Un animateur sousinforme de la situation des partis, de leur intervention sur des questions d'interet national...Les terres, par exemple, ont suscite des actions.., de meme que la question du dialogue ...
Sur la question des terres livrées au Rwanda, les partis du président Mierassa, du président Aniangoye et du président Ngavet ont été en première ligne pour défendre nos terres ! Faites un effort pour chercher l'information.
De nombreuses raisons justifient l'inactivisme des partis politiques congolais. L'absence des cercles de réflexions effectifs, l'inconséquence des responsables qui trahissent leur versatilité dans l'application et l'interprétation souvent éhontée des dispositions juridiques organiques et fonctionnelles, privilégiant des appétits égocentriques, l'absence des ressources conséquentes et crédibles de fonctionnement des partis d'opposition ; l'état minable des sièges des partis conforte mes propos. Le caractère de sous-traitant de certains partis exploité par le mâle dominant au moment de la campagne présidentielle révèle leur vie saisonnière mise en veilleuse entre deux élections car ils sont utilisés comme "chiens de chasse pendant les campagnes. La vie politique est entravée aussi par certaines dispositions juridiques institutionnelles telles les frais démesurés et irréalistes de candidature à la présidentielle. Ce qui concoure à des fractures, des rejets : comment rassembler 25 millions exigés à la candidature présidentielle alors qu'il faut aussi couvrir les contraintes de campagne. L'une des fâcheuse conséquences est pression des lobbies qui souvent soutiennent les solliciteurs avec des contreparties très contraignantes. Il faut aussi réglementer l'accès aux médias publics pour assainir l'environnement de diffusion de l'information. L'activisme des médias publics et privés dans l'organisation des tribunes et débats en faveur de l'essor de la contradiction politique. Le professionnalisme et l'impartialité de la presse étant requis
Mon cher journaliste, coordonnez le plateau au lieu de vous comporter en maladroit débateur sui biaise la beauté de l'émission. Coordonnez. Pour la prétendue reconquête du pouvoir du le président Sassou, n'occultez pas les connections extérieures basées sur des contreparties parfaitement évidentes. Enfin, de mon point de vue, la faiblesse des partis politiques, généralement, de l'opposition en particulier, vient du mâle dominant interne à ces partis qui ne se propose de bâtir un clollège devant statuer sur les stratégies de financement pérennes pour nourrir la vie de leurs organisations. Nous ne sommes plus à l'ère des luttes coloniales où il suffisait de s'aligner derrière un un leader messianique à une appartenance identitaire. L'idéal serait assis sur l'intérêt général de la nation. Vous constaterez que les partis politiques, dénués d'aucun idéal lié au développement national, se terre sur les valeurs identitaires qui malheureusement fleurissent de la malhonnête des '"cadres intellectuels" souvent égoïstes abusant de la naïveté de leurs compatriotes du paropris comme subalternes. En définitive, la dominance la verticalité des organigrammes des partis politiques, les équipes dirigeantes conçues sur un subjectivisme identitaire (sociologique), la personnification des partis au leader (pourtant mortel), l'absence d'une stratégie conséquente de générer une cagnotte interne aux partis sont des vecteurs des partis avortons. A moins d'être dans les manettes du pouvoir qui expose à la tentation de se servir des ressources du pays comme source de financement. Le plagiat éhonté sur mondèle "occidental" est un épine sui handicap qui prostitue nos réalités. Pourquoi faudra-t-il verser 25 millions pour une candidature sachant qu'aucun parti, ni un jeune candidat, souvent à peine professionnellement actif ne serait capable de les réunir, à moins d'être hypocrite pour me contredire. La réalité des sièges des partis conforte mon point de vue. Pour être en adéquation avec le thème du jour, accordez-moi de vous dire que l'inactivité des partis en dehors des périodes électorales tient d'une organisation bancale financière est idéologique. Ce qui devrait nous pousser à nous interroger sur l'origine du financement des candidats à la présidentielle.
Je m'excuse pour les errata contenus dans ma rédaction antérieure écornée par la manipulation maladroite du minuscule clavier de mon portable. Les partis politiques de notre pays n'arrivent pas à se soustraire des modèles structuraux où l'organigramme formait une pyramide au sommet de laquelle se trouve un mâle dominant interne personnifiant et symbolisant un idéal identitaire, tribal. L'intérêt identitaire, tribal est promu par des intellectuels égocentriques qui entretiennent des valeurs identitaires au détriment de l'intérêt général. Les fiefs des partis politiques ont des socles identitaires géographiques, sociologiques, culturels. Que dire du PCT, de l'UPADS, de YOUKI... de tous les partis ? La création des partis sans réel idéal objectif promouvant l'intérêt général, la "pauvreté" de ces partis qui n'ont aucune assise financière crédible utile à leur fonctionnement, l'inconséquence et la malhonnêteté des cadres sont entre autres les raisons de leur fragilité et de leur survie après la mort du leader "messianique" qui est souvent le pourvoyeur des fonds de fonctionnement, acquis par de nébuleuses contreparties auprès des lobbies ou alors par des pratiques détournées des fonds de l'état. L'état des sièges des partis politiques corrobore évidemment mes propos. Ne pas l'admettre est un preuve manifeste d'hypocrisie. L'inadéquation de certaines dispositions institutionnelles à la réalité oblitère la vitalité de l'exercice politique. Pourquoi exiger 25 millions à la candidature présidentielle sachant objectivement qu'aucun parti congolais, ni un jeune candidat ne serait capable de les réunir, et par ailleurs supporter les contraintes des campagnes. Ceci dénote d'une exclusion, d'une discrimination évidente. En outre, certains ne doivent leur vie que d'alliances, parfois de contre nature, où le parti mâle dominant exploite les plus faibles en chiens de chasse au moment des élections. Ce qui peut aussi expliquer la résurgence de certains partis la veille des élections. Les conflits égocentriques entre responsables des partis, doublés d'inconséquence, de versatilité, surtout de la malhonnête des dirigeants dans l'application des dispositions juridiques conduisent à l'extinction ou l'inactivisme des partis
Chèrs compatriotes observez par vous-même que le journalisme est depuis mort en Republique du Congo. De la même manière qu'il y'a des journaux classés à droite en France (Figaro, Valeurs Actuelles, Le Point) ou a gauche (Liberation, Le Monde, L'Humanité) et aux Etats-Unis des Médias Proche du Parti Démocrate (CNN, MNSBC) et ceux proche du Parti Républicain (FOX NEWS, News Max...), sachez que MAG Le Bazar ne fait pas du Journalisme mais de L'Activisme Politique en Faveur de Denis Sassou Nguesso.
ce journaliste ne m'a jamais inspiré car ce monsieur n'a jamais débattu des vrais sujets fondamentaux pour la nation sur son plateau il ne fait que l'apologie du pouvoir
Comment un journaliste n'a pas d'information, sur l'histoire des terres le mouvement républicain du président Destin Gavet et les autres partis ce sont fortement prononcé là dessus finalement tu es dans quel pays ?
Bravo à la chaîne d’organiser ce genre de débat.
Continuez ainsi, félicitations.
merci à vous
Franchement il s'agit bien là de la politique saisonnière. C'est bien triste pour mon pauvre Beau pays le Congo
J'admire la franchise du professeur. Il s'exprime sans aucune crainte.
Un animateur sousinforme de la situation des partis, de leur intervention sur des questions d'interet national...Les terres, par exemple, ont suscite des actions.., de meme que la question du dialogue ...
Sur la question des terres livrées au Rwanda, les partis du président Mierassa, du président Aniangoye et du président Ngavet ont été en première ligne pour défendre nos terres ! Faites un effort pour chercher l'information.
Le journaliste a peur.
C'est choquant ce que le Professeur vient d'évoquer sur la responsabilité de gestion et les fameuses procédures d'acquisitions des directions
Le journaliste confond son rôle, je me demande si c est un debateur
Nos excuses pour les errata
De nombreuses raisons justifient l'inactivisme des partis politiques congolais. L'absence des cercles de réflexions effectifs, l'inconséquence des responsables qui trahissent leur versatilité dans l'application et l'interprétation souvent éhontée des dispositions juridiques organiques et fonctionnelles, privilégiant des appétits égocentriques, l'absence des ressources conséquentes et crédibles de fonctionnement des partis d'opposition ; l'état minable des sièges des partis conforte mes propos. Le caractère de sous-traitant de certains partis exploité par le mâle dominant au moment de la campagne présidentielle révèle leur vie saisonnière mise en veilleuse entre deux élections car ils sont utilisés comme "chiens de chasse pendant les campagnes. La vie politique est entravée aussi par certaines dispositions juridiques institutionnelles telles les frais démesurés et irréalistes de candidature à la présidentielle. Ce qui concoure à des fractures, des rejets : comment rassembler 25 millions exigés à la candidature présidentielle alors qu'il faut aussi couvrir les contraintes de campagne. L'une des fâcheuse conséquences est pression des lobbies qui souvent soutiennent les solliciteurs avec des contreparties très contraignantes. Il faut aussi réglementer l'accès aux médias publics pour assainir l'environnement de diffusion de l'information. L'activisme des médias publics et privés dans l'organisation des tribunes et débats en faveur de l'essor de la contradiction politique. Le professionnalisme et l'impartialité de la presse étant requis
Mon cher journaliste, coordonnez le plateau au lieu de vous comporter en maladroit débateur sui biaise la beauté de l'émission. Coordonnez. Pour la prétendue reconquête du pouvoir du le président Sassou, n'occultez pas les connections extérieures basées sur des contreparties parfaitement évidentes. Enfin, de mon point de vue, la faiblesse des partis politiques, généralement, de l'opposition en particulier, vient du mâle dominant interne à ces partis qui ne se propose de bâtir un clollège devant statuer sur les stratégies de financement pérennes pour nourrir la vie de leurs organisations. Nous ne sommes plus à l'ère des luttes coloniales où il suffisait de s'aligner derrière un un leader messianique à une appartenance identitaire. L'idéal serait assis sur l'intérêt général de la nation. Vous constaterez que les partis politiques, dénués d'aucun idéal lié au développement national, se terre sur les valeurs identitaires qui malheureusement fleurissent de la malhonnête des '"cadres intellectuels" souvent égoïstes abusant de la naïveté de leurs compatriotes du paropris comme subalternes. En définitive, la dominance la verticalité des organigrammes des partis politiques, les équipes dirigeantes conçues sur un subjectivisme identitaire (sociologique), la personnification des partis au leader (pourtant mortel), l'absence d'une stratégie conséquente de générer une cagnotte interne aux partis sont des vecteurs des partis avortons. A moins d'être dans les manettes du pouvoir qui expose à la tentation de se servir des ressources du pays comme source de financement. Le plagiat éhonté sur mondèle "occidental" est un épine sui handicap qui prostitue nos réalités. Pourquoi faudra-t-il verser 25 millions pour une candidature sachant qu'aucun parti, ni un jeune candidat, souvent à peine professionnellement actif ne serait capable de les réunir, à moins d'être hypocrite pour me contredire. La réalité des sièges des partis conforte mon point de vue. Pour être en adéquation avec le thème du jour, accordez-moi de vous dire que l'inactivité des partis en dehors des périodes électorales tient d'une organisation bancale financière est idéologique. Ce qui devrait nous pousser à nous interroger sur l'origine du financement des candidats à la présidentielle.
Je m'excuse pour les errata contenus dans ma rédaction antérieure écornée par la manipulation maladroite du minuscule clavier de mon portable. Les partis politiques de notre pays n'arrivent pas à se soustraire des modèles structuraux où l'organigramme formait une pyramide au sommet de laquelle se trouve un mâle dominant interne personnifiant et symbolisant un idéal identitaire, tribal. L'intérêt identitaire, tribal est promu par des intellectuels égocentriques qui entretiennent des valeurs identitaires au détriment de l'intérêt général. Les fiefs des partis politiques ont des socles identitaires géographiques, sociologiques, culturels. Que dire du PCT, de l'UPADS, de YOUKI... de tous les partis ? La création des partis sans réel idéal objectif promouvant l'intérêt général, la "pauvreté" de ces partis qui n'ont aucune assise financière crédible utile à leur fonctionnement, l'inconséquence et la malhonnêteté des cadres sont entre autres les raisons de leur fragilité et de leur survie après la mort du leader "messianique" qui est souvent le pourvoyeur des fonds de fonctionnement, acquis par de nébuleuses contreparties auprès des lobbies ou alors par des pratiques détournées des fonds de l'état. L'état des sièges des partis politiques corrobore évidemment mes propos. Ne pas l'admettre est un preuve manifeste d'hypocrisie. L'inadéquation de certaines dispositions institutionnelles à la réalité oblitère la vitalité de l'exercice politique. Pourquoi exiger 25 millions à la candidature présidentielle sachant objectivement qu'aucun parti congolais, ni un jeune candidat ne serait capable de les réunir, et par ailleurs supporter les contraintes des campagnes. Ceci dénote d'une exclusion, d'une discrimination évidente. En outre, certains ne doivent leur vie que d'alliances, parfois de contre nature, où le parti mâle dominant exploite les plus faibles en chiens de chasse au moment des élections. Ce qui peut aussi expliquer la résurgence de certains partis la veille des élections. Les conflits égocentriques entre responsables des partis, doublés d'inconséquence, de versatilité, surtout de la malhonnête des dirigeants dans l'application des dispositions juridiques conduisent à l'extinction ou l'inactivisme des partis
Chèrs compatriotes observez par vous-même que le journalisme est depuis mort en Republique du Congo. De la même manière qu'il y'a des journaux classés à droite en France (Figaro, Valeurs Actuelles, Le Point) ou a gauche (Liberation, Le Monde, L'Humanité) et aux Etats-Unis des Médias Proche du Parti Démocrate (CNN, MNSBC) et ceux proche du Parti Républicain (FOX NEWS, News Max...), sachez que MAG Le Bazar ne fait pas du Journalisme mais de L'Activisme Politique en Faveur de Denis Sassou Nguesso.
ce journaliste ne m'a jamais inspiré car ce monsieur n'a jamais débattu des vrais sujets fondamentaux pour la nation sur son plateau il ne fait que l'apologie du pouvoir
Qui organise quoi??
Comment un journaliste n'a pas d'information, sur l'histoire des terres le mouvement républicain du président Destin Gavet et les autres partis ce sont fortement prononcé là dessus finalement tu es dans quel pays ?
@@Chakazulud et l'ARD..a ecrit au Parlement ...a prpos aussi..!!