Camille Froidevaux-Metterie : "La grossesse est un impensé"
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- Опубліковано 28 вер 2024
- Léa Salamé reçoit Camille Froidevaux-Metterie, philosophe et romancière, pour "Un si gros ventre. Expériences vécues du corps enceint" (chez Stock). Plus d'info : www.radiofranc...
Merci pour cette interview, très intéressante
Après elle se base sur son expérience personnelle et celle des femmes qui ont accouché au même endroit+ ses lectures choisies. Et ses choix sont militants.
Oula tkt on est toutes concernées.
@@dhelsiogalaxy2594 être concerné ou intéressé n'exempte pas de constater ses sources et ses motivations, au contraire.
Ce n'est pas pcq elles ont accouché au même endroit qu'elles sont pareilles !
@@cr6849 non a coup sûr ce n'est déjà pas le même milieu social.
Grossesse est un impensé... ça vole haut
Les magasines féminins et marques de lingerie on en parle?
C'est pour ça qu'on veut des robots sexuels et des utérus artificiels. Pour que les gens, les femmes surtout puissent se tourner vers d'autres tâches qu'elles auront choisi.
Non pas à ce point.
euh...non.
@@audreykarelita bêêêh ...si
Je ne ressens aucun désir d'enfant et j'ai 36 ans, je me suis toujours demandé ce qui ne tournait pas rond chez moi
Mon dieu mon dieu
J'irai acheter le livre !
Certains parlent disent « tu es prise « comme un piège !
Et l infantilisation!! Dès qu'on est enceinte on nous infantilise aux yeux des autres ns nnavons plus aucune crédibilité... ni autorité...ect...
J'aime comment le féminisme pose la question de manière orientée. Il est souvent dit que le patriarcat imposeraient des règles, pousseraient les femmes a se conformer a des dogmes, et donc ici, celui de devoir avoir des enfants, mais bizarrement, ne pose jamais la question de savoir si justement cette envie de s'épanouir sans avoir d'enfant ne pouvait justement pas être imposé par ce patriarcat.
Etonnant aussi que ce soit souvent des femmes qui n'ont ou ne veulent pas d'enfant qui affirment que c'est un diktat social...
Il y a une réalité biologique : Si nous existons, c'est que TOUTES les femmes qui ont précédé notre existence se sont reproduites. Un seul manquement et nous n'existerions pas. Les sociologues de comptoir semble nier la biologie, qui si on écoute le féminisme semble ne pas avoir droit au chapitre : Quand nous naissons, nous ne sommes pas des pages blanches.
Que je sache, quand une guenon, une chatte ou une abeille se reproduit, ce n'est pas pour satisfaire aux injonctions du patriarcat, hein? C'est surtout que si une femelle, quelle qu'elle soit (et ça marche pour les mâles), n'a pas d'envie de se reproduire, et bien sa lignée (ses gènes) disparait avec elle et que par le produit de la sélection naturelle, ce sont les gêne des femelles qui veulent se reproduire qui subsistent (et donc que cet instinct et ce besoin de reproduction est inscrit génétiquement).
Et oui se reproduire va de soit, comme manger, dormir, respirer. Ce qui n'empêche pas de réfléchir dessus mais non le désir d'enfant n'est pas au crédit du patriarcat, c'est au crédit de l'évolution qui associe aux besoins des désirs, afin de créer une appétence et nous rendre plus performant dans nos pulsions afin de les combler.
C'est parce que manger est agréable et qu'avoir faim désagréable que le cherche efficacement a me nourrir et non pour son but premier qui est d'alimenter mon corps en "combustibles" pour produire de l'énergie.
De la même façon, le désir d'enfant a pour but que les gènes se reproduisent, quand bien même chaque animal agit sans avoir conscience de ça.
Un point précis sur lequel je vais rebondir et voir le côté très idéologique de sa pensée : Les injonctions a ne pas boire, a ne pas fumer pendant la grossesse... Ces injonctions existent quelque soit le sexe et l'âge, des règles de bonnes conduites (être poli, ne pas donner de fessée a son enfant, tenir la porte et des milliers d'autres règles) on en a constamment, le fait de venir isoler leur utilisations dans un contexte précis pour prouver quelque chose relève du sophisme pur.
En suivant sa logique, on est constamment dépossédé de notre existence puisqu'on est tous soumis a des règles. On voit bien que la réalité derrière le féminisme, c'est juste une injonction a l'égoisme, l'égocentrisme et l'individualisme. Je veux donc personne ne devrait s'opposer a ma volonté personnelle. Sauf que ce n'est pas ça vivre en société. Quand on dit aux femmes de ne pas manger mal, ne pas fumer ou ne pas boire, c'est pas du patriarcat, c'est une question de santé public, et in fine financière.
Prendre l'exemple d'instagram est tellement démagogique quand instagram est construit sur la base d'une usine a illusion. Rien a voir avec les femmes enceinte en particulier.
Lol. Serait-ce, à tout hasard, un homme qui se cache sous ce doux nom de kupperdurden ? :)
@@cr6849 Et donc? Quel est le sous entendu? Que parce que je suis un homme ma critique n'aurait aucune valeur? Si je suis ta logique, le féminisme porté par les femmes n'en a aucun non plus.
Maintenant, tu peux répondre sur le fond sinon (je suis totalement ouvert au débat) plutôt que de faire du sexisme en m'attaquant sur mon genre.
Mais pourquoi autant d'agressivité? Pourquoi se "sentir attaqué"?
@@cr6849 Ou vois tu de l'agressivité? En quoi je me sens attaqué? Tu fais de l'interprétation qui relève du procès d'intention.
J'ai essayé autant que possible d'argumenter et d'étayer, autant que faire se peut sur un commentaires youtube quand il faudrait développer sur un livre entier.
Par contre, ce qui m'agace, c'est d'une, le gynocentrisme fondamentale qui constitue le féminisme (il n'y est jamais question d'égalité, mais de regarder ce que le voisin a dans son assiette et qu'on a pas, mais sans faire le cheminement inverse, c'est problematique pour mesurer une inégalité si on ne prend en considération que 50% des données) mais surtout que ça fais le jeu des puissants et de ceux qui ont tout et que donc ça favorise les inégalité (ce qui est paradoxale).
La surmédiatisation de ça avec la complaisance des médias contribue également a ce que ça face d'autant plus réagir... Contredire ceux qui pensent que la terre est plate, que le réchauffement climatique n'existe pas ou que les pyramides sont construites par des aliens, c'est moins prenant car ça n'est pas défendu par les médias (donc l'influence reste relativement modeste).
Des bêtises et des idioties, il y en aura tout le temps, mais quand les médias font le jeu du despotisme néo-libéral, j'ai plus de mal. C'est plus judicieux, a mon sens, de s'en prendre a un pouvoir plus puissant que trois idiots qui pensent que les Dinosaures ont vécu en même temps que les humains il y a 3000 ans (bon même si malheureusement il y en a un peu plus de 3).
Il faut combattre d'abord et avant tout les idéologie dominantes car ce sont les plus délétères. Mais je te rassure, je suis aussi véhément quand il s'agit de critiquer le capitalisme et ceux qui le défende... Ou l'hypocrisie des médias au fonctionnement de droite mais qui se prétendent de gauche pour séduire un certain audimat (non on ne peut pas être riche et de gauche, quand l'enrichissement passe nécessairement par l'appauvrissement d'autres individus).
Ça se voit t'es un mec