Claudius de Cap Blanc : De l'Affabulisme au Vulvolithique
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- Опубліковано 9 лип 2022
- Nous avons le plaisir de vous présenter un reportage sur Claudius de Cap Blanc et son musée: l'affabuloscope.
Une histoire hors normes et 3 étages de 500m² avec plus de 650 œuvres, objets et installations présents au Mas d'Azil en Ariège (09).
"Le Vide Affabulatoire c’est la matière hypothétique que les astrophysiciens appellent « énergie sombre » et qui constitue 74% de l’univers, mais reste invisible à l’observation."
Pour Claudius de Cap Blanc, c’est tout ce qui n’a pas été mais qui aurait pu être. L’artiste consacre sa vie à l’exploration et au traitement de ce vide qu’il qualifie de “désir d’être en mal d’être accumulé”. Il s’agit là d’accoucher le vide de l’histoire de ce qui est absent, de ce qui a oublié d’être, de ce qui a été laissé en latence, en relégation, et de le faire accéder à l’existence en lui donnant corps, mouvement et vie."
Plus d'info sur le musée par ici: museeaffabuloscope.fr
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Réalisé par Onde Productions (audio/visuel)
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Tags: #affabuloscope #vulvolithique
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Quel grand artiste paix à lui
C'était un immense artiste en faits !!! 😐😍
Oui... nous sommes très attristés par la nouvelle...
La réalisation de ce mini-documentaire est lamentablement stéréotypée et racoleuse, nous bombardant d'images, caricaturant l'oeuvre et l'artiste. Snif !
Cette vidéo a été réalisée sur demande du musée et de Claudius. Écrite et approuvée par l'artiste avant sa publication. Sans elle nous n'aurions aucune trace du travail qu'il a fait à Béthylac. Désolé si elle ne correspond pas à vos fantasmes, c'est en effet une caricature afin de parler au plus grand nombre.
Bonne journée
@@ondeproductions Si Claudius, selon ce que vous dites, l'a approuvée, je ne peux que m'incliner.
Toutefois, mes critiques ne sont pas des "fantasmes". C'est une analyse, avec laquelle on peut ne pas être d'accord, que l'on peut discuter. J'ai le droit d'avoir mon point de vue et de lutter contre ce que Peter Watkins appelle LA MONOFORME, et que j'appellerai la "forme publicitaire". Pourquoi ces mouvements de caméra accélérés puis ralentis, ce bombardement d'images ? Quel est le sens de ceci, à part satisfaire aux codes à la mode pour "répondre à la commande" dans un monde marchand. Je vois là quelque chose d'à la fois scolaire et publicitaire. J'ai peut-être tort, mais j'ai peut-être raison...
Bonne journée.
@@thierryschalck1940 Il n'y a pas d'avoir tort ou raison, chacun ses goûts. Mais vous jugez très facilement un contenu dans lequel nous avons mis de l'amour et du temps pour attirer la curiosité sur l'artiste et ses oeuvres. Un contenu qui a été demandé par le musée et validé par Claudius.
Oui je parle de fantasme, peut-être que je me trompe, mais beaucoup osent parler de Claudius depuis son décès comme de grand connaisseurs même adorateurs alors qu'ils n'étaient pas là avant et n'ont jamais mis un pied dans son musée.
Et oui c'est un style de réalisation pour passer au maximum d'images dans un format court. Tout à fait assumé et recherché. Car la réalité (nous observons les stats) c'est qu'au bout de 1min la moitié des gens ne sont plus là et n'auraient donc pas vu le travail de Claudius. D'où le travail au format pub. Libre à vous d'aimer ou pas.
@@ondeproductions Bon ok. Je reconnais en avoir tellement ras-le-bol du monde marchand et de son langage publicitaire, que je réagis vite quand je crois en déceler des codes à la mode (les accélérés en milieu de plan comme ici, le bombardement d'images, ou, comme ailleurs, le fait de couper les silences pour ne garder que la parole ---truc maintenant hyper-répandu). Mais j'accuse réception de votre sincérité et du désir de mettre Claudius en lumière, et aussi de votre sens du dialogue. Voulez vous que je retire mon commentaire de départ ? Ou bien, si vous le pouvez, retirez le vous même, cela me conviendra.
Par contre, tout n'est pas affaire de goûts ou de fantasmes. Sinon Les Cahiers Du Cinéma, Télérama, Les Inrockuptibles, Serge Daney, François Truffaut, etc... n'ont que des goûts ou des fantasmes. Or non: la mise-en-scène a du sens et est porteuse de valeurs. C'est quelque chose de complexe, qui peut se débattre (car nul n'est porteur de la vérité). Toute réalisation est aussi une vision du monde.