Aidons les gens à mieux vivre ET à mieux mourir !! 'L'immense majorité des cas", ça veut dire "pas la totalité". C'est donc la preuve que les deux sont nécessaires.
Pourquoi faire simple, dans la douleur et sans espoir oui au soin palliatif mais si on arrive au bout il faut avoir un ticket de sortie. Merci docteur de rappeler que quelques minutes après on est mort et justement voilà l'intérêt.
Entièrement d'accord avec la conclusion, tous les soins devraient être aussi humains que les soins palliatifs et tous les soignants et soignantes devraient y être formés. En revanche, je ne suis pas d'accord avec l'argument "on ne peut pas aider quelqu'un à vivre le plus longtemps et le mieux possible tout en euthanasiant un autre patient dans la chambre voisine." Je l'ai fait, en quelque sorte. J'ai accompagné une de mes patientes qui souhaitait mourir, non par euthanasie qui lui a été refusée car elle ne rentrait pas dans les critères, mais par arrêt de l'alimentation et de l'hydratation. En même temps, j'ai aidé un patient deux chambres plus loin à s'alimenter car lui voulait vivre, mais avait perdu beaucoup de poids et était en carence. C'était difficile, oui. Mais si vous souhaitez un métier qui n'est pas difficile, ne travaillez pas en soins palliatifs ! Ni en soins de santé tout court, d'ailleurs. C'est difficile, mais c'est possible. Et pour certains patients, c'est nécessaire. Chaque patient est différent et on doit TOUJOURS changer sa façon d'accompagner en passant de l'un à l'autre.
It’s cruel to say ‘Only a tiny minority suffer.’ And ‘There are cases palliative care can’t help’. Then not allow those people help to die. Even if there is only one person in such agony and distress we should help them die.
Est-ce que ce commercial de la mort peut me prouver scientifiquement que la vie s'arrête après la mort et que c'est le néant qui nous attend ? Vous vivez de vos peurs, alors vos vies sont inutiles, autant arrêtez maintenant, parce qu'il y aura toujours un marchand pour exploiter vos peurs irrationnelles.
Qu'est-ce que cela change? Qu'on croit ou non à un au-delà, on peut vouloir que la souffrance s'arrête, ou au contraire vivre sa vie "matérielle" le plus longtemps possible, quelles que soient les douleurs qu'on endure. Si vous pouvez prouver scientifiquement l'impact de l'euthanasie sur l'après-vie, en revanche, c'est autre chose.
@@joannajett2524 Mais ce n’est pas moi qui te mens pour te proposer des moyens de te tuer, c’est donc à ces charlatans de la mort émotive de faire la démonstration que la souffrance s’arrête après la mort. Souffrir physiquement c’est juste des terminaisons nerveuses qui envoient des informations de souffrance à ton esprit, donc c’est bien ton esprit qui souffre et quand bien même, tout le monde sait qu’il n’y a pas besoin de souffrir physiquement pour que la souffrance de l’esprit existe sans aucune douleur physique. C’est donc la preuve que c’est ton esprit qui souffre, pas ton corps, la maladie ICD le prouve encore. Aucun humain n’est jamais revenu pour nous dire si il y a une vie après la vie terrestre, donc aucun humain ne peut affirmer quoi que ce soit, contrairement à ces charlatans de la mort. Au mieux, c’est 50/50 ton histoire, soit tu disparais dans le néant (donc ta vie est totalement absurde) soit tu prends le risque de continuer à souffrir de la même manière ou peut-être pire dans la vie d’après, parce que c’est ton esprit qui souffre et que tu as décidé d’interrompre ton processus de vie avant l’heure. Tes vendeurs de mort scientifique ne savent rien sur la mort, ils ne savent pas d’où nous venons et où nous allons, comme tout un chacun. Donc qu’en ils te vendent la solution miracle que la fin de la souffrance c’est la mort, ce sont des charlatans qui font de la mort un business supplémentaire en jouant avec tes peurs.
Aidons les gens à mieux vivre ET à mieux mourir !!
'L'immense majorité des cas", ça veut dire "pas la totalité". C'est donc la preuve que les deux sont nécessaires.
Pourquoi faire simple, dans la douleur et sans espoir oui au soin palliatif mais si on arrive au bout il faut avoir un ticket de sortie. Merci docteur de rappeler que quelques minutes après on est mort et justement voilà l'intérêt.
Entièrement d'accord avec la conclusion, tous les soins devraient être aussi humains que les soins palliatifs et tous les soignants et soignantes devraient y être formés.
En revanche, je ne suis pas d'accord avec l'argument "on ne peut pas aider quelqu'un à vivre le plus longtemps et le mieux possible tout en euthanasiant un autre patient dans la chambre voisine." Je l'ai fait, en quelque sorte. J'ai accompagné une de mes patientes qui souhaitait mourir, non par euthanasie qui lui a été refusée car elle ne rentrait pas dans les critères, mais par arrêt de l'alimentation et de l'hydratation. En même temps, j'ai aidé un patient deux chambres plus loin à s'alimenter car lui voulait vivre, mais avait perdu beaucoup de poids et était en carence. C'était difficile, oui. Mais si vous souhaitez un métier qui n'est pas difficile, ne travaillez pas en soins palliatifs ! Ni en soins de santé tout court, d'ailleurs. C'est difficile, mais c'est possible. Et pour certains patients, c'est nécessaire.
Chaque patient est différent et on doit TOUJOURS changer sa façon d'accompagner en passant de l'un à l'autre.
ce serait intéressant de savoir si ce médecin palliatif est croyant ou non...est-il 100% objectif?
Ça vous arrangerait hein
@@gaetanpiton3538 pas spécialement , mais çà changerait quand même le débat
Personne n'est 100% objectif, jamais. Mais la question est intéressante.
It’s cruel to say ‘Only a tiny minority suffer.’ And ‘There are cases palliative care can’t help’. Then not allow those people help to die. Even if there is only one person in such agony and distress we should help them die.
I totally agree.
On n'a pas tous envie de mourir a l'hôpital.
Mais dans une société équitable, nous devrions tous avoir envie de mourir chez nous le plus tard possible.
C.est pourquoi il est essentiel de développer tous les soins palliatifs y compris les SP à domicile.
Est-ce que ce commercial de la mort peut me prouver scientifiquement que la vie s'arrête après la mort et que c'est le néant qui nous attend ? Vous vivez de vos peurs, alors vos vies sont inutiles, autant arrêtez maintenant, parce qu'il y aura toujours un marchand pour exploiter vos peurs irrationnelles.
Qu'est-ce que cela change? Qu'on croit ou non à un au-delà, on peut vouloir que la souffrance s'arrête, ou au contraire vivre sa vie "matérielle" le plus longtemps possible, quelles que soient les douleurs qu'on endure. Si vous pouvez prouver scientifiquement l'impact de l'euthanasie sur l'après-vie, en revanche, c'est autre chose.
@@joannajett2524 Mais ce n’est pas moi qui te mens pour te proposer des moyens de te tuer, c’est donc à ces charlatans de la mort émotive de faire la démonstration que la souffrance s’arrête après la mort. Souffrir physiquement c’est juste des terminaisons nerveuses qui envoient des informations de souffrance à ton esprit, donc c’est bien ton esprit qui souffre et quand bien même, tout le monde sait qu’il n’y a pas besoin de souffrir physiquement pour que la souffrance de l’esprit existe sans aucune douleur physique. C’est donc la preuve que c’est ton esprit qui souffre, pas ton corps, la maladie ICD le prouve encore. Aucun humain n’est jamais revenu pour nous dire si il y a une vie après la vie terrestre, donc aucun humain ne peut affirmer quoi que ce soit, contrairement à ces charlatans de la mort. Au mieux, c’est 50/50 ton histoire, soit tu disparais dans le néant (donc ta vie est totalement absurde) soit tu prends le risque de continuer à souffrir de la même manière ou peut-être pire dans la vie d’après, parce que c’est ton esprit qui souffre et que tu as décidé d’interrompre ton processus de vie avant l’heure. Tes vendeurs de mort scientifique ne savent rien sur la mort, ils ne savent pas d’où nous venons et où nous allons, comme tout un chacun. Donc qu’en ils te vendent la solution miracle que la fin de la souffrance c’est la mort, ce sont des charlatans qui font de la mort un business supplémentaire en jouant avec tes peurs.