Gaspar Sanz "Instrucción de Música sobre la Guitarra Española"
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- Опубліковано 3 кві 2018
- Gaspar Sanz (4 de abril de 1640, Calanda - 1710, Madrid).
www.gasparsanz.org/gaspar-sanz...
1º Libro.
2:00 Españoleta
8:33 Canarios
18:18 Sesquiáltera II
25:46 Fuga II al aire de Giga
26:31 Zarabanda francesa III
30:43 Pasacalles por la +
2º Libro. 33:33
38:08 Rujero y Paradetas
39:20 Matachín
48:47 Canarios II y III
50:07 Villanos II
51:07 Marionas II
1:04:50 Pasacalles por la D
1:08:35 Clarines y Trompetas
1:12:29 Lantururú, La esfacheta de Nápoles, La miñona de Cataluña, La minina de Portugal
1:14:19 Dos Trompetas de la reina de Suecia?
3º Libro (Incompleto). 1:15:20
Pasacalles por la C
1:17:45 Diferencias sobre los Antecedentes Pasacalles?.
Ernesto Bitetti, guitarra.
La obra de Sanz una de las más grandes joyas del barroco y de la música académica en general. Que maravilla!!!
Antonio quiero felicitarte, no solamente porque admiro la guitarra como instrumento, en estos tiempos todo es tecnologia, todo tan rapido, que compartas esto habla bien de ti, un saludo desde Argentina
Que composición hermosa, muchas gracias por conpartilha con nuestros. Saludos del Brazil. Aurora. ⭐⭐⭐⭐⭐
Es hermoso escuchar ..creo que hubiera estado ahí en los 1600 en campos pequeños pueblos y noches de luna
Ladran Sancho,senial de que cabalgamos.-
Whoever Mr. Iván was, he had some awesome good taste for music.
Rescatar la música de nuestro pasado, es glorioso poder escucharla hoy gracias a estos documentos que son los auténticos tesoros que hay que preservar...
Muchas gracias por subir este musica. hola desde el sur de California. Lo siento mucho por mi espanol... : )
Gracias por tu atención.
He escuchado a G.Sanz por otros guitarristas,pero esta versio'n me gusta mucho ma's. El sonido,aterciopelado, y el fraseo,amoroso y en algu'n momento majestuoso, me hacen agregar "Gran Versio'n"!!!.-
Tu también
Sencillamente Fabuloso. Gracias por compartir esta música tan deliciosa.
Supremamente hermoso
Gracias por este bello aporte!
Privet! It's elegant! This is simple entertainment for me Feels good to watch this today. Amazing stuff! Peace out!
Gaspar Sanz , la musica spagnola in genere parrebbe scontata ,sempre affascinante ,si sente il gusto tipico caliente ,morbido e di stile fiero .
Gracias por subir este contenido 👍🏻
Maravilloso! Gracias
Que hermosura descubro increíble Gaspar Sanz quisiera saber más de su obra y de su vida gracias si alguien me da alguna pista saludos desde Francia
busca paola hermosin aca en youtube
Il a été baptisé à Calanda le 4 avril 1640 avec le nom de Francisco Bartolomé, ses parents étant Bartolomé Sanz et Francisca Celma. L'utilisation du nom de Gaspar n'est vérifiée qu'en 1669 à l'occasion d'une opposition à la chaire de musique de l'université de Salamanque.
Dans son ouvrage Biblioteca Nueva de los escritores aragoneses, Latassa affirme qu'il a effectué des études humanistes avant d'obtenir un baccalauréat en théologie à l'Université de Salamanque et qu'il aurait occupé la chaire de musique de ladite université, fait qui n'a pas eu lieu. comme confirmé par des enquêtes récentes: selon García Fraile, lorsque Juan Berjón de la Real a pris sa retraite, la chaire de musique est devenue vacante et l'opposition qui en a résulté a été appelée le 13 juillet 1669 au moyen d'un édit établi dans toutes les facultés de l'université , dans les grandes écoles et dans la cathédrale, de la chapelle musicale de laquelle les candidats venaient traditionnellement. Il y avait trois opposants : Juan de Torres Rocha, maître de chapelle de la cathédrale, qui s'est retiré ; Antonio de Castro, tiple de ladite chapelle, et Gaspar Sanz. L'examen consistait en une « pratique du chant », des proportions, de l'arithmétique, de la géométrie, de l'harmonie, du coup de la composition « et d'autres questions qui étaient posées par les examinateurs »
Prétendant profiter de sa formation humaniste contre son seul adversaire, Gaspar Sanz a demandé à donner une classe de maître, comme il était d'usage dans les oppositions à d'autres chaires, mais la réponse a été négative et au final Antonio de Castro a été élu professeur. Le rapport des examinateurs (le professeur d'astrologie Antonio Sánchez de Mendoza concernant la théorie et le professeur à la retraite Juan Berjón concernant la partie pratique), a statué que Sanz était en avance sur son adversaire en matière théorique "parce qu'il est un si grand Latino". , mais manquait de formation suffisante en composition; Ainsi, par exemple, l'anecdote suivante apparaît dans le rapport de Berjón : lorsqu'on lui demande de composer subitement, Gaspar Sanz "répond qu'il n'a jamais chanté et qu'avec le temps il s'entraînera". Ce fait évoqué par Berjón n'est pas surprenant, puisque seulement cinq ans plus tard (1674) Sanz publia sa première édition de l'Instruction musicale pour guitare espagnole, qui contient un grand nombre d'œuvres musicales, qui furent ses premières compositions (« premier indice de mes capacités"), comme il l'affirme lui-même dans le "Prologue à l'envie de jouer".
Il a été affirmé qu'il a vécu pendant de longues périodes à Rome et à Naples, où il aurait reçu des leçons d'Orazio Benevoli, Pietro Andrea Ziani et Lelio Colista, mais ces faits n'ont pas été vérifiés puisque les seules sources sur son séjour italien viennent du compositeur lui-même, qui affirme également qu'il a côtoyé dans les académies des professeurs romains dont il a appris, notamment de Lelio Colista ("Premier traité"), que son véritable maître était Cristóbal Carisani, organiste de la Chapelle Royale de Naples (" Documents et avertissements généraux pour accompagner la partie") et que son livre comprend également des enseignements d'Orazio Benevoli et de Pietro Andrea Ziani. En revanche, cela laisse supposer qu'il connaît les œuvres de nombreux guitaristes italiens (Foscarini, Kapsberger, Pelegrin, Granata, Fardino, Corbetta), espagnols (Juan Carlos Amat) et portugais (Nicolao Doizi de Velasco). Il dit aussi dans son Instruction qu'une partie du manuscrit ("Labyrinthe à la guitare qui enseigne à un fils pour 12 parties avec autant de différences qu'ils veulent"), a été écrite avant le voyage en Italie et lue par le destinataire du livre , Don Juan de Austria, fils bâtard de Felipe IV, grand mélomane et protecteur de nombreux artistes, qui, après avoir été élu vicaire général du royaume d'Aragon, élit domicile au palais archiépiscopal de Saragosse à partir du 29 juin 1669. Ainsi, Gaspar Sanz aurait pu étudier auprès du vénitien Cristoforo Caresana (ou Carisani), qui occupa un poste d'organiste à la chapelle royale de Naples de 1667 à 1688, il put rencontrer Benevoli, mort à Rome en 1672, et fut également pu rencontrer Pietro Andrea Ziani à Naples. Si cela s'était produit, la relation avec ces auteurs l'a aidé à connaître le monde de l'opéra vénitien et éventuellement à entrer en contact avec le maître de la chapelle royale de Naples, Filippo Coppola.
Indépendamment de tout cela, la vérité est que Gaspar Sanz va devenir l'un des principaux introducteurs de la musique italienne dans notre pays. D'autre part, vers la date à laquelle il publie pour la première fois son traité Instrucción de música (1674), Saragosse a une certaine connaissance des styles musicaux étrangers, en particulier des « sons chromatiques des violons qui viennent d'Italie », un fait auquel le la présence de don Juan de Austria ne devait pas être étrangère, qui, selon González Marín "a eu une influence considérable sur l'embauche de musiciens pour sa propre chambre, pour les églises de Saragosse (El Pilar) et pour la Chapelle Royale, démontrant une préférence déterminée pour l'italien. Sanz lui-même a dédié les six premières éditions de son traité à Don Juan d'Autriche, incorporant une nouveauté dans la dédicace de la sixième édition, car il demande au gouverneur d'Aragon que "avec sa discrétion royale, ce livre ait l'honneur d'être vu par les pieds royaux de sa majesté": le compositeur fait référence au troisième livre de ceux qui composent le traité, composé "des figures les plus sérieuses, et de la musique des meilleurs défilés que jusqu'à présent mon insouciance a atteint", dans les paroles de Sanz. Du séjour de Sanz à Saragosse en 1674, pratiquement aucune donnée sur ses activités n'a été conservée, bien que son dévouement à la littérature soit connu et grâce à des publications non littéraires, il peut être localisé à Madrid entre 1678 et 1682, la dernière année dans laquelle un édition posthume de la traduction que Francisco de la Torre y Sevil a faite des épigrammes de John Owen a été publiée, où apparaît une épigramme funéraire que Gaspar Sanz a dédiée au défunt dans laquelle il se déclare prêtre. Il a également écrit deux livres dédiés au nonce Mellini, publiés à Madrid en 1678 et 1681. Dans tous ces ouvrages, Sanz fait preuve d'une grande érudition et possède un style qui l'identifie à la littérature emblématique. En ce qui concerne son œuvre musicale principale, les deux dernières éditions de Saragosse de l'Instruction musicale datent de 1697, bien qu'aucune donnée ne permette de supposer qu'il a vécu à Saragosse pendant ces années à la fin du XVIIe siècle. À la suite de Latassa, il mourut à Madrid en 1710, ce que d'autres auteurs comme Barbieri ou Lozano ont supposé, sans qu'aucune donnée ne soit trouvée pour le confirmer.
Les aspects techniques et la répercussion ultérieure du traité ont été étudiés, entre autres, par Luis Antonio González Marín, qui analyse le tempérament de la guitare, le grattage, le style de jeu pointé, l'accompagnement et les parades. En ce qui concerne le tempérament de la guitare, Sanz mentionne trois systèmes possibles dans l'ordre conventionnel Mi-Si-G-D-La : sans cordes (pour que les quatrième et cinquième cordes doubles sonnent au-dessus de la troisième), avec cordes (particulièrement adapté pour l'accompagnement et pour faire de la "musique bruyante") et avec des pièges d'octave (une variante de la méthode précédente, "ordinaire en Espagne", qui était déjà utilisée par Amat et Doizi de Velasco). En ce qui concerne le grattage, au lieu des chiffres utilisés par Amat, il indique les positions au moyen du système alphabétique italien inventé par Montesardo et emprunté par Sanz, probablement à Foscarini. Concernant la manière pointillée de jouer, Sanz traite du phénomène des cloches et de l'ornementation ; les ornements décrits par Sanz sont les suivants : trille, mordent, tremblement, extrasino, soutien et smorsata. Le chapitre consacré à l'accompagnement sous le titre "Documents et avertissements généraux pour accompagner la partie avec la guitare, la harpe, l'orgue ou tout autre instrument" est particulièrement intéressant, car il constitue le premier manuel espagnol à part entière qui aborde cette question cruciale. dans la musique baroque. Sanz énumère comme sources de son étude sur l'accompagnement les professeurs italiens déjà mentionnés et "les meilleurs professeurs de chapelle en Espagne", en particulier Mateo Romero (Maestro Capitán). Comme point culminant du chapitre, Sanz a promis de mettre en lumière un traité plus complet sur l'accompagnement, un fait qui ne s'est jamais réalisé. D'autre part, Sanz consacre tout le troisième livre aux défilés, qu'il présente "pour les huit tons les plus importants du chant d'orgue, et pour les points, les termes les plus étranges et les sons de la guitare", avec une variété de différences. , dans diverses mesures et avec des airs et des indications dynamiques différents (sérieux, plus sérieux, joyeux, fort, doux).
La raison en est qu'il était d'usage de jouer des défilés avant les pièces vocales pour donner le ton aux chanteurs et préparer l'affect de l'œuvre, tout comme cela se produisait dans les environnements théâtraux en Italie. Ainsi, Sanz entendait, d'une part, apprendre à composer des différences sur les parades et, d'autre part, offrir aux fans un large répertoire de parades afin de pouvoir préluder.
L'œuvre de Sanz eut un grand retentissement et de nombreux compositeurs et théoriciens le citent ou se basent sur ses idées sans le nommer. Ainsi, par exemple, Lucas Ruiz de Ribayaz dans son Luz y norte musical para pacer por las figuras de la guitarra española (Madrid, 1677) fait l'éloge de Sanz : « Aujourd'hui, en particulier, des figures et des compositions pour guitare sont vendues à Madrid, imprimées à Saragosse, et composé par l'avocat Gaspar Sanz, intitulé, Instruction musicale sur la guitare espagnole; qu'ils sont nombreux, très différents et exquis ». Dans un manuscrit du XVIIIe siècle, le traité de Sanz est copié sans citer son auteur : il s'agit d'un ouvrage conservé à la Bibliothèque de l'Université de Grenade sous le titre de Cette harmonie poétique mal arrangée et ces caractères musicaux en or. La somme exquise de la guitare consacre le défunt Don Manuel Valero d'Aragon natus ex opido quod denominatur Muniessa comunita tis Daroce au Miroir de la Pureté de Notre Mère et Dame de la Conception dont le souverain nous a confié la vue de sa grâce divine et de sa récompense triomphale diadème de l'alcázar suprême, et prix de gloire. Benito Feijoo (Scholar Letters, IV, 1) fait l'éloge de Sanz, qu'il qualifie de « beau compositeur ».
Par la suite, Pablo Minguet e Yrol reconnaît que ses Règles et avertissements généraux pour accompagner la partie (Madrid, vers 1754) ont été "compilés à partir des travaux de Gaspar Sanz". Un manuscrit de Joseph Trapero date de 1763, qui copie sans vergogne l'œuvre de Sanz.
Se référant à son style musical, Rafael Mitjana a écrit que ses œuvres montraient "les racines nationales les plus pures". Pour Luis Antonio González Marín, « il est difficile d'évaluer l'œuvre de Sanz en tant que compositeur.
Il est possible que certaines des œuvres incluses dans l'Instruction soient compilées à partir d'autres auteurs ; dans certains cas (notamment certaines danses et sones à l'espagnole) il s'agit de formes typiques d'une certaine tradition, que Sanz copie en imprimant son cachet particulier, sa façon de jouer de la guitare ». Dans un autre ordre d'idées, les œuvres de Gaspar Sanz ont servi d'inspiration à des compositeurs du XXe siècle pour les avoir arrangées ou transcrites, comme Emilio Pujol, Regino Sainz de la Maza, Narciso Yepes, Ernesto Bitetti, Gregorio Arciniega, Joaquín Rodrigo (Fantaisie pour un gentleman) ou ils ont été cités, dans le cas de Manuel de Falla dans son Retablo de maese Pedro.
Œuvres de ~ : Instruction musicale sur la guitare espagnole., Saragosse, Herederos de Diego Dormer, 1674-1697 (huit éditions) (eds. facs. Saragosse, Fernando el Católico Institution, 1952, 1966, 1979 et Madrid, Alpuerto, 1985 ) .
Bibl.: F. Latassa, Nouvelle Bibliothèque des écrivains aragonais, Pampelune, Joaquín de Domingo, 1800; A. Lozano González, Musique populaire, religieuse et dramatique à Saragosse du XVIe siècle à nos jours, Saragosse, Typographie de Julián Sanz y Navarro, 1895 ; G. Arciniega Mendi, Importance historique et artistique du traité de guitare espagnol, par le célèbre musicien aragonais Don Gaspar Sanz y Celma, imprimé à Saragosse en 1674, Saragosse, Academia de Nobles y Bellas Artes de San Luis, 1938 ; A. Martín Moreno, Père Feijoo et les idéologies musicales du XVIIIe siècle en Espagne, Orense, Instituto de Estudios Orensanos Padre Feijoo, 1976 ; J. J. Rey Marcos, "Étude analytique et comparative de l'instruction musicale de Gaspar Sanz", in Aragonese Musicology Studies, Saragosse, J. J. Carreras, 1977; R. de Zayas, Les guitaristes. Gaspar Sanz, Madrid, Alpuerto, 1985 ; G. Arriaga, « L'accompagnement à la guitare baroque espagnole. Brève réflexion historique », in Música Antiqua, 3 (1986), pp. 3-13 ; J. J. Carreras, Gaspar Sanz et son « Instruction de musique à la guitare espagnole » (à Aragón in the World), Saragosse, Caja de Ahorros de la Inmaculada de Aragón, 1988 ; D. García Fraile, « Gaspar Sanz, professeur frustré à l'Université de Salamanque », in De musica hispana et aliis, vol. 1, Université de Saint Jacques de Compostelle, 1990, pp. 593-603 ; J. Fresno, "Instruction musicale sur la guitare espagnole", in Nassarre, VIII, 2 (1992), pp. 159-168 ; J. I. Palacios, compositeurs aragonais, Saragosse, Caja de Ahorros de la Inmaculada de Aragón, 2000 ; L. A. González Marín, « Sanz Celma, Gaspar », dans E. Casares Rodicio (dir. et coordinateur), Dictionnaire de la musique espagnole et hispano-américaine, vol. 9, Madrid, Société générale des auteurs et éditeurs, 2002.
very nice
36:36 Folias
¿Es posible que falten algunos títulos en el listado que has puesto?
De todas formas es una maravilla la mano de Bitetti sobre Sanz
Qué tal! Cuál es el nombre de la pieza? 9:50
Que Joaquín Rodrigo hiciese unos cuantos 'copiar y pegar' a sus obras, Concierto de Aranjuez, Fantasía para un Gentilhombre, usw, de composiciones de Gaspar Sanz, de esa línea son Esteban Daza, Luys de Milán, Enríquez de Valderrábano, Alonso Mudarra, Diego Pisador, Miguel de Fuenllana, Luis de Narváez, y otros 'vihuelistas', tuvo el mérito de recordar la música renacentista en el Siglo 20.
Que nadie se escandalice, la 'inspiración con pantógrafo' es muy común y corriente entre los músicos.
Beethoven pasó a un movimiento de una sinfonía una pieza de Johann Sebastian Bach, a su vez inspirada en música de campesinos; el 'Preludio, fuga y variación' de César Franck es Gregoriano, y habría muchos otros ejemplos, en más moderno que se me ocurre es el 'O sole mio' que cantó Pavarotti, en versión de Elvis Presley: 'It's now or never'; o el 'Mercy', de Ohio Express, que es la 'Suite meurtrière'.
En el triunfo comercial, además del marketing, influyen los grupos de presión, los contactos, p.ej., afinidad con los despellejados, los del hexagrama, la banda sin prepucio, los del demiurgo, el triángulo, que es la cúspide de la pirámide de fuerzas donde están el pentalfa, el hexagrama, y unos cuantos más.
Más o menos, todos los dioses son demonios.
Solo el Padre es benévolo, cuida de la humanidad, si quieres.
Gesund +
final incompleto, una pena que termine tan abruptamente
Canarios was cut a bit short on this video, why?
It's how it appears on the manuscript. All the versions we now are somehow arranged versions from the 20th century.
Magra. Mol
Son PUC trovare el método I. A la guitarra Española de gaspar Sanz (1670- 1715).A on lo trovare?
the music ends abruptly....
too often alas, a rather stiff agogic, like a metronome - damaging nice melodies...
2020
Despacito has more views than this.
How sad.....
Para escuchar Despacito, se necesita solo un IQ de 20 o 30. Para escuchar, entender y disfrutar de esta música, tu IQ debe estar por encima de 100. En el mundo, la gente está dividida en forma de pirámide con la base muy ancha y el IQ muy chato, arriba está el grupo especial. No mires abajo, disfruta la belleza pura......arriba.
To listen to Despacito, you only need an IQ of 20 or 30. To listen, understand and enjoy this music, your IQ must be above 100. In the world, people are divided in the shape of a pyramid with a very wide base and the IQ very flat, above is the special group. Don't look down, enjoy the pure beauty ...... up.
@@carlosrivas2012 totally agree!
@@carlosrivas2012 No, it would be a gaussian curve. 100 would be roughly the middle.
@@korayyy440 That's exactly what someone with a negative IQ would say, cant even listen to Despacito