Une critique littéraire est essentiel pour lutter contre la marchandisation de la culture promue par les grands sites de distribution contaminés par le capitalisme néolibéral.
On retrouve, avec l'écrivainE à le chemise blanche, les sempiternelles plaintes de bourgeois lorsqu'il s'agit, sous couvert de préservation de la "vraie culture", de conserver leurs privilèges statutaires et symboliques.
Un débat intéressant, merci. Mais aucune place pour les bibliothèques et leur rôle critique et de médiation sinon l'expression d'un cliché sur leurs hautes étagères. Ne peut-on pas estimer que les bibliothèques et leurs agents sont le volet public de la critique littéraire et de la médiation ?
Votre propos est pour moi une évidence mais dans cette discussion entre personnes bien placées il n'y a pas de place pour les premières lignes à savoir les médiathèques par exemple.
Il faudrait lire ou relire les essais critiques de Valéry, Barthes, Genette, Starobinski et quelques autres encore, dont "Les fleurs de Tarbes", de Jean Paulhan, bien à tort méconnu de nos jours.
La partie sur la dark romance et la romance est très mal faite et contient beaucoup d’erreurs, dire que les gens lisent que sur leur téléphone et « font l’effort d’acheter le livre juste pour la vidéo » est une énorme erreur, les gens font les deux, sur les réseaux aussi et il aurait été intéressant de faire une prévention contre la dark romance
Oui, la dark romance est, de mon simple avis, une banalisation de la violence, humiliation, séquestration, viol. Ce qui est vicieux avec ce genre, c’est de faire passer l’amour par des situations abjectes. Mais de plus, le publique de ces dits livres est trop jeune.
Ce qui est très bien vu en ce moment, c'est la romance LGBT, avec l'inévitable scène sous la douche ou le jeune Kevin est ému par la roseur des tétins de son copain Jean-Marc, ça marche du tonnerre de dieu et si tu n'aimes pas ça, c'est que tu es un facho.
@@MarilouGp-ny7vk Eh ouais, peut-être parce que moi je cause d'expérience au lieu d'ânonner des préjugés... mais ça sort clairement de ton cadre mental, ça.
@@Serendip98 vu ce que tu dis au contraire, tu n'a aucune expérience, bien sur il y a pleins de clichés que ce soit en romance, en ya et dans les romances lgbt mais justement, c'est dénoncé, c'est ce qui fait que certains livres sont mauvais mais tu est incapable de le comprendre et préfère dire que "ça sort de mon cadre mental" mdr
Une critique littéraire est essentiel pour lutter contre la marchandisation de la culture promue par les grands sites de distribution contaminés par le capitalisme néolibéral.
On retrouve, avec l'écrivainE à le chemise blanche, les sempiternelles plaintes de bourgeois lorsqu'il s'agit, sous couvert de préservation de la "vraie culture", de conserver leurs privilèges statutaires et symboliques.
Ahah exactement je cherchais un commentaire du genre avant de poster le mien 😁
Qui vient d' ENS Docs j'aime
Un débat intéressant, merci. Mais aucune place pour les bibliothèques et leur rôle critique et de médiation sinon l'expression d'un cliché sur leurs hautes étagères. Ne peut-on pas estimer que les bibliothèques et leurs agents sont le volet public de la critique littéraire et de la médiation ?
Votre propos est pour moi une évidence mais dans cette discussion entre personnes bien placées il n'y a pas de place pour les premières lignes à savoir les médiathèques par exemple.
" on vit dans un monde post littéraire " ???!!!
Il faudrait lire ou relire les essais critiques de Valéry, Barthes, Genette, Starobinski et quelques autres encore, dont "Les fleurs de Tarbes", de Jean Paulhan, bien à tort méconnu de nos jours.
Tout à fait.
La partie sur la dark romance et la romance est très mal faite et contient beaucoup d’erreurs, dire que les gens lisent que sur leur téléphone et « font l’effort d’acheter le livre juste pour la vidéo » est une énorme erreur, les gens font les deux, sur les réseaux aussi et il aurait été intéressant de faire une prévention contre la dark romance
Oui, la dark romance est, de mon simple avis, une banalisation de la violence, humiliation, séquestration, viol. Ce qui est vicieux avec ce genre, c’est de faire passer l’amour par des situations abjectes. Mais de plus, le publique de ces dits livres est trop jeune.
Ce qui est très bien vu en ce moment, c'est la romance LGBT, avec l'inévitable scène sous la douche ou le jeune Kevin est ému par la roseur des tétins de son copain Jean-Marc, ça marche du tonnerre de dieu et si tu n'aimes pas ça, c'est que tu es un facho.
@@nathancarpentier1398 totalement d'accord
@@MarilouGp-ny7vk Eh ouais, peut-être parce que moi je cause d'expérience au lieu d'ânonner des préjugés... mais ça sort clairement de ton cadre mental, ça.
@@Serendip98 vu ce que tu dis au contraire, tu n'a aucune expérience, bien sur il y a pleins de clichés que ce soit en romance, en ya et dans les romances lgbt mais justement, c'est dénoncé, c'est ce qui fait que certains livres sont mauvais mais tu est incapable de le comprendre et préfère dire que "ça sort de mon cadre mental" mdr
Une critique en littérature et en toute chose n'en est une que si elle est constructive ...
Un critique est un flic de la pensée ou du goût. Les avis de grands sites de distribution sont beaucoup plus utiles que les critiques auto proclamés.
Salut Quentin lafait: tu peux désactiver les pubs svp ?
21:15
Oh lalalala... Cécile Guilbert vraiment antipathique ! Elle représente tout ce qui fait que les jeunes se détournent de la lecture.
Très intéressant!
Cest bien program
" des chants de femmes " et ? ( ce type ne fait que décrire, il n'a pas d'idées intéressantes )
quel vide
On entre dans un stalinisme woke...c'est tragi comique🎃
le prof tient le bon bout