Bonjour vivant aux Antilles Avec une citerne en béton de 30 m3 enterré . La température de l’eau est plus ou moins 20 degrés. Est-il possible d’allier le meilleur des deux mondes un tuyau en polyéthylène immergé ?
L'eau n'est pas renouvelé comme dans un nappe phréatique. La performance va chuter rapidement en été et la température de l'eau va augmenter progressivement
Bonjour, J'aime bien votre discours, vous me semblez bien savoir de quoi vous parlez. Je suis en Corée du Sud où construis notre maison, et pense faire un puits canadien. J'ai des questions car les conditions climatiques en Corée sont différentes d'en France : - hiver très froid et très sec, souvent ensoleillé, des températures qui descendent souvent en dessous de -10°, - Mousson d'été fin juin, avec des températures et taux d'humidité voisins des pays tropicaux. : humidité à 100 %, températures supérieures à 30 °, la Clim est quasi-indispensable si rien n'est fait pour l'éviter. - entre ces deux extrêmes, le climat est sec, ensoleillé et très agréable. La maison, familiale, fera 200 m2 pour l'instant, 300 m3 au final. Exposition idéale, façade Sud et semi-enterrée dans un talus côté Nord, avec une isolation très correcte. Nous sommes en train de déposer le permis. Le mode de chauffage envisagé est un chauffage eau par le sol (traditionnel et donc incontournable ici), avec pompe à chaleur, peut-être avec un puits géothermique vertical, car malgré son coût c'est la solution la plus en vogue ici, et qui bénéficie d'aides de l'état. La pompe à chaleur air-eau est pratiquement inexistante ici, alors qu'on peut acheter du matériel coréen en France. Voici donc mes questions : 1 - Notre terrain se prête très bien à l'installation de gaines enterrées, car il nous faudra de toute façon remblayer le terrain en contrebas de la maison sur une épaisseur de 2 à 4 mètres. Par contre, le point bas se situera à l'extrémité des conduites, et environ à -5 m en contrebas. Cela pose-t-il des problèmes d'inverser la pente par rapport à votre schéma de principe ? Il me semble que cela devrait au contraire simplifier l'évacuation des condensats. 2 - J'ai bien regardé votre vidéo sur l'aspect sanitaire de l'air des conduites. Dans notre cas, en été nous comptons sur l'abaissement de température de l'air dans le puits pour abaisser aussi le taux d'humidité dans la maison, d'où une condensation certainement très importante. Y voyez-vous un problème ? 3 - J'envisage de connecter le puits canadien à la VMC, avec un by-pass qui nous permette de shunter l'air du puits pendant les intersaisons, quand la température extérieure est voisine de celle de la maison. Est-ce une bonne idée ? Ici l'installation de VMC double flux en est à ses balbutiements, et l'installateur/importateur n'a jamais connecté ses VMC à un puits canadien. C'est donc à nous d'imposer notre schéma d'installation. 4 - Puis-je utiliser l'air du puits pour tempérer une serre en hiver (pour la mettre hors gel). Je pense à un système simple avec un thermostat et un ventilateur. En vous remerciant par avance du temps que vous consacrerez à me lire, Cordialement,
Bonjour , merci pour le comparatif . J ai comme un petit blocage intellectuel… qui est dû à un manque de connaissance de ma part . En été par exemple , si on considère une surface de 300m2 à climatiser. Avec 90w/m2 (sensible +latent ) , on aurait 27Kw à combattre en été . On peut avec un delta T de 12 considérer un débit d air soufflé avec une UTA de 6600 m3/h avec un air soufflé à 10degré pour un T=22 intérieur . Si on veut souffler avec un delta T très petit , on a un très gros débit d air soufflé . Est ce que le puit canadien aéraulique, avec une température de sol à 18 et une température de soufflage à 20 doit être couplé avec un autre système de traitement de l’air ? Comment peut on combattre les apports avec une température de soufflage aussi haute ? Ça serait top d’éclairer ma lanterne . Un grand merci pour vos vidéos .
Vos calcul sont corrects. Il convient de réduire la puissance de 90w et non de dimensionner un PC plus performant. Nous proposons à nos clients, des solutions pour réduire leur besoins et configurer le PC en conséquence. Un bâtiment passif sera plus performant qu'un bâtiment RE2020
Bonsoir , merci pour votre retour . C’est sympa de votre part .. En effet , en continuant mes recherches je me suis rapidement rendu compte que les bâtiments passifs étaient la solution. J’étais intéressé par faire du geocooling avec des échangeurs compactes ou utiliser un puit canadien pour faire chuter la température de soufflage de la vmc double flux. Cependant , la maison se situe dans une zone tropicale qui n’a pas de saison d hiver . T moyenne annuelle : 28/29 degrés . Je ne pense pas que l on puisse faire des puits canadiens ou geocooling avec ce genre de climat . La température du sol de 0à 10 m étant trop importante .. et pas de régénération des sols à travers plusieurs saisons . Je me trompe peut être ! .. je m’intéresse que depuis peu à la géothermie.
Quel est votre avis sur les systèmes type géomur 1400W en chauffe et refroidissement suivant le type de sol (tuyau de 8m de long par 1,8m de haut) couplé à une PAC?
Il s'agit toujours du même principe. Les commerciaux, vous vendent une puissance théorique maxi! Vous pouvez obtenir 1400 W avec 200 m de linéaire si tous les conduits sont placés à une profondeur de 2m. Avec les corbeilles, la profondeur moyenne est autour de 1 m. Donc le rendement sera très mauvais.
Merci ! je redécouvre le principe du puits canadien. je vis en alsace et j'aurai vraimtn aimer dans ma maison en rénovation avoir un avis d'expert de votre trempe pour soulager une pac eau eau, mais trop largement sollicitée en hiver..... poele de masse puits canadien etc... en autoconstructeur ( grosse réno....) un moment on se perds et on ne sait plus que choisir.....
Très juste. Lors du dimensionnement, nous vérifions que le flux soit turbulant pour que l'ensemble du volume d'air soit tôt ou tard en contact avec la surface du conduit.
Bonjour vivant aux Antilles
Avec une citerne en béton de 30 m3 enterré .
La température de l’eau est plus ou moins 20 degrés.
Est-il possible d’allier le meilleur des deux mondes un tuyau en polyéthylène immergé ?
L'eau n'est pas renouvelé comme dans un nappe phréatique. La performance va chuter rapidement en été et la température de l'eau va augmenter progressivement
Bonjour,
J'aime bien votre discours, vous me semblez bien savoir de quoi vous parlez.
Je suis en Corée du Sud où construis notre maison, et pense faire un puits canadien.
J'ai des questions car les conditions climatiques en Corée sont différentes d'en France :
- hiver très froid et très sec, souvent ensoleillé, des températures qui descendent souvent en dessous de -10°,
- Mousson d'été fin juin, avec des températures et taux d'humidité voisins des pays tropicaux. : humidité à 100 %, températures supérieures à 30 °, la Clim est quasi-indispensable si rien n'est fait pour l'éviter.
- entre ces deux extrêmes, le climat est sec, ensoleillé et très agréable.
La maison, familiale, fera 200 m2 pour l'instant, 300 m3 au final. Exposition idéale, façade Sud et semi-enterrée dans un talus côté Nord, avec une isolation très correcte.
Nous sommes en train de déposer le permis. Le mode de chauffage envisagé est un chauffage eau par le sol (traditionnel et donc incontournable ici), avec pompe à chaleur, peut-être avec un puits géothermique vertical, car malgré son coût c'est la solution la plus en vogue ici, et qui bénéficie d'aides de l'état. La pompe à chaleur air-eau est pratiquement inexistante ici, alors qu'on peut acheter du matériel coréen en France.
Voici donc mes questions :
1 - Notre terrain se prête très bien à l'installation de gaines enterrées, car il nous faudra de toute façon remblayer le terrain en contrebas de la maison sur une épaisseur de 2 à 4 mètres. Par contre, le point bas se situera à l'extrémité des conduites, et environ à -5 m en contrebas. Cela pose-t-il des problèmes d'inverser la pente par rapport à votre schéma de principe ? Il me semble que cela devrait au contraire simplifier l'évacuation des condensats.
2 - J'ai bien regardé votre vidéo sur l'aspect sanitaire de l'air des conduites. Dans notre cas, en été nous comptons sur l'abaissement de température de l'air dans le puits pour abaisser aussi le taux d'humidité dans la maison, d'où une condensation certainement très importante. Y voyez-vous un problème ?
3 - J'envisage de connecter le puits canadien à la VMC, avec un by-pass qui nous permette de shunter l'air du puits pendant les intersaisons, quand la température extérieure est voisine de celle de la maison. Est-ce une bonne idée ? Ici l'installation de VMC double flux en est à ses balbutiements, et l'installateur/importateur n'a jamais connecté ses VMC à un puits canadien. C'est donc à nous d'imposer notre schéma d'installation.
4 - Puis-je utiliser l'air du puits pour tempérer une serre en hiver (pour la mettre hors gel). Je pense à un système simple avec un thermostat et un ventilateur.
En vous remerciant par avance du temps que vous consacrerez à me lire,
Cordialement,
Bonjour , merci pour le comparatif .
J ai comme un petit blocage intellectuel… qui est dû à un manque de connaissance de ma part .
En été par exemple , si on considère une surface de 300m2 à climatiser. Avec 90w/m2 (sensible +latent ) , on aurait 27Kw à combattre en été . On peut avec un delta T de 12 considérer un débit d air soufflé avec une UTA de 6600 m3/h avec un air soufflé à 10degré pour un T=22 intérieur .
Si on veut souffler avec un delta T très petit , on a un très gros débit d air soufflé .
Est ce que le puit canadien aéraulique, avec une température de sol à 18 et une température de soufflage à 20 doit être couplé avec un autre système de traitement de l’air ? Comment peut on combattre les apports avec une température de soufflage aussi haute ?
Ça serait top d’éclairer ma lanterne . Un grand merci pour vos vidéos .
Vos calcul sont corrects. Il convient de réduire la puissance de 90w et non de dimensionner un PC plus performant. Nous proposons à nos clients, des solutions pour réduire leur besoins et configurer le PC en conséquence. Un bâtiment passif sera plus performant qu'un bâtiment RE2020
Bonsoir , merci pour votre retour . C’est sympa de votre part ..
En effet , en continuant mes recherches je me suis rapidement rendu compte que les bâtiments passifs étaient la solution.
J’étais intéressé par faire du geocooling avec des échangeurs compactes ou utiliser un puit canadien pour faire chuter la température de soufflage de la vmc double flux.
Cependant , la maison se situe dans une zone tropicale qui n’a pas de saison d hiver . T moyenne annuelle : 28/29 degrés . Je ne pense pas que l on puisse faire des puits canadiens ou geocooling avec ce genre de climat . La température du sol de 0à 10 m étant trop importante .. et pas de régénération des sols à travers plusieurs saisons . Je me trompe peut être ! .. je m’intéresse que depuis peu à la géothermie.
Quel est votre avis sur les systèmes type géomur 1400W en chauffe et refroidissement suivant le type de sol (tuyau de 8m de long par 1,8m de haut) couplé à une PAC?
Il s'agit toujours du même principe. Les commerciaux, vous vendent une puissance théorique maxi! Vous pouvez obtenir 1400 W avec 200 m de linéaire si tous les conduits sont placés à une profondeur de 2m. Avec les corbeilles, la profondeur moyenne est autour de 1 m. Donc le rendement sera très mauvais.
Merci ! je redécouvre le principe du puits canadien. je vis en alsace et j'aurai vraimtn aimer dans ma maison en rénovation avoir un avis d'expert de votre trempe pour soulager une pac eau eau, mais trop largement sollicitée en hiver..... poele de masse puits canadien etc... en autoconstructeur ( grosse réno....) un moment on se perds et on ne sait plus que choisir.....
Vous parlez de surface d'échange et pourtant tous vos calculs sont faits sur les volumes.
C'est étrange non 🤔.
Très juste. Lors du dimensionnement, nous vérifions que le flux soit turbulant pour que l'ensemble du volume d'air soit tôt ou tard en contact avec la surface du conduit.
Il s'agit d'un flux turbulant et de ce fait l'ensemble de flux est en contact avec la surface d'échange.