Quelle souffrance cet homme a enduré , la cruauté n’avait pas de bornes. Ce témoignage m’a profondément touché. Merci et je vous ai un grand respect ✊ . De Daniel Québec Canada 🇨🇦
Chaque témoignage est unique, quelle émotion cet homme courageux nous fait partager; plusieurs fois j'en ai eu les larmes aux yeux. Ces témoignages ne doivent jamais être oubliés et c'est le devoir des professeurs et des parents que de faire entendre cela à leurs enfants, c'est trop important afin que cela ne se reproduise jamais.
Un des témoignages qui m a le plus touché ! Quellle emotion apres toutes ces annees...un homme merveilleux....de la resisance au camp...je n ai pas de mots...j essaierais de faire écouter ce témoignage à mon fils de 20 ans...
Cela fait vraiment plaisir d'entendre un honnête homme parler de ses tribulations pendant la guerre.Un témoignage de valeur montrant hélas le comportement indigne des Allemands.Lesquels, bien sûr, prétendent n'avoir rien su des camps d'extermination.De fait, ils ont mauvaise conscience. Beaucoup de ces nazis se sont fort bien reconvertis après la guerre et ne veulent rien entendre de leur passé.C'est pourquoi le témoignage entre autres de M. Maurice Berdal est important.On le remercie vivement !
Quel émouvant temoignage ! Que homme doux, authentique et attachant ! On aurait envie de le prendre dans nos bras pour lui montrer tt notre respect et notre affection ! Un très grand Monsieur Une très belle âme !
Je le connais depuis des années grâce à mes grands parents et aussi loin que je m'en souvienne c'est un grand homme. C'est un honneur de l'avoir rencontrer et connu.
Un homme digne qui en parlait avec beaucoup de sérieux et qui aimais en parler pour sûrement ce soulager et perpétuer l'histoire j ai était contente de m'occuper de lui en tant qu aide soignante il nous a malheureusement quitter l annee passer
Bonjour, j'ai eu le plaisir de réaliser la longue interview de Maurice. Désolé d'apprendre sa disparition. Je vais prévenir mon employeur, le War Heritage Institute. Merci pour votre commentaire.
L'uomo, la bestia piu' bestia di tutte.... hanno piu' anima gli animali che l'uomo... rispetto a tutti i sopravissuti. Un abbraccio dalla Svizzera a voi che leggerete.
Entre les conditions infernales de détention et de travail, donc pas d'hygiène, un grabat pour lit, les coups, le stress, la peur, le manque de nourriture et de soins, ... voire de savoir que ses proches ont déjà été massacrés dans une machination effroyable impliquant des fausses douches, où pour leurrer au mieux les victimes on leur disait de bien se souvenir du numéro du crochet où leurs vêtements étaient laissés, voire d'être sélectioné par l'un des ex-docteurs, d'ailleurs pas qu'ex docteur, aussi ex-humains vu leurs crimes, qui pratiquaient des abominations. Et tu le sais, les nazis ont fait des lois... une truite et un escargot avaient des droits en tant qu'être vivants, mais toi tu n'es même plus considéré comme étant humain, et cela par des monstres absolus (de par ce fait, devenir des monstres envers des innocents, eux sont ex-humains) qui ont tout pouvoir sur toi... hé bien moi j'y serais mort ou devenu fou (et donc mort peu après avoir perdu la raison). La clique nazie, la clique Daesh, ... ces genres de cliques, il faut les éradiquer dès que repérées.
Quel courage remarquable, et quelle protection du Ciel aussi (!), cet homme a eus ! Je lui souhaite de tout cœur de trouver, à travers ses larmes, autant de courage pour montrer une immense gratitude d’en être sorti qu’il en a eu de résister et de survivre même dans les tentations de suicide. Il ne doit pas qu’à lui seul d’être vivant. Quant aux ignobles individus qui l’ont calomnié, insulté lors de son retour en Belgique et plus tard après la guerre, je reconnais parfaitement là le début du pourrissement de la société belge qui est maintenant généralisé : les Belges, Flamands ou Wallons, n’ont aujourd’hui que deux sports, deux activités intellectuelles, la calomnie et la médisance. Ils sont incapables d’autre chose, sinon, oui, il est vrai, quand ils sont au restaurant avec des étrangers, de parler de leur dernière « bouffe » et de leur prochaine « bouffe » en se remplissant la panse jusqu’à en dégueuler. Mais ce pauvre monsieur, prisonnier politique, n’a été qu’une des premières victimes de la déchéance d’abord lente jusque vers 1970, puis très accélérée à partir d’environ 1970, de la moralité publique belge qui ne vit plus que de médisance, de calomnie, de méchanceté et du plaisir intense de détruire autrui moralement, par tous les moyens et jusqu’au bout. Puissiez-vous garder courage, honneur et dignité jusqu’au bout, jusqu’à votre dernier souffle, Monsieur, qui méritez tant de respect ! Vous resterez une dernière étoile sur un immense tas de boue, un témoignage qu’il y eut quand même un beau et bon passé avant 1940, ou peut-être avant 1914...
Il aurait fallu précisément titrer : Maurice Berdal - Témoignage intégral de sa déportation au terrible camp de concentration de Mauthausen en Autriche, jusqu'à la libération du camp par les armées américaine et soviétique en janvier 1945
connaître l'heure de sa mort comme ça,surtout quand on est un "gosse" car malgrès tout le courage parfois plus grand que certains adultes ,entre 15 et 20 ans on est un gosse,même si les circonstances et la période était spéciale,même si en rejoignant la résistance on devait savoir le risque en cas d'arrestation,ça doit être un véritable enfer,une torture,même si moi perso je préférai savoir en connaissant les conséquences morales...
Quelle souffrance cet homme a enduré , la cruauté n’avait pas de bornes. Ce témoignage m’a profondément touché. Merci et je vous ai un grand respect ✊ . De Daniel Québec Canada 🇨🇦
Chaque témoignage est unique, quelle émotion cet homme courageux nous fait partager; plusieurs fois j'en ai eu les larmes aux yeux. Ces témoignages ne doivent jamais être oubliés et c'est le devoir des professeurs et des parents que de faire entendre cela à leurs enfants, c'est trop important afin que cela ne se reproduise jamais.
Un des témoignages qui m a le plus touché ! Quellle emotion apres toutes ces annees...un homme merveilleux....de la resisance au camp...je n ai pas de mots...j essaierais de faire écouter ce témoignage à mon fils de 20 ans...
Cela fait vraiment plaisir d'entendre un honnête homme parler de ses tribulations pendant la guerre.Un témoignage de valeur montrant hélas le comportement indigne des Allemands.Lesquels, bien sûr, prétendent n'avoir rien su des camps d'extermination.De fait, ils ont mauvaise conscience. Beaucoup de ces nazis se sont fort bien reconvertis après la guerre et ne veulent rien entendre de leur passé.C'est pourquoi le témoignage entre autres de M. Maurice Berdal est important.On le remercie vivement !
Quel émouvant temoignage ! Que homme doux, authentique et attachant ! On aurait envie de le prendre dans nos bras pour lui montrer tt notre respect et notre affection ! Un très grand Monsieur
Une très belle âme !
bravo Monsieur et merci de témoigner , c'est tellement nécessaire face aux abrutis négationistes !
Respect pour cet homme
Je le connais depuis des années grâce à mes grands parents et aussi loin que je m'en souvienne c'est un grand homme. C'est un honneur de l'avoir rencontrer et connu.
Un homme digne qui en parlait avec beaucoup de sérieux et qui aimais en parler pour sûrement ce soulager et perpétuer l'histoire j ai était contente de m'occuper de lui en tant qu aide soignante il nous a malheureusement quitter l annee passer
Bonjour, j'ai eu le plaisir de réaliser la longue interview de Maurice. Désolé d'apprendre sa disparition. Je vais prévenir mon employeur, le War Heritage Institute. Merci pour votre commentaire.
@@MrBonnavia oui il nous a quitter dans la petite ville de Soignies
Uniquement unique
Quel homme...
Merci pour le courage d'avoir témoigné. L'horreur est perceptible par ce récit. J'espère que vous allez bien.
L'uomo, la bestia piu' bestia di tutte.... hanno piu' anima gli animali che l'uomo... rispetto a tutti i sopravissuti. Un abbraccio dalla Svizzera a voi che leggerete.
Entre les conditions infernales de détention et de travail, donc pas d'hygiène, un grabat pour lit, les coups, le stress, la peur, le manque de nourriture et de soins, ... voire de savoir que ses proches ont déjà été massacrés dans une machination effroyable impliquant des fausses douches, où pour leurrer au mieux les victimes on leur disait de bien se souvenir du numéro du crochet où leurs vêtements étaient laissés, voire d'être sélectioné par l'un des ex-docteurs, d'ailleurs pas qu'ex docteur, aussi ex-humains vu leurs crimes, qui pratiquaient des abominations. Et tu le sais, les nazis ont fait des lois... une truite et un escargot avaient des droits en tant qu'être vivants, mais toi tu n'es même plus considéré comme étant humain, et cela par des monstres absolus (de par ce fait, devenir des monstres envers des innocents, eux sont ex-humains) qui ont tout pouvoir sur toi... hé bien moi j'y serais mort ou devenu fou (et donc mort peu après avoir perdu la raison).
La clique nazie, la clique Daesh, ... ces genres de cliques, il faut les éradiquer dès que repérées.
Respect, Compassion et Augmentez le son ;)
Quel courage remarquable, et quelle protection du Ciel aussi (!), cet homme a eus ! Je lui souhaite de tout cœur de trouver, à travers ses larmes, autant de courage pour montrer une immense gratitude d’en être sorti qu’il en a eu de résister et de survivre même dans les tentations de suicide. Il ne doit pas qu’à lui seul d’être vivant.
Quant aux ignobles individus qui l’ont calomnié, insulté lors de son retour en Belgique et plus tard après la guerre, je reconnais parfaitement là le début du pourrissement de la société belge qui est maintenant généralisé : les Belges, Flamands ou Wallons, n’ont aujourd’hui que deux sports, deux activités intellectuelles, la calomnie et la médisance. Ils sont incapables d’autre chose, sinon, oui, il est vrai, quand ils sont au restaurant avec des étrangers, de parler de leur dernière « bouffe » et de leur prochaine « bouffe » en se remplissant la panse jusqu’à en dégueuler. Mais ce pauvre monsieur, prisonnier politique, n’a été qu’une des premières victimes de la déchéance d’abord lente jusque vers 1970, puis très accélérée à partir d’environ 1970, de la moralité publique belge qui ne vit plus que de médisance, de calomnie, de méchanceté et du plaisir intense de détruire autrui moralement, par tous les moyens et jusqu’au bout.
Puissiez-vous garder courage, honneur et dignité jusqu’au bout, jusqu’à votre dernier souffle, Monsieur, qui méritez tant de respect ! Vous resterez une dernière étoile sur un immense tas de boue, un témoignage qu’il y eut quand même un beau et bon passé avant 1940, ou peut-être avant 1914...
Un récit très troublant et sensible connaître l enfer iii faut pas se produit jjamais
Ça glace le sang
Très intéressant! Merci
Merci monsieur.
Il aurait fallu précisément titrer :
Maurice Berdal - Témoignage intégral de sa déportation au terrible camp de concentration de Mauthausen en Autriche, jusqu'à la libération du camp par les armées américaine et soviétique en janvier 1945
😢❤❤🙏
😢❤️❤️❤️
merci monsieur
connaître l'heure de sa mort comme ça,surtout quand on est un "gosse" car malgrès tout le courage parfois plus grand que certains adultes ,entre 15 et 20 ans on est un gosse,même si les circonstances et la période était spéciale,même si en rejoignant la résistance on devait savoir le risque en cas d'arrestation,ça doit être un véritable enfer,une torture,même si moi perso je préférai savoir en connaissant les conséquences morales...
Et les Montois, et les montois, et les montois ne périront pas !
Simplicité et sensibilité