Jean Baptiste Thoret - Masterclass documentaire | Festival Le Réel en Vue 2022

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  • Опубліковано 23 січ 2025

КОМЕНТАРІ • 5

  • @yokota61
    @yokota61 Рік тому

    Toujours passionnant à écouter, merci.

  • @joeshil4140
    @joeshil4140 Рік тому

    Le cinéma italien est le plus grand cinéma du monde entre 1959 à 1975...
    Je titille quelque peu..😊

  • @joeshil4140
    @joeshil4140 Рік тому +1

    Ecoutez l'émission sur la chaîne Le cinema est mort....qui s'intitule "le cinema n'est plus un espace commun". Cette emission pourrait être un complément à celle ci.
    Si vous le désirez bien sûr.
    Love les amiches...
    K.

  • @pierregingras6417
    @pierregingras6417 Рік тому

    En refusant ce qui la précède, la Nouvelle Vague française n’a pas laissé grand chose en héritage… vous avez raison sur ces cinéastes français qui étaient plus des théoriciens que des cinéastes capables de se renouveler, donc de perdurer… le cinéma italien était beaucoup plus intéressant… il suffit de les comparer 60 ans plus tard, il n’y a pas photo… Visconti pourrait donner des master class à ces intellos suffisants…

    • @jandron94
      @jandron94 Рік тому

      Pourquoi vouloir rentrer dans des querelles picrocholines ?
      Le cinéma français a produit de très bons films avec et sans la nouvelle vague...
      Le cinéma italien a sans nul doute comporté dans ses rangs davantage de "très grands maîtres" sur la période 1950-1980 mais même sur cette période le cinéma français m'a apporté tout de même davantage si je prends en compte l'ensemble de la production et pas que les "très grandes oeuvres" de rénomée "critique" mondiale...
      Clément, Lautner, Malle, Mocky, Melville, Verneuil, Sautet, etc. y a du nombre et de la qualité...
      Certains critiques ont du mal avec la "francitude" et donc rejettent, ou tout du moins ignorent, une grande partie du cinéma français de cette époque, par contre ils sont gagas d'"américana". C'est ce que je reproche un peu à J.B Thoret : il me semble davantage fasciné par la civilisation et l'épopée américaine que par celle de son propre pays (c'est son droit) et il a très tôt rejoint les milliers de petits français complexés par la grandeur et la suprématie culturelle de l'oncle Sam, une sorte de rêve americain par procuration...
      Bon il a le mérite de ne pas décrier comme beaucoup de critiques français le cinéma populaire français (même s'il s'y intéresse de fait beaucoup moins).
      Les américains de façon générale sont assez grands, autocentrés, chauvins et nombreux pour célébrer leur propre culture, leur cinéma, indé ou pas ... on manque de critiques français tournés vers le cinéma français hors nouvelle-vague et l'explorant "à fond avec passion"...
      Tavernier l'avait merveilleusement fait il y a 7 ou 8 ans aidé de la Gaumont et Pathé avec son voyage documentaire dans le cinéma français des années 30 à 70...