Si tout mes collègues agriculteurs pouvaient croire et mettre en place l'agriculture de conservation des sols expliqué par Konrad. Cela irait très vite pour stocker du carbone et de l'eau. J'y suis depuis 4 ans et je commence à avoir des résultats. Merci Konrad
Merci Konrad Schreiber. Pour ceux qui doutent, il ne faut pas se tromper de cible. Ce n’est pas un éloge du glyphosate, il faut avoir une vision globale. Le constat est simple. L’agriculture conventionnelle pollue et détruit la vie des sols. L’agriculture bio détruit la vie des sols (charrue, herse rotative...) et dépense beaucoup d’eau. Le non travail du sol est la seule façon de s’en sortir et le défi pour l’avenir c’est le désherbage entres deux plantations. En maraîchage, sur des petites surfaces, on a des solutions grâce aux bâches d’ensilage. En grande culture c’est une autre affaire ! On ne peut pas couvrir de bâches des hectares de cultures. Des nouveaux outils mécaniques et des nouvelles techniques voient le jour (sans l’aide des scientifiques, sans l’aide des états comme le relève Konrad Schreiber) mais en attendant que nous maîtrisions ces techniques, un peu de désherbant permet de coucher les herbes sans abîmer les sols. C’est une histoire de transition. A terme nous saurons ne plus être dépendant des grosses firmes de la chimie.
En plus de l'agroécologie et la permaculture,il faudrait aussi se pencher sur le magnétisme de la terre qui influe sur la croissance et la santé des plantes,épandre du basalte qui est une roche volcanique qui est para magnétique c'est a dire qu'il influe sur le sol et aide à booster la faune du sol et la vie microbienne
Eh oui Konrad est un peu seul... merci à l'enseignement agricole, conforté par la recherche... pour nous envoyer dans le mur ! L'agriculture de conservation, une urgence ! Et y'a du boulot... Merci Konrad !
Non il n'est pas seul ! Il reprend beaucoup de choses que j'ai déjà entendu (lucien seguy, Frédéric Thomas les bourguignon .... ) Mais c'est sur ils ne sont pas assez nombreux pour mettre le sujet en avant
Ce qu'il dit c'est intéressant mais en gros en enseignement agricole on enseigne ces techniques. Mais comme il le dit il y a pas encore de solution pour faire du semis direct sans désherber...
depuis cette vidéo en 2020, en Bretagne nous avons eu été 2022 très chaud, puis 2023 froid et vent, puis 2024 froid et pluie. Je n'ai même pas eu le temps d'épuiser mes réserves d'eau de pluie. Ici le 1er octobre toutes mes réserves sont pleines... J'espère que le sol de mon jardin de plus en plus vivant va pourvoir utiliser tout cette eau du ciel judicieusement. 😃
merci Konrad. bravo pour cette énergie et cette ténacité face aux montagnes à bouger... j'ai conseillé quelques maraîchers : ils n'en reviennent pas !!!! la clef : la démo, laisser infuser, (parfois logtemps !) guider, corriger et.... savoir laisser chacun s'adapter à son terroir. quand les grands principes sont compris tout roule.
bonjour Konrad, très intéressant, merci pour ces développements. En particulier l'explication concernant le glyphosate, qui bouscule : employé de façon raisonnable et momentanée, comme le commente Florian, il serait donc un pis aller : faut que l'idée fasse son chemin ! J'avais entendu dire que les pratiques en bio étaient très mécanisées . Et interrogé de gros fournisseurs de céréales bio, pour avoir les noms de leurs producteurs et en savoir davantage sur leurs pratiques : silence radio... Quand on tente d'expliquer à quel point l'élevage est important, on peine à convaincre, et pourtant...
Plutôt intéressant même si je ne comprends pas tout les chiffres. Je suis une amatrice mais c est plutôt cool de comprendre un peu comment ça fonctionne. Merci
Cette année dans la campagne les semis de maïs sont encore trop souvent réalisés dans la "poudre" et la poussière. Avec nos pentes et la période très sèche je crains encore la catastrophe au mois de mai. Une fois de plus 😰
Une vidéo très instructive comme beaucoup de vos vidéos. Je suis souvent interpelé par ce qui me paraissait être contradictoire, a savoir l'utilisation des engrais de synthèse type Néonicotinoïdes, Glyphosate et un travail agricole favorisant la vie du sol, la biodiversité des écosystèmes en général. Habitant en campagne, il m'est souvent arrivé d'observer et souvent pendant les périodes de traitement, des abeilles ou autre insecte volant ayant l'air complétement désorienter. Ils tournent en rond sans retrouver la ruche et finissent par mourir. On voit bien là, que ces produits ne sont pas inoffensifs pour l'environnement. Quelle est la position de vers de terre production a ce sujet? Existe t-il une de vos vidéos qui pourrait m'éclairer a ce sujet? Merci pour tout le travail que vous fournissez. Un grand BRAVO.
Le ministre de l’agriculture croit que la solution passe par les ogm. Qu’avec uniquement des plantes résistantes au manque d’eau, mais tout en continuant les pratiques agricoles actuelles, on va s’en sortir. C’est très inquiétant !
Quelles solutions pour les agriculteurs qui pratiquent l’agriculture de conservation mais dont les couverts avec la sécheresse ont très peu poussé l’an dernier, ce qui les oblige en ce printemps à passer la herse rotative pour pouvoir semer ? (Je suis un fan de l’agriculture de conservation). Merci d’avance.
Bio signifie sans intrants issues de la pétrochimie pas forcément écologique. Konrad Schreiber considère à tort ou à raison qu'un coup de glyphosate occasionnel vaut mieux qu'un travail du sol intensif qui détruit le sol : sa vie, sa structure, son humus
Oui en bio, mais l’agroecologie n’est pas bio au sens suivre des cahiers des charges à la lettre quitte à continuer de détruire les sols. La charrue et la herse rotative utilisées en bio détruisent les vers de terre, les champignons, les nématodes, bactéries, etc... Le glyphosate non. Encore faut-il savoir le doser car c’est une belle cochonnerie. Bientôt, quand les techniques et les outils de désherbages seront au point, on pourra alors s’en passer.
Très intéressant, dommage que le cameraman est nul. La qualité de diffusion est lourdement atténuée, les effort de Konrad ne sont pas mis en valeur et l’éveil du spectateur peut s’éroder vers la fin...
La réalité demonte la première hypothèse des 2 premieres minutes de l'eau de l'eau de l'eau, j'espère juste que certain seront plus humble dans l'avenir et avoué que personne n'y comprend rien pas meme le giec
Merci, c'est très intéressant mais le ton employé tres monocorde et a rythme constant est toujours le fameux ton que je perçoit comme très agressif et hautin. J'imagine que ce n'est pas le cas mais c'est mon ressentis a chaque vidéo de ce monsieur, ce ton... très pédant au ressentis :) toujours interessant chez VdT dans tous les cas :)
Moi je trouve au contraire qu’il est passionné par ce qu’il fait et transmet aux autres dans le soucis de vouloir changer les choses je crois que ça urge si j’ai bien compris
@@laurelecreux7003 l'un n'exclus pas l'autre :) c'est une personne qui fait un gros boulot pour tester a meliorer etc.. je ne parle pas de tout cela je dis juste que a l'ecouter le ton qu'il emploi me fait réagir a chaque fois ce qui n'est pas le cas chez les autres intervenant. Cela n'enleve en rien ses autres qualité on ne peut pas etre parfait partout :)
bjr ca fait 10ans que je pratique Konrad , passionné cest sur, provoquant cest sûr , bcp d'agriculteurs ont accrochés a ces méthodes par ce biais là. Cest comme çà, de tout intervenant il faut savoir sen détaché personne nest un Dieu il faut savoir butiner l'info de partout avec humilité (humus humilité ).. Moi (en bio) ces gars m'ont permis de progresser énormément (sans ménagement 😊) le boulot VdTP ou Lvh est colossal et quand il y a des contradictions je ne me suis jamais gêner pour le dire et je pense quils apprécient. Moi aussi je préférerais parfois un ton plus consensuel mais regardez autour de vous si les plus consensuels deplacent les mm montagne ? ? agronomiquement vôtre
@@jukebox7563 je connais la qualité de ce qu'il fait et de ce qu'il sauve avec son action avec les éleveurs et autres agriculteurs j'indique juste mon ressenti au niveau du ton, apres il en fait ce qu'il veut mais mieux vaut exprimer le ressentis, apres tout on ne progresse pas non plus si personne ne releve vos éventuels défauts réel ou pas :) Notez que je ne critique rien de son travail ni de sa personne je relève juste un élément de présentation qui me perturbe quand je l'écoute. bon WE a vous !
Et oui nous avons investi dans une citerne souple mais pas assez grande à mon goût, je peux vous assurer quand on voit le manque d’eau ce printemps mon mari m’a dit on aurait dut prendre plus grand et oui j’avais raison mais bon ça s’est mon coté plus écolo et plus intéressée que lui à ces problèmes 😉 et
Déçu du contenu, même si je partage en partie ce qui est dit. Le titre est trompeur mais comme tous les autres qui abordent le sujet du semis direct, le système de la polyculture élevage c'est débrouillez vous ! Encore plus si vous êtes dans une région froide.... ils nous parlent toujours d'interculture ou couvert apres blé,orge,mais... jamais comment faire lorsqu'on intègre des prairies (pour les détruirent sans labours sans glyfo )
Pas sur si je t'ai bien compris, mais Schreiber 'preche' clairement cultures/ couverts + prairies permanentes. Puis je trouve ca pas mal inspirant: ua-cam.com/video/whhxqBqhpYw/v-deo.html ;-)
@@TheCommono merci pour le lien Ce que je veux dire c'est qu'on a des prairies permanentes qui n'ont pas forcément une bonne vie du sol. Comment les régénérer ? sans toucher à la terre . Après comment on intègre une prairie temporaire dans une rotation et que semons nous dans cette prairie par rapport à notre rotation, c'est toutes ces questions la qui ne sont jamais abordées. Tous ce que je sais c'est que je dois faire mes propres expérimentations pour avancer
@@jean-pierrebarbaux3761 Justement, il integre PAS de prairies temporaires - c'est sa solution. Et quel est l'interet, si son systeme cultures-couverts est si prometteur: performant et souple: les couverts deviennent eventuellement la culture (ensilage) et on restitue la paille de la culture principale etc)? Apres t'a aussi les couverts permanents. Si ca peut marcher sans herbicides, je sais pas, mais pas mal interessant, parce qu'il dit toujours qu'on a par exemple la luzerne "a vie" a condition qu'on la "scalpe" tous les quelques ans pour la regenerer. Ca serait pas une piste pour toi? Mais j'ai aucune idee de tout ca, parce que j'ai que des prairies permanentes et j'achete de l'aliment et de la luzerne. Bien plus qu'au debut, parce que j'ai plus (trop) d'animaux, et parce que j'arrive pas a 'le' faire a 100% herbe/ paturage... Parcontre c'est toujours le but - meme diminueer encore le foin. Entretemps je suis d'annee en annee entre l'esperance que mes prairies arrivent a une fertilite performante et l'echec... ;O) Il parle peu de ces prairies, c'est vrai, mais quand meme un peu. Pour lui tout ou beaucoup est dit par Andre Voisin. Il prone un plan de fumure: oligoelements (soufre) pour faire revenir les leguminoses, fumier, lizier. A part ca, il semble supposer que les prairies fonctionnent... Thomas dans mon lien prend un angle un peu different. Ca m'etait nouveau de semer de la feverole dans une prairie. A mon avis, des methodes comme ca risquent de faire un peu de regeneration... :-)
@@TheCommono moi ce qui m'intéresse dans les prairies temporaires c'est de pouvoir faire du sec foin et regain limiter l'ensilage j'en ai déjà pas mal avec les meiteils . Après le couvert permanent c'est mon objectif Lucien seguy m a convaincu depuis longtemps Luzerne je vais essayer bientôt mais j'ai un ph de 5.5 ,5.8 je suis confiant de même pour la feverole. J'ai des parcelles qui devraient faire, mais il faut que je les remettes en route. Mon objectif autonomie maximale. Tu es de quel secteur ?
Il faut savoir s'extraire de la propragande d'ong dirigé par des personnes n'ayant jamais cultivé de leur vie et vivant de dons subventionné par nos impots. Le glyphosate est un désherbant non sélectif, c'est à dire qu'il ne discrimine pas les plantes. Il ne peut donc pas être utilisé sur les cultures de céréales. Il n'est utilisé qu'en inter culture, entre deux cultures de céréales par example. Sa rémanance dans les sols ne dépasse pas 2 semaines car il est souvent épandu pour stopper le couvert d'inter culture avant de semer une céréale ensuite. Si il persistait dans les sols à des taux trops élevés, la céréale ne germerait pas dans la foulée. Ce constat est valable pour la France. A l'étranger (ukraine, russie), il est souvent utilisé pour favoriser le murissement des céréales 14 jours après son épandage ce qui permet de planifier les récoltes dans certaines immenses fermes. Pratique interdite en France car dans ce cas, la céréale contiendrait trop d'herbicide. Sachant que les limites résiduelles maximum sur les aliments produits en FRANCE sont beaucoup plus restrictives qu'à l'importation de pays tiers. De l'aveux même du ministre de l'agriculture. Alors vouloir interdire en France un herbicide mais autoriser largement l'importation d'aliment avec des taux d'herbicides jusqu'a 1000 fois supérieur c'est quand même fort. Merci la comission européenne et la complicité de LREM (et de tous les gouvernements précédents). www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190510323.html " Les LMR sont déterminées par la Commission européenne afin de protéger la santé des consommateurs. Elles s'appliquent indifféremment aux aliments importés des pays tiers et à ceux produits dans l'UE. Toutefois, des tolérances à l'importation peuvent être établies au cas par cas afin de répondre aux besoins du commerce international. Il s'agit de fixer la LMR à un niveau supérieur à celui correspondant au régime d'autorisation ou d'utilisation de la substance dans l'UE, après une évaluation des risques concluant à l'absence d'effet inacceptable pour l'exposition alimentaire. Lorsqu'une substance phytopharmaceutique n'est plus approuvée au niveau européen, la LMR est abaissée à la limite de quantification, qui correspond généralement à l'absence de résidu détectable par les méthodes d'analyse courantes (valeur par défaut de 0,01 mg/kg). Toutefois, la Commission européenne peut ensuite relever cette LMR au titre d'une tolérance à l'importation" C'est fantastiquement révoltant, ces gens décideurs mériteraient qu'on leur explique fortement les choses face à face. Pour ce qui est de la production bio, une autre personne a bien répondu. Habitant dans des coteaux argileux en pente, le labour (et donc le travail du sol en bio) est un drame. Des tas de terre d'un orage en 1987 sont encore présent au bord des ruisseaux correspondant au ruissellement catastrophique en cas de fortes pluies. ça ça fait mal au coeur, de voir partir toute la terre fertile dans les ruisseaux et la mer toute la fertilité et la vie. Cultiver en bio n'est pas un drame, c'est le travail du sol systématisé tous les ans et plusieurs fois pendant la culture (déchaumage l'été pour faire des faux semis, labour, herse étrille 2 ou 3 fois, houe rotative, binage 1 ou 2 fois). Cultiver en bio en poly culture élevage avec un labour tous les 5 ans pour casser une prairie et mettre une céréale puis repartir sur une prairie longue est une bonne pratique agricole. Mais quand on voit le recul de l'élevage de ruminants valorisant les prairies et des fermes céréalieres sans élevage se convertir en bio, alors il y a de quoi s'interroger.
Oui en effet ce produit une glycine avec du phosphate est l'un des moins pire à notre disposition pour les sols, assurément moins problématique que le cuivre. Comble de l'ironie en générique il ne rapporte pratiquement plus rien à l'industrie phyto ici. Après j'en conviens, hormis présence de vivaces, j'ai du mal à trouver justification au labour des sols ainsi traités.
@@christianpenouilh1381 C'est sur que désherber avant d'enfouir tout à 25cm ne sert à rien... L'agronomie ne se résoud pas avec des interdictions mais avec une réflexion pragmatique des problématiques et des itinéraires techniques réfléchissant aux couts / bénéfices. Mais expliquer ça à un militant politique qui ne voit rien d'autre que des pigeons et des crottes de chiens quand il manifeste le samedi pour le climat en venant à la manif, c'est compliqué, mais il faut s'y résoudre le plus souvent possible. Montrer et démontrer que la démagogie et l'ignorance sont trop souvent dans leurs comportements et revendications.
@@cedricfontan5918 , finalement il y a deux catégories de personnes, paysans compris : Des gens curieux et qui doutent la plupart du temps, et les autres sûr d'eux avec les théories sur les neiges d'antan ou celles de la toute dernière pluie.
@@christianpenouilh1381 Oui, mais avec deux bémols importants pour les agriculteurs: Aspect économique et l'age des agriculteurs. Avec la moitié des agriculteurs à 5 ou 10 ans de la retraite, partir sur l'achat d'un semoir de semis direct à 20 ou 30 000 euros et risquer pendant la période de transition de louper certaines cultures restreindra forcément ces agriculteurs proche de la retraite de s'y mettre. A cela avec 1/3 des agriculteurs gagnant 300 euros par mois, cela empeche aussi le moindre investissement dans des semoirs adaptés et donc dans son sol. Aspect réglementaire. Habitant en zone nitrate (du aux lessivages sur sol travaillé, pas de cochon ou d'élevage intensif dans la zone), l'obligation de couvert végétal a été installé. La moitié des agriculteurs jouaient le jeu en installant des méteils avec une forte proportion de feveroles. L'autre moitié se contentait d'un déchaumage superficiel pour faire lever les raygrass et supprimer les cannes de mais après récolte. Super me direz vous? et bien non, les chasseurs (qui ne comprennent rien non plus à l'agronomie) ont poussé et obtenu le retrait de ces couverts végétaux pour nourrir les palombes. Comme si les populations de palombes dépendait exclusivement des résidus de grains de mais entre décembre et mars, surtout quand on voit l'efficacité des batteuses et le peu de perte de grain.... Je pense que c'était surtout pour avoir des sols nus en hiver et printemps pour avoir un horizon dégagé pour faire des battues et des chasses à l'approche plus facilement....Bref, du coup, plus d'obligation de couverts et très peu d'agriculteurs qui continuent à installer des méteils après les cultures de printemps. Et nous voilà reparti 10ans en arrière. La réglementation girouette ne dépendant que des groupes de pression et non à une démarche scientifique qui analyse les problèmes et essayer d'appliquer des solutions cause beaucoup de tort. www.chasse-nature-occitanie.fr/gers/actualites/a14801/directive-nitrates-palombe-et-mulching-
Si tout mes collègues agriculteurs pouvaient croire et mettre en place l'agriculture de conservation des sols expliqué par Konrad. Cela irait très vite pour stocker du carbone et de l'eau. J'y suis depuis 4 ans et je commence à avoir des résultats.
Merci Konrad
Merci Konrad Schreiber.
Pour ceux qui doutent, il ne faut pas se tromper de cible. Ce n’est pas un éloge du glyphosate, il faut avoir une vision globale. Le constat est simple. L’agriculture conventionnelle pollue et détruit la vie des sols. L’agriculture bio détruit la vie des sols (charrue, herse rotative...) et dépense beaucoup d’eau. Le non travail du sol est la seule façon de s’en sortir et le défi pour l’avenir c’est le désherbage entres deux plantations. En maraîchage, sur des petites surfaces, on a des solutions grâce aux bâches d’ensilage. En grande culture c’est une autre affaire ! On ne peut pas couvrir de bâches des hectares de cultures. Des nouveaux outils mécaniques et des nouvelles techniques voient le jour (sans l’aide des scientifiques, sans l’aide des états comme le relève Konrad Schreiber) mais en attendant que nous maîtrisions ces techniques, un peu de désherbant permet de coucher les herbes sans abîmer les sols. C’est une histoire de transition. A terme nous saurons ne plus être dépendant des grosses firmes de la chimie.
En plus de l'agroécologie et la permaculture,il faudrait aussi se pencher sur le magnétisme de la terre qui influe sur la croissance et la santé des plantes,épandre du basalte qui est une roche volcanique qui est para magnétique c'est a dire qu'il influe sur le sol et aide à booster la faune du sol et la vie microbienne
On pourrait faire du cuivre etc avec le biomimetisme
Eh oui Konrad est un peu seul... merci à l'enseignement agricole, conforté par la recherche...
pour nous envoyer dans le mur ! L'agriculture de conservation, une urgence ! Et y'a du boulot...
Merci Konrad !
Non il n'est pas seul ! Il reprend beaucoup de choses que j'ai déjà entendu (lucien seguy, Frédéric Thomas les bourguignon .... ) Mais c'est sur ils ne sont pas assez nombreux pour mettre le sujet en avant
Ce qu'il dit c'est intéressant mais en gros en enseignement agricole on enseigne ces techniques. Mais comme il le dit il y a pas encore de solution pour faire du semis direct sans désherber...
Comme toujours les conférences de Konrad sont très stimulantes. Le travail qui reste à accomplir est immense mais il est enthousiasmant!
depuis cette vidéo en 2020, en Bretagne nous avons eu été 2022 très chaud, puis 2023 froid et vent, puis 2024 froid et pluie. Je n'ai même pas eu le temps d'épuiser mes réserves d'eau de pluie. Ici le 1er octobre toutes mes réserves sont pleines...
J'espère que le sol de mon jardin de plus en plus vivant va pourvoir utiliser tout cette eau du ciel judicieusement. 😃
merci Konrad. bravo pour cette énergie et cette ténacité face aux montagnes à bouger... j'ai conseillé quelques maraîchers : ils n'en reviennent pas !!!! la clef : la démo, laisser infuser, (parfois logtemps !) guider, corriger et.... savoir laisser chacun s'adapter à son terroir. quand les grands principes sont compris tout roule.
bonjour Konrad, très intéressant, merci pour ces développements. En particulier l'explication concernant le glyphosate, qui bouscule : employé de façon raisonnable et momentanée, comme le commente Florian, il serait donc un pis aller : faut que l'idée fasse son chemin ! J'avais entendu dire que les pratiques en bio étaient très mécanisées . Et interrogé de gros fournisseurs de céréales bio, pour avoir les noms de leurs producteurs et en savoir davantage sur leurs pratiques : silence radio... Quand on tente d'expliquer à quel point l'élevage est important, on peine à convaincre, et pourtant...
Sympa le béret Konrad, ça change de la casquette.
👍
C'est vrai qu'en Chalosse on le porte plus souvent sur l'arrière de la tête.
Plutôt intéressant même si je ne comprends pas tout les chiffres. Je suis une amatrice mais c est plutôt cool de comprendre un peu comment ça fonctionne. Merci
Cette année dans la campagne les semis de maïs sont encore trop souvent réalisés dans la "poudre" et la poussière.
Avec nos pentes et la période très sèche je crains encore la catastrophe au mois de mai.
Une fois de plus 😰
Pareill chez nous
Une vidéo très instructive comme beaucoup de vos vidéos. Je suis souvent interpelé par ce qui me paraissait être contradictoire, a savoir l'utilisation des engrais de synthèse type Néonicotinoïdes, Glyphosate et un travail agricole favorisant la vie du sol, la biodiversité des écosystèmes en général. Habitant en campagne, il m'est souvent arrivé d'observer et souvent pendant les périodes de traitement, des abeilles ou autre insecte volant ayant l'air complétement désorienter. Ils tournent en rond sans retrouver la ruche et finissent par mourir. On voit bien là, que ces produits ne sont pas inoffensifs pour l'environnement. Quelle est la position de vers de terre production a ce sujet? Existe t-il une de vos vidéos qui pourrait m'éclairer a ce sujet?
Merci pour tout le travail que vous fournissez. Un grand BRAVO.
Le ministre de l’agriculture croit que la solution passe par les ogm. Qu’avec uniquement des plantes résistantes au manque d’eau, mais tout en continuant les pratiques agricoles actuelles, on va s’en sortir. C’est très inquiétant !
Quelles solutions pour les agriculteurs qui pratiquent l’agriculture de conservation mais dont les couverts avec la sécheresse ont très peu poussé l’an dernier, ce qui les oblige en ce printemps à passer la herse rotative pour pouvoir semer ? (Je suis un fan de l’agriculture de conservation). Merci d’avance.
Bonjour, le strip till fonctionne très bien lorsque les sols sont un peu.sec ou semoir à dent
Merci pour le partage
Le glyphosate est un désherbant écologique ? N’est-ce pas interdit en bio ??
Bio signifie sans intrants issues de la pétrochimie pas forcément écologique. Konrad Schreiber considère à tort ou à raison qu'un coup de glyphosate occasionnel vaut mieux qu'un travail du sol intensif qui détruit le sol : sa vie, sa structure, son humus
Oui en bio, mais l’agroecologie n’est pas bio au sens suivre des cahiers des charges à la lettre quitte à continuer de détruire les sols. La charrue et la herse rotative utilisées en bio détruisent les vers de terre, les champignons, les nématodes, bactéries, etc... Le glyphosate non. Encore faut-il savoir le doser car c’est une belle cochonnerie. Bientôt, quand les techniques et les outils de désherbages seront au point, on pourra alors s’en passer.
@@joris_dedieu Je dirais à raison
Très intéressant, dommage que le cameraman est nul. La qualité de diffusion est lourdement atténuée, les effort de Konrad ne sont pas mis en valeur et l’éveil du spectateur peut s’éroder vers la fin...
La réalité demonte la première hypothèse des 2 premieres minutes de l'eau de l'eau de l'eau, j'espère juste que certain seront plus humble dans l'avenir et avoué que personne n'y comprend rien pas meme le giec
Merci, c'est très intéressant mais le ton employé tres monocorde et a rythme constant est toujours le fameux ton que je perçoit comme très agressif et hautin.
J'imagine que ce n'est pas le cas mais c'est mon ressentis a chaque vidéo de ce monsieur, ce ton... très pédant au ressentis :) toujours interessant chez VdT dans tous les cas :)
Moi je trouve au contraire qu’il est passionné par ce qu’il fait et transmet aux autres dans le soucis de vouloir changer les choses je crois que ça urge si j’ai bien compris
@@laurelecreux7003 l'un n'exclus pas l'autre :)
c'est une personne qui fait un gros boulot pour tester a meliorer etc.. je ne parle pas de tout cela je dis juste que a l'ecouter le ton qu'il emploi me fait réagir a chaque fois ce qui n'est pas le cas chez les autres intervenant. Cela n'enleve en rien ses autres qualité on ne peut pas etre parfait partout :)
bjr ca fait 10ans que je pratique Konrad , passionné cest sur, provoquant cest sûr , bcp d'agriculteurs ont accrochés a ces méthodes par ce biais là. Cest comme çà, de tout intervenant il faut savoir sen détaché personne nest un Dieu il faut savoir butiner l'info de partout avec humilité (humus humilité ).. Moi (en bio) ces gars m'ont permis de progresser énormément (sans ménagement 😊) le boulot VdTP ou Lvh est colossal et quand il y a des contradictions je ne me suis jamais gêner pour le dire et je pense quils apprécient. Moi aussi je préférerais parfois un ton plus consensuel mais regardez autour de vous si les plus consensuels deplacent les mm montagne ? ? agronomiquement vôtre
@@jukebox7563 je connais la qualité de ce qu'il fait et de ce qu'il sauve avec son action avec les éleveurs et autres agriculteurs j'indique juste mon ressenti au niveau du ton, apres il en fait ce qu'il veut mais mieux vaut exprimer le ressentis, apres tout on ne progresse pas non plus si personne ne releve vos éventuels défauts réel ou pas :) Notez que je ne critique rien de son travail ni de sa personne je relève juste un élément de présentation qui me perturbe quand je l'écoute. bon WE a vous !
@@cepamoa1749 je le partage aussi. Des fois aussi lart exagérer de se porter seul contre tous.... Merci pour vos précisions
Et oui nous avons investi dans une citerne souple mais pas assez grande à mon goût, je peux vous assurer quand on voit le manque d’eau ce printemps mon mari m’a dit on aurait dut prendre plus grand et oui j’avais raison mais bon ça s’est mon coté plus écolo et plus intéressée que lui à ces problèmes 😉 et
Déçu du contenu, même si je partage en partie ce qui est dit. Le titre est trompeur mais comme tous les autres qui abordent le sujet du semis direct, le système de la polyculture élevage c'est débrouillez vous ! Encore plus si vous êtes dans une région froide.... ils nous parlent toujours d'interculture ou couvert apres blé,orge,mais... jamais comment faire lorsqu'on intègre des prairies (pour les détruirent sans labours sans glyfo )
Pas sur si je t'ai bien compris, mais Schreiber 'preche' clairement cultures/ couverts + prairies permanentes.
Puis je trouve ca pas mal inspirant: ua-cam.com/video/whhxqBqhpYw/v-deo.html ;-)
@@TheCommono merci pour le lien
Ce que je veux dire c'est qu'on a des prairies permanentes qui n'ont pas forcément une bonne vie du sol. Comment les régénérer ? sans toucher à la terre . Après comment on intègre une prairie temporaire dans une rotation et que semons nous dans cette prairie par rapport à notre rotation, c'est toutes ces questions la qui ne sont jamais abordées. Tous ce que je sais c'est que je dois faire mes propres expérimentations pour avancer
@@jean-pierrebarbaux3761 Justement, il integre PAS de prairies temporaires - c'est sa solution. Et quel est l'interet, si son systeme cultures-couverts est si prometteur: performant et souple: les couverts deviennent eventuellement la culture (ensilage) et on restitue la paille de la culture principale etc)? Apres t'a aussi les couverts permanents. Si ca peut marcher sans herbicides, je sais pas, mais pas mal interessant, parce qu'il dit toujours qu'on a par exemple la luzerne "a vie" a condition qu'on la "scalpe" tous les quelques ans pour la regenerer. Ca serait pas une piste pour toi?
Mais j'ai aucune idee de tout ca, parce que j'ai que des prairies permanentes et j'achete de l'aliment et de la luzerne. Bien plus qu'au debut, parce que j'ai plus (trop) d'animaux, et parce que j'arrive pas a 'le' faire a 100% herbe/ paturage... Parcontre c'est toujours le but - meme diminueer encore le foin. Entretemps je suis d'annee en annee entre l'esperance que mes prairies arrivent a une fertilite performante et l'echec... ;O)
Il parle peu de ces prairies, c'est vrai, mais quand meme un peu. Pour lui tout ou beaucoup est dit par Andre Voisin. Il prone un plan de fumure: oligoelements (soufre) pour faire revenir les leguminoses, fumier, lizier. A part ca, il semble supposer que les prairies fonctionnent...
Thomas dans mon lien prend un angle un peu different. Ca m'etait nouveau de semer de la feverole dans une prairie. A mon avis, des methodes comme ca risquent de faire un peu de regeneration... :-)
@@TheCommono moi ce qui m'intéresse dans les prairies temporaires c'est de pouvoir faire du sec foin et regain limiter l'ensilage j'en ai déjà pas mal avec les meiteils .
Après le couvert permanent c'est mon objectif Lucien seguy m a convaincu depuis longtemps
Luzerne je vais essayer bientôt mais j'ai un ph de 5.5 ,5.8 je suis confiant de même pour la feverole.
J'ai des parcelles qui devraient faire, mais il faut que je les remettes en route.
Mon objectif autonomie maximale.
Tu es de quel secteur ?
@@jean-pierrebarbaux3761 Je suis entre Toulouse et les Pyrenees.
Tu patures?
ça fait mal au coeur d'entendre des éloges du glyphosate ici
Il faut savoir s'extraire de la propragande d'ong dirigé par des personnes n'ayant jamais cultivé de leur vie et vivant de dons subventionné par nos impots. Le glyphosate est un désherbant non sélectif, c'est à dire qu'il ne discrimine pas les plantes. Il ne peut donc pas être utilisé sur les cultures de céréales. Il n'est utilisé qu'en inter culture, entre deux cultures de céréales par example. Sa rémanance dans les sols ne dépasse pas 2 semaines car il est souvent épandu pour stopper le couvert d'inter culture avant de semer une céréale ensuite. Si il persistait dans les sols à des taux trops élevés, la céréale ne germerait pas dans la foulée. Ce constat est valable pour la France. A l'étranger (ukraine, russie), il est souvent utilisé pour favoriser le murissement des céréales 14 jours après son épandage ce qui permet de planifier les récoltes dans certaines immenses fermes. Pratique interdite en France car dans ce cas, la céréale contiendrait trop d'herbicide.
Sachant que les limites résiduelles maximum sur les aliments produits en FRANCE sont beaucoup plus restrictives qu'à l'importation de pays tiers. De l'aveux même du ministre de l'agriculture. Alors vouloir interdire en France un herbicide mais autoriser largement l'importation d'aliment avec des taux d'herbicides jusqu'a 1000 fois supérieur c'est quand même fort. Merci la comission européenne et la complicité de LREM (et de tous les gouvernements précédents).
www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190510323.html
" Les LMR sont déterminées par la Commission européenne afin de protéger la santé des consommateurs. Elles s'appliquent indifféremment aux aliments importés des pays tiers et à ceux produits dans l'UE. Toutefois, des tolérances à l'importation peuvent être établies au cas par cas afin de répondre aux besoins du commerce international. Il s'agit de fixer la LMR à un niveau supérieur à celui correspondant au régime d'autorisation ou d'utilisation de la substance dans l'UE, après une évaluation des risques concluant à l'absence d'effet inacceptable pour l'exposition alimentaire. Lorsqu'une substance phytopharmaceutique n'est plus approuvée au niveau européen, la LMR est abaissée à la limite de quantification, qui correspond généralement à l'absence de résidu détectable par les méthodes d'analyse courantes (valeur par défaut de 0,01 mg/kg). Toutefois, la Commission européenne peut ensuite relever cette LMR au titre d'une tolérance à l'importation"
C'est fantastiquement révoltant, ces gens décideurs mériteraient qu'on leur explique fortement les choses face à face.
Pour ce qui est de la production bio, une autre personne a bien répondu.
Habitant dans des coteaux argileux en pente, le labour (et donc le travail du sol en bio) est un drame. Des tas de terre d'un orage en 1987 sont encore présent au bord des ruisseaux correspondant au ruissellement catastrophique en cas de fortes pluies. ça ça fait mal au coeur, de voir partir toute la terre fertile dans les ruisseaux et la mer toute la fertilité et la vie.
Cultiver en bio n'est pas un drame, c'est le travail du sol systématisé tous les ans et plusieurs fois pendant la culture (déchaumage l'été pour faire des faux semis, labour, herse étrille 2 ou 3 fois, houe rotative, binage 1 ou 2 fois).
Cultiver en bio en poly culture élevage avec un labour tous les 5 ans pour casser une prairie et mettre une céréale puis repartir sur une prairie longue est une bonne pratique agricole. Mais quand on voit le recul de l'élevage de ruminants valorisant les prairies et des fermes céréalieres sans élevage se convertir en bio, alors il y a de quoi s'interroger.
Oui en effet ce produit une glycine avec du phosphate est l'un des moins pire à notre disposition pour les sols, assurément moins problématique que le cuivre.
Comble de l'ironie en générique il ne rapporte pratiquement plus rien à l'industrie phyto ici.
Après j'en conviens, hormis présence de vivaces, j'ai du mal à trouver justification au labour des sols ainsi traités.
@@christianpenouilh1381 C'est sur que désherber avant d'enfouir tout à 25cm ne sert à rien... L'agronomie ne se résoud pas avec des interdictions mais avec une réflexion pragmatique des problématiques et des itinéraires techniques réfléchissant aux couts / bénéfices. Mais expliquer ça à un militant politique qui ne voit rien d'autre que des pigeons et des crottes de chiens quand il manifeste le samedi pour le climat en venant à la manif, c'est compliqué, mais il faut s'y résoudre le plus souvent possible. Montrer et démontrer que la démagogie et l'ignorance sont trop souvent dans leurs comportements et revendications.
@@cedricfontan5918 , finalement il y a deux catégories de personnes, paysans compris : Des gens curieux et qui doutent la plupart du temps, et les autres sûr d'eux avec les théories sur les neiges d'antan ou celles de la toute dernière pluie.
@@christianpenouilh1381 Oui, mais avec deux bémols importants pour les agriculteurs:
Aspect économique et l'age des agriculteurs.
Avec la moitié des agriculteurs à 5 ou 10 ans de la retraite, partir sur l'achat d'un semoir de semis direct à 20 ou 30 000 euros et risquer pendant la période de transition de louper certaines cultures restreindra forcément ces agriculteurs proche de la retraite de s'y mettre. A cela avec 1/3 des agriculteurs gagnant 300 euros par mois, cela empeche aussi le moindre investissement dans des semoirs adaptés et donc dans son sol.
Aspect réglementaire.
Habitant en zone nitrate (du aux lessivages sur sol travaillé, pas de cochon ou d'élevage intensif dans la zone), l'obligation de couvert végétal a été installé. La moitié des agriculteurs jouaient le jeu en installant des méteils avec une forte proportion de feveroles. L'autre moitié se contentait d'un déchaumage superficiel pour faire lever les raygrass et supprimer les cannes de mais après récolte. Super me direz vous? et bien non, les chasseurs (qui ne comprennent rien non plus à l'agronomie) ont poussé et obtenu le retrait de ces couverts végétaux pour nourrir les palombes. Comme si les populations de palombes dépendait exclusivement des résidus de grains de mais entre décembre et mars, surtout quand on voit l'efficacité des batteuses et le peu de perte de grain.... Je pense que c'était surtout pour avoir des sols nus en hiver et printemps pour avoir un horizon dégagé pour faire des battues et des chasses à l'approche plus facilement....Bref, du coup, plus d'obligation de couverts et très peu d'agriculteurs qui continuent à installer des méteils après les cultures de printemps. Et nous voilà reparti 10ans en arrière. La réglementation girouette ne dépendant que des groupes de pression et non à une démarche scientifique qui analyse les problèmes et essayer d'appliquer des solutions cause beaucoup de tort.
www.chasse-nature-occitanie.fr/gers/actualites/a14801/directive-nitrates-palombe-et-mulching-