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(Verse 1) Sorti d'la rue, j'viens d'là où tout est sombre, Là où l'espoir s'effrite, où les rêves se confondent. On a grandi avec les cris et les sirènes, À force de voir la misère, on en devient des sirènes. Les murs ont des oreilles, les rues des secrets, Chaque coin de béton cache des destins brisés. On court après l'oseille, mais l'oseille court après nous, Les galères nous enlacent, on s'en sort comme on peut. (Refrain) On vit dans l'ombre, la lumière c'est pour les autres, Pour briller, faut être un autre, mais on reste nous-mêmes coûte que coûte. Les cicatrices sur le cœur, tatouées comme un blason, Chaque larme, chaque sourire, raconte une saison. (Verse 2) On parle à peine de demain, on survit jour après jour, La rue c'est comme un champ de mines, chaque pas est un détour. Les amis deviennent des frères, les traîtres des souvenirs, L'amitié se mesure à l'aune des coups qu'on a su encaisser sans fuir. On rêve de grandes choses, mais les rêves se fanent vite, La réalité nous rattrape, et nos ailes se plient. On cherche l'évasion dans les couplets et les rimes, Dans ce monde où l'amour se troque contre des primes. (Refrain) On vit dans l'ombre, la lumière c'est pour les autres, Pour briller, faut être un autre, mais on reste nous-mêmes coûte que coûte. Les cicatrices sur le cœur, tatouées comme un blason, Chaque larme, chaque sourire, raconte une saison. (Bridge) Le bitume est notre école, les leçons sont amères, Mais de nos échecs naissent des rêves de lumière. On
Et j’pense au mapess le soir même quand j’nhess et j’pense pas qu’au fesse parce que je dois la faire partir ma cess et passe dans ma Tess pour un rien sa te propose un tête c’est pas la kermess toi qu’est à wallah t’es pas net tu veux me hasba ou mettre un billet moi j’te carna toi t’es a l’ancienne comme à l’époque des crête j’aurais pas de peine la pègre ou bien la secte et pour les frero au hebs on parle pas on rafale les pcs et si on le fait pas c’est que tu le mérite pas parce que t’as chekma bah ouais t’as lanceba j’connais bien le temps mais j’suis jamais passer par la et j’vous le temps passe qu’est ce que j’ai fait de bien chaque jour me rapproche du déclin marocain 212 et pour les meuf on sort jamais + qu’un rouge marocain 212 et pour un shab on les comptes jamais les flouss toujours la niaque mais si tu me voit zehef panique ap toujours la dalle mais si tu me voit manger c’est mes talle et à part la crapulerie nous on connais rienpas de harki regarde nous bien
Gros cest la mzrde quand ta sim tourne plus Y ont lair gentil mais ceat des anges dechus Et si tas fait du mal y faudra qu t assume et j sais qu des fois mes textes sont sal y faudrai qu j lave ma plume mais si j la lave elle perdrait des plumet J devrai combler s manque en fermant les volets
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(Verse 1)
Sorti d'la rue, j'viens d'là où tout est sombre,
Là où l'espoir s'effrite, où les rêves se confondent.
On a grandi avec les cris et les sirènes,
À force de voir la misère, on en devient des sirènes.
Les murs ont des oreilles, les rues des secrets,
Chaque coin de béton cache des destins brisés.
On court après l'oseille, mais l'oseille court après nous,
Les galères nous enlacent, on s'en sort comme on peut.
(Refrain)
On vit dans l'ombre, la lumière c'est pour les autres,
Pour briller, faut être un autre, mais on reste nous-mêmes coûte que coûte.
Les cicatrices sur le cœur, tatouées comme un blason,
Chaque larme, chaque sourire, raconte une saison.
(Verse 2)
On parle à peine de demain, on survit jour après jour,
La rue c'est comme un champ de mines, chaque pas est un détour.
Les amis deviennent des frères, les traîtres des souvenirs,
L'amitié se mesure à l'aune des coups qu'on a su encaisser sans fuir.
On rêve de grandes choses, mais les rêves se fanent vite,
La réalité nous rattrape, et nos ailes se plient.
On cherche l'évasion dans les couplets et les rimes,
Dans ce monde où l'amour se troque contre des primes.
(Refrain)
On vit dans l'ombre, la lumière c'est pour les autres,
Pour briller, faut être un autre, mais on reste nous-mêmes coûte que coûte.
Les cicatrices sur le cœur, tatouées comme un blason,
Chaque larme, chaque sourire, raconte une saison.
(Bridge)
Le bitume est notre école, les leçons sont amères,
Mais de nos échecs naissent des rêves de lumière.
On
Très fort 💥
Peufra 🔥
🥶💥
Et j’pense au mapess le soir même quand j’nhess et j’pense pas qu’au fesse parce que je dois la faire partir ma cess et passe dans ma Tess pour un rien sa te propose un tête c’est pas la kermess toi qu’est à wallah t’es pas net tu veux me hasba ou mettre un billet moi j’te carna toi t’es a l’ancienne comme à l’époque des crête j’aurais pas de peine la pègre ou bien la secte et pour les frero au hebs on parle pas on rafale les pcs et si on le fait pas c’est que tu le mérite pas parce que t’as chekma bah ouais t’as lanceba j’connais bien le temps mais j’suis jamais passer par la et j’vous le temps passe qu’est ce que j’ai fait de bien chaque jour me rapproche du déclin marocain 212 et pour les meuf on sort jamais + qu’un rouge marocain 212 et pour un shab on les comptes jamais les flouss toujours la niaque mais si tu me voit zehef panique ap toujours la dalle mais si tu me voit manger c’est mes talle et à part la crapulerie nous on connais rienpas de harki regarde nous bien
Attention mon Lucas tu vas bientôt plus trouver de mots arabes en titre
🤣🤣🤣
Ptdrrrr
😂😂😂😂😂😂😂
😂😂😂
J ai toujour pas decoller
Jcrois j ai ratter l avion
Au collège toujour coller
Assis au fond pour les conneries
Maman me disais de me calmer
Gros cest la mzrde quand ta sim tourne plus
Y ont lair gentil mais ceat des anges dechus
Et si tas fait du mal y faudra qu t assume et j sais qu des fois mes textes sont sal y faudrai qu j lave ma plume mais si j la lave elle perdrait des plumet
J devrai combler s manque en fermant les volets