OLIGUI-CTRI-PDG : UNE GOUVERNANCE MOLLE, ATONE ET INDECISE. Le scandale de la Cnamgs donne l'occasion aux derniers laudateurs inconditionnels de M. Oligui, de mettre en accusation soi-disant sa communication, laquelle n'expliquerait pas aux Gabonais les origines des difficultés de l'organisme de prévoyance sociale. En réalité, il ne s'agit ni plus ni moins qu'une vaine tentative de masquer le manque de courage de M. Oligui, et partant des militaires qui se trouvent à ses côtés. Dans son discours et dans ses actes, on se rend compte chaque jour, que M. Oligui manque cruellement de poigne, de courage, un désastre pour un si brillant Officier Général (LOL). Monsieur Oligui donne l'impression d'être redevable à la terre entière. Il ne veut fâcher personne. Il est très indécis dans la prise de décision courageuse. Il a toujours la main tremblante. Monsieur Oligui est en responsabilité depuis bientôt deux ans. Or, même pour faire ce qu'on a autrefois appelé et salué "Le TsunAli", il ne s'y est jamais essayé. Aujourd'hui, les mêmes personnes nommées par Ali Bongo demeurent à leurs postes à 75% (ambassades, haute administration, gouvernorat...). Qu'est-ce que Monsieur Oligui attend depuis bientôt deux ans pour libéraliser l'économie, dans le but ultime d’améliorer les conditions de vie des gabonais, en cassant tous les lobbies, en mettant un coup de pied dans cette fourmilière. Monsieur Oligui se contente de danser, d'organiser des concerts, de se mettre en scène, de saturer inutilement l'espace médiatique et public par une communication outrancière. Au Gabon, plus personne ne le sent capable d'agir avec fermeté. Et c'est un drame. Il est fébrile et manque cruellement de poigne. Il impose un style gouvernance mou ou atone. Le symbole de l’impuissance. Paradoxalement, les gabonais en viennent à penser que si M. Ondo Ossa et son discours viril et radical, avait pris le pouvoir, il aurait commencé par dire aux gabonais, toute la vérité sur l'état réel des finances publiques de notre pays, ce qui n’a jamais été fait, pour justifier et légitimer la prise de décisions courageuses et décisives, notamment : - Réduction drastique du train de vie de l'Etat, - Réduction de la voilure de l'Etat, - Libéralisation de l’économie, fin des monopoles, - Fin des lobbies, - Réduction des indemnités de nominations en conseil des ministres pour mettre un terme à la spéculation et à la course aux nominations ; - Réduction du traitement des hauts fonctionnaires, responsables administratifs et d’entreprise publiques ; - Sélection plus rigoureuse des responsables publics, etc etc. Monsieur Ondo Ossa l'aurait d'autant plus réalisé que comme il aime à le dire lui-même, c'est un homme libre. Il n'est d'esclave de personne, dans le sens où il ne doit rien à qui que ce soit. Personne ne le tient. On ne perçoit pas un tel courage chez les militaires.
Mr Okoumba sans vouloir défendre cette ancienne directrice générale de la CNAMGS. Sauf tout le respect que je vous dois, la débâcle de la CNAMGS commence avec les premiers directeurs de cette structure. Ils devraient tous passer devant la justice. En outre, cette dame n'a pas tenu compte de la réalité de cette structure qui est en souffrance depuis des décennies. Elle n'a pas fait preuve de sobriété, de rigueur, elle s'est laissée emporter par la luxure. N'est ce pas là aussi un trait de caractère des gabonais??????Le problème fondamental est l'absence d'amour et de patriotisme de ceux qui dirigent nos institutions à l'égard de la nation. Les préjudices engendrés sont incommensurables...C'est d'une tristesse!
Ces fraimen n'importe et quoi ce pays,ce qui ont des grands nom dilapidé l'argent du gabon au détriment des pauvres merci gran frère pour tes interventions
OLIGUI-CTRI-PDG : UNE GOUVERNANCE MOLLE, ATONE ET INDECISE.
Le scandale de la Cnamgs donne l'occasion aux derniers laudateurs inconditionnels de M. Oligui, de mettre en accusation soi-disant sa communication, laquelle n'expliquerait pas aux Gabonais les origines des difficultés de l'organisme de prévoyance sociale.
En réalité, il ne s'agit ni plus ni moins qu'une vaine tentative de masquer le manque de courage de M. Oligui, et partant des militaires qui se trouvent à ses côtés.
Dans son discours et dans ses actes, on se rend compte chaque jour, que M. Oligui manque cruellement de poigne, de courage, un désastre pour un si brillant Officier Général (LOL).
Monsieur Oligui donne l'impression d'être redevable à la terre entière. Il ne veut fâcher personne.
Il est très indécis dans la prise de décision courageuse. Il a toujours la main tremblante.
Monsieur Oligui est en responsabilité depuis bientôt deux ans. Or, même pour faire ce qu'on a autrefois appelé et salué "Le TsunAli", il ne s'y est jamais essayé.
Aujourd'hui, les mêmes personnes nommées par Ali Bongo demeurent à leurs postes à 75% (ambassades, haute administration, gouvernorat...).
Qu'est-ce que Monsieur Oligui attend depuis bientôt deux ans pour libéraliser l'économie, dans le but ultime d’améliorer les conditions de vie des gabonais, en cassant tous les lobbies, en mettant un coup de pied dans cette fourmilière.
Monsieur Oligui se contente de danser, d'organiser des concerts, de se mettre en scène, de saturer inutilement l'espace médiatique et public par une communication outrancière.
Au Gabon, plus personne ne le sent capable d'agir avec fermeté. Et c'est un drame. Il est fébrile et manque cruellement de poigne.
Il impose un style gouvernance mou ou atone. Le symbole de l’impuissance.
Paradoxalement, les gabonais en viennent à penser que si M. Ondo Ossa et son discours viril et radical, avait pris le pouvoir, il aurait commencé par dire aux gabonais, toute la vérité sur l'état réel des finances publiques de notre pays, ce qui n’a jamais été fait, pour justifier et légitimer la prise de décisions courageuses et décisives, notamment :
- Réduction drastique du train de vie de l'Etat,
- Réduction de la voilure de l'Etat,
- Libéralisation de l’économie, fin des monopoles,
- Fin des lobbies,
- Réduction des indemnités de nominations en conseil des ministres pour mettre un terme à la spéculation et à la course aux nominations ;
- Réduction du traitement des hauts fonctionnaires, responsables administratifs et d’entreprise publiques ;
- Sélection plus rigoureuse des responsables publics, etc etc.
Monsieur Ondo Ossa l'aurait d'autant plus réalisé que comme il aime à le dire lui-même, c'est un homme libre. Il n'est d'esclave de personne, dans le sens où il ne doit rien à qui que ce soit.
Personne ne le tient. On ne perçoit pas un tel courage chez les militaires.
Mr Okoumba sans vouloir défendre cette ancienne directrice générale de la CNAMGS. Sauf tout le respect que je vous dois, la débâcle de la CNAMGS commence avec les premiers directeurs de cette structure. Ils devraient tous passer devant la justice. En outre, cette dame n'a pas tenu compte de la réalité de cette structure qui est en souffrance depuis des décennies. Elle n'a pas fait preuve de sobriété, de rigueur, elle s'est laissée emporter par la luxure. N'est ce pas là aussi un trait de caractère des gabonais??????Le problème fondamental est l'absence d'amour et de patriotisme de ceux qui dirigent nos institutions à l'égard de la nation. Les préjudices engendrés sont incommensurables...C'est d'une tristesse!
Ces fraimen n'importe et quoi ce pays,ce qui ont des grands nom dilapidé l'argent du gabon au détriment des pauvres merci gran frère pour tes interventions
Je n'ai jamais eu confiance à ce Président de la transition et à son fan club "les oliguistes".
Dommage hein 🥺🤦🏾♂️
Vraiment!
Mr Okoumba ce n est pas mme chambrier qui a fait les impayés des pharmacies. Ça devient personnel. Tu n est pas crédible
Tu es jaloux ça devient personnel. Envoi les preuves
Arretons un peu de voir la vérité en mal,de grâce 🙏 laissons affaire de jalousie et essayons de changer
La vérité saute aux yeux et vous parlez de jalousie ?
Quel raccourci !