anti-charité évidente dans la critique, ça ne crédibilise pas votre critique et ça ne vous aide pas a y voir clair, en espérant être utile
Force centripète ne signifie pas force de gravitation. Parler de "la" force centripète est aussi absurde que de dire "grâce à LA force de tension, la corde de mon arc est tendue" comme s'il s'agissait d'une interaction fondamentale.
Les carats ne sont une unité de masse que pour les pierres précieuses. Pour l'or, cela désigne toujours le degré de pureté, et non le poids, comme expliqué dans la vidéo.
Je vous suggère de regarder plutôt la partie de la vidéo qui traite des incompatibilités avec l'évangile de Jean, ce sera plus facile. Mais si le ton de la vidéo vous déplaît, allez plutôt lire le livret de René Gounon qui est différent mais pointe suffisamment d'erreurs rédhibitoires pour comprendre que le Jésus de Maria Valtorta n'est pas Dieu.
@@jawatusken les critiques théologiques sont systématiquement des points de détails sujet a interprétation, la force centripète est littéralement une force quelconque, elle peut vouloir dire gravitation, le carat peut vouloir dire un poids, ce n'est donc pas une
critique légitime. dans le cahier du 23 novembre 1943 Jésus parle de "l'univers que j'ai créé de rien" demandez vous si du point de vu de la théorie du big bang il est possible en 1943 de parler avec assurance d'un univers crée de rien.Et pour ce qui est des critiques de Gounon c'est encore une fois de la même hauteur que la condamnation de Sainte Faustine, de Padre Pio, de Marie d'Agreda, Jeanne D'Arc comme toujours au sein de l'Eglise il y a l'inquisition, le Saint Office et des personnalités qui se font les garants des vérités révélées, et la balance de la justice divine fini toujours par pencher du côté de ces mystiques combattus avec force,regardé plutôt le zéle et le poids des défenseurs de Maria dans l'Eglise qui sont aussi nombreuse qu'elle sont éclatante et a la fois parmi les prêtres, évêques, cardinaux, saints, papes et bienheureux
@@Cr0mwell Vos arguments ne sont pas probants. En revanche, l'oeuvre de Maria Valtorta a été mise échec et mat de multiples manières. Voyez par exemple cette vidéo du Dr Giraud sur le linceul de Turin :
ua-cam.com/video/gy7i5TOIuWk/v-deo.html
"Les 9/10e d'entre vous."
Nous y voilà. Monsieur est blagueur. Et Il aurait pu citer le Christ énonçant tout ce qui sort de mauvais du coeur de l'homme blessé par le péché, pour s'en régaler par un putride tournage en dérision.
On dirait qu'on pourrait servir n'importe quel propos à ce monsieur, il serait capable d'en faire un sketch salace vaguement grassement hilarant.
Dieu n'a selon lui même pas le droit d'être un Medecin pour l'humanité, c'est-à-dire celui :
- qui connaît sa maladie
- et seul capable de l'énoncer avec profit, puisque Lui seul est egalement capable de la guérir.
Non, ce monsieur s'indigne que le Bon Dieu ne nous flatte pas ainsi : "Oh mes enfants que vous êtes bons ! Que vous êtes beaux ! Mis à part deux ou trois parmi vous, c'est presque parfait, dire que c'est Moi qui ait fait tout ça... Même pas besoin de les purifier, ah ! Quels amours !!! "
On se demande de quelle planète il vient, et s'il a jamais entendu parlé de la douloureuse Redemption que le Christ a du accomplir sur la croix, EN RAISON DE NOS FAUTES !
Je voudrais bien, perso, que plus de 1/10e d'entre nous se comportent avec pureté... mais malheureusement, c'est sûrement pour ne pas trop nous accabler que le Seigneur parle ainsi.
Y a-t-il 1 homme sur 10 000 qui mérite vraiment, comme saint Joseph, d'être appelé "juste" ? Qu'on me permette d'en douter, et de trouver l'estimation de notre Seigneur extrêmement charitable à notre égard.
Et pourquoi le Seigneur peut nous parler ainsi sans tomber dans le mépris ? Et bien c'est parce que Lui, voyez-vous, Il met la main à la pâte, Il dit le mal, mais aussi Il souffre le martyr pour nous en délivrer. Cela Lui donne quelques droits à la franchise, voyez-vous ? Je crois qu'on aura beau vous le dire, vous ne le verrez pas.
"Vous haissez, et votre esprit est si lourd que vous ne vous rendez même pas compte que votre esprit est plein de hargne et d'égoïsme envers tous".
Mais comment ne pensez-vous pas à vous appliquez à vous-même ces paroles qui vous vont comme un gant, pauvre sot ?
Et vous n'avez jamais entendu les paroles plutôt... difficiles de saint Jean le Précurseur, lorsqu'il s'adresse ainsi aux foules qui venaient se faire baptiser par lui : "ENGEANCE DE VIPÈRE !!! "
"Bon ok, moi : j'arrête tout de suite, je ne suis pas venu pour me faire insulter ni mépriser ainsi ! Qu'on lui coupe la chique, à ce facho ! "
- mais restez donc, nigaud !!! C'est le Precurseur du Christ ! Et vous n'aurez d'ailleurs pas à patienter très longtemps avant qu'on lui coupe la tête, puisque c'est ce que vous désirez.
Reprenons :
"ENGEANCE DE VIPÈRE !!! ( il s'adresse à la foule, à la cantonade, c'est-à-dire à nous tous ! ), QUI VOUS A SUGGÉRÉ D'ECHAPPER À LA COLÈRE DIVINE ??! "
ok, alors si déjà le Précurseur lit ainsi dans les coeurs, je vous laisse deviner comment le peut le Christ en personne, et le résultat n'est pas fameux fameux pour les foules... Et je vais m'arrêter là pour ne pas devenir désagréable pour ce monsieur, qui a le droit à son fort interne.
Par contre, de quel droit se croit-il autorisé à minimiser le péché ? Si ses bijoux lui démangent, et bien que cela lui plaise ou non, il lui faudra le confesser à un prêtre, avant de pouvoir de nouveau communier. Et notre "expert en carats" ne va pas prétendre qu'il ignore que seule la pureté absolue de l'âme ( 24 carats ) peut entrer dans le Royaume des cieux. C'est sévère ? "Dura lex, sed lex." "Si vous ne redevenez pas comme les petits enfants, vous n'entrerez PAS dans le Royaume des cieux".
Mais peut-être que monsieur est un meilleur expert du Royaume des cieux que notre Seigneur Lui-même ? Sauf qu'à ceux qui se croient de meilleurs "experts" que Lui, le Christ n'hésite pas à leur dire : " Passe derrière moi, Satan ! Tu me fais obstacle. Car tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes ! "
Ainsi, se faire rabrouer n'est pas du tout la même chose que de se faire mépriser, et saint Paul l'avait parfaitement compris, et l'explique ainsi en Hebreux 12 :
"Quand le Seigneur aime quelqu’un, il lui donne de bonnes leçons ; il corrige tous ceux qu’il accueille comme ses fils.
Ce que vous endurez est une leçon. Dieu se comporte envers vous comme envers des fils ; et quel est le fils auquel son père ne donne pas des leçons ?
Si vous êtes privés des leçons que tous les autres reçoivent, c’est que vous êtes des bâtards et non des fils.
D’ailleurs, nos parents selon la chair nous faisaient la leçon, et nous les respections. Ne devons-nous pas d’autant plus nous soumettre au Père de nos esprits pour avoir la vie ?
Les leçons que nos parents nous donnaient en croyant bien faire n’avaient qu’un effet passager. Mais celles de Dieu sont vraiment pour notre bien : il veut nous faire partager sa sainteté.
Quand on vient de recevoir une leçon, on n’éprouve pas de la joie mais plutôt de la tristesse. Mais plus tard, quand on s’est repris grâce à la leçon, celle-ci produit un fruit de paix et de justice.
C’est pourquoi, redressez les mains inertes et les genoux qui fléchissent, et rendez droits pour vos pieds les sentiers tortueux. Ainsi, celui qui boite ne se fera pas d’entorse ; bien plus, il sera guéri."
Bon, après : je peux comprendre, vu comment monsieur se moque de l'EMV, que ce soit la toute première fois qu'il lise ces passages du Nouveau Testament ? Cela expliquerait bien des choses.
Le problème n'est pas tant le mépris et l'insulte, mais surtout la contrevérité de cette statistique. Croyez-vous sérieusement que 9 personnes sur 10 vivent POUR la débauche ? (c'est-à-dire que le principal objectif de leur vie serait la jouissance sexuelle). Je peux encore l'envisager pour les athées de 15 à 25 ans, mais pour le reste de la population c'est clairement du délire.
Je vous suggère au passage d'apprendre au plus vite la politesse, avant que je ne me décide à supprimer vos commentaires.
@@jawatusken
Mais mon cher monsieur, comme vous êtes finalement contraint d'en convenir vous-même, le problème n'est certainement pas l'absence d'insulte et de mépris dans ce passage ( puisqu'il n'y en a pas plus que dans les Evangiles ).
Et le problème n'est certainement pas non plus dans une quelconque exagération, et de me demander, à moi, "ce que j'en pense vraiment" ( qu'est-ce qu'on en a à faire ? ) : cela tombe assez mal pour vous, mais les statistiques sont là pour le confirmer, en 2023, environ 92% des hommes adultes consomment régulièrement de la pornographie. Ce qui, selon mon mode de calcul à moi, équivaut donc à environ 9 sur 10. C'est affligeant, mais c'est ainsi, et je ne pense pas que ce soit une très grande nouveauté par rapport à l'état des cœurs à l'époque de Maria Valtorta.
Et si vous voulez traquer à ce point les éventuelles exagérations, je vous conseille d'ouvrir les Evangiles : vous y découvrirez un Christ, osant bien s'adresser en ces termes aux hommes de son temps : "VOUS QUI ÊTES MAUVAIS", "CETTE GÉNÉRATION EST UNE GÉNÉRATION MAUVAISE".
Comme généralisation, je crois qu'on ne peut guère faire mieux.
Il est sûr et certain que ce n'est pas à Dieu de s'humilier devant les hommes pécheurs afin d'être sauvé par eux, mais précisément l'inverse ! Or "il faut beaucoup d'humiliations pour un peu d'humilité", selon sainte Bernadette Soubirous.
Pardon si vous vous êtes senti traité avec impolitesse : peut-être y réfléchirez-vous désormais à deux fois, avant de traiter un Don du Ciel comme si c'était le dernier des déchets. Oui, quand on désire légitimement comme vous, être traité poliment, on commence généralement par essayer d'avoir soit-même une conduite respectueuse, sinon irréprochable.
Bien cordialement.
@@SalveRegina225 Votre statistique est archi fausse. D'où la sortez-vous ?
@@jawatusken D'où sortez-vous que cette statistique soit archi-fausse ??? Vous êtes vraiment impressionnant. Dans quel monde croyez-vous vivre, sauf votre respect ? Si vous la déclarez archie fausse d'emblée, savoir d'où elle vient ne changera pas d'un poil votre premier jugement.
Et vous ne répondez pas à l'exagération du Christ, impensable selon vous : "VOUS QUI ÊTES MAUVAIS" ( et ici, Jésus ne s'adresse pas aux pharisiens, mais à tous ). Ce n'est donc pas là 1 homme sur 10 qui est bon, pour notre Seigneur, mais 0 sur 10 ! Comment ne bondissez-vous pas de votre siège, piqué par une telle "injure" et un tel "mépris" ?? Comment ne condamnez vous pas l'Evangile lui-même ??
@@SalveRegina225 Pas besoin d'être spécialiste pour deviner que votre statistique est archi fausse. C'est du simple bon sens, il suffit d'y réfléchir deux secondes. Bon, j'en ai profité pour faire une rapide recherche et je suis tombé sur cette stat relativement crédible : 40 millions d'Américains regardent régulièrement du porno. Ça fait environ 12% de la population états-unienne. C'est déjà énorme mais ça n'a rien à voir avec vos 92%.
"Vous qui êtes mauvais"... oui nous sommes tous mauvais à un certain degré. Mais de toute façon, cette citation n'est pas comparable pour des raisons évidentes.
1 carat = 0,0002 kilogramme 😂😂😂
Pas même fichu de sortir de vos chicanes de pacotille, pauvre de vous.
Vous n'êtes pas orfèvre en matière de théologie, vous n'êtes pas non plus orfèvre tout court.
Si une balance d'orfèvre peut servir à peser de l'or pur ( vous n'avez probablement pas besoin que je vous rappelle ce qu'est de l'or pur à 24 carats ? ) , et à determiner le nombre de carats en fonction du poids de métal, en quoi pouvez-vous vous y opposer ?
Et ni la Bible, ni l'EMV, ne se veut être un ouvrage de sciences, si quelqu'un ne sait pas ce qu'est un carat, ce n'est pas en lisant l'EMV qu'il peut exiger de l'apprendre.
Par contre : vous venez d'apprendre quelque-chose de simple, on dirait bien : le poids d'un carat.
L'eau régale éprouve l'or : cela ne veut pas dire que ce n'est pas en le dissolvant ! Vous n'êtes pas non plus orfèvre en matière de littérature, on dirait bien. Mais il y a plus !
"L'eau régale est avant tout utilisée dans la production d'acide chloraurique, l'électrolyte utilisé dans le procédé Wohlwill. Ce procédé est utilisé pour le raffinage d'or de très grande pureté (99,999 %)."
Donc on dirait bien que vous racontez des sornettes, et que le Seigneur en sait bien plus que vous et moi sur n'importe quel sujet, ce qui est manifeste dans l'EMV !
Et bien passons à la suite de vos badinages ! 😊
PS : pardon, j'ai dit précédemment que votre imitation du ton diabolique était pas mal, en fait elle est à c****. Elle empêche l'auditeur de bien vous comprendre, ce qui rajoute à la nullité de votre exposé. Désolé de devoir vous le signaler.
Il ne faut pas confondre le carat-indice de pureté des métaux précieux, avec le carat-unité de masse des gemmes. Pour l'or, on ne parle donc jamais de poids "en carats". Quant à l'eau régale (mélange d'acide chlorhydrique et d'acide nitrique), elle ne s'utilise pas pour tester/éprouver l'or, elle sert à le dissoudre pour récupérer ensuite l'or pur.
@@jawatusken
Comme vous l'avouez enfin vous-même à contrecœur : le "carat" ne désigne pas forcément une unité de pureté ( bien que cela demeure le sens principal ), mais désigne - lorsque par exemple : on pèse de l'or à 24 carats - une unité de masse ( 0,0002kg ).
Or ici : Jésus, qui manifestement ne fait pas un cour complet d'orfèvrerie à ses auditeursmais un discours de sagesse, désigne bien cette deuxième possibilité, à savoir le "carats-unité de poids", et les lecteurs un tant soit peu avertis comme vous et moi auront tout de suite compris. Pour les autres : il est vrai qu'une édition avec notes sera du plus grand profit, et cela arrive à grands pas.
Pour l'eau régale, vous faites une grossière erreur de logique.
En effet : l'or est bien éprouvé par le feu, c'est à dire qu'il change d'état sous son action ( état solide --> état liquide ), et cela sert ensuite à le purifier.
C'est exactement la même action avec l'eau régale, sauf que celle-ci ne fait pas FONDRE l'or, mais le DISSOUD, ce qui a également pour effet de le purifier.
L'eau régale et le feu ont donc une fonction similaire vis-à-vis de l'or : l'éprouver, le terme est bien choisi par le Christ dans l'EMV, ce que les lecteurs de 7 à 99 ans comprendront aisément par eux-mêmes avec ou sans l'aide des notes.
Vos deux remarques sont nulles et non avenues.
Éprouver et purifier signifient deux choses différentes, mais c'est là une subtilité qui vous échappe. Éprouver signifie vérifier la qualité ou la valeur de qqch. Ainsi, on peut vérifier qu'on a bien affaire à de l'or en observant sa température de fusion. L'eau régale peut servir à purifier l'or mais elle ne sert pas à tester l'or.
De même, le poids de l'or ne se compte pas en carats, ça ne s'utilise que pour les gemmes (pierres précieuses, diamants, etc). Vous ne verrez jamais quelqu'un dire "je possède 1300 carats d'or". On parle de bijoux en or à 18 carats par exemple, mais ça désigne la pureté de l'or, pas le poids. Pour parler du poids de l'or, on dit "je possède 500 grammes d'or" par exemple. Bref, j'espère que cette fois vous aurez compris.
@@jawatusken
COMPTOIR NATIONNAL DE L'OR ( professionnels de l'or depuis 1976 )
"A l'origine, le Carat était l'unité de poids basée sur la graine de Caroube en circulation jadis au Moyen-Orient. Aujourd'hui, le carat est utilisé pour mesurer la pureté de l'or. Il sert aussi dans la mesure des pierres précieuses (1 carat équivaudrait à 200 mg). L'or à 24 carats représente l'or le plus pur."
Il y a eut donc vraissemblablement une évolution dans le système de pesé de l'or. Ce détail que vous avez relevé dans l'oeuvre, loin donc de discréditer son authenticité, en prouve la fiabilité de manière éclatante ! Comment en effet Maria Valtorta, qui n'avait jamais entendu parler de cette évolution, ni des graines de caroube initialement utilisées pour la pesée de l'or au Moyen-Orient, aurait-elle pu inventer cela toute seule, et "par hasard", dire quelque-chose d'aussi exact !?
Je ne peux donc que vous remercier pour cette nouvelle preuve de l'authenticité de l'Oeuve, dont je ne manquerai pas désormais de parler :))
Le test à l’acide nitrique
Une autre méthode consiste à se munir d’une pierre de touche, ou touchau, utilisée par les professionnels qui travaillent l’or. Comment procéder ? Il suffit alors de frotter la pièce, la bague ou tout autre objet à la surface de la pierre, puis d’y déposer quelques gouttes d’acide nitrique (disponible en plusieurs carats). Si aucune réaction ne se produit, le métal est de l’or, contenant le même nombre de carats que l’acide. Si une trace rouge apparaît, alors l’objet contient de l’or, mais avec un nombre de carats inférieur à celui de l’acide nitrique. Et si la trace disparaît, vous êtes alors face à un bijou ou un objet plaqué or.
On éprouve donc bien l'or, cher monsieur, à l'aide de l'acide nitrique. Or l'eau régale ou "royale" est un mélange d'acide chlorhydrique et d'acide nitrique. Est-ce que le Christ a voulu parler de l'acide nitrique qui permet d'éprouver l'or, en le nommant "eau régale" par simple généralisation ? C'est tout à fait possible, et très loin d'être choquant.
Vos objections sont toutes deux retoquées.
@@SalveRegina225 L'acide nitrique seul, c'est pas l'eau régale. L'eau régale est un mélange, et il contient d'ailleurs plus d'acide chlorhydrique que d'acide nitrique.
Dans l'ancien temps, on utilisait des graines de caroube pour peser les pierres précieuses, c'est pourquoi le carat-unité de masse est spécifique aux pierres précieuses.
Dans le cas de l'or, le carat sert de mesure de la pureté, c'est différent.
Pour mesurer le poids de l'or, on utilise en général l'once (= 31,104g).
J'ajoute qu'en EMV 17.16 le Jésus de Valtorta s'adresse directement aux lecteurs de l'oeuvre, donc ça n'aurait aucun sens de parler d'un système de pesée ancien. En plus il emploie le présent lorsqu'il dit que "la balance de l'orfèvre en donne le poids en carats".
Coucou, bravo pour cette video que je vais regarder plusieurs fois pour prendre des notes et me documenter encore plus. Si vous en faites une sur Marthe Robin aussi ça serait super intéressant!!! Merci aussi pour les livres que je vais m’empresser de décortiquer! Dieu vous bénisse ✝️
N'hésitez pas aussi à consulter les réponses que j'envoie à ce monsieur, dont la vidéo n'est ni plus ni moins qu'un tissu d'âneries - pardon pour mes frères les ânes, dont je viens d'insulter l'intelligence, en les rabaissant aux moqueries salaces de ce monsieur -
À moins que vous soyez une seule personne avec lui, pour tenter de meubler le vide ? Qui sait... En ce cas, lisez également.
Cordialement.
@@SalveRegina225 Heu non, je ne connais pas l'auteur. Soyez plus charitable, et donc moins complotiste. Car le complotisme procède de la paranoïa. Lancer une accusation sans preuve, être agressif, c'est mal. Et si ce n'est pas de la paranoïa, ce n'est même pas drôle.
@@alcides4720 Il faut malheureusement laisser cette personne dire tout et le contraire de tout. Elle fait la même chose avec tout le monde: répondre à des hommes de paille, ne pas répondre aux vraies questions, inverser l'accusation.
Entretanto o vídeo é extremamente interessante. Você teria isso tudo por escrito?
😂 vous êtes ridicule
C est votre jugement à vous qui ne vient pas de dieux
Jesus est merveilleux. Par contre moi j'ai un argument supplementaire pour dire que maria valtorta n'est pas sous la dictee de jesus ou de l'esprit saint. Et ma critique vient de ma propre exerience. Si je suis sous l'influenve de l'esprit saint dans mes paroled non seulement mes pensées on tendance à me préceder ( j'apprends en meme temps que jesus enseigne à travers moi ) mais en plus, ma syntaxe se modifie legerement et mon langage se remplit d'images de comparaisons , bref de paraboles . Et du coup , je ne reconnais pas le langage de l'esprit saint dans les ecrits de Maria Valtorta. J'aurai bien aimé pourtant.
Je vous plains incrédule ! Vous êtes perdu. Vous avez votre place en enfer pour vos commentaires.
Dans ce cas j'espère que moi aussi j'irai en enfer. Ça m'évitera de croiser des gens aussi bienveillants que vous au paradis.
Bof ce n'est pas très pertinent je trouve
Tous les arguments sont pertinents, mais ils n'ont pas tous la même valeur probante, c'est pourquoi la vidéo dure plus d'une heure, même si certains courts passages comme 44:57-47:45 sont suffisants pour démontrer que l'œuvre de Maria Valtorta ne vient pas de Dieu.
"Sauf qu'on peut jouer à ce jeu puéril avec n'importe quel nom, ou presque".
Vous ne saisissez pas tout le caractère puéril de votre remarque ? 😂 Non seulement puéril, mais exprimant carrément votre jalousie ! Vous êtes tellement jaloux, que vous ne comprenez même pas que le Christ ne cherche pas ici à prouver quoique ce soit avec les lettres de son Nom, comme s'il s'agissait d'un code ou d'une preuve scientifique quelconque.
Vous ne savez pas QUI vous traitez ainsi de "mégalo", mon pauvre, mon pauvre, pauvre, pauvre ami... : autant vous pointer nez à nez avec un lion, et lui dire en lui tirant les moustaches : "Ouais c'est ça, tu te prends pour qui à rugir comme ça ? Pour un gros chat ? Espèce de carpette, va ! " Perso, je ne voudrais pas être là pour voir...
Le Christ est glorieux ! Il a vaincu la mort par sa mort, pauvre fou, blasphémateur, imitateur de Satan voulant concurrencer Dieu. Il peut, Lui, se glorifier en toute justice, car Il reçoit sa gloire de son Père, et qui Le glorifie, glorifie le Père qui l'a envoyé.
Mais vous, si vous vous amusiez à faire la même chose avec votre nom à vous, est-ce que vous croyez vraiment que cela pourrait tromper quelqu'un sur la noirceur de votre âme, ne méritant aucune louange ? Vous pensez vraiment que, comme vous le faites en vrai bouffon, le Roi du Ciel, Lui, s'amuse ?
Je vais vous en apprendre une bonne. Je connais une prière qui commence par cette demande : "Que ton nom soit sanctifié".
Or le Nom de Jésus que vous OSEZ deshonnorer, c'est le Nom du Père, c'est le Nom du Saint-Esprit, c'est le propre Nom de Dieu.
J'arrête là, sinon vous allez me trouver étrangement désagréable à votre égard.
Allez, je vais faire grâce à mes lecteurs des passages où vous vous indignez que Jésus n'emploie pas les termes "force de gravitation" au lieu de "force centripete", tout le monde aura parfaitement compris son propos,
comme du fait qu'il OSE courcicuiter tout le processus de la fabrication du sang - donc dans la moelle osseuse - en affirmant que les aliments deviendraient du sang dans notre estomac.
Cher monsieur, ce processus s'appelle la "digestion", et la digestion n'a pas pour but premier de vous mettre du caca dans les yeux ( bien que vous en ayez ) ou dans les intestins, mais de.... "produire du sang", simplification facilement compréhensible, puisque c'est le sang qui est en quelque sorte "l'aliment du corps", vu qu'il en est le véhicule, le liquide nourricier.
C'est une simplification ? Mais cher monsieur, le Christ parle, ne vous en déplaise, en prenant des images, et parfois même des paraboles, afin de nous amener à un sens spirituel, et non en vue de nous faire passer l'agrégation de médecine ou de n'importe quelle autre discipline scientifique.
Votre pique contre l'oeuvre vaut donc ce qu'elle vaut, c'est-à-dire : rien. C'est du bruit. De la vantardise. Rien d'autre.
Le problème n'est pas tant que le Jésus de MV "se la pète" (alors qu'il est censé être humble), si vous voulez, il pourrait légitimement le faire. Le problème est surtout qu'il présente ça comme un secret extraordinaire "dont il est le seul à connaître le sens", alors qu'on peut donner n'importe quel sens à n'importe laquelle des lettres qui constituent son nom. On pourrait changer ses attributs à notre guise, en inventer d'autres (ça me démange... non je rigole ^^). Bref, c'est un jeu stupide que n'importe qui pourrait reproduire avec son propre nom, dans n'importe quelle langue.
@@SalveRegina225 Vous êtes manifestement incapable de comprendre pourquoi c'est absurde de parler de "LA force centripète" et de déclarer qu'il y a des "organes" producteurs de sang distincts des moelles osseuses, et que la nourriture "devient du sang DANS l'estomac".
@@jawatusken
Vous illustrez sans bien le savoir un processus psychologique bien connu, qui s'appelle le complexe de supériorité, et d'une manière stupéfiante.
Quelqu'un par exemple, qui comme vous va oser ridiculiser le Roi lui-même, en osant tourner en dérision ce qui met Celui-ci en valeur, va espérer ainsi s'attribuer en retour la gloire qu'il prétend rabaisser chez Lui, en se faisant passer pour plus grand, même que la Personne royale !
Mais c'est gros comme un éléphant dans un couloir, et ne peut échapper à personne : car Celui que vous tentez ici de ridiculiser, c'est le même qui se glorifie en toute justice dans l'Apocalypse ! ( un livre de la Bible que vous n'avez semble-t-il jamais lu, pour en arriver là). Car le Christ a beau être humble, Il n'en est pas moins le Roi, l'Alpha et l'Omega, le Dominateur des Nations qui reviendra, glorieux, faire de ses ennemis l'escabeau de ses pieds. À Lui force, domination, gloire, honneur et louanges pour les siècles ! Amen ! Car Il est digne, l'Agneau Immolé, de prendre le Livre et d'en ouvrir les sceaux.
De cela aussi, vous vous moquez comme d'une vaine gloriole, car en réalité, du haut de votre petit tas de fumier, vous crevez littéralement de jalousie, et vraiment : ça fait pitié. Vous ne savez pas du tout qui est le Christ, ni la gloire infinie que sa Résurrection Lui a valu pour toujours, et j'espère que vous ne serez pas réduit à crier : "Jésus-Christ est Seigneur ! " depuis l'enfer, mais seulement depuis le purgatoire que vous méritez en parlant ainsi du Seigneur de gloire... Votre attitude est abominable, vraiment digne en tout point de celle des romains qui couronnerent d'épines le Christ en se moquant de sa royauté !
Et vous prolongez cela en déclarant qu'on pourrait donner n'importe quelle signification aux lettres de son Nom sacré ?? Vous seriez donc près à tourner une nouvelle fois en dérision de Christ ? Vraiment ? Pauvre de vous !
Non, il ne s'agit pas d'un jeu, ou bien du déchiffrage d'un code secret : il s'agit uniquement d'un Nom qui est tellement précieux, comme aucune pierre n'est précieuse sur la terre et comme rien n'est précieux au Ciel, qu'aucun attribut n'est assez glorieux pour le décrire, et que chacune de ses lettres ruisselle de gloire et de vertu. Comment pourrait-Il en être autrement, puisque ce Nom est au-dessus de tout nom, et seul capable de sauver l'homme ?
En faisant mine de réduire tout cela à un simple et puéril "jeu de code", et en comparant votre nom à Celui de Jésus, vous commettez sans trop peut-être le savoir ce qui permet de vous identifier comme un des plus orgueilleux et des plus stupides personnes qu'il m'ait été donné de rencontrer.
"QUE VOTRE NOM SOIT SANCTIFIÉ" :
le Nom de Jésus, c'est le Nom même de Dieu : et il eut été "humble", selon vous, que le Christ ne sanctifie pas le Nom de Dieu qui est le sien ?
Vous êtes un nain qui fait des grimaces et des galipettes, et qui croit que ce cirque va deshonnorer le Roi ! Mais attention, attention à vous. Le Roi est Miséricorde, mais on ne se moque pas impunément trop longtemps du Roi des rois...
Reprenez-vous, c'est un conseil d'ami. Je ne suis certainement pas au-dessus de vous, mais j'honnore mon Sauveur, sans Lui refuser la gloire, c'est la moindre des choses.
C'est le Seigneur qui sait ce que veulent éventuellement dire les lettres de votre nom : et pas vous, qui ne pensez qu'à jouer. Et méfiez-vous qu'au lieu de vous trouver des vertus, Il ne trouve pour vous des épithètes comme : "faux, menteur" , et d'autres encore que je ne voudrais pas vous voir attribuer...
Bien cordialement
@@jawatusken
LA FORCE CENTRIPÈTE
Trouvé dans "allo prof", sur le net ( simple copié collé ) :
" La force centripète est la force qui maintient un objet dans un mouvement circulaire. L'accélération centripète est l'accélération qui provoque le changement d'orientation du vecteur vitesse dans une situation de mouvement circulaire uniforme. Dans un mouvement circulaire uniforme, la vitesse est constante."
" On peut prendre l'exemple d'un poids attaché à une corde ( PRÉCISÉMENT L'EXEMPLE PRIS PAR JÉSUS, DANS LE PASSAGE QUE VOUS INCRIMINEZ )
Si la personne se met à tourner sur elle-même en tenant la corde, la force centripète ( LA !!! ) est dirigée vers le centre de rotation, soit la personne. Cette force maintiendra le poids dans un mouvement circulaire. Si la personne lâche la corde, la force centripète disparaîtra et le poids se déplacera dans une trajectoire rectiligne."
Votre objection est donc retoquée par "allo prof" :)))
Un comble, pour quelqu'un qui voudrait jouer au prof de Dieu Lui-même !
C'est vous qui vous tournez tout seul en ridicule, en refusant un langage de vulgarisation scientifique, rendant parfaitement compréhensible ce que le Seigneur veut dire. Dans votre fatitude, vous prétendez imposer à Dieu de nous faire à chaque phrase un précis de science, alors qu'Il n'a même pas voulu que la Bible le soit. À vous entendre, il faudrait donc déclarer que "la Bible est fausse, parce qu'elle n'explique pas en détail la théorie de la relativité d'Enstein, ou le théorème de Pythagore ! Et si Dieu connaissait tout cela : pourquoi ne l'expliquerait-il pas dans la Bible ??? "
Décidément : vous et la théologie, ça fait bien deux.
Jésus sait tout, mais Il met à la portée de tous ce qu'il veut dire, dans un langage simple, dépourvu d'artifices.
Regarde les preuves scientifiques mon ami et ensuite reviens nous voie
Ça ne réfutera pas cette vidéo où l'on voit bien que c'est une tromperie de Satan, désolé !
Quelles "preuves scientifiques" ?
@oiseaudeminerve1478 cadeau pour toi .
Il est important de trouver pour pouvoir juger sans aprioris.cette oeuvre déplaît au diable car ses fruits de conversions sont immenses.
Mais les pharisiens modernes continuent leur travail de sape comme il y a deux milles ans 😔
ua-cam.com/video/1b4RKkh1qNY/v-deo.htmlsi=c3BFgZOgnrTFzD8r
SVP faites un livre et envoyez le à Olivier Bonassies, Pierre Barneirias, M. lavère et quelques autres. Un livre en PDF gratuit sur internet serait idéal mais sinon un beau livre dans le commerce serait très utile.
N'hésitez pas aussi à consulter les réponses que j'envoie à ce monsieur, dont la vidéo n'est ni plus ni moins qu'un tissu d'âneries - pardon pour mes frères les ânes, dont je viens d'insulter l'intelligence, en les rabaissant aux moqueries salaces de ce monsieur -
À moins que vous soyez une seule personne avec lui, pour tenter de meubler le vide ? Qui sait... En ce cas, lisez également.
Cordialement.