Le monde arabe et la Seconde Guerre mondiale
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- Опубліковано 10 лют 2025
- Le point de vue des populations d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient sur la Seconde Guerre mondiale est rarement abordé par l’historiographie, et leurs enjeux mémoriels demeurent mal connus, même s’ils sont régulièrement invoqués.
Cette conférence propose de revisiter les événements-monde qui ont affecté les territoires coloniaux ou placés sous mandat de la SDN, de 1939 à 1945, et de retourner sur les traces liées à leur mémoire, afin d'interroger la manière dont la guerre a été vécue et perçue par les populations, dans les villes et les campagnes, dans les unités combattantes, dans les familles, les entreprises ou les communautés.
Par Alya Aglan et Pierre Vermeren, professeurs des universités en histoire contemporaine à Panthéon Sorbonne, Université Paris 1, et co-auteurs de Le Monde arabe et la Seconde Guerre mondiale (coédition Hémisphères Maisonneuve & Larose, 2022)
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Le Mufti n’était pas un collaborateur, il a choisi l’Allemagne contre son colonisateur.C’est une très grande différence, je doute vraiment de vos compétences d’historiens.Par contre la France a collaboré, elle était libre , elle a choisi la collaboration.Votre histoire est très orienté.
C'est une manière pour les sionistes de culpabiliser les arabes comme ils l'ont fait pour les occidentaux, et plus tard le monde et bien plus tard les humains dans leur histoire.
Quelle indécence,après le colonialisme, les attaques sur les pays émergeant qui ne sont pas des démocraties a vos yeux, aujourd’hui ces populations colonisées devraient porter le poids de vos guerres de colonisateurs .C’est votre guerre, ces populations colonisées ont fait leurs choix , ils ne vous doivent rien et encore moins votre histoire.On voit surtout que vous êtes content de trouver des cimetières de militaires français et américains.
Ma grand mère n’a pas été ébloui par les américains, elle a déteste les fèves en boîte.Elle préfère les fruits et légumes de son jardin.
Il n’y avait aucune loyauté, ils étaient obligés ,ils n’avaient pas le choix.
Aucun colonisé n’est traite, ils ont le droit de choisir l’Allemagne ou l’Angleterre.La traîtrise est en France.C’est vous qui essayez de les dominer encore avec vos histoires de bon camp.La réalité c’est qu’il n’y a aucun bon camp , la preuve c’est les massacres de 45 à Kherrsta Guelma .Cette dame a des propos plus cohérents.
C’était la misère aussi, les gens faisaient comme ils pouvaient.
20 minutes et rien sur le role des indigenes
Parlez pas de Dieu , vous racontez n’importe.