Très bonne représentation! Le jeu au début est très intéressant. L'élève a un côté espiègle et le professeur est dans la retenue de ses pulsions. La gestuelle le montre très bien. La gradation et le basculement du professeur est bien faite, lente, sans rupture. La scène ou le professeur plaque l'élève sur le bureau est surprenante et forte, c'est une évocation d'un viol, reprise par le changement de voix de l'élève lors du "mes seins, mes cuisses". La violence est là, mais elle est subtile à la fin. C'est bien mis en scène je trouve. Sympa d'avoir garder le brassard et d'avoir remplacé la présence de la svastika par un salut nazi. Ca fonctionne bien. C'est a la fois très fidèle et adapter pour la fluidité de la mise en scène. C'est bien. Le décors mis en place par Ionesco est totalement absent, mais les ajustements (texte et surtout gestuelles!!!) rendent très bien. Merci beaucoup, j'aurai eu plaisir à la voie en live! :)
La bonne transgenre il fallait oser! Sauf que l'on croirait assister à un spectacle d'un cabaret transformiste de la rue des Martyrs (chez Michou, Me Arthur) à moins qu'il ne s'agisse d'un couple gay du type cage aux folles entre le prof et son compagnon qui fait la bonne. Pas très crédible!
@@jaunetchristophe4603 Dans la première représentation de la pièce, en 1951, la bonne était jouée par Claude Mansard....un homme! Je ne crois pas que le casting de cette mise en scène ne soit si loin de l'idée de l'original...
@@jaunetchristophe4603 pfff rien à voir avec le transgenre… s’ils ont pris un homme et qu’ils l’ont travesti (ce qui se faisait déjà dans la Grèce antique, les hommes qui jouaient des femmes) c’est pour lui donner un côté mégère, vieille fille.
Selon moi l’élève ne correspond pas du tout au caractère que ionesco à voulu donner , ici l’élève , je trouve " se la joue un peu " alors quel devrait être timide est réserver , en tout cas c'est ce que j'ai ressenti quand j'ai lu la pièce ..
Le rôle de l'élève est pas mal je trouve. On retrouve crescendo chez le professeur (voix, langage, gestuelle, désir qui devient de plus en plus explicite etc...) et le decrescendo chez l'élève (innocence, envie d'apprendre, voix forte et bonne humeur qui se changent en souffrance, voix étouffée, corps tassé...) A aucun dans la pièce je n'ai eu le sentiment d'une élève timide ou réservée. Plutôt une certaine espièglerie. Mais c'est question d'appréciation je pense :)
Et une représentation peut se permettre de changer certains caractères des personnages. L’intonation et la manière de jouer sont laissées à interprétation
Très bonne représentation! Le jeu au début est très intéressant. L'élève a un côté espiègle et le professeur est dans la retenue de ses pulsions. La gestuelle le montre très bien. La gradation et le basculement du professeur est bien faite, lente, sans rupture. La scène ou le professeur plaque l'élève sur le bureau est surprenante et forte, c'est une évocation d'un viol, reprise par le changement de voix de l'élève lors du "mes seins, mes cuisses". La violence est là, mais elle est subtile à la fin. C'est bien mis en scène je trouve.
Sympa d'avoir garder le brassard et d'avoir remplacé la présence de la svastika par un salut nazi. Ca fonctionne bien. C'est a la fois très fidèle et adapter pour la fluidité de la mise en scène. C'est bien. Le décors mis en place par Ionesco est totalement absent, mais les ajustements (texte et surtout gestuelles!!!) rendent très bien.
Merci beaucoup, j'aurai eu plaisir à la voie en live! :)
merci pour les cours
Excellente représentation! N'écoutez pas les pisse-froid qui ne savent que compter les mots... La bonne est parfaite ainsi.
La bonne transgenre il fallait oser! Sauf que l'on croirait assister à un spectacle d'un cabaret transformiste de la rue des Martyrs (chez Michou, Me Arthur) à moins qu'il ne s'agisse d'un couple gay du type cage aux folles entre le prof et son compagnon qui fait la bonne. Pas très crédible!
@@jaunetchristophe4603 Dans la première représentation de la pièce, en 1951, la bonne était jouée par Claude Mansard....un homme! Je ne crois pas que le casting de cette mise en scène ne soit si loin de l'idée de l'original...
@@jaunetchristophe4603 pfff rien à voir avec le transgenre… s’ils ont pris un homme et qu’ils l’ont travesti (ce qui se faisait déjà dans la Grèce antique, les hommes qui jouaient des femmes) c’est pour lui donner un côté mégère, vieille fille.
pas d'accord...j ai vu plusieurs versions... celle-ci
est ma préférée.L'acteur est épatant !😊😊😊
Dommage que ce soit aussi mal filmé ! Représentation très plaisante malgré tout, merci pour le partage.
"L'arithmétique mène à la philologie, la philologie mène au crime" Drôle de maxime.
j'ai franchement aimé
Excelente!!
6:45
Ionesco serait satisfait.
14:23
Selon moi l’élève ne correspond pas du tout au caractère que ionesco à voulu donner , ici l’élève , je trouve " se la joue un peu " alors quel devrait être timide est réserver , en tout cas c'est ce que j'ai ressenti quand j'ai lu la pièce ..
Le rôle de l'élève est pas mal je trouve. On retrouve crescendo chez le professeur (voix, langage, gestuelle, désir qui devient de plus en plus explicite etc...) et le decrescendo chez l'élève (innocence, envie d'apprendre, voix forte et bonne humeur qui se changent en souffrance, voix étouffée, corps tassé...) A aucun dans la pièce je n'ai eu le sentiment d'une élève timide ou réservée. Plutôt une certaine espièglerie. Mais c'est question d'appréciation je pense :)
Et une représentation peut se permettre de changer certains caractères des personnages. L’intonation et la manière de jouer sont laissées à interprétation
Pourquoi joue-t-on les pièces absurde de Ionesco
Est pourquoi pas ? Devrais t'on tout censuré ?
Parce-qu'elles comportent des messages !
Parce que le monde dans lequel on vit actuellement est encore plus absurde que du temps de Ionesco pardi !