Bravo Aurélie et Benjamin, vous incarnez avec beaucoup d'amour et d'humilité une alternative dans laquelle je me retrouve profondément, celle de la réconciliation, d'une main tendue vers tous pour construire un futur harmonieux et durable. L'avenir ne nous offrira sans doute pas que de la joie sur le chemin du nouveau monde mais c'est probablement grâce à des initiatives comme les votre qu'il pourra naitre du chaos. Merci de tout coeur à vous deux et à tous ceux qui vous accompagnent...
"ne sont pas des écologistes extrémistes, ils n'ont pas envie de vivre en autarcie et ne rejettent pas forcément tous nos principes économiques et sociaux". Comme toujours, le journal télévisé veut faire passer le message répressif : pas de place pour les radicaux qualifiés de "extrémistes". Ecolo mais pas trop. Faudrait pas revisiter tous le système. Ce genre de commentaire assure la monopolisation de ce concept stupide du développement durable. Là, on en a trouvé un autre : la permaculture capitaliste.
Et oui, le Satyre, on peut juger facilement ce genre de propos et de discours, je pourrai être d'accord avec toi...Mais finalement c'est vrai, nous ne nous opposons pas, nous proposons et démontrons, c'est notre façon d'être, et de faire. L'intolérance de tout bord m'exaspère, y compris celle des milieux écolos bien pensants et autoritaires... Quel monde veut on pour demain ? La révolution pour la dictature? Non merci...Pour l'autarcie, après avoir essayé et pensé cette idée pendant de nombreuses années, nous avons évidemment écarté cette option...Trop individualiste à notre goût. Vivre seul, en autosuffisance, est il un modèle culturel durable pour l'humanité de demain et nos enfants ? J'en doute ...Nous avons besoin personnellement besoin d'échanges, y compris commerciaux et monétaires (pas d'état providence-assitance, de fortune personnelle qui tienne pour nous...), pour assurer les dépenses minimales courantes, de partages, de faire vivre une biorégion et les autres , etc... Bref, nous aurons toujours des choses à redire et à critiquer sur la vision médiatique de notre activité, mais on peut aussi louer ces journalistes de parler de ce que l'on fait, et d'avoir respecté notre engagement sur place...
Une façon de pensé trés interressante . Se forger son propre point de vue de la permaculture est aussi un moyen d'avancer et de partager ses idées Merci pour ce commentaire constructif et bonne continuation :)
Bravo Aurélie et Benjamin, vous incarnez avec beaucoup d'amour et d'humilité une alternative dans laquelle je me retrouve profondément, celle de la réconciliation, d'une main tendue vers tous pour construire un futur harmonieux et durable. L'avenir ne nous offrira sans doute pas que de la joie sur le chemin du nouveau monde mais c'est probablement grâce à des initiatives comme les votre qu'il pourra naitre du chaos.
Merci de tout coeur à vous deux et à tous ceux qui vous accompagnent...
"ne sont pas des écologistes extrémistes, ils n'ont pas envie de vivre en autarcie et ne rejettent pas forcément tous nos principes économiques et sociaux". Comme toujours, le journal télévisé veut faire passer le message répressif : pas de place pour les radicaux qualifiés de "extrémistes". Ecolo mais pas trop. Faudrait pas revisiter tous le système. Ce genre de commentaire assure la monopolisation de ce concept stupide du développement durable. Là, on en a trouvé un autre : la permaculture capitaliste.
Et oui, le Satyre, on peut juger facilement ce genre de propos et de discours, je pourrai être d'accord avec toi...Mais finalement c'est vrai, nous ne nous opposons pas, nous proposons et démontrons, c'est notre façon d'être, et de faire. L'intolérance de tout bord m'exaspère, y compris celle des milieux écolos bien pensants et autoritaires... Quel monde veut on pour demain ? La révolution pour la dictature? Non merci...Pour l'autarcie, après avoir essayé et pensé cette idée pendant de nombreuses années, nous avons évidemment écarté cette option...Trop individualiste à notre goût. Vivre seul, en autosuffisance, est il un modèle culturel durable pour l'humanité de demain et nos enfants ? J'en doute ...Nous avons besoin personnellement besoin d'échanges, y compris commerciaux et monétaires (pas d'état providence-assitance, de fortune personnelle qui tienne pour nous...), pour assurer les dépenses minimales courantes, de partages, de faire vivre une biorégion et les autres , etc...
Bref, nous aurons toujours des choses à redire et à critiquer sur la vision médiatique de notre activité, mais on peut aussi louer ces journalistes de parler de ce que l'on fait, et d'avoir respecté notre engagement sur place...
Une façon de pensé trés interressante . Se forger son propre point de vue de la permaculture est aussi un moyen d'avancer et de partager ses idées Merci pour ce commentaire constructif et bonne continuation :)