Il est primordial de traiter de la délinquance juvénile avec une compréhension profonde des causes profondes de ce phénomène, en s'appuyant sur des principes légaux fondamentaux et les droits de la personne, tels qu’établis par la Charte canadienne des droits et libertés et le droit international des droits de l’homme. Dans ce contexte, il est erroné de focaliser uniquement sur les jeunes eux-mêmes, comme le fait le programme de Maria Mourani sur les « gangs de rue », sans considérer les facteurs structurels tels que le racisme systémique, le profilage racial, et la marginalisation. Selon des études, la criminalisation disproportionnée des jeunes issus de communautés racisées contribue directement à leur exclusion sociale. Cette approche, au lieu de résoudre le problème, exacerbe la situation, comme l'ont démontré plusieurs décisions de jurisprudence canadienne condamnant la pratique du profilage racial, notamment dans le cadre de l'arrêt R. c. Brown (2003) où la Cour suprême du Canada a reconnu l'existence du profilage racial comme une violation de la Charte. En outre, des études montrent que les groupes criminels adultes, comme les Hells Angels ou la mafia, jouent un rôle beaucoup plus central dans le recrutement des jeunes et l'exploitation de leur vulnérabilité. Cependant, ces organisations semblent être moins ciblées par les lois que les jeunes issus des minorités ethniques, ce qui soulève des questions quant à l'application équitable de la justice. Ce genre de disparités a été dénoncé sur la scène internationale, notamment par le Comité des Nations Unies contre la torture, qui a critiqué des pratiques discriminatoires similaires dans d'autres pays. Le programme de « gangs de rue » financé par les forces de l'ordre reflète une vision punitive qui non seulement stigmatise les jeunes, mais les pousse davantage vers la radicalisation. La solution, selon de nombreuses organisations de droits humains, réside dans des politiques d'inclusion sociale, de prévention, et d'éducation, plutôt que dans la criminalisation de ces jeunes en difficulté. Maria Mourani, en omettant de critiquer les adultes et groupes criminels organisés qui exploitent ces jeunes, adopte une approche qui non seulement ignore la racine du problème, mais aussi perpétue une forme de discrimination systémique. Les véritables criminels, ceux qui exploitent, torturent, et assassinent des jeunes, doivent être tenus pour responsables devant la loi, conformément aux principes de la Constitution canadienne et du droit international. Ignorer ces responsabilités et continuer à blâmer les communautés racisées n’apportera jamais une solution durable à la violence, mais ne fera qu’aggraver le problème, comme cela a été observé dans d'autres juridictions à travers le monde. Madame Mourani et son programme de lutte contre les gangs de rue semblent être fondés sur une compréhension partielle et biaisée des véritables causes de la délinquance juvénile. Il est crucial de se rappeler que la marginalisation, le racisme systémique, le profilage racial, et la criminalisation des jeunes issus de la diversité sont les principales causes des comportements délinquants, comme l’ont démontré plusieurs études sociologiques et juridiques, notamment au Canada et à l'international. La Charte canadienne des droits et libertés garantit des protections contre la discrimination, ce qui met en lumière les contradictions des politiques qui ciblent disproportionnellement les jeunes issus de minorités ethniques sous prétexte de lutte contre les gangs de rue. Le rapport sur l'escouade anti-gang CRASH de Los Angeles, largement critiqué pour sa corruption et ses abus de pouvoir, a montré qu'une approche policière axée sur la criminalisation des jeunes et le profilage racial ne fait qu'exacerber les tensions sociales, augmentant la violence au lieu de la réduire. Cela a été confirmé par de nombreux experts en criminologie, comme le souligne la jurisprudence internationale sur les droits humains, notamment les observations du Comité des droits de l'homme des Nations Unies. Le programme de « gang de rue » de Mourani semble perpétuer un discours qui culpabilise les jeunes sans adresser les véritables instigateurs de la violence organisée, tels que les Hells Angels et la mafia, qui, en réalité, recrutent et exploitent des mineurs tout en bénéficiant d'une relative impunité au Québec. En fait, les quartiers comme Rivière-des-Prairies ou Montréal-Nord ont historiquement résisté à l'influence des Hells Angels, comme l’attestent plusieurs enquêtes journalistiques et rapports gouvernementaux. Pourtant, le discours de Mourani occulte ces vérités en diabolisant les jeunes issus de l’immigration, ce qui ne fait que renforcer leur exclusion et leur radicalisation, phénomène bien documenté sous le terme de « bande de rue » en France. Ce type de programme, qui applique des sanctions plus sévères aux jeunes racisés qu'aux criminels comme les motards ou les mafieux, ne fait qu’accroître la violence et la marginalisation, tout en augmentant les budgets policiers. Ce cycle de répression policière et d’injustice sociale a déjà été identifié comme contre-productif à Los Angeles dans les années 80, avec la dissolution de l'escouade CRASH, aboutissant à une baisse notable de la violence liée aux gangs. Finalement, continuer à ignorer la complicité de certains acteurs comme les Hells Angels, tout en stigmatisant systématiquement les jeunes racisés, démontre une vision limitée et problématique du phénomène des gangs. Un véritable changement viendra lorsqu’une nouvelle génération de leaders prendra en compte la justice sociale et la protection des droits humains comme fondements de leur lutte contre la criminalité, tout en dénonçant ceux qui exploitent et assassinent les jeunes en toute impunité.
Vraiment intéressant. Vous avez tout dit . mme Mourani est une immigrante qui fait ce qu’elle doit faire pour plaire à la masse. Mais comme vous dites, ces histoires de gang sont beaucoup plus profondes que l’aisse entendre tva nouvelles et le journal de Montréal , . Mais malheureusement plusieurs ne comprennent pas ça 🤷🏾♂️🤷🏾♂️🤷🏾♂️ ou ne veulent pas comprendre
@@DJLordShango Seul un milliard de vasectomies aurait pu sauver l’humanité et tous ces problèmes seraient inexistants. Il n’y a qu’à regarder ce qui se passe en Haïti !!!!
@DJLordShango, le problème, c'est que vous et moi avons grandi dans ces quartiers, et il faut vraiment y avoir vécu pour comprendre. Ceux qui ne connaissent pas cette réalité vont automatiquement croire tout ce que racontent les médias sensationnalistes, qui promeuvent un discours reflétant souvent des valeurs colonialistes. Pour nous, dans nos communautés, la maladie mentale ne fait pas partie du discours dominant, tandis que pour un Québécois de souche, la perception est complètement différente. Ce point de vue expose les différences culturelles et sociologiques profondes dans la manière dont la maladie mentale est perçue. Nos expériences personnelles façonnent notre compréhension, et les médias jouent un rôle important en véhiculant des stéréotypes biaisés, surtout dans un contexte historique de colonisation et de discrimination. Maria Mourani, par exemple, n'est pas membre de nos communautés et est très éloignée des réalités, des valeurs et des enjeux qui nous touchent. Sa vision est non seulement simpliste, mais aussi raciste. Elle n'évoque jamais la question de la maladie mentale, ce qui contribue à notre déshumanisation. De plus, elle va dans les écoles et parle à nos jeunes en poussant cette narrative erronée, exacerbant ainsi les problèmes et nuisant à nos communautés, tout en tirant profit de cette situation.
Ils diffusent des faussetés aisément vérifiables au sujet de Gregory Wholey et des frères Zéphir, en prétendant à tort qu'ils sont patcher Hells Angels, alors que la Côte-Nord a toujours été hord de leur influence. Cependant, il est bien connu que les Hells n'ont jamais exercé un contrôle total dans les réserves autochtones ni dans les quartiers ethniques si ce n'est aucun à forte densité de Montréal. Aujourd'hui, leur influence se fait sentir davantage dans la ville de Québec. Par ailleurs, le groupe Syndicate opérait pour les Hells Angels au centre-ville de Montréal, mais ne possédait aucun territoire à proprement parler dans le nord ou l'ouest de la ville. Les Hells devaient traiter avec ces gangs pour écouler leur drogue de qualité médiocre dans des quartiers comme le centre-ville, Hochelaga, Mercier, Pointe-aux-Trembles, et Vaudreuil-Dorion. L'idée d'un contrôle absolu par les Hells Angels est un mythe, entretenu par ceux qui tirent profit de la répression exercée sur les communautés ethniques de Montréal. Après les années 2000, les Nomades, bien qu'ils n'aient pas eu de territoire fixe, étaient présentés comme les maîtres de Montréal. Toutefois, cela était contesté par d'autres groupes influents tels que les Jamaïcains, Latinos, Haïtiens, ainsi que la mafia italienne, asiatique, juive, les Irlandais, Maghrébiens et Autochtones. Ceux qui collaboraient avec les Hells ne constituaient qu'une petite minorité. Le groupe Syndicate n’a d'ailleurs jamais vraiment prospéré et a quasiment disparu. En réalité, les Hells n'ont exercé un contrôle soit--disant selon leurs experes completement deconnecter, total sur Montréal que pendant environ 15 ans, ce qui alimente la narrative leur attribuant un pouvoir absolu, alors que leur influence est bien plus nuancée. Mourani, les SPVM s'attaquent avec plus de violence aux non-Blancs et aux jeunes issue de l'migration, tout en perpétuant l'idée d'une omnipotence pour encourager les Hells malgré des preuves claires du contraire. Quant aux "Bleus", il ne s'agit pas de Ducarme, qui s'opposait aux Hells Angels, ni de Saint-Michel, mais plutôt de Jean Raymond, actif au centre-ville. Ces informations sont facilement vérifiables. Malgré cela, les discours de suprématie blanche persistent au Québec, où certains Québécois de souche sont impliqués dans des abus graves sur mineurs, incluant viols, tortures et meurtres. Ils sont souvent perçus comme plus "civilisés" par rapport aux jeunes qui refusent de se soumettre à ces gangs pédophiles, protégés par certaines personnalités publiques comme Mourani, qui rejette la faute sur les communautés ethniques et la jeunesse anti-raciste.
Cette augmentation de gang de rue va avec l’augmentation d’entrée de nos beaux immigrants qui eux on de l’expérience dans la violence, le crime, le banditisme et la guerre. C’est une question de mœurs et coutumes!
Dommage pour l'entrevue avec cette experte hyper conservatrice... persuadé qu'il y aurait eu mieux pour nous donner une lecture davantage sociale, indice de ne pas inviter: est ce que l'expert.e fait des entrevues à radiox?
Il est primordial de traiter de la délinquance juvénile avec une compréhension profonde des causes profondes de ce phénomène, en s'appuyant sur des principes légaux fondamentaux et les droits de la personne, tels qu’établis par la Charte canadienne des droits et libertés et le droit international des droits de l’homme. Dans ce contexte, il est erroné de focaliser uniquement sur les jeunes eux-mêmes, comme le fait le programme de Maria Mourani sur les « gangs de rue », sans considérer les facteurs structurels tels que le racisme systémique, le profilage racial, et la marginalisation.
Selon des études, la criminalisation disproportionnée des jeunes issus de communautés racisées contribue directement à leur exclusion sociale. Cette approche, au lieu de résoudre le problème, exacerbe la situation, comme l'ont démontré plusieurs décisions de jurisprudence canadienne condamnant la pratique du profilage racial, notamment dans le cadre de l'arrêt R. c. Brown (2003) où la Cour suprême du Canada a reconnu l'existence du profilage racial comme une violation de la Charte.
En outre, des études montrent que les groupes criminels adultes, comme les Hells Angels ou la mafia, jouent un rôle beaucoup plus central dans le recrutement des jeunes et l'exploitation de leur vulnérabilité. Cependant, ces organisations semblent être moins ciblées par les lois que les jeunes issus des minorités ethniques, ce qui soulève des questions quant à l'application équitable de la justice. Ce genre de disparités a été dénoncé sur la scène internationale, notamment par le Comité des Nations Unies contre la torture, qui a critiqué des pratiques discriminatoires similaires dans d'autres pays.
Le programme de « gangs de rue » financé par les forces de l'ordre reflète une vision punitive qui non seulement stigmatise les jeunes, mais les pousse davantage vers la radicalisation. La solution, selon de nombreuses organisations de droits humains, réside dans des politiques d'inclusion sociale, de prévention, et d'éducation, plutôt que dans la criminalisation de ces jeunes en difficulté. Maria Mourani, en omettant de critiquer les adultes et groupes criminels organisés qui exploitent ces jeunes, adopte une approche qui non seulement ignore la racine du problème, mais aussi perpétue une forme de discrimination systémique.
Les véritables criminels, ceux qui exploitent, torturent, et assassinent des jeunes, doivent être tenus pour responsables devant la loi, conformément aux principes de la Constitution canadienne et du droit international. Ignorer ces responsabilités et continuer à blâmer les communautés racisées n’apportera jamais une solution durable à la violence, mais ne fera qu’aggraver le problème, comme cela a été observé dans d'autres juridictions à travers le monde.
Madame Mourani et son programme de lutte contre les gangs de rue semblent être fondés sur une compréhension partielle et biaisée des véritables causes de la délinquance juvénile. Il est crucial de se rappeler que la marginalisation, le racisme systémique, le profilage racial, et la criminalisation des jeunes issus de la diversité sont les principales causes des comportements délinquants, comme l’ont démontré plusieurs études sociologiques et juridiques, notamment au Canada et à l'international. La Charte canadienne des droits et libertés garantit des protections contre la discrimination, ce qui met en lumière les contradictions des politiques qui ciblent disproportionnellement les jeunes issus de minorités ethniques sous prétexte de lutte contre les gangs de rue.
Le rapport sur l'escouade anti-gang CRASH de Los Angeles, largement critiqué pour sa corruption et ses abus de pouvoir, a montré qu'une approche policière axée sur la criminalisation des jeunes et le profilage racial ne fait qu'exacerber les tensions sociales, augmentant la violence au lieu de la réduire. Cela a été confirmé par de nombreux experts en criminologie, comme le souligne la jurisprudence internationale sur les droits humains, notamment les observations du Comité des droits de l'homme des Nations Unies.
Le programme de « gang de rue » de Mourani semble perpétuer un discours qui culpabilise les jeunes sans adresser les véritables instigateurs de la violence organisée, tels que les Hells Angels et la mafia, qui, en réalité, recrutent et exploitent des mineurs tout en bénéficiant d'une relative impunité au Québec. En fait, les quartiers comme Rivière-des-Prairies ou Montréal-Nord ont historiquement résisté à l'influence des Hells Angels, comme l’attestent plusieurs enquêtes journalistiques et rapports gouvernementaux. Pourtant, le discours de Mourani occulte ces vérités en diabolisant les jeunes issus de l’immigration, ce qui ne fait que renforcer leur exclusion et leur radicalisation, phénomène bien documenté sous le terme de « bande de rue » en France.
Ce type de programme, qui applique des sanctions plus sévères aux jeunes racisés qu'aux criminels comme les motards ou les mafieux, ne fait qu’accroître la violence et la marginalisation, tout en augmentant les budgets policiers. Ce cycle de répression policière et d’injustice sociale a déjà été identifié comme contre-productif à Los Angeles dans les années 80, avec la dissolution de l'escouade CRASH, aboutissant à une baisse notable de la violence liée aux gangs.
Finalement, continuer à ignorer la complicité de certains acteurs comme les Hells Angels, tout en stigmatisant systématiquement les jeunes racisés, démontre une vision limitée et problématique du phénomène des gangs. Un véritable changement viendra lorsqu’une nouvelle génération de leaders prendra en compte la justice sociale et la protection des droits humains comme fondements de leur lutte contre la criminalité, tout en dénonçant ceux qui exploitent et assassinent les jeunes en toute impunité.
Vraiment intéressant. Vous avez tout dit . mme Mourani est une immigrante qui fait ce qu’elle doit faire pour plaire à la masse.
Mais comme vous dites, ces histoires de gang sont beaucoup plus profondes que l’aisse entendre tva nouvelles et le journal de Montréal , .
Mais malheureusement plusieurs ne comprennent pas ça 🤷🏾♂️🤷🏾♂️🤷🏾♂️ ou ne veulent pas comprendre
@@DJLordShango
Seul un milliard de vasectomies aurait pu sauver l’humanité et tous ces problèmes seraient inexistants.
Il n’y a qu’à regarder ce qui se passe en Haïti !!!!
@DJLordShango, le problème, c'est que vous et moi avons grandi dans ces quartiers, et il faut vraiment y avoir vécu pour comprendre. Ceux qui ne connaissent pas cette réalité vont automatiquement croire tout ce que racontent les médias sensationnalistes, qui promeuvent un discours reflétant souvent des valeurs colonialistes. Pour nous, dans nos communautés, la maladie mentale ne fait pas partie du discours dominant, tandis que pour un Québécois de souche, la perception est complètement différente.
Ce point de vue expose les différences culturelles et sociologiques profondes dans la manière dont la maladie mentale est perçue. Nos expériences personnelles façonnent notre compréhension, et les médias jouent un rôle important en véhiculant des stéréotypes biaisés, surtout dans un contexte historique de colonisation et de discrimination. Maria Mourani, par exemple, n'est pas membre de nos communautés et est très éloignée des réalités, des valeurs et des enjeux qui nous touchent. Sa vision est non seulement simpliste, mais aussi raciste. Elle n'évoque jamais la question de la maladie mentale, ce qui contribue à notre déshumanisation. De plus, elle va dans les écoles et parle à nos jeunes en poussant cette narrative erronée, exacerbant ainsi les problèmes et nuisant à nos communautés, tout en tirant profit de cette situation.
@@lofimusic4102 Si c’est tellement difficile de s’intégrer pourquoi venir ?
Ils diffusent des faussetés aisément vérifiables au sujet de Gregory Wholey et des frères Zéphir, en prétendant à tort qu'ils sont patcher Hells Angels, alors que la Côte-Nord a toujours été hord de leur influence. Cependant, il est bien connu que les Hells n'ont jamais exercé un contrôle total dans les réserves autochtones ni dans les quartiers ethniques si ce n'est aucun à forte densité de Montréal. Aujourd'hui, leur influence se fait sentir davantage dans la ville de Québec. Par ailleurs, le groupe Syndicate opérait pour les Hells Angels au centre-ville de Montréal, mais ne possédait aucun territoire à proprement parler dans le nord ou l'ouest de la ville. Les Hells devaient traiter avec ces gangs pour écouler leur drogue de qualité médiocre dans des quartiers comme le centre-ville, Hochelaga, Mercier, Pointe-aux-Trembles, et Vaudreuil-Dorion.
L'idée d'un contrôle absolu par les Hells Angels est un mythe, entretenu par ceux qui tirent profit de la répression exercée sur les communautés ethniques de Montréal. Après les années 2000, les Nomades, bien qu'ils n'aient pas eu de territoire fixe, étaient présentés comme les maîtres de Montréal. Toutefois, cela était contesté par d'autres groupes influents tels que les Jamaïcains, Latinos, Haïtiens, ainsi que la mafia italienne, asiatique, juive, les Irlandais, Maghrébiens et Autochtones. Ceux qui collaboraient avec les Hells ne constituaient qu'une petite minorité. Le groupe Syndicate n’a d'ailleurs jamais vraiment prospéré et a quasiment disparu. En réalité, les Hells n'ont exercé un contrôle soit--disant selon leurs experes completement deconnecter, total sur Montréal que pendant environ 15 ans, ce qui alimente la narrative leur attribuant un pouvoir absolu, alors que leur influence est bien plus nuancée. Mourani, les SPVM s'attaquent avec plus de violence aux non-Blancs et aux jeunes issue de l'migration, tout en perpétuant l'idée d'une omnipotence pour encourager les Hells malgré des preuves claires du contraire.
Quant aux "Bleus", il ne s'agit pas de Ducarme, qui s'opposait aux Hells Angels, ni de Saint-Michel, mais plutôt de Jean Raymond, actif au centre-ville. Ces informations sont facilement vérifiables. Malgré cela, les discours de suprématie blanche persistent au Québec, où certains Québécois de souche sont impliqués dans des abus graves sur mineurs, incluant viols, tortures et meurtres. Ils sont souvent perçus comme plus "civilisés" par rapport aux jeunes qui refusent de se soumettre à ces gangs pédophiles, protégés par certaines personnalités publiques comme Mourani, qui rejette la faute sur les communautés ethniques et la jeunesse anti-raciste.
Bonne entrevue et Maria connaît la matière à fond.
D’ailleurs tout ça a commencé avec l’affaire Skorpion et ces individus se sont reproduits.
Lire un livre ne fait pas de vous un expert
Maria ne connaît pas grand chose en faite
✌
Merci à notre belle justice de permettre cela.
Bonne video bravo
tres interessant mais vous ne lui avez pas laisser le temp de tout expliquer
Cette augmentation de gang de rue va avec l’augmentation d’entrée de nos beaux immigrants qui eux on de l’expérience dans la violence, le crime, le banditisme et la guerre.
C’est une question de mœurs et coutumes!
Ces tranquille va Québec normalement on a la paix rester à Montréal svp pas besoin de ca
Vous n’avez rien vu et vous avez oublié la loi de la rue .
Dommage pour l'entrevue avec cette experte hyper conservatrice...
persuadé qu'il y aurait eu mieux pour nous donner une lecture davantage sociale, indice de ne pas inviter: est ce que l'expert.e fait des entrevues à radiox?
Specialiste de rien du tout 😂😂😂👎🏾👎🏾