Il faut prêter attention aux EMI des enfants. La mienne a eu lieu très jeune vers 4 ans. Ni drogue, ni médicament. Une simple noyade passée inaperçue, et impossible d'aborder le sujet avec mes parents. Chape de plomb totale. J'espère que les scientifiques vont écouter les enfants, sans se focaliser systématiquement sur les personnes sous emprise médicamenteuse.
Il est étonnant que les expériences de mort imminentes dîtes négatives ne soient que très peu relatées, peut-être trop traumatisantes pour ceux qui les ont subies et trop effrayantes pour nous autres, commun des mortels. Cette question aussi, pourquoi simplement 20% de toutes les victimes récupérées d’un arrêt cardio-respiratoire relate une telle expérience et que la grande majorité non ?! Heureusement la Vie reste pleine de mystères ! Et même si ces expériences n’étaient que des projections d’un cerveau en souffrance, il est toujours bon de se rappeler les mots d’Epicure : « Ainsi celui de tous les maux qui nous donne le plus d'horreur, la mort, n'est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n'est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. »
Un scientifique dont l'intelligence et l'ouverture d'esprit apportent beaucoup à la science 💫🙏
Il faut prêter attention aux EMI des enfants.
La mienne a eu lieu très jeune vers 4 ans.
Ni drogue, ni médicament.
Une simple noyade passée inaperçue, et impossible d'aborder le sujet avec mes parents. Chape de plomb totale.
J'espère que les scientifiques vont écouter les enfants, sans se focaliser systématiquement sur les personnes sous emprise médicamenteuse.
Il est étonnant que les expériences de mort imminentes dîtes négatives ne soient que très peu relatées, peut-être trop traumatisantes pour ceux qui les ont subies et trop effrayantes pour nous autres, commun des mortels.
Cette question aussi, pourquoi simplement 20% de toutes les victimes récupérées d’un arrêt cardio-respiratoire relate une telle expérience et que la grande majorité non ?!
Heureusement la Vie reste pleine de mystères !
Et même si ces expériences n’étaient que des projections d’un cerveau en souffrance, il est toujours bon de se rappeler les mots d’Epicure : « Ainsi celui de tous les maux qui nous donne le plus d'horreur, la mort, n'est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n'est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. »
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Ses bruits de bouche sont insupportables