merci pour ce super message j'aime beaucoup ce concept de let's talk ! je ne vais plu a l’église depuis quelques années et je n'ai jamais progressé autant dans ma vie spirituel que depuis que je ne vais plu a l’église .... vous êtes une source d'inspiration pour moi ! je veux servir Dieu , mais j'ai un dégout pour la religion !
Bonjour, euh...."La joie ne dépend pas de ce que je vis", c'est très théorique en effet et même très éthéré, si je peux me permettre. Non, on est des humains et en tant qu'humains, la science a démontré que la souffrance, un traumatisme ben wè, ça crée une véritable trace physique (des stigmates oui oui) dans notre cerveau et notre psyché. C'est pas rien non plus. Beaucoup d'études ont été publiées et les foultitudes de traitements ont été développés sur le stress post-traumatique. C'est pas qu'une vue de l'esprit, loin de là. Quand on est survivant de guerres (y compris les militaires), rescapés du terrorisme ou d'autres tragédies, ou qu'on a vécu de la maltraitance et/ou des abus physiques, émotionnels voire sexuels dans son enfance ou au travail, et j'en passe, entendre nous dire que "bah...il faut être dans le contentement !", c'est un peu ..."abusé" quand même, comme disent les djeuns. S'appuyer sur Dieu oui et en même temps, nier les réalités de notre condition humaine notamment en ce qui concerne les conséquences biologiques des situations traumatisantes, ce déni est à la fois simpliste, culpabilisant et assez écrasant pour ceux qui sont passés (voire qui passent en ce moment-même) par là. On peut ressentir du contentement dans certains domaines et se sentir en même temps frustré sur d'autres où, effectivement, on a aussi besoin d'aspirer à autre chose et/ou d'aller plus loin sinon à quoi bon prier pour se sortir d'un "défi", à quoi bon les progrès de la science que ce soit pour les IPhone, la PMA pour aider les couples infertiles, et tout le reste ? Il n'y aurait, à ce moment-là, qu'à se dire Mektoub et basta. La gratitude n'est pas le contentement. Et l'insatisfaction n'est pas forcément synonyme d'absence de contentement dans l'esprit de la personne concernée. Personne ne peut se mettre dans les souliers d'un autre et n'a à le faire. On peut avoir des ambitions et des réussites très élevées tout en trouvant son contentement dans d'autres choses finalement très "insignifiantes" à mille lieux des paillettes. D'ailleurs, la Bible nous dit que nous avons été créés à l'image de Dieu. Or que nous montre la création à travers les milliards d'étoiles, d'espèces en tous genres qui existent si ce n'est que Dieu lui-même en veut toujours plus ? Donc, quelque part, c'est dans notre ADN. Qu'est-ce qui est le mieux : être à la place de Warren Buffet et pouvoir s'offrir le luxe de contribuer à l'infini dans des œuvres humanitaires, caritatives ou spirituelles ou croquer des cailloux du 1er à la fin du mois comme un rat d'église ? Les églises justement se glorifient de vivre de dons (ou de la dîme) en jetant souvent la pierre sur les riches. Or d'où viendraient ces dons (et toutes ces belles bâtisses sans parler des œuvres qui vont avec) sans ceux qui jouissent d'une aisance et même une prospérité financière ? C'est un peu une injonction contradictoire. Et les injonctions contradictoires, ça sème la confusion dans les esprits, toujours d'après les études scientifiques. Le souci c'est que la confusion, ça empêche d'y voir clair pour affiner son discernement sur quoi faire, comment, pourquoi et dans quelle direction. Et il y a pas mal d'injonctions contradictoires, au final, dans des enseignements qui se veulent spirituels y compris chrétiens. C'est la Bible qui nous dit aussi que le Roi Salomon était l'homme le plus riche de son temps et à tous les égards, tout en étant l'un des chouchous de Dieu. De ce point vue, on voit que le contentement n'empêche pas d'aspirer à plus. Les 2 ne sont pas antinomiques, bien au contraire et c'est précisément la Bible qui nous le dit clairement aussi au travers de cet exemple. On a tous des parcours de vie différents, des histoires de vie différentes et je pense que le contentement, ça ne se décrète pas en mode Yakafokon. Tout çà pour dire que le contentement dans l'absolu comme état d'être, ce n'est pas un but en soi. C'est un résultat. Et, à côté de ça, nul ne peut se sentir pleinement satisfait ex nihilo, ça n'existe pas. Comme dit la chanson : "it's just illusion". Et si la seule chose, c'était une question de ce que l'on en fait - in fine - de sa vie et de savoir trouver le bon dosage (équilibre) entre qui on est, ce qui nous motive (l'appât du gain bestial ...ou pas forcément) et où va notre vie au juste ? Ce n'est que mon point de vue, sans prétention.
merci pour ce super message j'aime beaucoup ce concept de let's talk ! je ne vais plu a l’église depuis quelques années et je n'ai jamais progressé autant dans ma vie spirituel que depuis que je ne vais plu a l’église .... vous êtes une source d'inspiration pour moi ! je veux servir Dieu , mais j'ai un dégout pour la religion !
Bonjour à tous
Bonjour, euh...."La joie ne dépend pas de ce que je vis", c'est très théorique en effet et même très éthéré, si je peux me permettre.
Non, on est des humains et en tant qu'humains, la science a démontré que la souffrance, un traumatisme ben wè, ça crée une véritable trace physique (des stigmates oui oui) dans notre cerveau et notre psyché.
C'est pas rien non plus.
Beaucoup d'études ont été publiées et les foultitudes de traitements ont été développés sur le stress post-traumatique. C'est pas qu'une vue de l'esprit, loin de là.
Quand on est survivant de guerres (y compris les militaires), rescapés du terrorisme ou d'autres tragédies, ou qu'on a vécu de la maltraitance et/ou des abus physiques, émotionnels voire sexuels dans son enfance ou au travail, et j'en passe, entendre nous dire que "bah...il faut être dans le contentement !", c'est un peu ..."abusé" quand même, comme disent les djeuns.
S'appuyer sur Dieu oui et en même temps, nier les réalités de notre condition humaine notamment en ce qui concerne les conséquences biologiques des situations traumatisantes, ce déni est à la fois simpliste, culpabilisant et assez écrasant pour ceux qui sont passés (voire qui passent en ce moment-même) par là.
On peut ressentir du contentement dans certains domaines et se sentir en même temps frustré sur d'autres où, effectivement, on a aussi besoin d'aspirer à autre chose et/ou d'aller plus loin sinon à quoi bon prier pour se sortir d'un "défi", à quoi bon les progrès de la science que ce soit pour les IPhone, la PMA pour aider les couples infertiles, et tout le reste ? Il n'y aurait, à ce moment-là, qu'à se dire Mektoub et basta.
La gratitude n'est pas le contentement. Et l'insatisfaction n'est pas forcément synonyme d'absence de contentement dans l'esprit de la personne concernée.
Personne ne peut se mettre dans les souliers d'un autre et n'a à le faire.
On peut avoir des ambitions et des réussites très élevées tout en trouvant son contentement dans d'autres choses finalement très "insignifiantes" à mille lieux des paillettes.
D'ailleurs, la Bible nous dit que nous avons été créés à l'image de Dieu. Or que nous montre la création à travers les milliards d'étoiles, d'espèces en tous genres qui existent si ce n'est que Dieu lui-même en veut toujours plus ?
Donc, quelque part, c'est dans notre ADN.
Qu'est-ce qui est le mieux : être à la place de Warren Buffet et pouvoir s'offrir le luxe de contribuer à l'infini dans des œuvres humanitaires, caritatives ou spirituelles ou croquer des cailloux du 1er à la fin du mois comme un rat d'église ?
Les églises justement se glorifient de vivre de dons (ou de la dîme) en jetant souvent la pierre sur les riches. Or d'où viendraient ces dons (et toutes ces belles bâtisses sans parler des œuvres qui vont avec) sans ceux qui jouissent d'une aisance et même une prospérité financière ?
C'est un peu une injonction contradictoire. Et les injonctions contradictoires, ça sème la confusion dans les esprits, toujours d'après les études scientifiques.
Le souci c'est que la confusion, ça empêche d'y voir clair pour affiner son discernement sur quoi faire, comment, pourquoi et dans quelle direction. Et il y a pas mal d'injonctions contradictoires, au final, dans des enseignements qui se veulent spirituels y compris chrétiens.
C'est la Bible qui nous dit aussi que le Roi Salomon était l'homme le plus riche de son temps et à tous les égards, tout en étant l'un des chouchous de Dieu.
De ce point vue, on voit que le contentement n'empêche pas d'aspirer à plus. Les 2 ne sont pas antinomiques, bien au contraire et c'est précisément la Bible qui nous le dit clairement aussi au travers de cet exemple.
On a tous des parcours de vie différents, des histoires de vie différentes et je pense que le contentement, ça ne se décrète pas en mode Yakafokon.
Tout çà pour dire que le contentement dans l'absolu comme état d'être, ce n'est pas un but en soi. C'est un résultat.
Et, à côté de ça, nul ne peut se sentir pleinement satisfait ex nihilo, ça n'existe pas. Comme dit la chanson : "it's just illusion".
Et si la seule chose, c'était une question de ce que l'on en fait - in fine - de sa vie et de savoir trouver le bon dosage (équilibre) entre qui on est, ce qui nous motive (l'appât du gain bestial ...ou pas forcément) et où va notre vie au juste ?
Ce n'est que mon point de vue, sans prétention.