Allez, me parle pas de love, t'as le coeur prisonnier de la haine Me parle pas de drogue, la mort est la fin qu'elle ramène Me parle pas de paradis au milieu de ces démons Empêche moi de faire une connerie, si tu m'aimes tellement! Je sais que tu mens, pourtant tu veux savoir toute la vérité Je veux faire le bien mais le mal je l'ai hérité T'sais, c'est pas marrant de devoir se justifié Ils comprendront leur erreur comme après l'avoir cruxifié J'suis fier, comme Kery, pas là pour dire c'qu'ils veulent entendre Je crache encore ma rime amer, quoi qu'ils en pensent Quoi qu'ils en disent, bien qu'ils m'haissent, j'suis encore vivant Profite de la musique comme l'eau, y'en aura peut-être plus dans dix ans Amour sous condition, cours a la perdition, si rien n'est fais, finira espèce en voie de disparition La haine, ses partisans se dévelloppent de plus en plus dans un système que nous même bâtissons
Dans les rues, où la vie s'écorche, La justice vacille, et nos cœurs s'endorment sous la torche. Dans les quartiers, où l'ombre dévore l'innocence, Les regards portent le poids de cette absence. Les juges tranchent, mais où est l'équité ? Quand les lois vacillent, dans cette société. Des tours de béton aux sommets dorés, L'injustice persiste, la vérité bafouée. Les barreaux s'érigent, symboles de notre aliénation, Mais dans nos cœurs résonne une révolution. Pour ceux qu'on entend pas, pour ceux qu'on oublie, On lève nos voix, contre cette tyrannie. La rue est notre tribune, notre cri de ralliement, Où l'espoir et la rage dansent, éternellement. Dans ce rap des oubliés, la vérité éclate, Car la justice, on la veut, et rien ne l'entrave.
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Allez, me parle pas de love, t'as le coeur prisonnier de la haine
Me parle pas de drogue, la mort est la fin qu'elle ramène
Me parle pas de paradis au milieu de ces démons
Empêche moi de faire une connerie, si tu m'aimes tellement!
Je sais que tu mens, pourtant tu veux savoir toute la vérité
Je veux faire le bien mais le mal je l'ai hérité
T'sais, c'est pas marrant de devoir se justifié
Ils comprendront leur erreur comme après l'avoir cruxifié
J'suis fier, comme Kery, pas là pour dire c'qu'ils veulent entendre
Je crache encore ma rime amer, quoi qu'ils en pensent
Quoi qu'ils en disent, bien qu'ils m'haissent, j'suis encore vivant
Profite de la musique comme l'eau, y'en aura peut-être plus dans dix ans
Amour sous condition, cours a la perdition, si rien n'est fais, finira espèce en voie de disparition
La haine, ses partisans se dévelloppent de plus en plus dans un système que nous même bâtissons
Dans les rues, où la vie s'écorche,
La justice vacille, et nos cœurs s'endorment sous la torche.
Dans les quartiers, où l'ombre dévore l'innocence,
Les regards portent le poids de cette absence.
Les juges tranchent, mais où est l'équité ?
Quand les lois vacillent, dans cette société.
Des tours de béton aux sommets dorés,
L'injustice persiste, la vérité bafouée.
Les barreaux s'érigent, symboles de notre aliénation,
Mais dans nos cœurs résonne une révolution.
Pour ceux qu'on entend pas, pour ceux qu'on oublie,
On lève nos voix, contre cette tyrannie.
La rue est notre tribune, notre cri de ralliement,
Où l'espoir et la rage dansent, éternellement.
Dans ce rap des oubliés, la vérité éclate,
Car la justice, on la veut, et rien ne l'entrave.