Mise au point manuelle : faut-il en avoir peur ?
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- Опубліковано 12 вер 2024
- Quand est-ce qu’il faut avoir peur de la mise au point manuelle et quand est-ce qu’elle est notre amie ?
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- Quels avantages à faire la mise au point à la main ?
- Que pensez de la mise au point manuelle en photo de paysage, d'architechture, de portrait, de sport, etc. ?
+ Quelques astuces pour faire mieux sa mise au point manuelle.
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![Autofocus et Modes de Mise au Point: Les secrets d'une photo nette à tous les coups! [07/10]](http://i.ytimg.com/vi/NqSjTQtTYdg/mqdefault.jpg)
Enfin une vidéo explicative ou y'à pas de musiques et sons à l'arrière ! 😂
(TDA du coup parfois je peine à me concentrer sur certaines vidéos de youtubeurs avec des musiques à l'arrière en fond bien que certaines sont bien présentées et expliquées mais "ça joue vachement un rôle" pour moi... 🙄😝)
Je suis entièrement d’accord avec toi . Je privilégie la Mp manuelle
Bonjour,
Les vidéos de ta chaîne sont super. Je viens de voir celle ci. Tu ne parles pas de la fonction télémètre. Elle est présente sur mon "vieux"D60. Elle est bien pratique en réglage manuel. J'avais été très perturbé lors de mon passage de l'argentique (Minolta D500) au numérique (Nikon D60) par l'absence du stigmomètre.
Bonjour Julien. Je suis Fujiste depuis 3 ans après avoir été Canon pendant des années et un bref passage en Sony mirrorless mais qui n’a pas duré 1 an (Je n’ai pas du tout aimé le boitier A9 malgré ses très nombreuses qualités mais ça c’est une autre histoire). J’ai pas mal de belles lentilles Fuji mais j’affectionne aussi 2 belles optiques manuelles ‘’modernes’’ dont le ZY Mitakon 35/0.95 mk2 et le Kamlan 50/1.1 mk2 qui sont fabuleuses. Certes on a un peu de ‘’mollesse’’ et de CA à pleine ouverture mais elles sont utilisables à toutes les ouvertures et avec le XT4 c’est un vrai bonheur. Le focus peaking des boitiers modernes dont les Fuji est une aide incomparable pour la map, c’est très rapide et il y a très peu de déchet quand on a un tant soi peu l’habitude de l’utiliser. Et ce n’est pas du tout la même sensation lors de la prise de vue.
C'est vraiment génial Julien (entre Julien... 😁). Je pense que je suis loin d'être débutant, mais je découvre ta chaîne et toutes tes vidéos avec entrain !
Après plusieurs reflex et de l'astrophoto (bieeeeeennnnn trop chronophage), j'ai décidé d'investir dans un hybride principalement pour rajouter une partie "vlogging"/facecam à ma chaîne, mais en cherchant des tutos et en dévorant ta chaîne, je sens que je vais également me remettre à la photo, tout court 😁. Alors merci à toi !
Mon compte en banque lui ne te remercie pas 😉
Merci Julien pour ce commentaire 😉
C'est sûr qu'en ULM tu dois avoir moyen de faire de belles photos !
@@JulienRoyPhotography Complètement! Le potentiel est énorme ! Du coup pour être pas trop mal j'ai pris le X-T30 avec le 18-55 😁.
Après le souci c'est que j'ai pas de pilote auto faut que je tienne le manche avec le genou le temps de shooter 😂.
Si un jour tu passes vers Toulouse et que tu veux faire un tour n'hésite pas 🙂.
Superbe vidéo !! Merci beaucoup !!
Je shoot en reportage tout le temps depuis maintenant 3 mois en manuel et franchement bah je préfère la mise au point manuel. Je m'explique certes on rate quelques photos tout comme on peut en rater avec l'af en revanche le fait d'avoir des sujets en mouvement en permanence une fois l'appréciation des distances intégrées dans sa tête bah finalement c'est le paradis parce que pas de perte du sujet et puis surtout la possibilité de création totalement infini grâce à la mise au point manuel et à la multitude d'optiques vintage où récente dépourvus d'AF
Petites expériences personnelles :
Sur mon premier appareil, un Yaskhika du milieu des années 60, seule la mise au point manuelle était disponible. Je l'effectuais en tournant la bague de mise au point sur l'objectif en y reportant la distance estimée. C'était un objectif à focale fixe. Il fallait à cette époque mesurer la lumière sur un petit boîtier séparé sur lequel se trouvaient des disques à tourner selon le résultat de la mesure de lumière, le diaphragme et la sensibilité du film pour trouver et régler le temps de pose correspondant. Techniquement, ça donnait des clichés bien exposés et sans flou de mise au point, mais il était impossible de capturer un sujet imprévu.
Actuellement, les objectifs ne disposent que d'une graduation de distance très partielle. De plus, la distance indiquée sur la bague des zooms peut être faussée dans la réalité, paraît-il à cause de la dilatation ou de la contraction des éléments en fonction de la chaleur. J'ai déjà eu des clichés flous à cause de ce phénomène.
J'utilise donc généralement l'autofocus. Mais dans certaines situations, je reviens à la mise au point manuelle.
Voici quelques indications pour la mise au point manuelle avec le matériel moderne.
Attention de bien régler le boîtier et l'objectif sur le même mode, soit en manuel pour les deux, soit en autofocus pour les deux. Sinon, cela pourrait abîmer le matériel pour certaines combinaisons boîtiers-objectif.
Avec les objectifs dont le diaphragme reste à l'ouverture maximale jusqu'au moment de la prise de vue, il est parfaitement possible avec un peu d'habitude de percevoir dans le viseur l'endroit où la netteté est maximale et d'ajuster avec la bague de mise au point. C'est donc la méthode que j'utilise actuellement lorsque je passe en mise au point manuelle.
En dehors des cas que tu as cités, je connais deux autres cas où je dois passer en mise au point manuelle: la prise d'une série de clichés en vue d'une composition de panorama (là il faut fixer tous les paramètres pour les clichés soient tous pris avec les mêmes réglages afin de faciliter l'assemblage) et la tempête de neige sous laquelle l'auto-focus ne trouve plus de repères.
Bien à toi
Merci pour toutes ces infos et conseils :)
J’ai de vieux objo hélios et tamron et c’est super à l’usage.
Il y a un domaine où je suis toujours en mise au point manuelle, c'est la macro. Je n'aurais aucun problème à avoir un objectif macro sans AF. Je shoote en général les insectes à main levée et lumière naturelle, je ne me sers pas de la bague mais j'avance ou je recule pour faire la mise au point. Ca se joue au quart de millimètre et le focus picking aide beaucoup ainsi que la rafale rapide.
Je vais faire mon rageux, je sais bien le faire. On ne dit pas "photo de portrait". Une "photo de portrait" ce serait prendre la photo de quelque chose qui est déjà un portrait, par exemple si on prend la Joconde en photo. On dit "faire un portrait photographique"
J'aimerais vraiment une solution pour mon Canon 80D... Je ne parviens pas à trouver des objectifs ad hoc. Merci pour la video.
Salut perso mon seul caillou MF est un Meike 35mm f1.7 je l’utilise peu mais il se débrouille pas trop mal pour son prix .
une imminence partie de l’histoire de la photo à était fait sans autofocus, certes mais énormément d’appareil était équipé soit d'un télémétré otique à miroir, soit en d'un stigmomètre
dispositif qui on disparue avec l'auto focus. il reste possible de monté un stigmomètre sur certain reflex (en changeant le verre visé), les hybrides on le focus peaking.
si on veut testé un télémètre otique, il faut regardé chez leica M. (qui est la gamme télémétrique de chez leica)
Tout à fait, c'était pas non plus de la mise au point complètement au pif ! Il y avait d'autres aides à la mise au point qu'aujourd'hui, mais ça restait de la mise au point manuelle.
MDR ! Tous les photographes ayant pratiqué le reportage avant l'apparition de l'auto-focus sont pliés de rire en regardant cette vidéo.
A l'époque on couvrait tous les événements sportifs en mise au point manuelle ! Même les courses de formule 1 ou Roland Garros.
A la sortie du conseil des ministres, ceux-ci descendaient les sept marches du perron de l'Elysée sans ralentir et il fallait être très rapide pour les chopper au passage.
En plus, on devait doubler toutes les photos en noir et blanc et en couleur pour la presse quotidienne et les hebdomadaires.
Avec deux boitiers autour du cou (un chargé en N&B l'autre en couleur) il fallait donc savoir changer d'objectif d'un boitier à l'autre à la vitesse de l'éclair.
Selon les phases de l'événement à couvrir il fallait aussi gérer les 36 poses des films. Toutes les 36 photos il fallait rembobiner le film, le sortir du boitier, le ranger dans sa boite en plastique étanche, mettre un nouveau film dedans, caler l'amorce dans la bobine réceptrice, refermer le dos du boitier et shooter trois vues à blanc pour faire passer le début du film qui était obligatoirement voilé lors du chargement.
La cadence maximale des boitiers était de cinq images par seconde. Et pas question de rater un but de la finale de la coupe de France par ce qu'on avait pas surveillé son compteur et commencé une rafale à la 34ème pose du film.
A l'époque, pas de mesure matricielle ni de mode programme. Pour régler l'exposition, sur la droite de l'image, dans le viseur, il y avait deux petites aiguilles mobiles, une droite et une autre terminée par un petit cercle. Cette dernière, selon la quantité de lumière et la vitesse sélectionnée montait ou descendait. Le fait de tourner la bague de diaphragme de l'objectif faisait monter ou descendre l'aiguille droite. Pour obtenir une exposition correcte il fallait placer l'aiguille droite dans le cercle, au milieu. Si l'aiguille touchait le bord supérieur ou inférieur du cercle on était sur ou sous exposé exposé d'un demi diaph.
Pour la couleur (les ektas) il fallait plus de précision. Alors en plus des deux boitiers, on avait un posemètre autour du cou. C'était un boitier avec une aiguille et des disques pour déterminer des couples vitesse/diaphragme.
Voir le lien ci-dessous que j'ai trouvé pour illustrer la chose :
glangl1.free.fr/Photo2/Photo_G_1042.html
Pour les photos au flash, pas de TTL, on évaluait la distance et on la divisait par le nombre guide du flash pour connaitre l'ouverture à appliquer.
Alors quand tu évoque la peur de la mise au point manuelle ça fait un peu chochotte apeurée.
Typiquement le commentaire de quelqu'un qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez... peut-être qu'a une époque c'était fréquent et forcément plus intuitif mais aujourd'hui l'autofocus c'est l'option de base qu'on utilise alors quand on veut se mettre au manuel c'est pas si simple à part peut être pour les génies dans ton genre .... qu'est ce que ca me gonfle ce genre de commentaire ...
@@Kaporal1337 Effectivement, je comprend tout à fait que cela puisse te sembler gonflant de t'apercevoir que dans les années 80 tu n'aurais pas tenu 5 minutes dans une agence de presse.
@@66longinus abrutis condescendant
66longinus Je comprend votre point de vue que je trouve néanmoins très extrémiste ..... vous avez raison dans le fond, mais je vous rappelle que le piqué des photos de l’époque n’a rien à voir avec celui d’aujourd’hui ou on demande du razor sharp à outrance comme ils disent chez les anglos saxons. Aucun photographe d’aujourd’hui ne peux prendre ce risque sauf se faire rejeter la majorité de ses photos. Encore une fois, on est pas dans le même monde. Après sur le fond, je pense que les photographes de l’époque était sans doute plus heureux dans l’accomplissement de leur travail car l’art en était une partie importante ..... de nos jours .... l’Art ..... les DA ne savent même plus ce que ça veut dire ..... ça je vous l’accorde.