J’adore Edit ! Elle bouscule les conventions, malgré son aire hautain, elle donne des conseils aux autres (sans mettre les formes), elle dit la vérité !
Eddy est un personnage que je trouve assez tragique. Elle est très seule au final, et finit très seule aussi, tout le monde s’en fou un peu alors qu’elle se montre présente pour pas mal de personnages. Je l’aime beaucoup, elle est beaucoup trop sous estimée je trouve
Un grand merci a l'algorithme, je ne connaissais pas cette chaîne et j'accroche !!!! Il me tarde de découvrir les anciennes videos mais vraiment j'aime beaucoup ce côté simple mais cocooning et la good vibes . 😊 Et un oeil pointu je trouves Bravo Émilie je deviens une nouvelle abonnée
Pendant le confinement, j’ai visionné à nouveau les séries soi-disant “féministes” de ma vie de jeune adulte : Sex and the City, Desperate Housewives et Ally McBeal. (Quelle déception pour les trois !) Ayant regardé Desperate Housewives après Ally McBeal (une série dont le visionnage fut particulièrement laborieux), Desperate partait avec un net avantage. Cependant, tous les personnages principaux m’ont agacée à un moment ou à un autre (et parfois tout le long), sauf Lynette, qui m’a été globalement sympathique (sans doute parce qu’elle me rappelle cette amie qui traîne un mec toxique depuis 20 ans 😅). Étonnamment, Eddie Britt m’a semblé bien plus rafraîchissante cette fois-ci, alors que je la percevais autrement à l’époque. Comme quoi, être célibataire, légèrement carriériste et quadra change complètement la manière de regarder une série 😉. Cela dit, Eddie reste enfermée dans des stéréotypes frustrants : la femme indépendante, réduite à son apparence physique et perçue ipso facto comme manipulatrice simplement parce qu’elle est séductrice. Sa liberté devient synonyme de “légèreté” ou d’égoïsme. Oh et, ce trope, qui associe indépendance féminine et irresponsabilité maternelle, est franchement fatigant ! Renée, en comparaison, est un peu plus nuancée, mais la série véhicule toujours cette idée que la femme indépendante est intrinsèquement problématique. Ces constructions, caricaturales et réductrices, traduisent un regard masculin omniprésent dans l’écriture des personnages féminins. Malgré ses défauts, Eddie a réussi à gagner ma sympathie. Il est donc regrettable qu’un personnage comme elle, qui aurait pu réellement parler à un large public et gagner en profondeur, soit finalement écarté par un scénario manquant d’ambition. Plutôt que de lui offrir une trajectoire valorisant son indépendance et sa résilience, la série choisit de lui infliger une fin tragique, où elle disparaît sans véritable reconnaissance ni impact sur les autres. Cela renforce l’idée que la femme libre et indépendante est soit condamnée à une solitude pitoyable, soit vouée à l’oubli, un cliché qui aurait mérité d’être déconstruit. En fin de compte, Desperate Housewives avait le potentiel d’offrir des personnages féminins plus riches et nuancés. Malheureusement, elle passe à côté d’une véritable réflexion sur la diversité et la complexité des femmes modernes. Elle laisse derrière elle des héroïnes souvent réduites à des clichés : la mère sacrificielle, la perfectionniste rigide, la femme obsédée par les apparences ou l’éternelle ingénue. Finalement, les véritables girl boss n’étaient pas celles que la série prétendait mettre en avant, mais celles qu’on aurait aimé voir évoluer hors des clichés. Comme Eddie... J’ai hâte de découvrir ta prochaine analyse ! Ton travail est toujours un plaisir à suivre. 😊
@@jessica-UB Avec plaisir, je vais essayer d'être succincte et, j'espère, pas trop décousue. Je vais commencer par Sex and the City, en tout cas la première version, celle de 1998. Cette série a incontestablement marqué son époque, ouvrant la voie à des discussions inédites sur la sexualité féminine, l'indépendance, et l'amitié entre femmes. Cependant, avec le recul, elle montre aussi de nombreuses limites. Chaque personnage féminin est construit pour représenter un "type" de femme moderne, mais les traits sont tellement exagérés qu'ils finissent par les enfermer dans des stéréotypes. Honnêtement, on peut se demander comment quatre femmes aussi différentes, avec des visions et des priorités presque opposées, peuvent être des amies aussi proches. C'est sûrement parce que leurs créateurs voulaient absolument nous servir quatre "archétypes" féminins, supposés couvrir un large spectre de représentations. Après tout, quoi de mieux que des personnalités totalement incompatibles pour créer une amitié solide et durable ? Carrie Bradshaw, par exemple, est la romantique introspective, qui analyse sans relâche ses relations à travers ses chroniques. Si cette perspective peut être intéressante au début, elle la rend égocentrée, centrée uniquement sur ses propres expériences. Samantha Jones, quant à elle, incarne la femme libérée qui assume pleinement sa sexualité (un choix audacieux pour l’époque, je vous l’accorde) mais qui finit par être réduite uniquement à cela. Elle semble ne pouvoir exister au-delà de son "appétit" sexuel. Charlotte York, de son côté, représente la femme traditionnelle, en quête du mariage parfait et du "prince charmant". Une vision très conservatrice qui en fait un personnage entièrement défini par cette quête. Enfin, Miranda Hobbes, la pragmatique carriériste, est souvent décrite comme dure ou froide, son ambition prenant le pas sur son humanité (comme si l'un n'allait pas avec l'autre). Si ces traits s’adoucissent légèrement au fil des saisons, la série ne dépasse jamais totalement ces clichés initiaux, ce qui limite la complexité et la profondeur des personnages (une nouvelle fois selon moi !). Un autre problème majeur, et qui m’a énormément posé problème, est l'absence criante de diversité. Pour une série qui se déroule à New York, une des villes les plus multiculturelles du monde, on y voit un univers presque exclusivement blanc, bourgeois et hétérosexuel. Les personnages issus d’autres ethnies sont rares, souvent relégués à des rôles secondaires ou stéréotypés. Le constat est le même pour les personnages LGBTQIA+. Stanford, l’ami homosexuel de Carrie, est une caricature extravagante et superficielle. Il semble être là uniquement pour faire valoir le côté "cool" de Carrie, comme si avoir un ami gay suffisait à donner une image progressiste. Ce manque de représentation et de profondeur est particulièrement frustrant, car il reflète une vision délibérément restreinte de la société. En tout cas, ce fut pour ma part un gros point de crispation. La série montre aussi un mode de vie complètement déconnecté de la réalité. Certes, les séries sont faites pour faire rêver (comme Bollywood le fait si bien en Inde) mais ici, le manque de cohérence est flagrant. Carrie, pigiste avec un salaire normalement modeste, vit pourtant dans un appartement spacieux à New York et peut se permettre de collectionner des chaussures de luxe. Ce fantasme de vie glamour peut séduire, mais il renforce une vision idéalisée et inaccessible, loin des expériences réelles de la majorité des femmes. La maternité est également un thème traité de manière assez restreinte et stéréotypée. Charlotte est presque exclusivement définie par son désir d’enfant et son besoin désespéré d’incarner la mère et l’épouse idéales. Cette représentation réduit la maternité à un but ultime dans la vie d’une femme, un message plutôt limité pour une série qui se voulait moderne. Heureusement, Miranda apporte une vision plus nuancée et réaliste, confrontée aux dilemmes entre carrière et maternité. Ces moments donnent un peu de profondeur à la série, mais ils restent trop rares. Enfin, il faut parler de la manière dont la série glamourise les relations toxiques, notamment à travers la dynamique entre Carrie et Big. Leur histoire, censée représenter une grande romance, est en réalité truffée de comportements malsains. Pourtant, cette relation est constamment présentée comme passionnée et romantique. Ce message est problématique, car il normalise des dynamiques destructrices sous prétexte qu’elles sont "intenses". La fin est particulièrement frustrante de ce point de vue, Carrie quitte un homme toxique, pour finalement être "sauvée" par Big, l’homme qui a été toxique une grande partie de sa vie. Encore une fois, cette idée que la richesse et le charisme peuvent excuser un comportement destructeur... (Par pitié !). Il semble que cette vision de l’homme riche mais toxique reste un filon lucratif pour les créateurs de séries, jouant sur des fantasmes problématiques (mais c'est un vaste sujet). Cela dit, malgré toutes ces limites, la série s’est laissée regarder. J’ai tout de même eu des moments où j’ai accéléré les épisodes, car les intrigues pouvaient être lentes par moments. Bref, Sex and the City a été une pionnière à son époque et mérite d’être reconnue pour ce qu’elle a apporté, mais, avec le recul, il est évident qu’elle a mal vieilli. Ses choix et ses messages, bien qu’audacieux pour l’époque, ne sont pas toujours à la hauteur des attentes qu’on peut avoir d’une série prétendant servir la cause féminine. Cela dit, il existe un spin-off, And Just Like That, que je n’ai pas encore vu, peut-être qu’il parvient à corriger certains des défauts de la série mère 🤷♀️😊
@@jessica-UB Alors... Ally McBeal, lors de sa sortie, a été présentée comme une série avant-gardiste, une véritable incarnation du "girl power" des années 90. Elle promettait de refléter les aspirations des femmes modernes : indépendance, intelligence, ambition, et capacité à évoluer dans un monde professionnel dominé par les hommes. Cependant, en revisionnant cette série, il devient évident qu’elle ne tient pas cette promesse. Bien au contraire, Ally McBeal s’inscrit dans une représentation problématique des femmes, oscillant entre sursexualisation, stéréotypes réducteurs et fixation sur l’instabilité émotionnelle féminine. Sous des apparences de liberté et d’excentricité, Ally et ses collègues féminines sont enfermées dans des schémas où les femmes sont avant tout définies par leurs émotions. Ally, supposément une avocate brillante et indépendante, est surtout dépeinte comme une femme fragile, obsédée par la quête de l’amour et régulièrement en proie à des crises émotionnelles. Son intelligence et sa carrière, qui auraient pu être au cœur du récit, sont reléguées au second plan au profit d’intrigues sentimentales. Elle passe plus de temps à pleurer sur ses relations ratées ou à fantasmer sur des hommes qu’à exercer pleinement ses compétences professionnelles. On en vient à se demander si son accomplissement personnel peut exister autrement que par le regard ou l’approbation des hommes. La série multiplie d’ailleurs les relations amoureuses d’Ally, et presque toutes s’inscrivent dans des schémas toxiques ou problématiques. Outre Billy, son ex-petit ami marié qui reste un fil rouge de ses obsessions, Ally entretient d’autres histoires marquantes mais souvent dysfonctionnelles. Ces relations sont fréquemment marquées par l’infidélité, le non-dit, ou un manque de respect mutuel. La seule intrigue amoureuse qui se démarque est celle avec Larry Paul, incarné par Robert Downey Jr. Leur histoire reste sans doute la plus aboutie de la série. Malheureusement, cette intrigue a été écourtée, laissant un sentiment de potentiel gâché (on ne dit pas merci à monsieur Downey Jr.). Les personnages masculins, eux, ne sont pas mieux servis. La série, dans sa tentative de proposer des hommes "modernes", tombe dans des caricatures et des stéréotypes qui les rendent soit immatures, soit problématiques. La série pousse également à l’extrême la sursexualisation de ses personnages féminins. Elaine, la secrétaire d’Ally, est un exemple flagrant, elle est caricaturée en femme séductrice et manipulatrice (même si Jane Krakowski reste brillante dans ce rôle). Ling, quant à elle, est construite sur des clichés raciaux hypersexualisés, renforçant une image fétichisante de la femme asiatique. Ce traitement est profondément problématique et révèle une écriture imprégnée de stéréotypes réducteurs, qui perpétuent des dynamiques racistes et sexistes. Même Ally est fréquemment ramenée à la femme-enfant. Sur le plan professionnel, Ally McBeal échoue également à offrir une véritable vision féministe. Bien que les personnages féminins travaillent dans un cabinet prestigieux, leurs compétences et ambitions sont constamment éclipsées par des intrigues secondaires. Les procès, moments où leur talent aurait pu briller, sont souvent détournés pour servir des intrigues absurdes ou grotesques. Le point de non-retour, pour moi, a été l’apparition de Maddie, la fille d’Ally. Cet ajout scénaristique tombe dans le cliché éculé de la femme "incomplète" jusqu’à ce qu’elle devienne mère (même si cet enfant sort littéralement de nulle part). Ce choix, incohérent m’a définitivement fait perdre patience. Finir la série a été un véritable défi. Pour finir, Ally McBeal m’a profondément déçue, et pas seulement par son incapacité à tenir la promesse de mes souvenirs... Mais parce qu'elle promettait de célébrer l’indépendance et l’ambition des femmes, mais s’enlise dans des stéréotypes sexistes, des intrigues sentimentales dysfonctionnelles et une représentation superficielle de l’émancipation féminine. Cela dit, il faut bien reconnaître un point positif : la bande-son. Avec Vonda Shepard comme fil rouge musical, la série a su marquer les esprits. Je pense qu’on a tous, à un moment donné, reproduit la fameuse chorégraphie des toilettes devant son miroir avec plus ou moins de talent... 😅
@@jessica-UB Alors... Ally McBeal, lors de sa sortie, a été présentée comme une série avant-gardiste, une véritable incarnation du "girl power" des années 90. Elle promettait de refléter les aspirations des femmes modernes : indépendance, intelligence, ambition, et capacité à évoluer dans un monde professionnel dominé par les hommes. Cependant, en revisionnant cette série, il devient évident qu’elle ne tient pas cette promesse. Bien au contraire, Ally McBeal s’inscrit dans une représentation problématique des femmes, oscillant entre sursexualisation, stéréotypes réducteurs et fixation sur l’instabilité émotionnelle féminine. Sous des apparences de liberté et d’excentricité, Ally et ses collègues féminines sont enfermées dans des schémas où les femmes sont avant tout définies par leurs émotions. Ally, supposément une avocate brillante et indépendante, est surtout dépeinte comme une femme fragile, obsédée par la quête de l’amour et régulièrement en proie à des crises émotionnelles. Son intelligence et sa carrière, qui auraient pu être au cœur du récit, sont reléguées au second plan au profit d’intrigues sentimentales. Elle passe plus de temps à pleurer sur ses relations ratées ou à fantasmer sur des hommes qu’à exercer pleinement ses compétences professionnelles. On en vient à se demander si son accomplissement personnel peut exister autrement que par le regard ou l’approbation des hommes. La série multiplie d’ailleurs les relations amoureuses d’Ally, et presque toutes s’inscrivent dans des schémas toxiques ou problématiques. Outre Billy, son ex-petit ami marié qui reste un fil rouge de ses obsessions, Ally entretient d’autres histoires marquantes mais souvent dysfonctionnelles. Ces relations sont fréquemment marquées par l’infidélité, le non-dit, ou un manque de respect mutuel. La seule intrigue amoureuse qui se démarque est celle avec Larry Paul, incarné par Robert Downey Jr. Leur histoire reste sans doute la plus aboutie de la série. Malheureusement, cette intrigue a été écourtée, laissant un sentiment de potentiel gâché (on ne dit pas merci à monsieur Downey Jr.). Les personnages masculins, eux, ne sont pas mieux servis. La série, dans sa tentative de proposer des hommes "modernes", tombe dans des caricatures et des stéréotypes qui les rendent soit immatures, soit problématiques. La série pousse également à l’extrême la sursexualisation de ses personnages féminins. Elaine, la secrétaire d’Ally, est un exemple flagrant, elle est caricaturée en femme séductrice et manipulatrice (même si j'adore toujours autant Jane Krakowski). Ling, quant à elle, est construite sur des clichés raciaux hypersexualisés, renforçant une image fétichisante de la femme asiatique. Ce traitement est profondément problématique et révèle une écriture imprégnée de stéréotypes réducteurs, qui perpétuent des dynamiques racistes et sexistes. Même Ally est fréquemment ramenée à la femme-enfant. Sur le plan professionnel, Ally McBeal échoue également à offrir une véritable vision féministe. Bien que les personnages féminins travaillent dans un cabinet prestigieux, leurs compétences et ambitions sont constamment éclipsées par des intrigues secondaires. Les procès, moments où leur talent aurait pu briller, sont souvent détournés pour servir des intrigues absurdes ou grotesques. Le point de non-retour, pour moi, a été l’apparition de Maddie, la fille d’Ally. Cet ajout scénaristique tombe dans le cliché éculé de la femme "incomplète" jusqu’à ce qu’elle devienne mère (même si cet enfant sort littéralement de nulle part). Ce choix, incohérent m’a définitivement fait perdre patience. Finir la série a été un véritable défi. Pour finir, Ally McBeal m’a profondément déçue, et pas seulement par son incapacité à tenir la promesse de mes souvenirs... Mais parce qu'elle promettait de célébrer l’indépendance et l’ambition des femmes, mais s’enlise dans des stéréotypes sexistes, des intrigues sentimentales dysfonctionnelles et une représentation superficielle de l’émancipation féminine. Cela dit, il faut bien reconnaître un point positif : la bande-son. Avec Vonda Shepard comme fil rouge musical, la série a su marquer les esprits. Je pense qu’on a tous, à un moment donné, reproduit la fameuse chorégraphie des toilettes devant son miroir avec plus ou moins de talent... 😅
@@jessica-UB Au final, le point commun (selon moi) entre Desperate Housewives, Sex and the City et Ally McBeal réside dans la manière dont ces séries véhiculent, et parfois amplifient, certains stéréotypes sur les femmes. Peut-être ai-je été un peu sévère dans mon propos (surtout sachant que ce sont des séries qui ne datent pas d'hier), et c’est pourquoi je serais curieuse d’avoir également votre avis 😊 Et peut être même l'avis de la maestra @emiliestorytelling ☺ PS : Je viens de constater la longueur de mes commentaires, je suis navrée, moi qui voulait être concise, c'est loupé 😏
J'adore son personnage. La seule fois où on l'a vu vraiment se mettre à nu cela a été avec Carlos. Elle m'avait touché à ce moment-là. Je me demande si les filles l'avaient accepté dès le départ est-ce que le rêve vraiment eu ce même comportement avec leurs époux ? Je ne pense pas je pense qu'elle serait aller chasser ailleurs.
Merci pour ton retour ! Elle était amie avec Susan au départ mais sa réputation avec les hommes mariés n'est pas passé. Donc même en allant chasser ailleurs je crois qu'il y a une grande solidarité entre housewives à Wisteria Lane (ce qui est normal)
Tu as évoqué Renee a un moment, je la vois comme un compromis entre Gaby et Edie. Renée, comme Gaby, vient de la grande ville, était mariée à un homme très riche qui l’a couvrait de cadeaux. Il me semble aussi que ça lui a fait bizarre d’arriver en banlieue car c’était loin de tout, en tous cas Gaby l’avait très bien fait comprendre quand elle est arrivée lors de sa 2e rencontre avec le groupe comprenant Mary Alice, Susan, Bree et Lynette. Et elle ressemble en effet à Edie car c’est une rivale en amour avec Bree, séductrice après avec Ben qu’elle a fini par épouser, et il ne faut pas oublier qu’elle a acheté la maison d’Edie !!! Et si on cherche un substitut d’agent immobilier dans Wisteria Lane, il y a Lee 😂 C’est un peu comme si l’empreinte d’Edie était trop importante et ne pouvait pas être effacée, à l’instar de ses cendres qui ont été dispersée dans la rue, la personnalité d’Edie est restée dans Wisteria Lane sans que Nicolette Sheridan ne reste.
J’aimais bien Eddie . Je trouve que c’est un personnage touchant . L’épisode de sa mort m’a fait coule quelques larmes 🥲. On voit bien que les personnages différents ( en gros les anti tradwife ) ne sont pas intégrés
C'est mon personnage préféré je trouvais les 4 filles trop méchantes avec elle justement. Elle est sexy drôle attachante et pleine de punchlines pour moi elle est iconique
Après elle est sorti avec les ex maris de ses amies elle a embrassé Orson il manquait que Tom au final et à la fin elle fait du chantage à Bree donc je pense que c’était mérité à 100% tu peux être une croqueuse d’hommes sans que sa empiète ton amitié
@@UmmuTaymiyyah__ amies est un grand mot au début il y avait la rivalité entre elle et Susan et il me semble qu'elle est sortie avec Carlos quand Gaby et lui n'étaient plus ensemble car Gaby l'avait trompé (si mes souvenirs sont bons) Je n'avais pas l'impression en regardant la série que les 4 protagonistes étaient vraiment amies avec Eddie justement, j'avais l'impression qu'elles se servaient d'elle quand elles allaient mal (seule à seule) mais quand elles étaient les 4 en groupe elle la mettaient à l'écart ça me faisait de la peine.
Oui mais là on parle mdr de la saison 3 sinon c’est trop facile ! Quand elle a manipuler Mike en mentant sur son passé et qu’il était amnésique pour l’éloigner de Susan ? Suivez bien la série svp je l’ai regarder des centaines de milliers de fois donc je sais ce que je dis … copines elles faisaient du shopping ensemble et parlaient même de mecs dans la saison 3 avant qu’elle jette le grappin sur Carlos donc oui sa copine pas son amie mais copine c’est déjà grave ! Elle le méritait elle était un danger ambulant et ça beaucoup le savent même si on l’aime bien comme elle est arrêtez de banaliser le libertinage avec les mecs des copines vous romantisez même sa relation avec Carlos alors qu’elle a fait que le chanter mdrrr regardez bien la série après revenez svp
@@lulubs3716et à ce que je sache elle était conviée aux parties de poker et pas d’autres femmes du voisinage donc elle avait un lien avec elles entre autre tu fais une partie de poker à moi et demain tu sors avec mon ex ? Bizarre quand même votre vision des choses
Merci pour cette vidéo. J’aime ta douceur quand tu t’exprimes ! Edie Britt était le personnage le plus féminin de la série. Elle recherchait la liberté absolue … 😢
Oooor il me semble que de base Eddie fait chanter Bree parceque Bree" menaçait" le business de celle-ci (Eddie avait flirté avec le mari de Bree). On peut dire qu'elle cherchait à lui faire un retour de bâton : Bree pensait pouvoir l'affronter mais Eddie la force à la traiter comme une alliée.
Je ne connaissais pas la série En 2019 je faisais du cheval avec ma copine a 50klm de los Angeles (( j'ai la chance d'avoir mon frère qui y vit )) et la j'ai entamé une conversation avec une blonde casquette lunettes la discussion Tournai autour des chevaux et de la France ma copine m'a rejoint et la elle c'est figé en hurlant Eddie ‼️‼️‼️ et c'est là que j'ai compris que je venais de tapé la discussion avec Eddie Brit voilà c'était ma petite anecdote
@emiliestorytelling oui elle était vraiment charmante....du coup j'ai regardé la série et étonnamment j'ai bien aimé c'est assez comique....et sont personnage sexy piquante et drôle a souhait sa contrastait avec la fois où je l'es rencontrer velle n'a rien a voir ( après elle faisait du cheval)du coup forcément c'était ma Desperate préféré ♥️ j'étais dégoûté d'apprendre qu'elle mourrait 😨... Sinon j'aime beaucoup le personnage de Lynette même si elle est castratrice elle est très drôle et Intense mais tout comme vous je déteste Susan mais Eddie c'est chargé de la tourmenté ce qu'il a rendu encore plus sympathique 🫣
J’adore ce que tu fais. L’analyse est très interessante, mais pourquoi au niveau de l’amitié ne pas avoir abordé Martha Huber? Il me semble que c’était sa meilleure amie.
Oui c'est vrai qu'elle s'entendait bien. Je pense que c'était parce que ce n'était pas une rivale, elle n'était pas une concurrente pour avoir l'attention masculine. Edie s'entendait bien avec madame Mcluskey aussi.
J'ai aimé Paige Matheson et j'ai aimé Eddy Britt. Nicolette Sheridan a su donner de l'épaisseur aux rôles de bimbo. C'est une vrai actrice et une femme sublime.
Alors je suis d'accord avec l'ensemble de ton analyse, néanmoins, il me semble qu'il manque qqch de crucial. Pour moi, c'est justement sa peur de mourir jeune qui permet de comprendre le caractère hédoniste de ce personnage. C'est parce qu'Eddy est persuadée qu'elle va mourir jeune qu'elle n'a pas de temps à perdre avec des principes moralisateurs ou les regards réprobateurs de ces voisins. Et il me semble que c'est aussi ça sa tragédie, car de facto, elle ne vit pas dans le même temps que ses congénères : elle ne peut avoir de projet d'avenir si elle ne peut concevoir sa vieillesse, elle n'a pas d'enjeux à sauvegarder sa réputation (comme les autres personnages), elle n'a pas le temps pour tout ça car elle sait au fond d'elle-même qu'elle va mourir. Carpe diem : Elle doit vivre au jour le jour et n'a pas de temps à perdre avec les conventions. I love Eddy
J’avoue être un peu triste de ne pas avoir parler de son amitié avec Karen parce que même si on les voyait peu à l’écran on pouvait comprendre que Karen était la personne la plus appréciée par Eddie même si c’est un peu de l’amour vache. Mais elle avait une allié et on le ressent à sa mort Karen étant la plus attristée. Surtout quand Karen est impliqué dans l’Histoire vis à vis de Dave pour « sauver » Eddie
Cetait mon personnage préféré. Tellement dégouté de sa mort. Renée la remplacera partiellement mais edie restera un personnage.emblematique de la.serie
Elle est la plus perspicace pourtant, elle découvre toujours la vérité et la met en avant sauf quand ça concerne sa vie amoureuse. Je l’aimais beaucoup
@ Oui c’est un peu la Samantha Jones de desperate housewife. Elle est indépendante, drôle, attachiante, piquante, forte et fragile à la fois et pas toujours politiquement correct. C’est dans un sens le personnage le plus authentique
Le personnage d'Eddie à été sacrifié spontanément. Suite à une plainte de l'actrice contre le producteur qui lui aurait fait subir du harcèlement. Et pour se vanger, il a tuer son personnage. Ce qui n'était pas prévu au début. Je l'aimais beaucoup aussi, ne serait ce que par rapport à son enfance difficile qui la rend plus humaine et résiliante.
Ce que j’aime chez Eddie c’est sa franchise surtout envers Susan et les 3 autres. C’est la seule qui est tellement sincère quand les autres sont hypocrite. De plus elle assume ses erreur et n’a pas honte de ses choix ( comme abandonner son fils ). J’aime bien son évolution à travers ses relations amoureuse ( Carlos , Mike et Dave ). Plusieurs oubli il me semble que son ex mari la battait. Je trouve que Eddie est la version de Gabi Célibataire.
@@emiliestorytelling Je préfère avertir (on n'a pas tous la même sensibilité). Mais psychologiquement, sur l'âgisme Hollywoodien, c'est très pertinent!
Je crois qu'ils ont essayé plusieurs fois de faire disparaitre Eddie de la série. Il y a d'abord eu la fausse vraie tentative de pendaison où elle a été sauvé par Carlos, puis la fin de la saison 4 où elle est excommuniée et déménage.
Au debut susan voulait être amie avec eddie mais elle a vu que eddie se tapait des mecs mariés mais elle en avait rien à foutre et susan était marié à cette époque elle a eu peur
J'ai commencé des contes et des livres audio de textes spirituels (chrétiens/esotériques) sur UA-cam. Y-aurait-il d'autres plateformes que je pourrais utiliser ? Je ne veux pas montrer mon visage.
Bonjour, j'ai une question par rapport aux séries américaines, quelles que soient les courants de gauche et woke et je ne sais pas quel autre détermination: pourquoi y a aucun épisode, aucune solution, aucun questionnement qui ne soit 'tiens, et si on-je avortais"? L'avortement n'est JAMAIS un questionnement. C'est l'abandon, l'adoption, ou je sais pas quoi, mais tout sauf l'avortement, au-delà des séries, au-delà des décennies et des courants politiques américains...pourquoi?
Il y a eu un avortement dans la série crazy ex girlfriend. La meilleure amie de Rebecca est tombée enceinte au pire moment de son projet professionnel et a décidé d'avorter. Ce fut un avortement médicamenteux sans complications. Ce n'est pas la seule série où il y en a eu, j'avoue qu'il est rare de voir ce genre de chose dans les séries américaines.
Dans Desperate Housewives, c'est parce que Marc Cherry le créateur est républicain et sans doute anti-avortement. Et puis une grande partie de l'Amerique est puritaine donc hostile aux messages sur l'avortement. Dans Desperate Housewives, les personnages font comme si cela n'existaient pas
@@FlashetLuigi je suis entièrement d’accord avec toi, c’est vraiment du délire que l’avortement soit aussi peu abordé dans les séries/films américains. Peut-être parce que c’est vraiment plus tabou là-bas ? La seule série où j’en ai vu un c’était dans 13 reasons why, et c’est un moment horrible. La fille le fait sous anesthésie locale 😳 et tout est fait pour la faire culpabiliser.
🍿LIVE DESPERATE HOUSEWIVES : ua-cam.com/users/livekgWfjlEImqY?feature=shared
J’adore Edit ! Elle bouscule les conventions, malgré son aire hautain, elle donne des conseils aux autres (sans mettre les formes), elle dit la vérité !
Oui c'est ça sans mettre les formes 😅
Eddy est un personnage que je trouve assez tragique. Elle est très seule au final, et finit très seule aussi, tout le monde s’en fou un peu alors qu’elle se montre présente pour pas mal de personnages. Je l’aime beaucoup, elle est beaucoup trop sous estimée je trouve
Oui c'est vrai qu'elle est très seule
J'adore le personnage d'Edie Britt, j'ai beau ne pas lui ressembler mentalement ça reste le personnage de la série dont je me sentais le plus proche
C'est vrai qu'elle avait beaucoup de qualités en dehors de son penchant pour les hommes mariés
Tes vidéos sont passionnantes, ça donne envie de regarder des vieilles séries avec un tout nouveau regard !
Merci 😘
Génial merci. ❤C'est vrai qu'à chaque nouveau visionnage on en apprend encore +
Merci Émilie, tes vidéos sont toujours très intéressantes. Tu es rayonnante, ça rend tes sujets encore plus chaleureux ☺️
1000 mercis c'est super gentil !
Un grand merci a l'algorithme, je ne connaissais pas cette chaîne et j'accroche !!!! Il me tarde de découvrir les anciennes videos mais vraiment j'aime beaucoup ce côté simple mais cocooning et la good vibes . 😊
Et un oeil pointu je trouves
Bravo Émilie je deviens une nouvelle abonnée
Merci beaucoup et bienvenue ! ❤
Pendant le confinement, j’ai visionné à nouveau les séries soi-disant “féministes” de ma vie de jeune adulte : Sex and the City, Desperate Housewives et Ally McBeal. (Quelle déception pour les trois !)
Ayant regardé Desperate Housewives après Ally McBeal (une série dont le visionnage fut particulièrement laborieux), Desperate partait avec un net avantage.
Cependant, tous les personnages principaux m’ont agacée à un moment ou à un autre (et parfois tout le long), sauf Lynette, qui m’a été globalement sympathique (sans doute parce qu’elle me rappelle cette amie qui traîne un mec toxique depuis 20 ans 😅).
Étonnamment, Eddie Britt m’a semblé bien plus rafraîchissante cette fois-ci, alors que je la percevais autrement à l’époque. Comme quoi, être célibataire, légèrement carriériste et quadra change complètement la manière de regarder une série 😉. Cela dit, Eddie reste enfermée dans des stéréotypes frustrants : la femme indépendante, réduite à son apparence physique et perçue ipso facto comme manipulatrice simplement parce qu’elle est séductrice. Sa liberté devient synonyme de “légèreté” ou d’égoïsme. Oh et, ce trope, qui associe indépendance féminine et irresponsabilité maternelle, est franchement fatigant !
Renée, en comparaison, est un peu plus nuancée, mais la série véhicule toujours cette idée que la femme indépendante est intrinsèquement problématique. Ces constructions, caricaturales et réductrices, traduisent un regard masculin omniprésent dans l’écriture des personnages féminins.
Malgré ses défauts, Eddie a réussi à gagner ma sympathie. Il est donc regrettable qu’un personnage comme elle, qui aurait pu réellement parler à un large public et gagner en profondeur, soit finalement écarté par un scénario manquant d’ambition. Plutôt que de lui offrir une trajectoire valorisant son indépendance et sa résilience, la série choisit de lui infliger une fin tragique, où elle disparaît sans véritable reconnaissance ni impact sur les autres. Cela renforce l’idée que la femme libre et indépendante est soit condamnée à une solitude pitoyable, soit vouée à l’oubli, un cliché qui aurait mérité d’être déconstruit.
En fin de compte, Desperate Housewives avait le potentiel d’offrir des personnages féminins plus riches et nuancés. Malheureusement, elle passe à côté d’une véritable réflexion sur la diversité et la complexité des femmes modernes. Elle laisse derrière elle des héroïnes souvent réduites à des clichés : la mère sacrificielle, la perfectionniste rigide, la femme obsédée par les apparences ou l’éternelle ingénue.
Finalement, les véritables girl boss n’étaient pas celles que la série prétendait mettre en avant, mais celles qu’on aurait aimé voir évoluer hors des clichés. Comme Eddie...
J’ai hâte de découvrir ta prochaine analyse ! Ton travail est toujours un plaisir à suivre. 😊
Bonjour, je suis très curieuse de connaitre votre avis sur les deux autres séries. Voulez-vous bien les partager svp ?
@@jessica-UB Avec plaisir, je vais essayer d'être succincte et, j'espère, pas trop décousue. Je vais commencer par Sex and the City, en tout cas la première version, celle de 1998.
Cette série a incontestablement marqué son époque, ouvrant la voie à des discussions inédites sur la sexualité féminine, l'indépendance, et l'amitié entre femmes. Cependant, avec le recul, elle montre aussi de nombreuses limites. Chaque personnage féminin est construit pour représenter un "type" de femme moderne, mais les traits sont tellement exagérés qu'ils finissent par les enfermer dans des stéréotypes. Honnêtement, on peut se demander comment quatre femmes aussi différentes, avec des visions et des priorités presque opposées, peuvent être des amies aussi proches. C'est sûrement parce que leurs créateurs voulaient absolument nous servir quatre "archétypes" féminins, supposés couvrir un large spectre de représentations. Après tout, quoi de mieux que des personnalités totalement incompatibles pour créer une amitié solide et durable ?
Carrie Bradshaw, par exemple, est la romantique introspective, qui analyse sans relâche ses relations à travers ses chroniques. Si cette perspective peut être intéressante au début, elle la rend égocentrée, centrée uniquement sur ses propres expériences. Samantha Jones, quant à elle, incarne la femme libérée qui assume pleinement sa sexualité (un choix audacieux pour l’époque, je vous l’accorde) mais qui finit par être réduite uniquement à cela. Elle semble ne pouvoir exister au-delà de son "appétit" sexuel. Charlotte York, de son côté, représente la femme traditionnelle, en quête du mariage parfait et du "prince charmant". Une vision très conservatrice qui en fait un personnage entièrement défini par cette quête. Enfin, Miranda Hobbes, la pragmatique carriériste, est souvent décrite comme dure ou froide, son ambition prenant le pas sur son humanité (comme si l'un n'allait pas avec l'autre). Si ces traits s’adoucissent légèrement au fil des saisons, la série ne dépasse jamais totalement ces clichés initiaux, ce qui limite la complexité et la profondeur des personnages (une nouvelle fois selon moi !).
Un autre problème majeur, et qui m’a énormément posé problème, est l'absence criante de diversité. Pour une série qui se déroule à New York, une des villes les plus multiculturelles du monde, on y voit un univers presque exclusivement blanc, bourgeois et hétérosexuel. Les personnages issus d’autres ethnies sont rares, souvent relégués à des rôles secondaires ou stéréotypés. Le constat est le même pour les personnages LGBTQIA+. Stanford, l’ami homosexuel de Carrie, est une caricature extravagante et superficielle. Il semble être là uniquement pour faire valoir le côté "cool" de Carrie, comme si avoir un ami gay suffisait à donner une image progressiste. Ce manque de représentation et de profondeur est particulièrement frustrant, car il reflète une vision délibérément restreinte de la société. En tout cas, ce fut pour ma part un gros point de crispation.
La série montre aussi un mode de vie complètement déconnecté de la réalité. Certes, les séries sont faites pour faire rêver (comme Bollywood le fait si bien en Inde) mais ici, le manque de cohérence est flagrant. Carrie, pigiste avec un salaire normalement modeste, vit pourtant dans un appartement spacieux à New York et peut se permettre de collectionner des chaussures de luxe. Ce fantasme de vie glamour peut séduire, mais il renforce une vision idéalisée et inaccessible, loin des expériences réelles de la majorité des femmes.
La maternité est également un thème traité de manière assez restreinte et stéréotypée. Charlotte est presque exclusivement définie par son désir d’enfant et son besoin désespéré d’incarner la mère et l’épouse idéales. Cette représentation réduit la maternité à un but ultime dans la vie d’une femme, un message plutôt limité pour une série qui se voulait moderne. Heureusement, Miranda apporte une vision plus nuancée et réaliste, confrontée aux dilemmes entre carrière et maternité. Ces moments donnent un peu de profondeur à la série, mais ils restent trop rares.
Enfin, il faut parler de la manière dont la série glamourise les relations toxiques, notamment à travers la dynamique entre Carrie et Big. Leur histoire, censée représenter une grande romance, est en réalité truffée de comportements malsains. Pourtant, cette relation est constamment présentée comme passionnée et romantique. Ce message est problématique, car il normalise des dynamiques destructrices sous prétexte qu’elles sont "intenses". La fin est particulièrement frustrante de ce point de vue, Carrie quitte un homme toxique, pour finalement être "sauvée" par Big, l’homme qui a été toxique une grande partie de sa vie. Encore une fois, cette idée que la richesse et le charisme peuvent excuser un comportement destructeur... (Par pitié !). Il semble que cette vision de l’homme riche mais toxique reste un filon lucratif pour les créateurs de séries, jouant sur des fantasmes problématiques (mais c'est un vaste sujet).
Cela dit, malgré toutes ces limites, la série s’est laissée regarder. J’ai tout de même eu des moments où j’ai accéléré les épisodes, car les intrigues pouvaient être lentes par moments. Bref, Sex and the City a été une pionnière à son époque et mérite d’être reconnue pour ce qu’elle a apporté, mais, avec le recul, il est évident qu’elle a mal vieilli. Ses choix et ses messages, bien qu’audacieux pour l’époque, ne sont pas toujours à la hauteur des attentes qu’on peut avoir d’une série prétendant servir la cause féminine. Cela dit, il existe un spin-off, And Just Like That, que je n’ai pas encore vu, peut-être qu’il parvient à corriger certains des défauts de la série mère 🤷♀️😊
@@jessica-UB Alors... Ally McBeal, lors de sa sortie, a été présentée comme une série avant-gardiste, une véritable incarnation du "girl power" des années 90. Elle promettait de refléter les aspirations des femmes modernes : indépendance, intelligence, ambition, et capacité à évoluer dans un monde professionnel dominé par les hommes. Cependant, en revisionnant cette série, il devient évident qu’elle ne tient pas cette promesse. Bien au contraire, Ally McBeal s’inscrit dans une représentation problématique des femmes, oscillant entre sursexualisation, stéréotypes réducteurs et fixation sur l’instabilité émotionnelle féminine.
Sous des apparences de liberté et d’excentricité, Ally et ses collègues féminines sont enfermées dans des schémas où les femmes sont avant tout définies par leurs émotions. Ally, supposément une avocate brillante et indépendante, est surtout dépeinte comme une femme fragile, obsédée par la quête de l’amour et régulièrement en proie à des crises émotionnelles. Son intelligence et sa carrière, qui auraient pu être au cœur du récit, sont reléguées au second plan au profit d’intrigues sentimentales. Elle passe plus de temps à pleurer sur ses relations ratées ou à fantasmer sur des hommes qu’à exercer pleinement ses compétences professionnelles. On en vient à se demander si son accomplissement personnel peut exister autrement que par le regard ou l’approbation des hommes.
La série multiplie d’ailleurs les relations amoureuses d’Ally, et presque toutes s’inscrivent dans des schémas toxiques ou problématiques. Outre Billy, son ex-petit ami marié qui reste un fil rouge de ses obsessions, Ally entretient d’autres histoires marquantes mais souvent dysfonctionnelles. Ces relations sont fréquemment marquées par l’infidélité, le non-dit, ou un manque de respect mutuel. La seule intrigue amoureuse qui se démarque est celle avec Larry Paul, incarné par Robert Downey Jr. Leur histoire reste sans doute la plus aboutie de la série. Malheureusement, cette intrigue a été écourtée, laissant un sentiment de potentiel gâché (on ne dit pas merci à monsieur Downey Jr.).
Les personnages masculins, eux, ne sont pas mieux servis. La série, dans sa tentative de proposer des hommes "modernes", tombe dans des caricatures et des stéréotypes qui les rendent soit immatures, soit problématiques.
La série pousse également à l’extrême la sursexualisation de ses personnages féminins. Elaine, la secrétaire d’Ally, est un exemple flagrant, elle est caricaturée en femme séductrice et manipulatrice (même si Jane Krakowski reste brillante dans ce rôle). Ling, quant à elle, est construite sur des clichés raciaux hypersexualisés, renforçant une image fétichisante de la femme asiatique. Ce traitement est profondément problématique et révèle une écriture imprégnée de stéréotypes réducteurs, qui perpétuent des dynamiques racistes et sexistes. Même Ally est fréquemment ramenée à la femme-enfant.
Sur le plan professionnel, Ally McBeal échoue également à offrir une véritable vision féministe. Bien que les personnages féminins travaillent dans un cabinet prestigieux, leurs compétences et ambitions sont constamment éclipsées par des intrigues secondaires. Les procès, moments où leur talent aurait pu briller, sont souvent détournés pour servir des intrigues absurdes ou grotesques.
Le point de non-retour, pour moi, a été l’apparition de Maddie, la fille d’Ally. Cet ajout scénaristique tombe dans le cliché éculé de la femme "incomplète" jusqu’à ce qu’elle devienne mère (même si cet enfant sort littéralement de nulle part). Ce choix, incohérent m’a définitivement fait perdre patience. Finir la série a été un véritable défi.
Pour finir, Ally McBeal m’a profondément déçue, et pas seulement par son incapacité à tenir la promesse de mes souvenirs... Mais parce qu'elle promettait de célébrer l’indépendance et l’ambition des femmes, mais s’enlise dans des stéréotypes sexistes, des intrigues sentimentales dysfonctionnelles et une représentation superficielle de l’émancipation féminine.
Cela dit, il faut bien reconnaître un point positif : la bande-son. Avec Vonda Shepard comme fil rouge musical, la série a su marquer les esprits. Je pense qu’on a tous, à un moment donné, reproduit la fameuse chorégraphie des toilettes devant son miroir avec plus ou moins de talent... 😅
@@jessica-UB Alors... Ally McBeal, lors de sa sortie, a été présentée comme une série avant-gardiste, une véritable incarnation du "girl power" des années 90. Elle promettait de refléter les aspirations des femmes modernes : indépendance, intelligence, ambition, et capacité à évoluer dans un monde professionnel dominé par les hommes. Cependant, en revisionnant cette série, il devient évident qu’elle ne tient pas cette promesse. Bien au contraire, Ally McBeal s’inscrit dans une représentation problématique des femmes, oscillant entre sursexualisation, stéréotypes réducteurs et fixation sur l’instabilité émotionnelle féminine.
Sous des apparences de liberté et d’excentricité, Ally et ses collègues féminines sont enfermées dans des schémas où les femmes sont avant tout définies par leurs émotions. Ally, supposément une avocate brillante et indépendante, est surtout dépeinte comme une femme fragile, obsédée par la quête de l’amour et régulièrement en proie à des crises émotionnelles. Son intelligence et sa carrière, qui auraient pu être au cœur du récit, sont reléguées au second plan au profit d’intrigues sentimentales. Elle passe plus de temps à pleurer sur ses relations ratées ou à fantasmer sur des hommes qu’à exercer pleinement ses compétences professionnelles. On en vient à se demander si son accomplissement personnel peut exister autrement que par le regard ou l’approbation des hommes.
La série multiplie d’ailleurs les relations amoureuses d’Ally, et presque toutes s’inscrivent dans des schémas toxiques ou problématiques. Outre Billy, son ex-petit ami marié qui reste un fil rouge de ses obsessions, Ally entretient d’autres histoires marquantes mais souvent dysfonctionnelles. Ces relations sont fréquemment marquées par l’infidélité, le non-dit, ou un manque de respect mutuel. La seule intrigue amoureuse qui se démarque est celle avec Larry Paul, incarné par Robert Downey Jr. Leur histoire reste sans doute la plus aboutie de la série. Malheureusement, cette intrigue a été écourtée, laissant un sentiment de potentiel gâché (on ne dit pas merci à monsieur Downey Jr.).
Les personnages masculins, eux, ne sont pas mieux servis. La série, dans sa tentative de proposer des hommes "modernes", tombe dans des caricatures et des stéréotypes qui les rendent soit immatures, soit problématiques.
La série pousse également à l’extrême la sursexualisation de ses personnages féminins. Elaine, la secrétaire d’Ally, est un exemple flagrant, elle est caricaturée en femme séductrice et manipulatrice (même si j'adore toujours autant Jane Krakowski). Ling, quant à elle, est construite sur des clichés raciaux hypersexualisés, renforçant une image fétichisante de la femme asiatique. Ce traitement est profondément problématique et révèle une écriture imprégnée de stéréotypes réducteurs, qui perpétuent des dynamiques racistes et sexistes. Même Ally est fréquemment ramenée à la femme-enfant.
Sur le plan professionnel, Ally McBeal échoue également à offrir une véritable vision féministe. Bien que les personnages féminins travaillent dans un cabinet prestigieux, leurs compétences et ambitions sont constamment éclipsées par des intrigues secondaires. Les procès, moments où leur talent aurait pu briller, sont souvent détournés pour servir des intrigues absurdes ou grotesques.
Le point de non-retour, pour moi, a été l’apparition de Maddie, la fille d’Ally. Cet ajout scénaristique tombe dans le cliché éculé de la femme "incomplète" jusqu’à ce qu’elle devienne mère (même si cet enfant sort littéralement de nulle part). Ce choix, incohérent m’a définitivement fait perdre patience. Finir la série a été un véritable défi.
Pour finir, Ally McBeal m’a profondément déçue, et pas seulement par son incapacité à tenir la promesse de mes souvenirs... Mais parce qu'elle promettait de célébrer l’indépendance et l’ambition des femmes, mais s’enlise dans des stéréotypes sexistes, des intrigues sentimentales dysfonctionnelles et une représentation superficielle de l’émancipation féminine.
Cela dit, il faut bien reconnaître un point positif : la bande-son. Avec Vonda Shepard comme fil rouge musical, la série a su marquer les esprits. Je pense qu’on a tous, à un moment donné, reproduit la fameuse chorégraphie des toilettes devant son miroir avec plus ou moins de talent... 😅
@@jessica-UB Au final, le point commun (selon moi) entre Desperate Housewives, Sex and the City et Ally McBeal réside dans la manière dont ces séries véhiculent, et parfois amplifient, certains stéréotypes sur les femmes. Peut-être ai-je été un peu sévère dans mon propos (surtout sachant que ce sont des séries qui ne datent pas d'hier), et c’est pourquoi je serais curieuse d’avoir également votre avis 😊
Et peut être même l'avis de la maestra @emiliestorytelling ☺
PS : Je viens de constater la longueur de mes commentaires, je suis navrée, moi qui voulait être concise, c'est loupé 😏
J'adore son personnage.
La seule fois où on l'a vu vraiment se mettre à nu cela a été avec Carlos.
Elle m'avait touché à ce moment-là.
Je me demande si les filles l'avaient accepté dès le départ est-ce que le rêve vraiment eu ce même comportement avec leurs époux ?
Je ne pense pas je pense qu'elle serait aller chasser ailleurs.
Merci pour ton retour ! Elle était amie avec Susan au départ mais sa réputation avec les hommes mariés n'est pas passé. Donc même en allant chasser ailleurs je crois qu'il y a une grande solidarité entre housewives à Wisteria Lane (ce qui est normal)
J'aime bcp ta façon d'analyser les personnages.
Merci beaucoup
Tu as évoqué Renee a un moment, je la vois comme un compromis entre Gaby et Edie.
Renée, comme Gaby, vient de la grande ville, était mariée à un homme très riche qui l’a couvrait de cadeaux. Il me semble aussi que ça lui a fait bizarre d’arriver en banlieue car c’était loin de tout, en tous cas Gaby l’avait très bien fait comprendre quand elle est arrivée lors de sa 2e rencontre avec le groupe comprenant Mary Alice, Susan, Bree et Lynette.
Et elle ressemble en effet à Edie car c’est une rivale en amour avec Bree, séductrice après avec Ben qu’elle a fini par épouser, et il ne faut pas oublier qu’elle a acheté la maison d’Edie !!!
Et si on cherche un substitut d’agent immobilier dans Wisteria Lane, il y a Lee 😂
C’est un peu comme si l’empreinte d’Edie était trop importante et ne pouvait pas être effacée, à l’instar de ses cendres qui ont été dispersée dans la rue, la personnalité d’Edie est restée dans Wisteria Lane sans que Nicolette Sheridan ne reste.
Jai toujours adoré le personnage d'Eddy. Elle est drôle et touchante !❤ Trop triste que le personnage meurt comme ça
100% d'accord
J’aimais bien Eddie . Je trouve que c’est un personnage touchant . L’épisode de sa mort m’a fait coule quelques larmes 🥲. On voit bien que les personnages différents ( en gros les anti tradwife ) ne sont pas intégrés
@@fd3762 yes 💯
C'est mon personnage préféré je trouvais les 4 filles trop méchantes avec elle justement. Elle est sexy drôle attachante et pleine de punchlines pour moi elle est iconique
Elle était pas digne de confiance avec leurs maris c'est pour ça pense... Mais oui, Iconique 👑
Après elle est sorti avec les ex maris de ses amies elle a embrassé Orson il manquait que Tom au final et à la fin elle fait du chantage à Bree donc je pense que c’était mérité à 100% tu peux être une croqueuse d’hommes sans que sa empiète ton amitié
@@UmmuTaymiyyah__ amies est un grand mot au début il y avait la rivalité entre elle et Susan et il me semble qu'elle est sortie avec Carlos quand Gaby et lui n'étaient plus ensemble car Gaby l'avait trompé (si mes souvenirs sont bons)
Je n'avais pas l'impression en regardant la série que les 4 protagonistes étaient vraiment amies avec Eddie justement, j'avais l'impression qu'elles se servaient d'elle quand elles allaient mal (seule à seule) mais quand elles étaient les 4 en groupe elle la mettaient à l'écart ça me faisait de la peine.
Oui mais là on parle mdr de la saison 3 sinon c’est trop facile ! Quand elle a manipuler Mike en mentant sur son passé et qu’il était amnésique pour l’éloigner de Susan ? Suivez bien la série svp je l’ai regarder des centaines de milliers de fois donc je sais ce que je dis … copines elles faisaient du shopping ensemble et parlaient même de mecs dans la saison 3 avant qu’elle jette le grappin sur Carlos donc oui sa copine pas son amie mais copine c’est déjà grave ! Elle le méritait elle était un danger ambulant et ça beaucoup le savent même si on l’aime bien comme elle est arrêtez de banaliser le libertinage avec les mecs des copines vous romantisez même sa relation avec Carlos alors qu’elle a fait que le chanter mdrrr regardez bien la série après revenez svp
@@lulubs3716et à ce que je sache elle était conviée aux parties de poker et pas d’autres femmes du voisinage donc elle avait un lien avec elles entre autre tu fais une partie de poker à moi et demain tu sors avec mon ex ? Bizarre quand même votre vision des choses
Merci pour cette vidéo. J’aime ta douceur quand tu t’exprimes !
Edie Britt était le personnage le plus féminin de la série. Elle recherchait la liberté absolue … 😢
Merci beaucoup pour ton retour. ❤ La plus sexy je dirais
Oooor il me semble que de base Eddie fait chanter Bree parceque Bree" menaçait" le business de celle-ci (Eddie avait flirté avec le mari de Bree). On peut dire qu'elle cherchait à lui faire un retour de bâton : Bree pensait pouvoir l'affronter mais Eddie la force à la traiter comme une alliée.
Très bonne analyse vidéo au top continue 👌🏿
Merci beaucoup
Intéressantes tes analyses!
@@karineeclatdelune3363 merci 🙏
Je ne connaissais pas la série En 2019 je faisais du cheval avec ma copine a 50klm de los Angeles (( j'ai la chance d'avoir mon frère qui y vit )) et la j'ai entamé une conversation avec une blonde casquette lunettes la discussion Tournai autour des chevaux et de la France ma copine m'a rejoint et la elle c'est figé en hurlant Eddie ‼️‼️‼️ et c'est là que j'ai compris que je venais de tapé la discussion avec Eddie Brit voilà c'était ma petite anecdote
et bien tu as eu beaucoup de chance !
@emiliestorytelling oui elle était vraiment charmante....du coup j'ai regardé la série et étonnamment j'ai bien aimé c'est assez comique....et sont personnage sexy piquante et drôle a souhait sa contrastait avec la fois où je l'es rencontrer velle n'a rien a voir ( après elle faisait du cheval)du coup forcément c'était ma Desperate préféré ♥️ j'étais dégoûté d'apprendre qu'elle mourrait 😨... Sinon j'aime beaucoup le personnage de Lynette même si elle est castratrice elle est très drôle et Intense mais tout comme vous je déteste Susan mais Eddie c'est chargé de la tourmenté ce qu'il a rendu encore plus sympathique 🫣
J’adore ce que tu fais. L’analyse est très interessante, mais pourquoi au niveau de l’amitié ne pas avoir abordé Martha Huber? Il me semble que c’était sa meilleure amie.
Oui c'est vrai qu'elle s'entendait bien. Je pense que c'était parce que ce n'était pas une rivale, elle n'était pas une concurrente pour avoir l'attention masculine. Edie s'entendait bien avec madame Mcluskey aussi.
J'ai aimé Paige Matheson et j'ai aimé Eddy Britt. Nicolette Sheridan a su donner de l'épaisseur aux rôles de bimbo. C'est une vrai actrice et une femme sublime.
@@Apostat488 💯
Merci j'adore tes vidéos 😍
@@Kara7 ❤️❤️❤️
Alors je suis d'accord avec l'ensemble de ton analyse, néanmoins, il me semble qu'il manque qqch de crucial. Pour moi, c'est justement sa peur de mourir jeune qui permet de comprendre le caractère hédoniste de ce personnage. C'est parce qu'Eddy est persuadée qu'elle va mourir jeune qu'elle n'a pas de temps à perdre avec des principes moralisateurs ou les regards réprobateurs de ces voisins. Et il me semble que c'est aussi ça sa tragédie, car de facto, elle ne vit pas dans le même temps que ses congénères : elle ne peut avoir de projet d'avenir si elle ne peut concevoir sa vieillesse, elle n'a pas d'enjeux à sauvegarder sa réputation (comme les autres personnages), elle n'a pas le temps pour tout ça car elle sait au fond d'elle-même qu'elle va mourir. Carpe diem : Elle doit vivre au jour le jour et n'a pas de temps à perdre avec les conventions. I love Eddy
Oui c'est exactement ça !
J’avoue être un peu triste de ne pas avoir parler de son amitié avec Karen parce que même si on les voyait peu à l’écran on pouvait comprendre que Karen était la personne la plus appréciée par Eddie même si c’est un peu de l’amour vache. Mais elle avait une allié et on le ressent à sa mort Karen étant la plus attristée.
Surtout quand Karen est impliqué dans l’Histoire vis à vis de Dave pour « sauver » Eddie
Cetait mon personnage préféré. Tellement dégouté de sa mort. Renée la remplacera partiellement mais edie restera un personnage.emblematique de la.serie
@@tomytony5933 oui c’est vrai que Renée avait le rôle de remplaçante
@@emiliestorytelling Oui c' est un mélange de Renée et de gaby
Elle est la plus perspicace pourtant, elle découvre toujours la vérité et la met en avant sauf quand ça concerne sa vie amoureuse. Je l’aimais beaucoup
Elle est très aimée par le public j'ai l'impression
@ Oui c’est un peu la Samantha Jones de desperate housewife. Elle est indépendante, drôle, attachiante, piquante, forte et fragile à la fois et pas toujours politiquement correct. C’est dans un sens le personnage le plus authentique
@ yes 💯
Le personnage d'Eddie à été sacrifié spontanément. Suite à une plainte de l'actrice contre le producteur qui lui aurait fait subir du harcèlement. Et pour se vanger, il a tuer son personnage. Ce qui n'était pas prévu au début.
Je l'aimais beaucoup aussi, ne serait ce que par rapport à son enfance difficile qui la rend plus humaine et résiliante.
💯
si si fait une vidéo sur Susan 😍 tu racontes si bien.
Ce que j’aime chez Eddie c’est sa franchise surtout envers Susan et les 3 autres. C’est la seule qui est tellement sincère quand les autres sont hypocrite. De plus elle assume ses erreur et n’a pas honte de ses choix ( comme abandonner son fils ). J’aime bien son évolution à travers ses relations amoureuse ( Carlos , Mike et Dave ). Plusieurs oubli il me semble que son ex mari la battait. Je trouve que Eddie est la version de Gabi Célibataire.
La suite possible d'Eddie? Elizabeth Sparkle dans The Substance! 😅
Hey je n'ai pas vu le film, tu me donnes envie !
@@emiliestorytelling Il peut être perturbant si on déteste le gore ou tout ce qui altère le corps/ les yeux, mais très riche psychologiquement!
@@lapislazulis2378 maintenant j'ai peur
@@emiliestorytelling Je préfère avertir (on n'a pas tous la même sensibilité). Mais psychologiquement, sur l'âgisme Hollywoodien, c'est très pertinent!
Les autres personnages sont Bree, Gabrielle, Susan et Linette. Tu as mentionné Eddie à la place de Bree 😄
Je crois qu'ils ont essayé plusieurs fois de faire disparaitre Eddie de la série. Il y a d'abord eu la fausse vraie tentative de pendaison où elle a été sauvé par Carlos, puis la fin de la saison 4 où elle est excommuniée et déménage.
Bree ma préférée et Edie pas loin derrière. Je trouve que c’est les seul avec qui je pourrais être amie dans la vrai vie ❤❤❤
Susan a eu une dépression quand karl l' a quitté c' est pour ça que elle était incapable de s occuper julie
J'aimais beaucoup Eddie, elle apportait du fun et elle était franche et vraie.
Au debut susan voulait être amie avec eddie mais elle a vu que eddie se tapait des mecs mariés mais elle en avait rien à foutre et susan était marié à cette époque elle a eu peur
J'ai commencé des contes et des livres audio de textes spirituels (chrétiens/esotériques) sur UA-cam. Y-aurait-il d'autres plateformes que je pourrais utiliser ? Je ne veux pas montrer mon visage.
Regarde mon cours de podcast, j'explique tout
Merci
J’espère que tu vas décortiquer susan mayers car son personnage est difficile à cerner et est tellement détesté ❤
Moi le personnage de gabrieĺle et edie était mes préférés.
Coucou, pourquoi ne pas montrer ton visage ??
Tu es tellement JOLIE ! Mash'Allah !
Une très belle Sénégalaise !
@@matelsow6785 Merci 🙏 on voit mon visage dans toute la vidéo mais j’aime bien ajouter des vidéos du personnage que j’analyse
C' est la peste que on aime bien j' aimais bien sa rivalité amies ennemies avec susan je l' aime bien dans la serie mais pas dans la vraie vie😂😅
Bonjour, j'ai une question par rapport aux séries américaines, quelles que soient les courants de gauche et woke et je ne sais pas quel autre détermination: pourquoi y a aucun épisode, aucune solution, aucun questionnement qui ne soit 'tiens, et si on-je avortais"? L'avortement n'est JAMAIS un questionnement. C'est l'abandon, l'adoption, ou je sais pas quoi, mais tout sauf l'avortement, au-delà des séries, au-delà des décennies et des courants politiques américains...pourquoi?
Déso pour toute ma grammaire et mon orth qui sont risibles, mais le fond reste.
Il y a eu un avortement dans la série crazy ex girlfriend. La meilleure amie de Rebecca est tombée enceinte au pire moment de son projet professionnel et a décidé d'avorter. Ce fut un avortement médicamenteux sans complications.
Ce n'est pas la seule série où il y en a eu, j'avoue qu'il est rare de voir ce genre de chose dans les séries américaines.
Dans Desperate Housewives, c'est parce que Marc Cherry le créateur est républicain et sans doute anti-avortement. Et puis une grande partie de l'Amerique est puritaine donc hostile aux messages sur l'avortement. Dans Desperate Housewives, les personnages font comme si cela n'existaient pas
@@emiliestorytellingexactement
@@FlashetLuigi je suis entièrement d’accord avec toi, c’est vraiment du délire que l’avortement soit aussi peu abordé dans les séries/films américains. Peut-être parce que c’est vraiment plus tabou là-bas ?
La seule série où j’en ai vu un c’était dans 13 reasons why, et c’est un moment horrible. La fille le fait sous anesthésie locale 😳 et tout est fait pour la faire culpabiliser.